[01T] Politix, fonctionnaire et Cie

Messagepar krouw2 » 29 Août 2014, 22:43

dégage avec tin cadavre de poulet, oit
Hollande 2027
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Messagepar otto » 30 Août 2014, 09:16

T'as bien fait de pas lire, ça fait pleurer...
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Messagepar Dageek » 30 Août 2014, 10:21

Cheur Duflot de merde, bim la représaille dans la gueule
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Messagepar fernando » 31 Août 2014, 14:09

[didn't read lol]

Ca fait rêver la politique européenne, les discussions au conseil européen sur la tournure d'une phrase pour ne pas froisser les allemands...

A Bruxelles, Hollande refuse encore de monter au créneau face à Merkel

31 août 2014 | Par Ludovic Lamant

Seule annonce sur le front économique, à l'issue du sommet européen de samedi: la tenue de trois sommets, en octobre, sur la croissance et l'emploi. C'est peu, pour le chef de l'Etat français, qui peine toujours autant à prouver que sa stratégie européenne porte ses fruits.


De notre envoyé spécial à Bruxelles. La semaine de l'exécutif s'est ouverte à Paris avec l'exclusion du gouvernement d'Arnaud Montebourg, partisan d'une opposition musclée avec Berlin sur les politiques d'austérité. Mais François Hollande a eu du mal à prouver, lors d'une réunion à Bruxelles samedi soir, que sa stratégie plus conciliante avec la chancelière Angela Merkel allait finir par porter ses fruits.

Le sommet européen extraordinaire, dernière étape d'une semaine chaotique pour le chef de l'État français, a confirmé à quel point la stratégie du chef de l'État pour « réorienter l'Europe » vers plus de croissance et d'investissement était, sinon hasardeuse, en tout cas infiniment lente à se mettre en place. Loin de l'urgence de la crise sociale – près de 25 millions de chômeurs – qui secoue l'Europe.

Sur le fond, le président Hollande continue de répéter ses fondamentaux : il a diagnostiqué, lors de sa conférence samedi soir, un « problème d'offre » dans certains pays de l'UE, mais aussi un « problème de demande à l'échelle européenne ». D'où la nécessité, pour y répondre, de réformes structurelles dans les pays qui doivent améliorer leur compétitivité (à l'image du « pacte de responsabilité » en France), mais aussi d'une relance massive, par l'investissement public et privé, mise en place par Bruxelles.

Aux yeux de l'exécutif français, l'UE est confrontée à une « situation exceptionnelle » qui doit aussi obliger les Vingt-Huit à lâcher du lest dans l'application du pacte de stabilité, ce texte qui encadre les politiques budgétaires sur le continent. Croissance morne, risque de déflation, chômage carabiné : « Chaque pays doit assainir ses finances publiques mais il faut que le rythme et la consolidation soient adaptés à la situation exceptionnelle que nous vivons en Europe », martèle-t-on à l'Élysée.

Voici pour les discours. Le problème, c'est que ces questions ont à peine été soulevées autour de la table des dirigeants, samedi. Les chefs d'État et de gouvernement ont pris l'essentiel de leur temps pour débattre de la crise ukrainienne – et valider deux nominations clés à Bruxelles. Les conclusions ne contiennent qu'un seul paragraphe sur l'économie (lire les conclusions, paragraphe 7), dont le contenu a été en partie atténué par les Allemands.


Le calendrier de ce sommet semblait pourtant idéal pour bousculer l'agenda, et rouvrir ces débats clés. François Hollande s'était même trouvé, cet été, un allié précieux, en la personne de Mario Draghi. Le patron de la BCE, inquiet de l'état de l'économie au sein de la zone euro, a surpris nombre d'observateurs, le 22 août, en montrant Berlin du doigt : « Il serait utile (…) si la politique budgétaire pouvait jouer un plus grand rôle aux côtés de la politique monétaire, et je crois qu'il y a des marges de manœuvre pour cela. » En clair, Draghi exhorte désormais l'Allemagne à investir davantage, mais aussi à prendre en compte le « coût des réformes » dans l'application du pacte de stabilité – exactement ce que réclament les sociaux-démocrates, pour « adoucir » l'austérité.

