[01T] Politix, fonctionnaire et Cie

Messagepar rhazelle » 06 Mars 2017, 22:45

pfff... a écrit:https://twitter.com/mathildemathieu/status/838707594931884033/video/1

J imagine que Mr Fernando va encore faire le jeu du Front National en désapprouvant cette pratique peu pratiquee (1/6 des députés seulement)


pas mal celle-là aussi (et apparemment véridique):
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Et la photo de ta collection de godes que John Holmes a posté l'autre jour , ça vient du Journal de Mickey ?
rhazelle
 
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Messagepar gblosc » 06 Mars 2017, 23:55

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Messagepar krouw2 » 07 Mars 2017, 01:16

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Messagepar SAV » 07 Mars 2017, 12:17

Aussi non, bichon converti au mélanchonisme, ça se laisse lire.
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar krouw2 » 07 Mars 2017, 12:49

SAV a écrit:Aussi non, bichon converti au mélanchonisme, ça se laisse lire.


cassedédi

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Messagepar Der » 07 Mars 2017, 12:54

Je connaissais pas celle-là. Sympa. :D
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar krouw2 » 07 Mars 2017, 13:04

sur tous les forums, du Losc à Besançon, y aura toujours un bichon , avec un drapeau breton:)
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Messagepar fernando » 07 Mars 2017, 15:04

tain va falloir se motiver pour se décider à voter pour lui...




Emmanuel Macron veut réécrire la régulation financière



Se rangeant aux côtés des banques et des assurances, le candidat d’En Marche juge que les règles prudentielles sont trop contraignantes. Il souhaite à l’avenir que ce soit les ministres des finances et non les régulateurs qui les déterminent. Un premier pas pour effacer toutes les leçons de la crise financière.


S’il y avait encore un doute sur le positionnement d’Emmanuel Macron, il vient de le dissiper : il se place ostensiblement du côté de la finance. Tandis que l’attention de l’opinion publique est captée par le feuilleton quotidien de la droite, il avance discrètement ses propositions. Et quelles propositions ! Il ne s’agit rien de moins que de remettre en cause la régulation élaborée après la crise financière de 2008. Comme Trump, il propose de réécrire ces règles contraignantes. Au nom de l’économie bien sûr.

L’auditoire devant lequel il a émis cette idée lundi n’était sans doute pas prêt à aborder un tel sujet : Emmanuel Macron avait été alors invité à débattre avec les chefs d’entreprise de la CPME (ex-CGPME), comme le seraient avant et après lui Marine Le Pen et François Fillon le même jour. Alors que les petits patrons attendaient sans doute un discours plein de bonnes intentions en faveur des PME, le candidat d’En marche s’est brusquement emparé de la question réglementaire des banques et des assurances.


Ses propositions sont simples : il veut reprendre la main sur la régulation financière. Pour lui, les régulateurs ont des positions beaucoup trop rigides, voire dogmatiques. Il vaudrait bien mieux que cette tâche prudentielle soit confiée aux ministres des finances européens. Ils seraient beaucoup plus à même, selon Emmanuel Macron, d’établir les ratios prudentiels (Bâle 2 et 3 pour les banques, Solvency 2 pour les assurances) qui fixent le niveau de fonds propres pour les banques et les assurances. « Ce que je souhaite, c'est que les grands ratios de solvabilité de liquidité et de fonds propres des banques et des assurances puissent être discutés au niveau européen à l'Ecofin chaque année et qu'on en fixe, avec des objectifs de financement économique, les grandes règles », a expliqué Emmanuel Macron.

Le candidat d’En Marche juge que ces règles sont trop contraignantes, et finissent par être plus néfastes que bénéfiques pour l’économie. En tout cas, elles ne sont pas du tout « adaptées à la France », selon lui. « Nous nous sommes fait avoir », a-t-il assuré. Les règles prudentielles des établissements financiers « touchent beaucoup les économies comme les nôtres qui n'étaient pour rien dans l'origine de la crise ». « Les instances prudentielles veulent de la prudence, donc elles n'ont qu'un objectif de réduction du risque et donc elles ont désincité (sic) les banques et les assurances à financer l'économie », a-t-il regretté.

L’argumentation n’est pas nouvelle. Elle est développée depuis des années par les banquiers et les assureurs, en guerre contre toutes les régulations financières qui leur ont été imposées après la crise financière. Tous mettent en avant le prétexte du financement de l’économie pour obtenir l’assouplissement voire l’annulation de ces règles, qui encadrent plus strictement leurs engagements. Dans les faits, ces dernières ne semblent avoir guère gêné la distribution de crédit. Selon les statistiques de la banque de France 3, le volume de crédit accordé aux entreprises non financières a augmenté de 4,8 % en rythme annuel, fin janvier, ce qui est en phase avec une économie qui croît d’à peine 1 % par an.

Pour les chefs d’entreprise, le problème de toute façon n’est pas là. Les difficultés actuelles qu’ils rencontrent ne sont d’ailleurs pas liées à l’accès au crédit, mais au flou sur l’avenir. Ce sont les carnets de commandes, l’augmentation des débouchés, de la consommation qui les incitent à investir, à se développer et pas le crédit. En gros, des questions de demande et non d’offre.

Jusqu’à présent, les banques françaises ne semblent pas avoir pâti non plus des nouvelles règles qui leur sont imposées. Alors que leurs concurrentes comme Unicredit en Italie ou Deutsche Bank en Allemagne sont en train de procéder à des augmentations de capital qui se chiffrent en dizaines de milliards pour restaurer leur bilan, elles se classent parmi les établissements financiers les plus profitables en Europe. BNP Paribas a affiché un résultat net de 7,7 milliards d’euros en 2016, AXA de 5,8 milliards d’euros, la Société générale de 3,9 milliards, le Crédit agricole de 3,5 milliards. Des résultats qui les placent en tête du CAC 40.

