[01T] Glorification de la région
par krouw2 » 09 Oct 2013, 17:09
Lille : un homme soupçonné de voler l'argent des boîtes aux lettres des banques avec un fil et du scotch double-face
Ce lundi, un homme a été interpellé par ls gendarmes à la demande de la Sûreté départementale du Nord. Il est soupçonné d'avoir volé plus de 120 000 euros dans les boîtes aux lettres de banques. Avec un simple fil, une plaque métallique et du scotch double-face.
Naïf, ingénu ou malin ? Le système inventé par le voleur présumé interpellé ce lundi par les policiers lillois peut en tout cas sembler rudimentaire. Un fil sur lequel était collé une plaque métallique enrobée de scotch double face. De quoi "s'infiltrer" discrètement dans les boîtes aux lettres de certains banques de la métropole lilloise. Des boîtes dans lesquelles les clients déposaient de l'argent liquide et des chèques.
L'homme aurait ainsi réussi à voler 86 enveloppes, contenant en tout la somme de 120 000 euros. 20 agences bancaires de la métropole lilloise sont concernées.
Confondu par son ADN et la vidéosurveillance
Le malfaiteur aurait été confondu par son ADN. Il s'est coupé et du sang aurait été retrouvé sur des enveloppes. Il n'agissait pas masqué ou cagoulé, les images de vidéosurveillance des banques ont donc aussi clairement permis de l'identifier.
Il a été interpellé en flagrant délit par les gendarmes au début du mois d'octobre, à la demande de la Sûreté Départementale du Nord qui travaillait sur l'affaire depuis le mois de mai. L'homme opérait ce jour-là sur les communes de Cysoing et Bouchain.
Faille dans la sécurité des banques
L'homme, brancardier en Belgique, âgé d'une soixantaine d'années et déjà connu de la justice pour des faits similaires, était jugé en comparution immédiate ce mercredi après-midi. Des peines de 18 mois de prison ont été requises pour vols par ruse et 12 mois pour usurpation d'identité. Le jugement devrait être rendu dans la soirée.
Cette affaire a révélé une faille dans la sécurité des agences bancaires. Depuis déjà plusieurs mois, le pôle prévention de la Direction départementale de la Sécurité publique du Nord travaille avec les banques pour vérifier que ce type de faits ne pourra plus avoir lieu. Que les particuliers et surtout les commerçants puissent continuer à déposer de l'argent liquide en toute sécurité.
j'attend l'analyse de PO sur le sujet
Ce lundi, un homme a été interpellé par ls gendarmes à la demande de la Sûreté départementale du Nord. Il est soupçonné d'avoir volé plus de 120 000 euros dans les boîtes aux lettres de banques. Avec un simple fil, une plaque métallique et du scotch double-face.
Naïf, ingénu ou malin ? Le système inventé par le voleur présumé interpellé ce lundi par les policiers lillois peut en tout cas sembler rudimentaire. Un fil sur lequel était collé une plaque métallique enrobée de scotch double face. De quoi "s'infiltrer" discrètement dans les boîtes aux lettres de certains banques de la métropole lilloise. Des boîtes dans lesquelles les clients déposaient de l'argent liquide et des chèques.
L'homme aurait ainsi réussi à voler 86 enveloppes, contenant en tout la somme de 120 000 euros. 20 agences bancaires de la métropole lilloise sont concernées.
Confondu par son ADN et la vidéosurveillance
Le malfaiteur aurait été confondu par son ADN. Il s'est coupé et du sang aurait été retrouvé sur des enveloppes. Il n'agissait pas masqué ou cagoulé, les images de vidéosurveillance des banques ont donc aussi clairement permis de l'identifier.
Il a été interpellé en flagrant délit par les gendarmes au début du mois d'octobre, à la demande de la Sûreté Départementale du Nord qui travaillait sur l'affaire depuis le mois de mai. L'homme opérait ce jour-là sur les communes de Cysoing et Bouchain.