Mais le débat n'a pas eu lieu à Bruxelles. Seule annonce à retenir, sur le front de la crise économique : l'organisation de trois sommets consécutifs, en octobre, sur la croissance et l'emploi, auxquels toutes les décisions ont été reportées. De quoi temporiser pendant quelques semaines.

À la demande de Matteo Renzi, le président du conseil italien, un premier sommet aura lieu à Rome, consacré à la lutte contre le chômage des jeunes. Il reprendra le format des conférences organisées en 2013, à Paris puis à Berlin sur le même sujet, et qui avaient débouché sur quelques annonces sans lendemain (un « New Deal pour les jeunes », un « Erasmus de l'apprentissage »).

Plus important, Jean-Claude Juncker, qui dirigera la commission à partir de novembre, présentera, lors du prochain conseil européen, fin octobre, les grandes lignes de son plan d'investissement de 300 milliards d'euros pour relancer l'UE. Le Luxembourgeois avait fait cette annonce mi-juillet, devant le parlement européen, le jour de son élection à la tête de la commission. Mais il est resté discret, depuis, sur le détail du financement.

L'opération est censée se dérouler sur trois ans, à partir d'injection de capitaux publics et privés, dans des secteurs clés comme l'énergie ou les infrastructures. Juncker souhaite en particulier mieux utiliser les fonds européens qui ne trouvent pas preneur (lire notre article), ou encore améliorer les effets de levier de la Banque européenne d'investissement (BEI), autant de recettes déjà exploitées… par François Hollande en 2012, pour mettre en place un « pacte de croissance » chiffré, à l'époque, à 130 milliards d'euros, et qui n'a depuis pas donné grand-chose.

Même le montant de 300 milliards d'euros, s'il peut sembler gigantesque, reste modeste s'il est étalé sur trois ans, et divisé en 28… À titre de comparaison, la nouvelle « initiative de croissance » défendue, en juin, par les Français, avançait, elle, le chiffre de 1 200 milliards d'euros, sur cinq ans.

Dans les conclusions, quelques renoncements français...

Le troisième sommet qui devrait se tenir en marge du conseil européen est une réunion spécifique des pays de la zone euro, à la demande de François Hollande. C'est dans ce cadre que les Français veulent rouvrir le débat, relancé par Rome au début de l'été, sur la « flexibilité » des règles du pacte budgétaire européen. À ce stade, ils n'ont aucune garantie de succès.

De ce point de vue, l'attitude du camp français, samedi, n'invite pas à l'optimisme. Autour de la table du conseil, où les débats ne sont pas publics, le président français ne s'est pas battu autant qu'il aurait pu. On se contentera ici de donner deux exemples de ces renoncements français, certes limités, qui peuvent même paraître anecdotiques aux yeux de certains, mais qui, fréquents, et mis bout à bout, illustrent bien la mainmise de Berlin dans les débats économiques à Bruxelles. Presque à chaque fois, c'est Angela Merkel et ses alliés qui ont le dernier mot.

Premier exemple. Dans une première version des conclusions, préparées par le Trésor français, les Vingt-Huit s'inquiétaient d'une reprise de l'économie « uniformément faible ». C'est du jargon, mais il s'agissait d'un copié-collé de l'expression utilisée par Mario Draghi dans son discours menaçant du 22 août. Cette expression avait l'avantage d'aller dans le sens de l'argumentation de Paris : les difficultés n'épargnent personne en Europe, il faut donc une réponse globale depuis Bruxelles, plutôt que de stigmatiser tel ou tel pays.

