Ptêt qu'il a trouvé du boulot?
Nan j'déconne! :D
[01T] Glorification de la région
par Giallo » 13 Sep 2013, 17:54
Ancien toxicomane, défavorablement connu des services de police, il a d'abord tenté sa chance dans une première pharmacie de Roubaix (rue de Lannoy) avant d'être mis en fuite par un client.
Il est alors entré dans une deuxième pharmacie, criant au braquage en pointant un objet blanc, le manipulant comme s'il s'agissait d'une bombe lacrymogène alors que c'était un simple un tube de crème de beauté. Il a réussi à se faire remettre la caisse, pour un préjudice d'environ 300 euros.
Le braqueur a été repris quelques minutes plus tard par une patrouille de la BAC et placé en garde à vue, où il a reconnu les faits.
Il est alors entré dans une deuxième pharmacie, criant au braquage en pointant un objet blanc, le manipulant comme s'il s'agissait d'une bombe lacrymogène alors que c'était un simple un tube de crème de beauté. Il a réussi à se faire remettre la caisse, pour un préjudice d'environ 300 euros.
Le braqueur a été repris quelques minutes plus tard par une patrouille de la BAC et placé en garde à vue, où il a reconnu les faits.
ce message ne vient pas de moi
par bitadmin » 18 Sep 2013, 13:19
Un automobiliste a été arrêté lundi en fin d'après-midi avec 5,9 g d'alcool dans le sang après avoir provoqué un accident de la route à Marcq-en-Ostrevent (Nord), ont annoncé mercredi les gendarmes qui parlent d'un "taux record". L'accident, matériel, est survenu sur une route départementale. Selon des témoins, le conducteur circulait en faisant des zigzags, provoquant une sortie de route, ont rapporté les gendarmes.
La brigade d'Arleux a procédé au retrait immédiat du permis de conduire et a convoqué le conducteur, originaire de la région. Il a été placé en garde à vue mercredi matin.
La brigade d'Arleux a procédé au retrait immédiat du permis de conduire et a convoqué le conducteur, originaire de la région. Il a été placé en garde à vue mercredi matin.
par GilbertSedman » 19 Sep 2013, 15:50
Un homme de 73 ans grièvement blessé par son motoculteur à Rœulx
Ce jeudi, vers 12 h 15, les sapeurs-pompiers de Denain sont intervenus à Rœulx pour secourir un homme de 73 ans qui s’est coincé la jambe dans son motoculteur. Il a été transporté dans un état grave au centre hospitalier de Lille, par un hélicoptère du Samu.
Ce jeudi, vers 12 h 15, les sapeurs-pompiers de Denain sont intervenus à Rœulx pour secourir un homme de 73 ans qui s’est coincé la jambe dans son motoculteur. Il a été transporté dans un état grave au centre hospitalier de Lille, par un hélicoptère du Samu.
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par Dageek » 21 Sep 2013, 11:07
FAITS DIVERS - Ses jours et ceux de son bébé ne seraient pas en danger...
Une femme enceinte a été poignardée à l'abdomen lors d'une tentative de vol à l'arraché vendredi à Salomé (Nord), a-t-on appris auprès des secours.
La victime a été transportée au CHR de Lille dans un état grave, ont annoncé les pompiers.
Pas d'interpellation
Ses jours ainsi que ceux de son bébé ne sont pas en danger, ont précisé les gendarmes.
Agée de 40 ans, cette femme se trouvait sur la voie publique lorsqu'elle a été poignardée avec un couteau par un individu qui lui a volé son sac ou a tenté de le faire, selon les pompiers.
Aucun suspect n'avait été interpellé vendredi soir. La brigade de gendarmerie locale est chargée de l'enquête.
Une femme enceinte a été poignardée à l'abdomen lors d'une tentative de vol à l'arraché vendredi à Salomé (Nord), a-t-on appris auprès des secours.
La victime a été transportée au CHR de Lille dans un état grave, ont annoncé les pompiers.
Pas d'interpellation
Ses jours ainsi que ceux de son bébé ne sont pas en danger, ont précisé les gendarmes.
Agée de 40 ans, cette femme se trouvait sur la voie publique lorsqu'elle a été poignardée avec un couteau par un individu qui lui a volé son sac ou a tenté de le faire, selon les pompiers.
