RIP les juges, ils vont glisser dans le béton frais
TIn comment je kifferai de le voir juste 6 mois en zonz.
[01T] Topic des FDP
par stikky » 25 Juin 2013, 12:52
Mon futur ex directeur dont je viens d'apprendre qu'il ne se gène plus pour dire que tout va bien dans ses services (sic!), que les RPS n'existent pas et que les agents devraient être contents d'avoir un job assuré et de faire le travail qu'ils veulent.
Jamais vu un mec aussi infect même et surtout avec ses bras droits et chef de se(r)vice
un bô tas de brun ch'ti là !
Jamais vu un mec aussi infect même et surtout avec ses bras droits et chef de se(r)vice
un bô tas de brun ch'ti là !
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
par W » 25 Juin 2013, 12:59
Ayoub avait raison :
Trois semaines après l'agression mortelle du jeune Clément Méric, la police parisienne a mis la main sur les premières images de la bagarre.
Les images du drame ont été enregistrées depuis une caméra de surveillance de la RATP, située au niveau de la station Havre-Caumartin et permettent de se faire une idée précise des circonstances de la scène, jusqu'ici restées floues.
Un seul coup de poing
Sur la vidéo, on peut apercevoir Clément Méric se précipiter sur le skinhead de dos, Esteban Morillo, pour lui asséner un coup de poing. C'est alors que le meurtrier présumé se retourne et lui donne un coup de poing en plein visage. D'après RTL, la vidéo ne permet pas de voir si un deuxième coup est donné.
La victime s'est immédiatement écroulée au sol et, à l'inverse de ce qui a été affirmé par plusieurs témoins, aucun lynchage n'a été fait au sol. L'autopsie avait révélé que le jeune homme n'était pas mort en tombant par terre mais par un ou deux coups au visage.
It's art. You don't need pants.
par ursulet » 25 Juin 2013, 13:04
stikky a écrit:Mon futur ex directeur dont je viens d'apprendre qu'il ne se gène plus pour dire que tout va bien dans ses services (sic!), que les RPS n'existent pas et que les agents devraient être contents d'avoir un job assuré et de faire le travail qu'ils veulent.
Jamais vu un mec aussi infect même et surtout avec ses bras droits et chef de se(r)vice
un bô tas de brun ch'ti là !
les rps?
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
par Giallo » 26 Juin 2013, 15:02
Gérard Depardieu jovial, sympathique, un peu bourru mais pas bien méchant ? Pas tant que ça si l’on en croit une journaliste russe qui a subi durant quinze longues minutes la colère et les injures de l’acteur.
Elle se faisait une joie d’interviewer le grand acteur français, elle a vite déchanté. Elena Volochine, une correspondante de i<Télé à Moscou a appris de manière plutôt brutale que Gérard Depardieu n’aimait pas trop qu’on le contredise. Selon le Canard Enchaîné, le 20 juin vers 17 heures, la jeune femme qui a réussi à décrocher un entretien avec le monstre sacré, se rend au Metropol, l’hôtel où il a ses habitudes dans la capitale Russe.
A peine a–t-elle posé un pied au troisième étage de l’établissement, qu’elle est accueillie par le hurlements d’un Gérard Depardieu visiblement en colère : « Viens voir, toi ! Viens ici ! Qu'est-ce que t'as foutu ? » Elena Volochine pénètre alors dans la suite de l’acteur où se trouve également le producteur franco-russe Arnaud Frilley et un assistant.
Elle comprend rapidement la raison du courroux de l’acteur : celui-ci est en train de visionner un reportage que la jeune femme a précédemment effectué sur le tournage du long-métrage Turquoise dont Gérard Depardieu est la vedette principale. Dans cette vidéo, Elena évoquait « l’appartement cadeau » offert par le président Raman Kadyrov « le dictateur tchétchène au régime controversé », et la journaliste y dénonçait la « communication extrêmement contrôlée » autour du long-métrage. De quoi rendre Gérard Depardieu fou de rage.
