[O1T] Insolites
par otto » 26 Déc 2013, 21:29
Causons tu-ture.
L’histoire est tellement incroyable que l’on dirait presque un (mauvais) conte de Noël. Trop ivre pour conduire, un père de famille a préféré se faire ramener par son fils... Qui va encore à l’école primaire ! Les faits se sont produits lundi soir vers 18 h 30, entre Neuilly-Saint-Front et Soissons.
Les gendarmes de la brigade d’Oulchy-le-Château patrouillaient sur le territoire de la commune de Parcy-et-Tigny lorsqu’ils furent intrigué par un véhicule de type 4 x 4. La voiture effectuait des embardées sur la route. Les militaires ont alors procédé au contrôle. Lorsque le conducteur a baissé sa vitre, quelle surprise ! Le jeune homme au volant était âgé de huit et demi. Son père se trouvait assis sur le siège passager avant.
Il s’avère apparemment que ce dernier avait participé à un repas un peu trop arrosé au cours de la journée dans le secteur de Neuilly-Saint-Front. Le test d’alcoolémie révèle qu’il avait un gramme d’alcool par litre de sang. Raisonnablement, il n’a donc pas conduit... Pour parcourir les 30 km qui le séparait de son domicile, à Soissons, il a visiblement préféré faire confiance à sa progéniture. Et par prudence aussi, ils ont emprunté les «petites» routes...
Après l’arrestation par les gendarmes, c’est la mère de famille qui a dû venir chercher son fils, et son compagnon.
Convoqué à la brigade de gendarmerie, le papa devrait être poursuivi pour complicité de défaut de permis, ainsi que pour incitation d’un mineur à commettre un délit. Il risque jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende. Le maximum peut être porté à sept ans d'emprisonnement si l'infraction est aggravée par les circonstances suivantes : le mineur a moins de 15 ans, les faits se déroulent de manière habituelle et/ou répétée.
L’histoire est tellement incroyable que l’on dirait presque un (mauvais) conte de Noël. Trop ivre pour conduire, un père de famille a préféré se faire ramener par son fils... Qui va encore à l’école primaire ! Les faits se sont produits lundi soir vers 18 h 30, entre Neuilly-Saint-Front et Soissons.
Les gendarmes de la brigade d’Oulchy-le-Château patrouillaient sur le territoire de la commune de Parcy-et-Tigny lorsqu’ils furent intrigué par un véhicule de type 4 x 4. La voiture effectuait des embardées sur la route. Les militaires ont alors procédé au contrôle. Lorsque le conducteur a baissé sa vitre, quelle surprise ! Le jeune homme au volant était âgé de huit et demi. Son père se trouvait assis sur le siège passager avant.
Il s’avère apparemment que ce dernier avait participé à un repas un peu trop arrosé au cours de la journée dans le secteur de Neuilly-Saint-Front. Le test d’alcoolémie révèle qu’il avait un gramme d’alcool par litre de sang. Raisonnablement, il n’a donc pas conduit... Pour parcourir les 30 km qui le séparait de son domicile, à Soissons, il a visiblement préféré faire confiance à sa progéniture. Et par prudence aussi, ils ont emprunté les «petites» routes...
Après l’arrestation par les gendarmes, c’est la mère de famille qui a dû venir chercher son fils, et son compagnon.
Convoqué à la brigade de gendarmerie, le papa devrait être poursuivi pour complicité de défaut de permis, ainsi que pour incitation d’un mineur à commettre un délit. Il risque jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende. Le maximum peut être porté à sept ans d'emprisonnement si l'infraction est aggravée par les circonstances suivantes : le mineur a moins de 15 ans, les faits se déroulent de manière habituelle et/ou répétée.
par otto » 28 Déc 2013, 17:01
Des malins !
Le piratage peut aussi rapporter gros aux artistes. C'est en tout cas le pari du groupe de hard rock Iron Maiden, qui organise sa tournée en fonction des villes où ses morceaux sont le plus téléchargés illégalement. Une stratégie lucrative, car ceux qui téléchargent illégalement sont, à en croire certaines études, davantage prêts à payer pour aller voir les artistes en concert ou acheter des produits dérivés.