Faille dans la sécurité des banques
L'homme, brancardier en Belgique, âgé d'une soixantaine d'années et déjà connu de la justice pour des faits similaires, était jugé en comparution immédiate ce mercredi après-midi. Des peines de 18 mois de prison ont été requises pour vols par ruse et 12 mois pour usurpation d'identité. Le jugement devrait être rendu dans la soirée.
Cette affaire a révélé une faille dans la sécurité des agences bancaires. Depuis déjà plusieurs mois, le pôle prévention de la Direction départementale de la Sécurité publique du Nord travaille avec les banques pour vérifier que ce type de faits ne pourra plus avoir lieu. Que les particuliers et surtout les commerçants puissent continuer à déposer de l'argent liquide en toute sécurité.
j'attend l'analyse de PO sur le sujet
Hollande 2027
par Der » 10 Oct 2013, 17:12
http://www.lavoixdunord.fr/region/lille-un-homme-s-immole-et-se-defenestre-rue-massena-ia19b0n1606796
Ah les soirées au Razorback...
Ah les soirées au Razorback...
On se fait des bisous et on s'encule.
par ursulet » 10 Oct 2013, 17:36
Dunkerque: Le «gang des barbares» de la rue Poincaré jugé, ce mercredi devant le tribunal pour enfants
Le 29 mars 2012, vers 16 h, Vincent, un jeune homme de 18 ans est entraîné de force par quatre mineurs âgés de 14 à 16 ans, dans une cave de la rue Poincaré. Il y restera près de six heures.
Il est déshabillé, se retrouve ligoté, en slip. On lui enfonce une chaussette dans la bouche pour étouffer les cris.
Les sévices peuvent commencer : on lui brûle le corps avec des cigarettes et des briquets, on le frappe au visage avec les pieds, avec les poings, on lui entaille les chairs avec un cutter. L’un des agresseurs ira jusqu’à graver des initiales au cutter sur le corps de la victime.
Vincent a bien pensé qu’il ne ressortirait jamais vivant de cet enfer.
Il a aussi été question d’un viol à l’aide d’une bouteille dans ce dossier. Mais faute d’éléments de preuve et devant le mutisme de la victime, cette charge n’a pas été retenue contre les mineurs. De même qu’il n’a pas été établi qu’ils lui avaient uriné dessus, comme cela transparaissait à l’origine de l’affaire.
Vincent a été libéré de cette « cave aux châtiments » dans la soirée, vivant, mais complètement démoli. Physiquement, il était méconnaissable. Psychiquement, il ne s’en remettra probablement jamais.
Les quatre mineurs, reconnus coupables ce mercredi pour tous ces actes, avaient fait preuve d’une désinvolture inquiétante, lorsqu’ils avaient été placés en garde à vue, quelques jours après les faits, prenant cette affaire à la rigolade, fanfaronnant, enfonçant encore un peu plus leur victime. À aucun moment, ils n’ont exprimé la moindre empathie pour leur souffre-douleur.
L’un des meneurs, un petit caïd décrit par les experts comme ayant des traits de psychopathie prononcés et présentant une réelle dangerosité, ancré dans la violence, sans garde-fou, avait mis un coup de tête au policier qui l’escortait devant le juge d’instruction. Il n’avait pas hésité à cracher sur la victime et à l’insulter, juste avant la confrontation dans le bureau du juge.
Des petits caïds
Un autre, le deuxième meneur de ce dossier, dont les experts ont noté les tendances sadiques et perverses, avait trouvé amusant de rédiger en détention un « mandat d’arrêt de mort » à l’encontre de la victime, lui promettant une mort longue et douloureuse. Il avait d’ailleurs été réincarcéré, sous l’effet d’un mandat d’arrêt, après s’être évadé du centre éducatif fermé qui le suivait. Dans ce dossier, deux éducateurs qui encadraient ces mineurs avaient exercé leur droit de retrait, après des menaces de mort sur leurs familles.
Les explications initiales de ces actes de sévices étaient de faire passer l’envie à leur victime – qu’ils connaissaient de vue dans le cadre scolaire – de fumer du cannabis. Cette correction avait un rôle « éducatif », avait déclaré, goguenard, l’un des mis en cause. Plus prosaïquement, au fil de l’enquête, il est apparu que les quatre mineurs voulaient tout simplement lui extorquer du cannabis. La victime, terrorisée, était absente à l’audience.