Mais Berlin est intervenu en amont du sommet pour gommer ce passage. Dans les conclusions de samedi, il n'est plus question que d'une reprise « fragile » – exactement le même adjectif qui figure dans les conclusions de juin, et qui n'engage à rien. Les Français n'ont pas protesté. Mais ils se sont tout de même battus pour que la phrase – « l'inflation est exceptionnellement faible » – soit maintenue, alors qu'Angela Merkel voulait, là aussi, la rayer des conclusions, estimant qu'il revenait à la BCE, et à la BCE à elle seule, de parler d'inflation…


Autre point d'achoppement : le sommet spécifique de la zone euro proposé par Hollande. Plusieurs témoins des discussions ont confirmé à Mediapart qu'Angela Merkel n'en voulait pas. Or, lorsque le chef d'État français en a parlé pour la première fois, jeudi devant les ambassadeurs, il a évoqué un sommet « qui puisse être réuni dans les meilleurs délais pour prendre les mesures nécessaires ». À la sortie de la réunion avec les sociaux-démocrates samedi midi, les choses se précisaient : le sommet organisé début octobre à Rome, à l'initiative de l'Italie, serait « suivi par un sommet de la zone euro » : on imaginait donc une réunion mi-octobre au plus tard.

Mais dans les conclusions du conseil de samedi soir, la formule devient plus vague: « À l'automne, un conseil européen répondra à la situation économique (fin octobre, ndlr) et un sommet de la zone euro sera convoqué. » François Hollande, samedi soir, a même évoqué une réunion en novembre, le temps que la nouvelle commission de Jean-Claude Juncker se mette en place.

Ce flottement dans le calendrier n'est qu'une simple anecdote ? Pas seulement. Car cela signifie aussi que ce sommet inédit se tiendra après le 15 octobre, rendez-vous majeur pour Paris, puisque l'exécutif devra, à cette date, avoir fait parvenir à la commission son projet de budget pour l'an prochain, conformément aux nouvelles règles budgétaires en vigueur en Europe. Les Français avaient donc tout intérêt à organiser cette conférence avant le 15, pour arrondir les angles du budget 2015. C'est raté pour cette fois.

Si François Hollande n'est pas monté au créneau samedi soir, c'est peut-être en partie parce qu'il s'est trouvé plus seul que d'habitude. Son allié Matteo Renzi, le chef du gouvernement italien, qui s'était opposé à Angela Merkel lors du conseil de juin, est resté cette fois sur la défensive. « Il ne pouvait pas mener deux combats en même temps, Mogherini et la flexibilité. Il aurait trop chargé la barque », résume un diplomate.

Renzi s'est en effet battu, pendant tout l'été, pour que sa ministre des affaires étrangères, Federica Mogherini, soit désignée pour succéder à Catherine Ashton à la tête de la diplomatie européenne. C'est chose faite depuis samedi soir. Le Florentin n'avait plus suffisamment de cartouches, samedi soir, pour rouvrir ce débat, laissant Hollande seul en piste. À l'issue du sommet, François Hollande jugeait que le remaniement du gouvernement du début de semaine, parce qu'il a apporté « clarification » et « cohésion », avait eu pour effet de « renforcer la position française » à Bruxelles. Il va encore falloir beaucoup d'autres conseils européens pour que l'on puisse commencer à s'en apercevoir.

[/didn't read lol]
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Messagepar W » 31 Août 2014, 14:20

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It's art. You don't need pants.
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Messagepar rodolfo » 31 Août 2014, 15:31

Tain le film sur Hitler hier sur 6ter (TNT), ca calme et fait un peu penser à ce que l'on est en train de vivre...
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Messagepar King Kong » 31 Août 2014, 16:40

Quoi, on va encore déclarer la guerre aux allemands?
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
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Messagepar otto » 31 Août 2014, 16:53

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Messagepar fernando » 31 Août 2014, 17:04

Beau lapsus :)
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Messagepar Deub » 31 Août 2014, 22:06

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Messagepar Dageek » 31 Août 2014, 22:58

élégant
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Messagepar boban » 31 Août 2014, 23:00

On ne peut plus vanner de nos jours.
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Messagepar laurentlille1 » 01 Sep 2014, 00:10

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Messagepar krouw2 » 01 Sep 2014, 00:25

cte gif

:)
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Messagepar otto » 01 Sep 2014, 06:25

"Quels atouts... a utilisé" ....