Le site Cite World rapporte que le groupe s'est appuyé sur les informations fournies par MusicMetric, une application spécialisée dans les données musicales, pour établir des relevés d'achats légaux, mais aussi des partages de fichiers P2P et des discussions relatives au groupe sur les réseaux sociaux. En croisant ces données, les musiciens ont pu organiser leur tournée dans les villes où ils sont les plus populaires.
Alors que l'industrie du disque cherche toujours la parade au téléchargement illégal, la stratégie innovante du groupe prouve que si les nouvelles technologies facilitent le piratage des œuvres, elles sont aussi un moyen de mieux cibler le public.
Les données de MusicMetric ont ainsi permis à Iron Maiden de confirmer, même après 30 ans, son succès en Europe et aux Etats-Unis. Mais le groupe a aussi pu constater son immense popularité en Amérique du Sud. Le Brésil, le Venezuela, le Mexique, la Colombie et le Chili sont parmi les 10 pays qui tweetent le plus sur le groupe. Et c'est au Brésil que les titres du groupe sont les plus téléchargés illégalement.
Plutôt que de faire appel à des avocats, le groupe a donc choisi de mettre l'accent sur les visites en Amérique du Sud. En septembre, il s'est rendu pour la première fois au Paraguay et a participé à un festival au Brésil. Une stratégie extrêmement lucrative puisque le concert de Sao Paulo, le 20 septembre 2013, a engrangé à lui seul près de 2,58 millions de dollars.
Plusieurs études ont déjà tenté de démontrer que les utilisateurs des réseaux P2P achètent plus que ceux qui ne piratent pas. Ils dépenseraient ainsi, dans l'industrie du disque, en moyenne 30% de plus (en anglais) que les non pirates. Et parmi les achats qu'ils effectuent, on trouve notamment des billets de concert, des tee-shirts et autres produits dérivés.
L'utilisation de nouveaux outils afin de s'adapter au téléchargement illégal pourrait permettre d'atténuer la perte de vitesse des ventes de disques. "Si vous vous engagez auprès des fans, vous aurez une chance de les transformer en clients qui paieront pour vos produits. Les artistes qui mettent leur titre en téléchargement libre ont adopté cette stratégie", assure Gregory Mead, président de MusicMetric, interrogé par Cite World.
Le piratage peut aussi rapporter gros aux artistes. C'est en tout cas le pari du groupe de hard rock Iron Maiden, qui organise sa tournée en fonction des villes où ses morceaux sont le plus téléchargés illégalement. Une stratégie lucrative, car ceux qui téléchargent illégalement sont, à en croire certaines études, davantage prêts à payer pour aller voir les artistes en concert ou acheter des produits dérivés.
Le site Cite World rapporte que le groupe s'est appuyé sur les informations fournies par MusicMetric, une application spécialisée dans les données musicales, pour établir des relevés d'achats légaux, mais aussi des partages de fichiers P2P et des discussions relatives au groupe sur les réseaux sociaux. En croisant ces données, les musiciens ont pu organiser leur tournée dans les villes où ils sont les plus populaires.
Alors que l'industrie du disque cherche toujours la parade au téléchargement illégal, la stratégie innovante du groupe prouve que si les nouvelles technologies facilitent le piratage des œuvres, elles sont aussi un moyen de mieux cibler le public.
Les données de MusicMetric ont ainsi permis à Iron Maiden de confirmer, même après 30 ans, son succès en Europe et aux Etats-Unis. Mais le groupe a aussi pu constater son immense popularité en Amérique du Sud. Le Brésil, le Venezuela, le Mexique, la Colombie et le Chili sont parmi les 10 pays qui tweetent le plus sur le groupe. Et c'est au Brésil que les titres du groupe sont les plus téléchargés illégalement.