Tous remis en liberté
Les peines prononcées ce mercredi par le tribunal pour enfants, sont peu ou proue conformes aux réquisitions du parquet. Celui décrit comme le meneur et le plus violent des quatre comparaissait détenu. Il a été condamné à trois ans de prison dont dix-huit mois avec sursis mise à l’épreuve pendant trois ans. Il est ressorti libre de l’audience.
Le deuxième meneur de cette affaire écope de trois ans de prison dont vingt-deux mois avec sursis mise à l’épreuve. Lui aussi détenu avant l’audience, il est ressorti libre.
Les deux autres protagonistes, un peu moins impliqués, qui se sont laissés entraîner dans cette spirale de violences, écopent respectivement de trois ans dont vingt-six mois avec sursis mise à l’épreuve et deux ans dont dix-huit mois avec sursis mise à l‘épreuve. Eux aussi ne sont plus incarcérés.
Durant leurs mises à l’épreuve, tous ont interdiction d’entrer en contact avec la victime, cela va de soi. Mais il leur est interdit, de même, d’entrer en contact entre eux quatre. « A la moindre incartade, c’est la révocation du sursis et la prison directement », a martelé le juge des enfants.
Ils devront entamer des soins et effectuer des démarches pour se réinsérer.
La victime a obtenu un total de 11 900 € de dommages et intérêts pour ses préjudices divers. Les quatre condamnés devront lui verser cette somme solidairement.
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
par bitadmin » 25 Oct 2013, 17:50
Catherine, 45 ans, passionnée d’animaux, a été placée en garde à vue jeudi. Elle en est ressortie ce vendredi midi avec une convocation au TGI de Lille. Sa mère Françoise, 80 ans, a été entendue comme témoin par les gendarmes d’Hallennes-lez-Haubourdin, qui mènent l’enquête. Quatre plaintes ont été déposées à l’encontre de Catherine par des personnes qui lui ont vendu des chiens, sans avoir été réglées. D’autres auraient acheté des animaux, sans être livrés.
Ce jeudi aux alentours de 8 h du matin, les gendarmes, accompagnés de policiers municipaux wavrinois, ont défoncé la porte de la maison de « Mémé », comme l’appellent ses voisines, et de sa fille.
Déjà en 2010, les enquêteurs avaient lancé contre Catherine et sa mère une procédure d’élevage de chiens illégal. Et depuis des mois, les gendarmes poursuivent leurs investigations suite au dépôt de quatre plaintes. Les plaignants affirment avoir vendu des animaux à Catherine, mais n’avoir jamais été payés. La quadragénaire, qui souffre de surdité, est accusée d’avoir produit des chèques en bois, qu’elle mettait au nom de sa mère.
« Ils ne vont jamais chez le vétérinaire ! »
Par ailleurs, les certificats vétérinaires des animaux n’étaient pas en règle. « Ils ne vont jamais chez le vétérinaire ! s’écrie Françoise, la mère rencontrée ce vendredi à son domicile. Mes chiens se portent aussi bien avec des vaccins que sans. Ma mère avait plein d’animaux, à Mons-en-Barœul. À l’époque il n’y avait pas toutes ces histoires de vaccins ! »
Et de continuer : « Admettons qu’il y ait trop de chiens. Mais ici, ils sont bien traités. » Les gendarmes ont saisi, par l’entremise de la Ligue protectrice des animaux (LPA) réquisitionnée par le parquet, 74 chiens, 32 hamsters et cochons d’Inde, huit chats, deux tortues de Floride, six lapins et des oiseaux. Toute cette ménagerie vivait dans 40 m2. Et « ils ne sortaient jamais », selon les témoignages de plusieurs voisins.
La LPA dépêche trois camions
Hier, la LPA a dû utiliser trois camions pour transporter la centaine d’animaux dans ses locaux de Lille. « Les gendarmes ont dit que je pourrai récupérer neuf chiens », indique Catherine, qui se définit comme « passionnée d’animaux ».
