Der a écrit:Elle ressemblait à Despé?
La même grâce, mais moins sexy comme même dans l'ensemble.
Der a écrit:Elle ressemblait à Despé?
fernando a écrit:Der a écrit:Elle ressemblait à Despé?
La même grâce, mais moins sexy comme même dans l'ensemble.
fernando a écrit:Ca c'est du combat, wouw !
Supprimons le 1 et le 2 dans le numéro de Sécu
Par CHRIS BLACHE Ex-conseillère d’Eva Joly, activiste du groupe féministe la Barbe
L’attribution des chiffres 1 ou 2 dans le numéro de la Sécurité sociale impose, dès la naissance, une hiérarchie explicite : en tête, le masculin, en éternel second, le féminin. Cet héritage installe avant même nos premiers pas dans la vie, d’un côté la confiance, de l’autre le doute. Numéro «signifiant», c’est-à-dire non aléatoire, ce numéro nous qualifie dès notre inscription à l’état civil, et impose à travers sa première colonne déterminant le sexe, une hiérarchie symbolique et une dualité qui range les unes et les autres dans deux catégories étanches, que l’on oppose. Et, en dépit de la création récente d’un chiffre 3 pour représenter les identités transitoires, cette première colonne n’en reste pas moins un outil de classification à la fois, suspect dans sa volonté de nous identifier à tout prix comme «appartenant à», et stigmatisant dans sa façon de nous définir selon des critères binaires et hiérarchiques.
Elaboré en 1934 et mis en place en 1941 à des fins militaires par la Société nationale des statistiques – devenue l’Insee en 1946 –, ce numéro de matricule est né asexué, ou plus exactement, masculin. Le numéro Carmille – du nom de son concepteur – avait pour fonction de recenser les hommes valides pour une mobilisation rapide. La colonne qualifiant le sexe, avec les chiffres 1 pour les hommes et 2 pour les femmes, fut rajoutée a posteriori pour cacher sa fonction stratégique et lui donner une apparence civile. En 1945, le numéro Carmille devient le numéro de Sécurité sociale, outil au service de l’économie planificatrice de l’après-guerre. En transformant l’unité familiale, avec l’homme comme chef de famille, en produit statistique, l’Insee installe durablement dans notre ADN un «signifiant sexué» qui calcifie aujourd’hui encore notre modèle social. Et l’on voit combien la formalisation de ces normes continue de faire obstacle à une transformation sociétale pourtant en marche depuis la fin des années 50. Nos modes de vie ont en effet remarquablement évolué. Solo, homo, en couple, avec ou sans enfants, les individus se marient ou non, se pacsent, divorcent. Les familles se recomposent, ou pas. L’unité familiale construite sur le modèle patriarcal a vécu, pourtant les normes ont survécu. A travers ces qualifiants, une histoire de domination a bien été organisée et officialisée par l’état civil. Une histoire à lecture unique qui rend non seulement irréaliste, mais souvent inimaginable, la possibilité pour les unes, comme pour les autres, de se projeter ailleurs que dans des rôles assignés. Nos identités dépassent pourtant largement ces deux catégories et ne sont conditionnées à notre sexe, que par des habitus, voire des diktats dont il s’agit de se débarrasser urgemment. En ce sens, nous sommes toutes et tous des 3. Des êtres complexes et en transition constante, dont aucune des trajectoires n’est identique, linéaire ou définitive. Alors, ni une ni deux, supprimons les classifications !
W a écrit:
otto a écrit:+1. Puis cet happening est d'une beauté sidérante.
otto a écrit:+1. Puis cet happening est d'une beauté sidérante.
fernando a écrit:Je m'en remets pas de ce truc. Même dans Groland ils n'auraient pas pu imaginer une chose pareille.
pfff... a écrit:krouw2 a écrit:
Quel gâchis.
krouw2 a écrit:Le milieu offensif de Besiktas est accusé par un des dirigeants du club turc d’avoir uriné sur le local des joueurs ainsi que sur le responsable de l’équipement, avant de montrer ses parties intimes à une employée du club. Des accusations dont se défend Ricardo Quaresma. « J’ai une femme et une fille. Je ne vais pas uriner sur n’importe qui. C’est faux et il faudra le prouver », a réagi l'international portugais de 29 ans, qui s’entraîne en marge de ses coéquipiers.
ursulet a écrit:pfff... a écrit:krouw2 a écrit:
Quel gâchis.
provoc peut etre mais ouais sinon quel gachis.
Le baiser de Marseille
Mais en terme de viralité, la vidéo du Maine Libre est loin, très loin, derrière la photo AFP des jeunes filles qui se sont embrassées à Marseille en plein milieu de la manifestation de l'Alliance Vita.
Le photojournaliste raconte, sur le blog "Making of" de l'Agence France Presse, comment il s'est "retrouvé au bon endroit au bon moment" pour capturer cette scène.
Le cliché a ensuite été posté sur Twitter par un journaliste de Têtu. Le magazine a depuis retrouvé les deux jeunes filles : elles sont "hétéros" mais ont fait ce geste "par solidarité" avec la cause du mariage et de l'adoption pour tous, sous les cris des membres de l'Alliance Vita les traitant de "dégueulasses".
Et pendant ce temps là, la viralité a fait son oeuvre - comme l'a pointé Le Huffington Post qui parlait dès le lendemain matin d'une photo "culte". Le tweet initial a été partagé plus de 3000 fois en 24 heures, un nombre impressionnant en regard du nombre habituel de "retweets" sur le réseau social en France.
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