Aucun suspect n'avait été interpellé vendredi soir. La brigade de gendarmerie locale est chargée de l'enquête.
par GilbertSedman » 21 Sep 2013, 12:56
Hummm encore un Fdp d'or de la lâcheté
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par Giallo » 21 Sep 2013, 17:27
Dageek a écrit:FAITS DIVERS - Ses jours et ceux de son bébé ne seraient pas en danger...
Une femme enceinte a été poignardée à l'abdomen lors d'une tentative de vol à l'arraché vendredi à Salomé (Nord), a-t-on appris auprès des secours.
La victime a été transportée au CHR de Lille dans un état grave, ont annoncé les pompiers.
Pas d'interpellation
Ses jours ainsi que ceux de son bébé ne sont pas en danger, ont précisé les gendarmes.
Agée de 40 ans, cette femme se trouvait sur la voie publique lorsqu'elle a été poignardée avec un couteau par un individu qui lui a volé son sac ou a tenté de le faire, selon les pompiers.
Aucun suspect n'avait été interpellé vendredi soir. La brigade de gendarmerie locale est chargée de l'enquête.
C'est un feuilleton à rebondissement pour les habitants de Salomé, commune du Nord de 3000 habitants située entre Béthune et Lille. Hier soir, on apprenait qu'une femme de 40 ans, enceinte, avait été agressée au couteau, près de la salle des fêtes, par un homme qui tentait de lui voler son sac.
Ce samedi matin, lors de son audition à la Brigade de gendarmerie de La Bassée, elle avoue qu'il n'y avait pas d'agresseur et qu'elle a tout inventé. Elle se serait elle-même infligé des blessures à l'abdomen avec un petit couteau ou un cutter.
ce message ne vient pas de moi
par GilbertSedman » 21 Sep 2013, 17:58
(Mode retournage de veste on) hummmmm encore une fdp d'or de la mytho (mode retournage off)
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par GilbertSedman » 03 Oct 2013, 20:17
De l’argent de l’Education nationale détourné pour une brasserie friterie près de Maubeuge ?
C’est une affaire qui laisse pantois par son ampleur, sa nature et les questions qu’elle pose : en une dizaine d’années, une secrétaire de l’Education nationale est parvenue à détourner près de 700 000 € au préjudice de quatre collèges et un lycée du Nord des Ardennes, de l’argent qui aurait servi en partie à renflouer un commerce d’une commune de Sambre.
C’est à un changement hiérarchique intervenu en septembre 2012 que l’on doit la révélation des faits. Une agent comptable nouvellement nommée tique sur le travail de la secrétaire, en poste depuis vingt ans à la cité scolaire Vauban de Givet. Les doutes deviennent soupçons en janvier. La direction des finances publiques est saisie et une enquête administrative est diligentée, qui aboutit à une autre, judiciaire, menée par les gendarmes de Revin. En mai, la secrétaire, Ch. O., passe aux aveux. Dans un premier temps, elle avance une addiction aux courses hippiques. Mais il se trouve qu’une partie de cet argent aurait servi à renflouer les comptes d’une brasserie-friterie-tabac située dans une commune proche de Maubeuge. Une assertion qui reste à vérifier. Une chose est certaine, le fils de la secrétaire mise en cause a à voir avec ce commerce aujourd’hui en grande difficulté.
C’est une affaire qui laisse pantois par son ampleur, sa nature et les questions qu’elle pose : en une dizaine d’années, une secrétaire de l’Education nationale est parvenue à détourner près de 700 000 € au préjudice de quatre collèges et un lycée du Nord des Ardennes, de l’argent qui aurait servi en partie à renflouer un commerce d’une commune de Sambre.
C’est à un changement hiérarchique intervenu en septembre 2012 que l’on doit la révélation des faits. Une agent comptable nouvellement nommée tique sur le travail de la secrétaire, en poste depuis vingt ans à la cité scolaire Vauban de Givet. Les doutes deviennent soupçons en janvier. La direction des finances publiques est saisie et une enquête administrative est diligentée, qui aboutit à une autre, judiciaire, menée par les gendarmes de Revin. En mai, la secrétaire, Ch. O., passe aux aveux. Dans un premier temps, elle avance une addiction aux courses hippiques. Mais il se trouve qu’une partie de cet argent aurait servi à renflouer les comptes d’une brasserie-friterie-tabac située dans une commune proche de Maubeuge. Une assertion qui reste à vérifier. Une chose est certaine, le fils de la secrétaire mise en cause a à voir avec ce commerce aujourd’hui en grande difficulté.