Françoise n’a pas compris pourquoi les gendarmes ont débarqué en force. « Ils ont même débranché mon congélateur ! » Françoise n’ouvre sa porte à personne, sauf à quelques voisines avec qui elle s’entend bien. Comme Amélie : « Mémé, quand j’étais petite, j’allais chez elle. Je savais qu’elle avait plein d’animaux, mais pas autant. Jamais je n’aurais porté plainte contre elle ! Elle ne me dérange pas. On n’entendait presque pas les chiens, sauf le matin quand ils se réveillaient. Tant que ce n’est pas chez moi, ça ne me gêne pas. »
Dans la petite maison désormais vide d’animaux, une odeur âcre soulève l’estomac. « Mémé » et Catherine sont habituées. Les deux femmes pensent que l’assistante sociale, qu’elles avaient invitée pour avoir des aides, aurait été voir les gendarmes. Pour ce qui est des chiens impayés, Françoise se défend : « Ma fille a acheté un petit chien, il est mort le soir même, comme ça, dans ses bras. Alors nous n’avons plus voulu payer. »
Catherine a passé la nuit en garde à vue et a été vue par un psychologue. « Je n’ai pas dormi », commente Françoise. Ce vendredi midi, sa fille est revenue, avec une convocation au TGI de Lille.
Ce jeudi aux alentours de 8 h du matin, les gendarmes, accompagnés de policiers municipaux wavrinois, ont défoncé la porte de la maison de « Mémé », comme l’appellent ses voisines, et de sa fille.
Déjà en 2010, les enquêteurs avaient lancé contre Catherine et sa mère une procédure d’élevage de chiens illégal. Et depuis des mois, les gendarmes poursuivent leurs investigations suite au dépôt de quatre plaintes. Les plaignants affirment avoir vendu des animaux à Catherine, mais n’avoir jamais été payés. La quadragénaire, qui souffre de surdité, est accusée d’avoir produit des chèques en bois, qu’elle mettait au nom de sa mère.
« Ils ne vont jamais chez le vétérinaire ! »
Par ailleurs, les certificats vétérinaires des animaux n’étaient pas en règle. « Ils ne vont jamais chez le vétérinaire ! s’écrie Françoise, la mère rencontrée ce vendredi à son domicile. Mes chiens se portent aussi bien avec des vaccins que sans. Ma mère avait plein d’animaux, à Mons-en-Barœul. À l’époque il n’y avait pas toutes ces histoires de vaccins ! »
Et de continuer : « Admettons qu’il y ait trop de chiens. Mais ici, ils sont bien traités. » Les gendarmes ont saisi, par l’entremise de la Ligue protectrice des animaux (LPA) réquisitionnée par le parquet, 74 chiens, 32 hamsters et cochons d’Inde, huit chats, deux tortues de Floride, six lapins et des oiseaux. Toute cette ménagerie vivait dans 40 m2. Et « ils ne sortaient jamais », selon les témoignages de plusieurs voisins.
La LPA dépêche trois camions
Hier, la LPA a dû utiliser trois camions pour transporter la centaine d’animaux dans ses locaux de Lille. « Les gendarmes ont dit que je pourrai récupérer neuf chiens », indique Catherine, qui se définit comme « passionnée d’animaux ».
Françoise n’a pas compris pourquoi les gendarmes ont débarqué en force. « Ils ont même débranché mon congélateur ! » Françoise n’ouvre sa porte à personne, sauf à quelques voisines avec qui elle s’entend bien. Comme Amélie : « Mémé, quand j’étais petite, j’allais chez elle. Je savais qu’elle avait plein d’animaux, mais pas autant. Jamais je n’aurais porté plainte contre elle ! Elle ne me dérange pas. On n’entendait presque pas les chiens, sauf le matin quand ils se réveillaient. Tant que ce n’est pas chez moi, ça ne me gêne pas. »
Dans la petite maison désormais vide d’animaux, une odeur âcre soulève l’estomac. « Mémé » et Catherine sont habituées. Les deux femmes pensent que l’assistante sociale, qu’elles avaient invitée pour avoir des aides, aurait été voir les gendarmes. Pour ce qui est des chiens impayés, Françoise se défend : « Ma fille a acheté un petit chien, il est mort le soir même, comme ça, dans ses bras. Alors nous n’avons plus voulu payer. »
Catherine a passé la nuit en garde à vue et a été vue par un psychologue. « Je n’ai pas dormi », commente Françoise. Ce vendredi midi, sa fille est revenue, avec une convocation au TGI de Lille.