Ce dernier commence à insulter copieusement la jeune femme, la traitant de « salope » et lui jetant des « va te faire baiser ! » à la figure. Il enclenche avec un deuxième sujet réalisé par Elena Volochine, toujours sur le film Turquoise, où la Tchétchénie est présentée sous un mauvais jour selon l’acteur.
Nouvelle bordée d’injures, le travail de la journaliste étant résumé à « des saloperies » par le comédien. Au bout de quinze interminables minutes passées à se faire traiter de tous les noms, Elena Volochine est fermement invitée quitte les lieux.
« Je ne me suis pas sentie menacée physiquement, mais j’ai été blessée et très choquée », a confié cette dernière au Canard Enchaîné. Le producteur Arnaud Frilley, présent aux moments des faits a lui tenté de calmer le jeu « Il a un franc-parler qui peut choquer, mais il faut s'habituer », a-t-il expliqué. C’était sans compter sur Gérard qui en a remis une couche lorsque le Canard Enchaîné l’a contacté pour qu’il donne sa version des faits : « C’est une salope ! Et merde au Canard ! » On n’est pas loin d’un La Tourette.
Elle se faisait une joie d’interviewer le grand acteur français, elle a vite déchanté. Elena Volochine, une correspondante de i<Télé à Moscou a appris de manière plutôt brutale que Gérard Depardieu n’aimait pas trop qu’on le contredise. Selon le Canard Enchaîné, le 20 juin vers 17 heures, la jeune femme qui a réussi à décrocher un entretien avec le monstre sacré, se rend au Metropol, l’hôtel où il a ses habitudes dans la capitale Russe.
A peine a–t-elle posé un pied au troisième étage de l’établissement, qu’elle est accueillie par le hurlements d’un Gérard Depardieu visiblement en colère : « Viens voir, toi ! Viens ici ! Qu'est-ce que t'as foutu ? » Elena Volochine pénètre alors dans la suite de l’acteur où se trouve également le producteur franco-russe Arnaud Frilley et un assistant.
Elle comprend rapidement la raison du courroux de l’acteur : celui-ci est en train de visionner un reportage que la jeune femme a précédemment effectué sur le tournage du long-métrage Turquoise dont Gérard Depardieu est la vedette principale. Dans cette vidéo, Elena évoquait « l’appartement cadeau » offert par le président Raman Kadyrov « le dictateur tchétchène au régime controversé », et la journaliste y dénonçait la « communication extrêmement contrôlée » autour du long-métrage. De quoi rendre Gérard Depardieu fou de rage.
Ce dernier commence à insulter copieusement la jeune femme, la traitant de « salope » et lui jetant des « va te faire baiser ! » à la figure. Il enclenche avec un deuxième sujet réalisé par Elena Volochine, toujours sur le film Turquoise, où la Tchétchénie est présentée sous un mauvais jour selon l’acteur.
Nouvelle bordée d’injures, le travail de la journaliste étant résumé à « des saloperies » par le comédien. Au bout de quinze interminables minutes passées à se faire traiter de tous les noms, Elena Volochine est fermement invitée quitte les lieux.
« Je ne me suis pas sentie menacée physiquement, mais j’ai été blessée et très choquée », a confié cette dernière au Canard Enchaîné. Le producteur Arnaud Frilley, présent aux moments des faits a lui tenté de calmer le jeu « Il a un franc-parler qui peut choquer, mais il faut s'habituer », a-t-il expliqué. C’était sans compter sur Gérard qui en a remis une couche lorsque le Canard Enchaîné l’a contacté pour qu’il donne sa version des faits : « C’est une salope ! Et merde au Canard ! » On n’est pas loin d’un La Tourette.
ce message ne vient pas de moi
par ursulet » 26 Juin 2013, 15:43
Le site Jobdumping met en ligne des offres d'emplois. Le chômeur qui propose le moins emporte le contrat.