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par krouw2 » 06 Oct 2013, 17:00
http://www.legorafi.fr/2013/10/04/abatt ... a-sa-mere/
Abattu de sang froid par sa compagne après avoir dit qu’il allait « au coiffeur » dans la voiture « à sa mère »
C’est dans une petite bourgade aux alentours de Lille que l’affaire a débuté. Nadège Legrand, professeur de français dans un collège ne supporte plus les fautes de Bruno, son compagnon de vie et l’abat sur un coup de tête. Une faute d’accord décisive qui fait d’ores et déjà frémir les dyslexiques de la langue française.
Ce mercredi matin, c’est l’affolement à Quesnoy-sur-Deûle, personne ne s’attendait à ce geste de la part de Nadège, « une fille du pays qui a toujours le mot juste pour chacun », comme aime à le souligner la boulangère qui l’a vue grandir, de la maternelle jusqu’aux études supérieures de lettres en passant par la Terminale L. « C’est vrai qu’elle parle avec des mots intelligents qu’elle met toujours dans le bon ordre ; c’est la seule que je connaisse comme ça dans le Nord Pas de Calais ». Nadège est réputée être une bonne enseignante, aimée de ses élèves, sévère aussi.
Cette sévérité, c’est Bruno qui en aura fait l’expérience. D’après les sources, nulle querelle n’aurait précédé l’acte fatal. Selon le médecin légiste, la victime semble avoir été surprise de l’assaut de sa compagne. Une seule phrase aurait été fatidique. Des témoins oculaires rapportent la scène telle quelle : Bruno serait sorti de leur pavillon en s’avançant vers sa voiture, Nadège lui aurait crié quelque chose du perron, certainement pour s’enquérir de ce que ce dernier allait faire, Bruno lui aurait répondu quelque chose, que Nadège lui aurait fait répéter, et c’est à ce moment que Nadège aurait empoigné un des nains de jardin de la cour et aurait fondu sur Bruno en fulminant. De là, un bref mouvement de surprise de la part de Bruno, et une scène de carnage qui ne se serait achevée qu’une fois Bruno à terre.
Ce qu’ils se sont dit, aucun des témoins n’est en mesure de le rapporter. Une histoire de jalousie certainement, qui aurait poussé au crime passionnel. Interrogée pendant sa garde à vue, c’est une Nadège sans remords qui explique : « Ça devait finir comme ça, je le savais. Depuis 7 ans, je le corrige nuit et jour, il ne fait aucun effort, là c’était de trop, je n’ai pas supporté.” Et qui nous donne la clef manquante, bien loin de l’hypothèse émise du crime passionnel : « Et à cet instant il m’a dit : « Je vais au coiffeur dans la voiture à ma mère ». Je lui ai fait répéter pour savoir si c’était de l’inattention, mais cela n’en était pas. Ce n’est quand même pas compliqué d’utiliser un génitif complément de nom exprimant la possession ! « Domus Ciceronis », la maison DE Cicéron. « Carrus Matris », le char DE ma mère, je ne vais pas répéter les mêmes choses indéfiniment. Je fais déjà cela toute la journée avec mes élèves, ce n’est pas pour le faire à nouveau en rentrant à la maison.”
L’aplomb et le calme de Nadège ce jour là pour expliquer son acte laissent la police judiciaire et la population de la petite ville désarmées. Les fautes de grammaire auront rarement été autant punies par un professeur de français qu’en cette journée funeste. La Ville de Quesnoy-sur-Deûle a cependant su tirer une leçon de cet incident dramatique et est depuis la première ville de France consommatrice de Bescherelle.
La Rédaction
Abattu de sang froid par sa compagne après avoir dit qu’il allait « au coiffeur » dans la voiture « à sa mère »
C’est dans une petite bourgade aux alentours de Lille que l’affaire a débuté. Nadège Legrand, professeur de français dans un collège ne supporte plus les fautes de Bruno, son compagnon de vie et l’abat sur un coup de tête. Une faute d’accord décisive qui fait d’ores et déjà frémir les dyslexiques de la langue française.
Ce mercredi matin, c’est l’affolement à Quesnoy-sur-Deûle, personne ne s’attendait à ce geste de la part de Nadège, « une fille du pays qui a toujours le mot juste pour chacun », comme aime à le souligner la boulangère qui l’a vue grandir, de la maternelle jusqu’aux études supérieures de lettres en passant par la Terminale L. « C’est vrai qu’elle parle avec des mots intelligents qu’elle met toujours dans le bon ordre ; c’est la seule que je connaisse comme ça dans le Nord Pas de Calais ». Nadège est réputée être une bonne enseignante, aimée de ses élèves, sévère aussi.