par John Holmes » 28 Oct 2013, 15:58
Et tu veux pas venir bouffer au O'M demain !
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par krouw2 » 29 Oct 2013, 17:33
RIP la blouse de mémé
Nouvelle manifestation des salariés de la Redoute entre Wasquehal et Marcq-en-Barœul
Plusieurs centaines de personnes – entre 500 et 600 selon les syndicats – ont marché ce matin entre le Pavé de Lille à Wasquehal et la cité des entreprises à Marcq-en-Barœul pour défendre la Redoute. L’entreprise roubaisienne de vente à distance a été mise en vente par le groupe Kering (ex-PPR).
Parti du Pavé de Lille à Wasquehal, le cortège a emprunté une voie latérale du Grand Boulevard pour rejoindre la cité des entreprises de Marcq-en-Barœul.
Une semaine après une première marche entre le site industriel de Wattrelos et le siège roubaisien de la Redoute, ce sont à nouveau près de 500 personnes (entre 5 et 600 selon les syndicats) qui ont manifesté pour la défense de l’entreprise de vente à distance. Le rendez-vous avait été donné à la station de métro du Pavé de Lille à Wasquehal pour que le cortège puisse se rendre à la cité des entreprises de Marcq-en-Barœul où se déroule en ce moment une réunion entre la direction du groupe Kering (ex-PPR) et les représentants des salariés.
Les manifestants souhaitent mettre la pression sur le groupe de François-Henri Pinault qui a annoncé en début d’année son intention de vendre la Redoute. Alors que la transaction se précise, les salariés aimeraient avoir des garanties. Or, il n’est pas impossible que la vente s’accompagne d’un plan social.
La réunion entre la direction et les syndicats devait se terminer vers 13 h.
Nouvelle manifestation des salariés de la Redoute entre Wasquehal et Marcq-en-Barœul
Plusieurs centaines de personnes – entre 500 et 600 selon les syndicats – ont marché ce matin entre le Pavé de Lille à Wasquehal et la cité des entreprises à Marcq-en-Barœul pour défendre la Redoute. L’entreprise roubaisienne de vente à distance a été mise en vente par le groupe Kering (ex-PPR).
Parti du Pavé de Lille à Wasquehal, le cortège a emprunté une voie latérale du Grand Boulevard pour rejoindre la cité des entreprises de Marcq-en-Barœul.
Une semaine après une première marche entre le site industriel de Wattrelos et le siège roubaisien de la Redoute, ce sont à nouveau près de 500 personnes (entre 5 et 600 selon les syndicats) qui ont manifesté pour la défense de l’entreprise de vente à distance. Le rendez-vous avait été donné à la station de métro du Pavé de Lille à Wasquehal pour que le cortège puisse se rendre à la cité des entreprises de Marcq-en-Barœul où se déroule en ce moment une réunion entre la direction du groupe Kering (ex-PPR) et les représentants des salariés.
Les manifestants souhaitent mettre la pression sur le groupe de François-Henri Pinault qui a annoncé en début d’année son intention de vendre la Redoute. Alors que la transaction se précise, les salariés aimeraient avoir des garanties. Or, il n’est pas impossible que la vente s’accompagne d’un plan social.
La réunion entre la direction et les syndicats devait se terminer vers 13 h.
Hollande 2027
par SAV » 29 Oct 2013, 18:19
krouw2 a écrit:Les manifestants souhaitent mettre la pression sur le groupe de François-Henri Pinault qui a annoncé en début d’année son intention de vendre la Redoute. Alors que la transaction se précise, les salariés aimeraient avoir des garanties.
