GilbertSedman a écrit:En cas de pic de pollution, les numéros d'immatriculation pairs circuleraient les jours pairs, les autres seraient autorisés les jours impairs.
La succession des pics de pollution un peu partout en France ces derniers jours ont contraint le gouvernement à agir. Le ministère de l'Écologie a ainsi annoncé mercredi soir qu'il allait instaurer dès 2014 la possibilité de mettre en place une circulation alternée lors de ces pics de pollution aux particules fines et aux oxydes d'azote (NOx).
Dès janvier, «une table ronde avec les collectivités locales et les autorités organisatrices de transport va être mise en place afin d'étudier les modalités de mise en œuvre de cette mesure», a précisé Philippe Martin, le ministre de l'Écologie, à l'issue d'un comité interministériel de la qualité de l'air (Ciqa).
Une mesure très ancienne
Cela se ferait à partir des plaques d'immatriculation des véhicules: les numéros pairs circuleraient les jours pairs, les autres seraient autorisés les jours impairs. Un sujet qui va nécessairement provoquer des discussions houleuses. On sait notamment que les familles les plus aisées pourraient contourner le problème avec deux véhicules.
Et je fais comment je fais pour conduire mon fils à la crèche les jours impairs ?????
Bande d'enculés de bobos
dave a écrit:
pas de bol , 2 numeros pair ...
laurentlille1 a écrit:dave a écrit:
pas de bol , 2 numeros pair ...
Lol je pensais justement à ça. Et ceux qui roulent encore avec les anciennes plaques. Quelle idée à la con!
Dageek a écrit:laurentlille1 a écrit:dave a écrit:
pas de bol , 2 numeros pair ...
Lol je pensais justement à ça. Et ceux qui roulent encore avec les anciennes plaques. Quelle idée à la con!
Ca existe deja en theorie non?
De toute façon c est juste innapliquable, genre un travailleur sur deux n ira pas bosser, mébiensur.
fernando a écrit:Heureusement, il reste des fonctionnaires appliqués et consciencieux.
Un bar doit payer 9 000 euros d’amende pour un verre rapporté au comptoir
Pour les propriétaires et clients et du bar, ce geste est synonyme de politesse, de convivialité et de bonne franquette. Mais pour l'Urssaf, rapporter son verre vide au comptoir relève du travail dissimulé. Les propriétaires de l'établissement Mamm-Kounifl, situé à Locmiquélic (Morbihan), en ont fait l'expérience, et l'ont raconté au Télégramme.
Dans ce café-concert, tenu depuis dix ans par Maryka Le Floch et son mari, les soirs d'affluence, les commandes et le service s'effectuent au comptoir, comme dans de nombreux bars bondés. Et lorsque arrive le moment de commander la deuxième tournée, les clients retournent jouer des coudes près du zinc, pour remplir leurs verres vides. Un rituel banal, sauf pour l'Urssaf, qui considère ce comportement comme du travail dissimulé.
Le 30 juin 2012, ce bar labellisé « Café de pays », est visé par un contrôle de l'Urssaf, que décrit la gérante au Télégramme :
"Vers minuit trente, une cliente a rapporté un plateau. Elle est passée par le comptoir pour aller aux toilettes. C'est là que tout a basculé. Mon mari s'est fait plaquer contre la vitre par un homme. Une femme s'est jetée sur moi en me montrant une carte tricolore. C'est là que j'ai compris que c'était un contrôle de l'Urssaf. Ils m'ont dit que j'étais prise en flagrant délit de travail dissimulé. Ils considéraient que les clients se comportaient comme des serveurs."
Maryka Le Floch croit d'abord à une blague et à de faux agents. Mais la "carte tricolore" brandie par l'homme est bien réelle. S'ensuit alors une longue procédure pour "travail dissimulé", qui atteint son paroxysme lorsqu'une brigade de gendarmerie signifie aux deux époux leur placement en garde à vue, finalement transformée en audition. Faute d'infraction caractérisée, le procureur de la République de Lorient classera finalement l'affaire sans suite.
Mais la procédure ne s'est pas arrêtée là : l'Urssaf demande toujours à ce que les gérants s'acquittent de l'amende qui, après pénalités, atteint désormais la coquette somme de 9 000 euros. "De l'acharnement", selon le couple, toujours sous le coup d'une procédure au civil, rappelle le quotidien breton.
Interrogé par France Bleu Breizh Izel, un responsable de l'Urssaf maintient l'accusation, et dénonce la façon dont la gérante présente l'affaire, évoquant des "propos diffamants" envers l'organisme. C'est désormais le tribunal des affaires de sécurité sociale de Vannes qui hérite du dossier, et qui devra trancher : rapporter son verre au comptoir relève-t-il du travail dissimulé ?
Dageek a écrit:Ce que je comprends pas c est ue dans leur declaration ils disent qu ils ont ete plaqué au mur, tenus par le col, c est quoi ce delire? Y a personne qui a pu en temoigner chez les clients? De quoi porter plainte et faire sauter le bouzin,c est quand meme pas banal pour un controle Urssaf de se prendre pour Ruck Hunter
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