On met pas un s à "utilisé" ?
Aidez-moi. Je voudrais savoir si je peux sortir une jameslol sur ce tweet...
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Messagepar GilbertSedman » 01 Sep 2014, 09:51

Bien ouéj Martine, demain il ne restera que des HLM dans Lille intra-muros !

Encadrement des loyers à Lille : Valls donne son accord à Aubry


Confronté à une fronde au sein du PS, le Premier ministre a choisi de lâcher du lest sur l'encadrement des loyers. Samedi, la maire PS de Lille Martine Aubry a en effet demandé que sa ville, «reconnue comme la troisième ville la plus chère de France», bénéficie de l'encadrement des loyers que Manuel Valls souhaitait jusque là limiter à Paris, à titre de test.

«Si en plus de Paris, d'autres villes comme Lille sont volontaires pour expérimenter l'encadrement des loyers, qu'elles le fassent», déclare le Premier ministre au JDD.

Martine Aubry n'est pas présente à l'université d'été du PS à La Rochelle. Mais sa demande, exprimée dans un communiqué, menaçait d'ouvrir une nouvelle brèche dans une majorité socialiste déjà ébranlée par les coups d'éclat du duo Montebourg-Hamon, démissionnés quelques jours plus tôt du gouvernement, et par la provocation de Christiane Taubira s'affichant samedi au côté des «frondeurs».

Le président socialiste de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone(PS), avait ainsi appuyé la demande de Martine Aubry : «Sur le fond, elle a raison», avait-il réagi samedi, regrettant toutefois le moment choisi par l'ancienne patronne du parti socialiste, en pleine tension entre le gouvernement et une partie des élus PS.

A droite, certains n'avaient pas manqué d'appuyer immédiatement là où cela fait mal. L'ancien ministre du Travail UMP Xavier Bertrand, avait ainsi estimé que Martine Aubry avait fait cette demande «uniquement pour gêner Manuel Valls et François Hollande». Avant que l'intervention de la maire de Lille soit rendue publique, l'ex-ministre UMP du Logement Benoist Apparu avait salué la refonte du dispositif en faveur du logement, estimant que Manuel Valls avait «cédé au bon sens, pas aux lobbies immobiliers».
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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GilbertSedman
 
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Messagepar SAV » 01 Sep 2014, 10:18

GilbertSedman a écrit:Bien ouéj Martine, demain il ne restera que des HLM dans Lille intra-muros !

Tain Gilbert, tu te droitises sale.
Brigitte Macron 2027.
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SAV
 
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Messagepar GilbertSedman » 01 Sep 2014, 10:24

J'ai du mal à voir du progrès social quand on considère chaque petit propriétaire d'appart comme un enculé de profiteur nanti.

Cette gauche démago a tendance à confondre nexity et le petit proprio, tout comme elle calque sur le même pas entrepreneur de PME et baron de CAC40.
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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Messagepar Dageek » 01 Sep 2014, 10:27

ahhh cette bonne spécificité française... la pierre, la pierre et toujours la pierre...
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Messagepar rodolfo » 01 Sep 2014, 11:16

Toujours l'analyste juste notre Gilbos.

Je sais qu'un jour je quitterais le pays, mais j'ai l'impression que l'échéance approche plus vite que prévue.....
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Messagepar ruitos » 01 Sep 2014, 11:39

retourne en pologne, sale étranger! :-/
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Messagepar rodolfo » 01 Sep 2014, 11:40

ruitos a écrit:retourne en pologne, sale étranger!



C'est pas faux. Mais malheureusement, je suis Français et je m'excuse pour tout le mal que cela implique.