Cette sévérité, c’est Bruno qui en aura fait l’expérience. D’après les sources, nulle querelle n’aurait précédé l’acte fatal. Selon le médecin légiste, la victime semble avoir été surprise de l’assaut de sa compagne. Une seule phrase aurait été fatidique. Des témoins oculaires rapportent la scène telle quelle : Bruno serait sorti de leur pavillon en s’avançant vers sa voiture, Nadège lui aurait crié quelque chose du perron, certainement pour s’enquérir de ce que ce dernier allait faire, Bruno lui aurait répondu quelque chose, que Nadège lui aurait fait répéter, et c’est à ce moment que Nadège aurait empoigné un des nains de jardin de la cour et aurait fondu sur Bruno en fulminant. De là, un bref mouvement de surprise de la part de Bruno, et une scène de carnage qui ne se serait achevée qu’une fois Bruno à terre.
Ce qu’ils se sont dit, aucun des témoins n’est en mesure de le rapporter. Une histoire de jalousie certainement, qui aurait poussé au crime passionnel. Interrogée pendant sa garde à vue, c’est une Nadège sans remords qui explique : « Ça devait finir comme ça, je le savais. Depuis 7 ans, je le corrige nuit et jour, il ne fait aucun effort, là c’était de trop, je n’ai pas supporté.” Et qui nous donne la clef manquante, bien loin de l’hypothèse émise du crime passionnel : « Et à cet instant il m’a dit : « Je vais au coiffeur dans la voiture à ma mère ». Je lui ai fait répéter pour savoir si c’était de l’inattention, mais cela n’en était pas. Ce n’est quand même pas compliqué d’utiliser un génitif complément de nom exprimant la possession ! « Domus Ciceronis », la maison DE Cicéron. « Carrus Matris », le char DE ma mère, je ne vais pas répéter les mêmes choses indéfiniment. Je fais déjà cela toute la journée avec mes élèves, ce n’est pas pour le faire à nouveau en rentrant à la maison.”
L’aplomb et le calme de Nadège ce jour là pour expliquer son acte laissent la police judiciaire et la population de la petite ville désarmées. Les fautes de grammaire auront rarement été autant punies par un professeur de français qu’en cette journée funeste. La Ville de Quesnoy-sur-Deûle a cependant su tirer une leçon de cet incident dramatique et est depuis la première ville de France consommatrice de Bescherelle.
La Rédaction
Hollande 2027
par laurentlille1 » 06 Oct 2013, 17:10
« C’est vrai qu’elle parle avec des mots intelligents qu’elle met toujours dans le bon ordre ; c’est la seule que je connaisse comme ça dans le Nord Pas de Calais ».
loul le gorafi :-) meme si faut avouer que qu'est ce qu'ils disent c'est exagéré.
loul le gorafi :-) meme si faut avouer que qu'est ce qu'ils disent c'est exagéré.
par GilbertSedman » 08 Oct 2013, 09:31
Bat, y part en couille.......
Wimereux: refoulé d’une discothèque, il provoque un accident
Le jeune Boulonnais, visiblement très alcoolisé, s’est vu refuser l’entrée par les vigiles de l’établissement « Le Domaine », à Wimereux en repartant il a provoqué un accident de la circulation.
Wimereux: refoulé d’une discothèque, il provoque un accident
Le jeune Boulonnais, visiblement très alcoolisé, s’est vu refuser l’entrée par les vigiles de l’établissement « Le Domaine », à Wimereux en repartant il a provoqué un accident de la circulation.
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par W » 08 Oct 2013, 12:19
À Hénin-Beaumont, une jeune femme de 20 ans a tenté de s'offrir un canapé à 449 pour 5,30 euros en présentant le code-barres d'un pot de fleurs aux caisses automatiques, mais n'a pas trompé la vigilance d'un agent.
http://www.lexpress.fr/actualite/societ ... tor=AL-447
It's art. You don't need pants.
par bitadmin » 08 Oct 2013, 21:13
Un prêtre en état d’ébriété a été interpellé après avoir brisé la vitrine d’une brasserie à l’aide d’un poing américain. L’homme d’église portait également sur lui un pistolet d’alarme.