Par GREMILLET Muriel
Jusqu'où un chômeur allemand est-il prêt à aller pour trouver un travail ? Pour les fondateurs du site Internet d'enchères inversées Jobdumping.de, la réponse est rapide : jusqu'à moins de 5 euros de l'heure pour faire le ménage chez un particulier. Le portail, lancé en novembre, applique au travail et aux salaires ce qui a fait la fortune de certains sites, les enchères, mais à l'envers.
Le principe est simple, un employeur propose le poste à pourvoir en fixant un salaire maximum pour la mission. Les internautes enchérissent à la baisse. Le chômeur qui propose le salaire le plus bas remporte le travail. Fabian Löw, 31 ans, l'un des fondateurs de Jobdumping, se défend d'être un horrible libéral. «1 300 personnes ont trouvé un travail grâce à nous, ce n'est pas si mal, dit-il. La presse allemande nous traite de tous les noms, mais je m'en moque. Personne n'est lésé, on met en contact des gens, pour un salaire négocié et accepté par les deux parties.»
Selon lui, Jobdumping est quasiment une oeuvre de salut public. «J'ai été travailleur social, j'accompagnais les gens en leur disant : "Il n'y a pas de travail", raconte-t-il. Aujourd'hui, j'ai décidé de vraiment les aider à retrouver du travail.» Et selon lui, tout est bon pour lutter contre le chômage qui culmine à 12 %. Y compris, et surtout, faire baisser les salaires.
Engluée. «Les salaires allemands sont trop élevés et, si l'on ne fait rien, nos voisins polonais ou tchèques finiront par prendre tout le travail», poursuit Fabian Löw. Le fondateur du site n'hésite pas non plus à critiquer la société allemande, qui serait un peu engluée dans son confort : «On vit avant de travailler, en Allemagne. Un peu comme en France, non ?» Les syndicats allemands ont réagi très négativement. Certains mettant en ligne des contre-sites qui répertorient, par branche, le salaire minimum exigible. Des experts travaillant sur l'instauration d'un salaire minimum ont aussi dénoncé le mécanisme des enchères inversées : «En dessous de 7,50 euros de l'heure, on ne peut pas vivre de son travail en Allemagne.»
Mais les fondateurs de Jobdumping se défendent de pratiquer un «capitalisme de vautours» : le site permettrait de rechercher des salariés qui disposent de qualifications ou de diplômes professionnels particuliers, en les valorisant. La qualification est un dogme pour les Allemands.
Pour l'instant, le site n'existe qu'en Allemagne, même si ses fondateurs songent à l'exporter. C'est que ce système d'enchères inversées colle parfaitement au contexte local. Des salaires moyens conventionnels assez élevés, peu d'emplois de services, ou occupés généralement par des immigrés, peu de flexibilité, quasi-inexistence de l'intérim. Les emplois proposés sur Jobdumping se glissent dans ces interstices : les employeurs cherchent des jardiniers pour tailler les haies, des peintres pour rénover des chambres, des monteurs de gaines d'aération ou des aides pour personnes âgées. Des emplois de services très peu valorisés dans l'économie allemande et pas toujours couverts par des accords de branche.
Jobs à 1 euro. Le gouvernement allemand essaie bien de combattre le chômage, en restreignant son système d'assurance chômage avec le plan Hartz IV. En introduisant de la flexibilité. Avec, comme mesure phare, les «jobs à 1 euro» pour les chômeurs indemnisés. «Je vous assure qu'il vaut mieux chercher un boulot grâce aux enchères inversées chez nous plutôt que de prendre un job à 1 euro, tranche Fabian Löw. Les statistiques ont montré qu'un chômeur pouvait au mieux espérer toucher 180 euros pour 900 heures de travail avec ce type d'emplois aidés.»
En attendant d'être consacré sauveur de l'économie allemande, Jobdumping a décidé de se rebaptiser d'une manière moins «négative», en effaçant le mot «dumping» du libellé du site. On accédera bientôt aux enchères par l'adresse lohnauktion.de, littéralement : «enchères sur les salaires».