Cordialy.
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Messagepar ruitos » 01 Sep 2014, 11:41

français avec un "f" ça suffisait....on voit que t'es pas français de souche lointaine, donc pas français.
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Messagepar rodolfo » 01 Sep 2014, 12:04

Calme toi, Ramirez, c'est pour plus tard tout ça.

Allez, je reprends les clés de l'AUDI et je rentre chez moi.
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Messagepar Deub » 01 Sep 2014, 23:30

Et voilà ! Avec l'encadrement des loyers, les petits proprios ne peuvent plus entretenir leurs maisons. Bravo Aubry.

Lille: une maison d'habitation s'effondre, deux personnes portées disparues

Une maison d'habitation, où résidaient une femme et un enfant tous deux portés disparus, s'est effondrée ce soir à Lille, a constaté une journaliste de l'AFP. Une femme d'une trentaine d'années et un enfant de deux ans et demi étaient les occupants habituels de cette petite maison d'un étage, qui s'est effondrée vers 18h30, à Fives, quartier populaire de Lille, dans l'Est de la ville.

Le chien des sapeurs-pompiers a marqué un arrêt, alors que les secours tentaient de déterminer s'il y avait des victimes dans les gravats de cette maison entièrement écroulée où seules quelques poutrelles métalliques subsistaient. "A l'heure actuelle, il manque deux personnes, une maman et un enfant", a déclaré à la presse Frédéric Delcroix, directeur de permanence du service d'incendie et de secours (Sdis). Selon les témoignages et appels au secours, aucune explosion n'a été entendue avant ni au moment de l'effondrement.

"Il n'y a pas de gaz et il n'y a pas d'explosion", a confirmé M. Delcroix, qui a évoqué la "vétusté" du bâtiment et selon qui les opérations de recherche risquaient d'être longues, en raison des précautions à observer. La maison avait été "fragilisée" dans le passé et un étaiement avait été posé dans les années 1990, selon M. Delcroix. La femme et l'enfant habitaient l'appartement au premier étage au-dessus d'un café. "La maison avait été renforcée dans les années 1990, quand une voiture était rentrée dans le café au coin" , a expliqué la maire de Lille Martine Aubry, présente sur place, à la presse.

"On a beaucoup d'affaires d'immeubles insalubres dans ce quartier mais aucune procédure n'était en cours pour celle-ci", a-t-elle ajouté. Une soixantaine de pompiers étaient présents sur les lie
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Messagepar fernando » 02 Sep 2014, 21:50

8% des embauches se font en CDI...

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Messagepar otto » 03 Sep 2014, 06:18

Vous n'allez pas me croire... Mais, il y a peu, j'ai croisé une demoiselle qui vient de décrocher un cdi.
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Messagepar otto » 03 Sep 2014, 06:18

Pendant un certain temps, j'ai cru qu'elle se foutait de ma guoule.
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Messagepar otto » 03 Sep 2014, 06:29

fernando a écrit:Soutien au prisonnier politique!

Affaire Méric : un skinhead écroué aurait utilisé un poing américain lors de la rixe

Le Monde.fr avec AFP | 24.02.2014 à 20h18 • Mis à jour le 25.02.2014 à 09h58

Trahi par ses SMS ? Mis en examen pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, l'un des deux skinheads écroués dans l'enquête sur la mort de Clément Méric a toujours nié avoir frappé le militant antifasciste et utilisé un poing américain. D'après Libération, les textos pourtant envoyés par Samuel Dufour ne laissent aucune place à l'équivoque.

« Mdr » comme [mort de rire] écrit-il, « J'ai frappé avec ton poing américain », écrit le skin à un proche de Serge Ayoub, le leader des groupuscules d'extrême droite Troisième voie et les Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), précisant « Ba il est parti à l'hôpital », écrit encore Samuel Dufour. L'utilisation d'un poing américain peut constituer une circonstance aggravante.