Plutôt que de faire appel à des avocats, le groupe a donc choisi de mettre l'accent sur les visites en Amérique du Sud. En septembre, il s'est rendu pour la première fois au Paraguay et a participé à un festival au Brésil. Une stratégie extrêmement lucrative puisque le concert de Sao Paulo, le 20 septembre 2013, a engrangé à lui seul près de 2,58 millions de dollars.
Plusieurs études ont déjà tenté de démontrer que les utilisateurs des réseaux P2P achètent plus que ceux qui ne piratent pas. Ils dépenseraient ainsi, dans l'industrie du disque, en moyenne 30% de plus (en anglais) que les non pirates. Et parmi les achats qu'ils effectuent, on trouve notamment des billets de concert, des tee-shirts et autres produits dérivés.
L'utilisation de nouveaux outils afin de s'adapter au téléchargement illégal pourrait permettre d'atténuer la perte de vitesse des ventes de disques. "Si vous vous engagez auprès des fans, vous aurez une chance de les transformer en clients qui paieront pour vos produits. Les artistes qui mettent leur titre en téléchargement libre ont adopté cette stratégie", assure Gregory Mead, président de MusicMetric, interrogé par Cite World.
par otto » 29 Déc 2013, 11:48
Encore du bon sens --->
En Islande, les croyances en les elfes ou d'autres créatures légendaires sont très ancrées dans la société. A tel point qu'un projet de construction d'autoroute a été interrompu afin de voir s'il ne dérangeait pas la population d'elfes vivant sur le tracé de la route.
La construction de l'autoroute reliant Gardabaer à la péninsule d'Alftanes vient d'être retardée. Par pour des problèmes politiques ou économiques, mais à cause de son impact sur les elfes qui vivent à proximité du chantier. En effet, les associations de défense des elfes se sont opposées au projet en prétextant que le tracé de l'autoroute dérangerait la tranquillité des elfes.
C'est donc à la Cour Suprême de juger de l'impact de l'autoroute sur les elfes. Ce n'est pas la première fois que la situation se produit en Islande. La plupart des litiges de ce type se règlent par une simple formulation : "la question a été réglée en reportant la construction afin que les elfes vivant là aient le temps de déménager".
L'Islande est un pays très marqué par les croyances. Selon une enquête menée par l’université d’Islande en 2007, 62 % des habitants croyaient à l'existence des elfes.
En Islande, les croyances en les elfes ou d'autres créatures légendaires sont très ancrées dans la société. A tel point qu'un projet de construction d'autoroute a été interrompu afin de voir s'il ne dérangeait pas la population d'elfes vivant sur le tracé de la route.
La construction de l'autoroute reliant Gardabaer à la péninsule d'Alftanes vient d'être retardée. Par pour des problèmes politiques ou économiques, mais à cause de son impact sur les elfes qui vivent à proximité du chantier. En effet, les associations de défense des elfes se sont opposées au projet en prétextant que le tracé de l'autoroute dérangerait la tranquillité des elfes.
C'est donc à la Cour Suprême de juger de l'impact de l'autoroute sur les elfes. Ce n'est pas la première fois que la situation se produit en Islande. La plupart des litiges de ce type se règlent par une simple formulation : "la question a été réglée en reportant la construction afin que les elfes vivant là aient le temps de déménager".
L'Islande est un pays très marqué par les croyances. Selon une enquête menée par l’université d’Islande en 2007, 62 % des habitants croyaient à l'existence des elfes.
par fernando » 31 Déc 2013, 13:13
Née sans vagin, une fille tombe enceinte après une fellation
Le site de Science et Avenir se fait l’écho d’une histoire bien singulière : la naissance d’un enfant non conçu par les voies naturelles. Non, il ne s’agit pas du miracle de la nativité mais d’un étrange concours de circonstances rapporté dans le respecté British Journal of Obstetrics and Gynaecology en 1988.