Par GREMILLET Muriel
Jusqu'où un chômeur allemand est-il prêt à aller pour trouver un travail ? Pour les fondateurs du site Internet d'enchères inversées Jobdumping.de, la réponse est rapide : jusqu'à moins de 5 euros de l'heure pour faire le ménage chez un particulier. Le portail, lancé en novembre, applique au travail et aux salaires ce qui a fait la fortune de certains sites, les enchères, mais à l'envers.
Le principe est simple, un employeur propose le poste à pourvoir en fixant un salaire maximum pour la mission. Les internautes enchérissent à la baisse. Le chômeur qui propose le salaire le plus bas remporte le travail. Fabian Löw, 31 ans, l'un des fondateurs de Jobdumping, se défend d'être un horrible libéral. «1 300 personnes ont trouvé un travail grâce à nous, ce n'est pas si mal, dit-il. La presse allemande nous traite de tous les noms, mais je m'en moque. Personne n'est lésé, on met en contact des gens, pour un salaire négocié et accepté par les deux parties.»
Selon lui, Jobdumping est quasiment une oeuvre de salut public. «J'ai été travailleur social, j'accompagnais les gens en leur disant : "Il n'y a pas de travail", raconte-t-il. Aujourd'hui, j'ai décidé de vraiment les aider à retrouver du travail.» Et selon lui, tout est bon pour lutter contre le chômage qui culmine à 12 %. Y compris, et surtout, faire baisser les salaires.
Engluée. «Les salaires allemands sont trop élevés et, si l'on ne fait rien, nos voisins polonais ou tchèques finiront par prendre tout le travail», poursuit Fabian Löw. Le fondateur du site n'hésite pas non plus à critiquer la société allemande, qui serait un peu engluée dans son confort : «On vit avant de travailler, en Allemagne. Un peu comme en France, non ?» Les syndicats allemands ont réagi très négativement. Certains mettant en ligne des contre-sites qui répertorient, par branche, le salaire minimum exigible. Des experts travaillant sur l'instauration d'un salaire minimum ont aussi dénoncé le mécanisme des enchères inversées : «En dessous de 7,50 euros de l'heure, on ne peut pas vivre de son travail en Allemagne.»
Mais les fondateurs de Jobdumping se défendent de pratiquer un «capitalisme de vautours» : le site permettrait de rechercher des salariés qui disposent de qualifications ou de diplômes professionnels particuliers, en les valorisant. La qualification est un dogme pour les Allemands.
Pour l'instant, le site n'existe qu'en Allemagne, même si ses fondateurs songent à l'exporter. C'est que ce système d'enchères inversées colle parfaitement au contexte local. Des salaires moyens conventionnels assez élevés, peu d'emplois de services, ou occupés généralement par des immigrés, peu de flexibilité, quasi-inexistence de l'intérim. Les emplois proposés sur Jobdumping se glissent dans ces interstices : les employeurs cherchent des jardiniers pour tailler les haies, des peintres pour rénover des chambres, des monteurs de gaines d'aération ou des aides pour personnes âgées. Des emplois de services très peu valorisés dans l'économie allemande et pas toujours couverts par des accords de branche.
Jobs à 1 euro. Le gouvernement allemand essaie bien de combattre le chômage, en restreignant son système d'assurance chômage avec le plan Hartz IV. En introduisant de la flexibilité. Avec, comme mesure phare, les «jobs à 1 euro» pour les chômeurs indemnisés. «Je vous assure qu'il vaut mieux chercher un boulot grâce aux enchères inversées chez nous plutôt que de prendre un job à 1 euro, tranche Fabian Löw. Les statistiques ont montré qu'un chômeur pouvait au mieux espérer toucher 180 euros pour 900 heures de travail avec ce type d'emplois aidés.»
En attendant d'être consacré sauveur de l'économie allemande, Jobdumping a décidé de se rebaptiser d'une manière moins «négative», en effaçant le mot «dumping» du libellé du site. On accédera bientôt aux enchères par l'adresse lohnauktion.de, littéralement : «enchères sur les salaires».