L'interlocuteur lui demande combien de personnes ont pris part à la rixe : « Cinq contre trois », répond Samuel Dufour, précisant « on les a défoncés ». Dans un autre SMS resté sans réponse, le skin explique : « J'ai plein de sang sur mon bombers mais c'est le mien, demande à Serge si je dois le nettoyer. »


LES MÉDECINS RESTENT PRUDENTS


« Si cet élément tend à confirmer l'utilisation d'un poing américain, ça ne remet pas en cause le fait que Samuel Dufour n'ait pas eu de contact avec Clément Méric, a affirmé son avocat, Me Antoine Vey. De plus, les expertises médicales ne concluent pas à l'utilisation d'un poing américain à l'encontre de Clément Méric. » Dans une récente expertise, les médecins sont restés prudents sur ce point, n'excluant pas d'hypothèse, toujours selon des sources proches du dossier.

D'après ces mêmes sources, les déclarations de M. Dufour sur le fait qu'il n'avait pas frappé Clément Méric ont été confortées durant l'enquête par le témoignage d'un autre militant antifasciste. Ce dernier a affirmé qu'il avait eu Samuel Dufour en face de lui durant toute la rixe et qu'il ne pouvait, de ce fait, avoir frappé la victime.

L'autre skinhead en détention, Esteban Morillo, a reconnu dès sa garde à vue avoir porté deux coups, à mains nues, au visage de la victime, dont la mort, à l'âge de 18 ans, avait suscité une forte émotion.

Les enquêteurs cherchent à déterminer comment a démarré la bagarre, après que les deux groupes se sont croisés lors d'une vente privée de vêtements dans le quartier de la gare Saint-Lazare. D'autres questions restent en suspens, notamment celle de savoir si Esteban Morillo a été le seul à frapper la victime et s'il a utilisé un poing américain, ce qu'il nie, même si des témoins l'ont vu enfiler une telle arme.


De quel prisonnier parles-tu ??

Esteban Morillo, principal suspect dans l'affaire de la rixe entre skinheads d'extrême droite et antifascistes qui avait causé la mort de Clément Méric, en juin 2013 à Paris, a été remis en liberté, mardi 2 septembre, par la cour d'appel de Paris.

Mis en examen pour « violences volontaires en réunion et avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner », le jeune homme, en prison depuis un an et trois mois, sera soumis à un contrôle judiciaire strict, qui lui interdit notamment de quitter son département de résidence, selon une source judiciaire. Le deuxième suspect en détention provisoire dans cette affaire, Samuel Dufour, 20 ans, avait été libéré en juin.

Sympathisant du groupuscule d'extrême droite Troisième Voie, Esteban Morillo avait reconnu dès le départ avoir porté deux coups de poing, à mains nues, au visage de l'étudiant de 18 ans. De son côté, Samuel Dufour, lui aussi sympathisant de Troisième Voie, a toujours nié avoir frappé Clément Méric. L'un des camarades de la victime, présent lors de la bagarre, a confirmé cette version aux juges d'instruction.

En février, les résultats d'une expertise du téléphone du jeune homme avaient révélé ses SMS au soir des faits : « J'ai frappé avec ton poing américain », disait l'un d'eux ; « on les a défoncés », disait un autre. Outre MM. Morillo et Dufour, deux autres skinheads sont mis en examen pour « violences » mais n'ont pas été placés en détention.

Fin juillet, le Conseil d'Etat a confirmé la dissolution de deux groupuscules d'extrême droite — celle des deux suspects, Troisième Voie, ainsi que les Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR) —, au motif qu'elles constituaient des « milices privées ». Fondé en 2010 par Serge Ayoub, alias « Batskin », l'ancien chef des skinheads d'extrême droite parisiens, Troisième Voie réunissait quelques centaines de sympathisants en France, tandis que les JNR étaient leur service d'ordre.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/09/02/mort-de-clement-meric-le-principal-suspect-remis-en-liberte_4480643_3224.html
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Messagepar King Kong » 03 Sep 2014, 08:57

enfin, vivement la relaxe..
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
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