Spoiler:
Brigitte Macron 2027.
par krouw2 » 07 Nov 2013, 15:54
Même pas campeone
Consommation d'alcool : le Nord Pas-de-Calais loin des idées reçues !
L’atlas régional des addictions, publié ce jeudi par l’institut national de prévention et d'éducation pour la santé fait la peau à pas mal d’idées reçues sur la consommation d’alcool. Contrairement aux clichés, le Nord Pas-de-Calais figure en 4 ème position. Une surprise !
En matière d'alcool, les clichés ont la vie dure. Ainsi, dans le hit parade des régions consommatrices d'alcool, on imagine couramment la Bretagne et le Nord Pas-de-Calais. L'institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES) publie ce jeudi un atlas sur les addictions en France et les résultats sont plutôt surprenants.
L'enquête souligne de fortes disparités régionales, qui peuvent relever de traditions culturelles et/ou du contexte socio-économique (chômage, précarité...). Elle va aussi à l'encontre de certains clichés. Le Languedoc-Roussillon arrive en tête des régions les plus consommatrices d'alcool avec 17% de buveurs quotidiens, suivies du Midi-Pyrénées, des Pays-de-Loire et Nord-Pas-de-Calais (13%).
Loin des clichés
Dans le Languedoc-Roussillon, la consommation quotidienne d'alcool est la plus forte : 17 % de la population. En Bretagne, c’est la fréquence des ivresses qui inquiète les autorités sanitaires.28 % des Bretons déclarent au moins une ivresse au cours de l’année écoulée. Ils ne sont que 16% dans le Nord-Pas-de-Calais.
Pour les autres addictions comme le tabac, dans le Nord-Pas-de-Calais, on ne fume pas plus qu'ailleurs, et l'expérimentation du cannabis y apparaît moins fréquente que la moyenne. Pas moins de 12 % des habitants du Languedoc-Roussillon ont consommé du cannabis au moins une fois au cours des douze derniers mois, contre seulement 6 % des habitants du Nord-Pas-de-Calais.
Consommation d'alcool : le Nord Pas-de-Calais loin des idées reçues !
L’atlas régional des addictions, publié ce jeudi par l’institut national de prévention et d'éducation pour la santé fait la peau à pas mal d’idées reçues sur la consommation d’alcool. Contrairement aux clichés, le Nord Pas-de-Calais figure en 4 ème position. Une surprise !
En matière d'alcool, les clichés ont la vie dure. Ainsi, dans le hit parade des régions consommatrices d'alcool, on imagine couramment la Bretagne et le Nord Pas-de-Calais. L'institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES) publie ce jeudi un atlas sur les addictions en France et les résultats sont plutôt surprenants.
L'enquête souligne de fortes disparités régionales, qui peuvent relever de traditions culturelles et/ou du contexte socio-économique (chômage, précarité...). Elle va aussi à l'encontre de certains clichés. Le Languedoc-Roussillon arrive en tête des régions les plus consommatrices d'alcool avec 17% de buveurs quotidiens, suivies du Midi-Pyrénées, des Pays-de-Loire et Nord-Pas-de-Calais (13%).
Loin des clichés
Dans le Languedoc-Roussillon, la consommation quotidienne d'alcool est la plus forte : 17 % de la population. En Bretagne, c’est la fréquence des ivresses qui inquiète les autorités sanitaires.28 % des Bretons déclarent au moins une ivresse au cours de l’année écoulée. Ils ne sont que 16% dans le Nord-Pas-de-Calais.
Pour les autres addictions comme le tabac, dans le Nord-Pas-de-Calais, on ne fume pas plus qu'ailleurs, et l'expérimentation du cannabis y apparaît moins fréquente que la moyenne. Pas moins de 12 % des habitants du Languedoc-Roussillon ont consommé du cannabis au moins une fois au cours des douze derniers mois, contre seulement 6 % des habitants du Nord-Pas-de-Calais.
Hollande 2027
par GilbertSedman » 08 Nov 2013, 10:27
Bijou a été compté comme libanais ?
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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