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
par kaptn_kvern » 26 Juin 2013, 16:42
Tu l'as chopé où ton article Ursu? Les sources que je trouve date de 2005.
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par fernando » 26 Juin 2013, 17:22
C'est décidément une journée riche en filsdeputage :
DSK ironise sur ceux qui incriminent "la finance"
L'ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn s'est moqué mercredi 26 juin de ceux qui s'en prennent à la finance, en ouverture de son audition au Sénat par une commission d'enquête.
Dans son propos liminaire, avant d'être interrogé sur le rôle des banques dans l'évasion fiscale, l'ex-ministre PS de l'économie, a lancé : "Le système fonctionne mal. Mais le point sur lequel je voudrais insister, c'est que, de mon point de vue, incriminer la finance dans le désastre économique que nous vivons, en Europe en général et en particulier dans notre pays, a pour moi à peu près la même pertinence qu'incriminer l'industrie automobile quand on parle des morts sur la route."
Dans son grand discours de lancement de campagne présidentielle, au Bourget, en janvier 2012, le candidat socialiste François Hollande avait lancé : "Mon adversaire, c'est le monde de la finance."
DSK ironise sur ceux qui incriminent "la finance"
L'ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn s'est moqué mercredi 26 juin de ceux qui s'en prennent à la finance, en ouverture de son audition au Sénat par une commission d'enquête.
Dans son propos liminaire, avant d'être interrogé sur le rôle des banques dans l'évasion fiscale, l'ex-ministre PS de l'économie, a lancé : "Le système fonctionne mal. Mais le point sur lequel je voudrais insister, c'est que, de mon point de vue, incriminer la finance dans le désastre économique que nous vivons, en Europe en général et en particulier dans notre pays, a pour moi à peu près la même pertinence qu'incriminer l'industrie automobile quand on parle des morts sur la route."
Dans son grand discours de lancement de campagne présidentielle, au Bourget, en janvier 2012, le candidat socialiste François Hollande avait lancé : "Mon adversaire, c'est le monde de la finance."
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par otto » 26 Juin 2013, 19:26
Depuis aujourd'hui et jusque Dimanche, quelques cyclistes français, belges, allemands et néerlandais font un périple entre Fumay (08) et Maastricht contre le nucléaire.
7 cyclistes pour cette première étape (deg, j'étais convoqué pour surveiller le brevet...).
Comme c'est super dangereux 2 types et 5 femmes en vélo, il fallait faire gaffe... Résultat :
- 1 véhicule de la gendarmerie les a suivis toute la journée sur la piste cyclable.
- Et pour le pique-nique du midi à Chooz (08, y a 2 centrales dans ce village) : 3 véhicules de la gendarmerie les attendaient avec contrôle d'identité à la clé...
7 cyclistes pour cette première étape (deg, j'étais convoqué pour surveiller le brevet...).
Comme c'est super dangereux 2 types et 5 femmes en vélo, il fallait faire gaffe... Résultat :
- 1 véhicule de la gendarmerie les a suivis toute la journée sur la piste cyclable.
- Et pour le pique-nique du midi à Chooz (08, y a 2 centrales dans ce village) : 3 véhicules de la gendarmerie les attendaient avec contrôle d'identité à la clé...
par bitadmin » 27 Juin 2013, 13:22
Apparemment, c'est partout en France
Une trentaine de pots d’échappement découpés sur les voitures à Limoges, une centaine dans l’Indre, la Vienne et en Charente. La police judiciaire de Limoges enquête sur une étonnante équipe de voleurs de métaux dont l’arme favorite est… une disqueuse. Une victime témoigne.
«Ce matin-là, je suis rentré dans ma 206 pour aller en cours. En mettant le contact, je me suis cru dans un vieux 4x4. J’ai compris que ma voiture avait comme un problème… » Jérémy Cruz, corrézien de 19 ans, étudiant à Limoges, a été l’une des victimes d’un gang de voleurs de métaux.