Suite à une bagarre entre son nouvel ami et son ancien petit copain, une jeune fille est admise à l’hôpital pour blessure au ventre à l’arme blanche. Une intervention permet de révéler qu’un coup de couteau a provoqué deux trous dans son estomac. Vide au moment de la bagarre, aucun contenu gastrique acide ne s’est répandu dans la cavité abdominale mais pour plus de sécurité, le chirurgien procède à un lavage au sérum physiologique avant de fermer le ventre. La patiente se rétablit rapidement. Neuf mois plus tard, elle revient à l’hôpital pour cause de douleurs abdominales aiguës et intermittentes. Même si son ventre s’arrondissait, elle avait écarté toute idée qu’elle pouvait être enceinte car elle souffre d’une "aplasie vaginale distale", autrement dit une absence quasi-totale de vagin (syndrome MRKH). Ce qui entraîne normalement une impossibilité de fécondation naturelle. Et pourtant, le médecin confirme la grossesse ! Une césarienne est même pratiquée et un garçon de 2,8 kg est mis au monde.
Après enquête, la patiente révèle qu’elle savait qu’elle était née sans vagin et avait commencé à avoir des rapports sexuels par voie orale, après que la voie vaginale habituelle se soit montrée "décevante". Le soir de la bagarre, elle avait notamment pratiqué une fellation à son nouveau petit ami avant d’être surprise par son ex et d’être opérée après avoir été poignardée. L’explication réside dans le fait que le sperme, contenu dans l’estomac, est passé dans la cavité abdominale où il a ensuite gagné un des deux ovaires. Les spermatozoïdes ont pu survivre car l’estomac était vide : l’absence d’acidité et le fort pH de la salive ingérée ont contribué à leur périple. La patiente est tombée enceinte après sa toute première ovulation, sans quoi le sang issu des règles piégé dans l’utérus et dans les trompes (faute de s’écouler par le vagin) aurait rendu difficile la fécondation.
Le site de Science et Avenir se fait l’écho d’une histoire bien singulière : la naissance d’un enfant non conçu par les voies naturelles. Non, il ne s’agit pas du miracle de la nativité mais d’un étrange concours de circonstances rapporté dans le respecté British Journal of Obstetrics and Gynaecology en 1988.
Suite à une bagarre entre son nouvel ami et son ancien petit copain, une jeune fille est admise à l’hôpital pour blessure au ventre à l’arme blanche. Une intervention permet de révéler qu’un coup de couteau a provoqué deux trous dans son estomac. Vide au moment de la bagarre, aucun contenu gastrique acide ne s’est répandu dans la cavité abdominale mais pour plus de sécurité, le chirurgien procède à un lavage au sérum physiologique avant de fermer le ventre. La patiente se rétablit rapidement. Neuf mois plus tard, elle revient à l’hôpital pour cause de douleurs abdominales aiguës et intermittentes. Même si son ventre s’arrondissait, elle avait écarté toute idée qu’elle pouvait être enceinte car elle souffre d’une "aplasie vaginale distale", autrement dit une absence quasi-totale de vagin (syndrome MRKH). Ce qui entraîne normalement une impossibilité de fécondation naturelle. Et pourtant, le médecin confirme la grossesse ! Une césarienne est même pratiquée et un garçon de 2,8 kg est mis au monde.
Après enquête, la patiente révèle qu’elle savait qu’elle était née sans vagin et avait commencé à avoir des rapports sexuels par voie orale, après que la voie vaginale habituelle se soit montrée "décevante". Le soir de la bagarre, elle avait notamment pratiqué une fellation à son nouveau petit ami avant d’être surprise par son ex et d’être opérée après avoir été poignardée. L’explication réside dans le fait que le sperme, contenu dans l’estomac, est passé dans la cavité abdominale où il a ensuite gagné un des deux ovaires. Les spermatozoïdes ont pu survivre car l’estomac était vide : l’absence d’acidité et le fort pH de la salive ingérée ont contribué à leur périple. La patiente est tombée enceinte après sa toute première ovulation, sans quoi le sang issu des règles piégé dans l’utérus et dans les trompes (faute de s’écouler par le vagin) aurait rendu difficile la fécondation.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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