L’affaire a de quoi surprendre. Autant au commissariat de Saint-Amand, au parquet de Valenciennes qu’au diocèse de Cambrai, dont dépend la paroisse de Saint-Amand. Durant une patrouille, au cours de la nuit du 3 au 4 septembre, des fonctionnaires de police se rendent compte que la vitrine de la Brasserie alsacienne, sur la Grand-Place de Saint-Amand, a été brisée. À l’intérieur, un homme semble les attendre, calmement. « Le père Fabrice a été retrouvé, terré au fond du café, en état d’ébriété, indique le vicaire général Xavier Bris. Il avait cassé la vitrine avec l’aide d’un poing américain. Et il n’a pas cherché à échapper aux policiers. »
Âgé de 44 ans, le prêtre détenait également un pistolet d’alarme avant d’être placé en garde en vue. Qu’est-ce qui a pu amener ce prêtre originaire du Loiret à de tels actes ? « C’est quelqu’un de très apprécié de ses fidèles, reprend le vicaire général. Je ne sais pas ce qui s’est passé ce soir-là. C’est tellement surprenant. Il n’y a pas d’explication logique et rationnelle. Ce n’est pas un malade alcoolique. Ça lui est déjà arrivé de boire un verre de trop, oui. Mais ce n’était pas régulier. »
« Il voulait comprendre la situation des détenus »
Une fois la garde à vue levée, « il est resté 48 h en centre psychiatrique. Mais on lui a indiqué que sa place n’était pas ici. Puis il est allé une semaine en maison de convalescence. À présent, il se repose en famille », poursuit Xavier Bris.
Quels auraient pu être les mobiles du père Fabrice ? « Ce n’était pas pour voler ou pour se venger », assure le diocèse. Celui qui a été ordonné il y a six ans comme prêtre à Saint-Amand et aumônier au centre pénitentiaire de Maubeuge aurait-il pu avoir envie de se mettre dans la peau d’un détenu ? « La seule explication donnée par le père Fabrice est le fait qu’il voulait comprendre la situation des détenus », confirme le procureur de Valenciennes, François Pérain, qui a diligenté une expertise psychiatrique. Le parquet décidera d’ailleurs des suites judiciaires à donner à l’affaire, lorsque les experts pourront présenter leurs conclusions. En attendant, le prêtre, qui est en arrêt maladie, n’a pas été suspendu de ses fonctions.
L’affaire a de quoi surprendre. Autant au commissariat de Saint-Amand, au parquet de Valenciennes qu’au diocèse de Cambrai, dont dépend la paroisse de Saint-Amand. Durant une patrouille, au cours de la nuit du 3 au 4 septembre, des fonctionnaires de police se rendent compte que la vitrine de la Brasserie alsacienne, sur la Grand-Place de Saint-Amand, a été brisée. À l’intérieur, un homme semble les attendre, calmement. « Le père Fabrice a été retrouvé, terré au fond du café, en état d’ébriété, indique le vicaire général Xavier Bris. Il avait cassé la vitrine avec l’aide d’un poing américain. Et il n’a pas cherché à échapper aux policiers. »
Âgé de 44 ans, le prêtre détenait également un pistolet d’alarme avant d’être placé en garde en vue. Qu’est-ce qui a pu amener ce prêtre originaire du Loiret à de tels actes ? « C’est quelqu’un de très apprécié de ses fidèles, reprend le vicaire général. Je ne sais pas ce qui s’est passé ce soir-là. C’est tellement surprenant. Il n’y a pas d’explication logique et rationnelle. Ce n’est pas un malade alcoolique. Ça lui est déjà arrivé de boire un verre de trop, oui. Mais ce n’était pas régulier. »
« Il voulait comprendre la situation des détenus »
Une fois la garde à vue levée, « il est resté 48 h en centre psychiatrique. Mais on lui a indiqué que sa place n’était pas ici. Puis il est allé une semaine en maison de convalescence. À présent, il se repose en famille », poursuit Xavier Bris.
Quels auraient pu être les mobiles du père Fabrice ? « Ce n’était pas pour voler ou pour se venger », assure le diocèse. Celui qui a été ordonné il y a six ans comme prêtre à Saint-Amand et aumônier au centre pénitentiaire de Maubeuge aurait-il pu avoir envie de se mettre dans la peau d’un détenu ? « La seule explication donnée par le père Fabrice est le fait qu’il voulait comprendre la situation des détenus », confirme le procureur de Valenciennes, François Pérain, qui a diligenté une expertise psychiatrique. Le parquet décidera d’ailleurs des suites judiciaires à donner à l’affaire, lorsque les experts pourront présenter leurs conclusions. En attendant, le prêtre, qui est en arrêt maladie, n’a pas été suspendu de ses fonctions.
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