Le pot catalytique de sa voiture garée à la cité universitaire du Val de l’Aurence a été découpé méthodiquement à la disqueuse. « Ça m’a sacrément pénalisé. On a dû venir chercher ma voiture avec une remorque, je vais payer la franchise, l’assurance en a pour plus de 800 euros et j’ai perdu pas mal de temps à m’occuper de ce problème. »
Un vol apparemment très à la mode, les pots catalytiques étant réputés contenir des métaux précieux, comme de l’or.
150 pots catalytiques volés dans un garage
À Limoges, ce sont au total 32 voitures qui ont ainsi été “dépotées”. La police judiciaire de Limoges, chargée de l’enquête, a déjà étendu ses investigations à d’autres départements. Car la bande, entre fin mai et début juin, s’est attaquée non seulement à des véhicules à Limoges mais également à une dizaine de voitures à Angoulême, une autre dizaine à Châteauroux et a surtout réussi à voler une quantité impressionnante de pots dans un garage automobile.
« Ils étaient venus par le passé faire des découpes à la disqueuse. Depuis, nous démontions les pots que l’on mettait en sécurité dans un hangar. Ils en ont volé 150 », indique un employé de la société Aupy Frères, située à Châteaubernard, près de Cognac (Charente). La police de Limoges a lancé un appel à la vigilance.
Une trentaine de pots d’échappement découpés sur les voitures à Limoges, une centaine dans l’Indre, la Vienne et en Charente. La police judiciaire de Limoges enquête sur une étonnante équipe de voleurs de métaux dont l’arme favorite est… une disqueuse. Une victime témoigne.
«Ce matin-là, je suis rentré dans ma 206 pour aller en cours. En mettant le contact, je me suis cru dans un vieux 4x4. J’ai compris que ma voiture avait comme un problème… » Jérémy Cruz, corrézien de 19 ans, étudiant à Limoges, a été l’une des victimes d’un gang de voleurs de métaux.
Le pot catalytique de sa voiture garée à la cité universitaire du Val de l’Aurence a été découpé méthodiquement à la disqueuse. « Ça m’a sacrément pénalisé. On a dû venir chercher ma voiture avec une remorque, je vais payer la franchise, l’assurance en a pour plus de 800 euros et j’ai perdu pas mal de temps à m’occuper de ce problème. »
Un vol apparemment très à la mode, les pots catalytiques étant réputés contenir des métaux précieux, comme de l’or.
150 pots catalytiques volés dans un garage
À Limoges, ce sont au total 32 voitures qui ont ainsi été “dépotées”. La police judiciaire de Limoges, chargée de l’enquête, a déjà étendu ses investigations à d’autres départements. Car la bande, entre fin mai et début juin, s’est attaquée non seulement à des véhicules à Limoges mais également à une dizaine de voitures à Angoulême, une autre dizaine à Châteauroux et a surtout réussi à voler une quantité impressionnante de pots dans un garage automobile.
« Ils étaient venus par le passé faire des découpes à la disqueuse. Depuis, nous démontions les pots que l’on mettait en sécurité dans un hangar. Ils en ont volé 150 », indique un employé de la société Aupy Frères, située à Châteaubernard, près de Cognac (Charente). La police de Limoges a lancé un appel à la vigilance.
par GilbertSedman » 28 Juin 2013, 14:25
Elham Asghari, une nageuse professionnelle iranienne, est détentrice du record des 20 km brasse en eau libre (dans la Mer Caspienne). Seulement, le régime de Téhéran refuse de l'homologuer sous prétexte qu'elle n'a pas respecté le code vestimentaire imposé par la sharia, la loi islamique.
"La coutume d'Elham Asghari, même en accord avec l'islam, n'est pas acceptable et l'enregistrement de ce record est contre l'islam et le droit", explique un représentant du gouvernement iranien.
"La coutume d'Elham Asghari, même en accord avec l'islam, n'est pas acceptable et l'enregistrement de ce record est contre l'islam et le droit", explique un représentant du gouvernement iranien.
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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