Mais l’avenir est plus sombre, disent-elles. Les exigences plus strictes qui vont leur être imposées vont renchérir le coût du capital. Tout cela ne peut que nuire aux banques et à leurs clients, assurent-elles. Nombre d’économistes et de régulateurs doutent de cette analyse. « Cela ne tient pas la route », affirme par exemple David Miles, membre du comité de politique monétaire de la Banque d’Angleterre.

Ce qui ne tient pas la route non plus, c’est que le monde financier, dans un univers de taux zéro voire négatif, dans un environnement économique languissant qui se remet mal de la crise, continue d’afficher des exigences de rentabilité du capital de 15 % et plus, comme avant la crise, comme si rien ne s’était passé. Ce décalage grandissant entre l’économie réelle et le capitalisme financier ne peut que pousser à la spéculation et à des prises de risque de plus en plus insensées. Ce que justement la régulation veut éviter.

Emmanuel Macron ne peut ignorer toutes ces données. Alors pourquoi demande-t-il à revenir sur tout l’encadrement mis en place après la crise financière ? Car, même s’il lie habilement la remise en cause de la régulation au financement de l’économie, ses propositions reviennent bien à cela. Confier la régulation à des ministres, très éloignés de ces questions, plutôt qu’à des régulateurs qui connaissent parfaitement le milieu bancaire et les risques qu’il fait peser sur l’ensemble de l’économie, c’est redonner tout le pouvoir à la finance. Comment croire que les lobbies financiers ne se précipiteront pas pour murmurer à l’oreille du ministre les mesures qu’ils attendent, voire leur écrire les textes ? Ils font déjà le siège en permanence de la commission européenne. Autant dire que la finance doit s’auto-réguler et écrire elle-même ses règles. Comme elle l’a fait avant 2008, avec le succès que l’on sait.

En quelques phrases, devant un auditoire auquel le message n’était pas destiné, Emmanuel Macron a fait l’aveu de ses convictions profondes. La crise financière de 2008 qui a mené l’économie mondiale au bord du gouffre et dont les pays occidentaux se remettent avec difficulté ne semble être, selon lui, qu’un accident de l’histoire. Il n’y a aucune leçon à retenir de ce choc, aucune mesure de prévention à adopter. Le capitalisme financier ne saurait être contraint. Comme il le dit, il connaît parfaitement « la grammaire des affaires ».
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Messagepar krouw2 » 07 Mars 2017, 17:40

t' as sérieusement cru qu'il était de gauche?
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Messagepar rodolfo » 07 Mars 2017, 17:46

Loul
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Messagepar krouw2 » 07 Mars 2017, 18:11

du mourd dans le canard sur Fillon, onvaencoresrégalé

forte amplitude: NDA à ses parrainages
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Messagepar fernando » 07 Mars 2017, 18:35

krouw2 a écrit:t' as sérieusement cru qu'il était de gauche?


Non, d'ailleurs il n'a jamais fait semblant
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Messagepar Baratte » 07 Mars 2017, 19:19

fernando a écrit:
krouw2 a écrit:t' as sérieusement cru qu'il était de gauche?


Non, d'ailleurs il n'a jamais fait semblant

Hey ! Sissi il a fait semblant ! Il l'a même souvent dit !


"Je suis de gauche, c'est mon histoire, c'est ma famille", a affirmé Emmanuel Macron, devant une salle comble à la Mutualité à Paris, en rendant un hommage à Michel Rocard, décédé début juillet, en présence de l'épouse de l'ancien Premier ministre socialiste.
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
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Messagepar fernando » 07 Mars 2017, 19:43

Oué il de gauche comme Valls quoi.
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Messagepar krouw2 » 07 Mars 2017, 21:17

Revenu universel. Benoît Hamon revoit sa copie


Le candidat socialiste à la présidentielle souhaite proposer une nouvelle version de son revenu universel, mesure emblématique de son programme, que ses détracteurs jugent trop coûteuse et impossible à mettre en place.

Son idée de revenu universel avait contribué à le classer dans la case des utopistes. Le versement d’un montant de 750 € à chaque Français majeur indépendamment de son activité était le cheval de bataille de Benoît Hamon lors de la primaire socialiste. Son coût était estimé par le candidat à environ 400 milliards d’euros.

Atteinte à la « société du travail » pour Montebourg, à la « solidarité entre citoyens » pour Peillon, encouragement à une « société de l’assistanat et du farniente » pour Valls, la mesure a largement été décriée.

Afin d’apporter une réponse crédible à ceux qui pourfendaient le revenu universel, Benoît Hamon a chargé sa conseillère économique, Julia Cagé, de remanier le projet. « Les montants sont plutôt proches de quelques dizaines de milliards, sans rogner sur les ambitions », a confié l’économiste.

Une seconde mouture devrait être présentée dans les prochains jours, a assuré ce mardi Benoît Hamon en déplacement à Fos-sur-Mer, dans les Bouches-du-Rhône. Le candidat a laissé entendre que le nouveau projet pourrait prendre la forme d’une prime d’activité versée aux salariés proches du SMIC : « Les coûts qui seront ceux de la mesure que je rendrai publique dans les 48, dans les 72 heures, seront de nature à rassurer ceux qui imaginaient qu’on allait ruiner l’État. »
« Plus ambitieuse mais moins coûteuse »

Néanmoins, le candidat PS promet de ne rien céder sur l’ambition de son projet, en tout cas par rapport à la première étape qu’il avait dévoilée pendant la primaire de la Belle Alliance populaire.

« On a construit une réponse qui sera plus ambitieuse encore en étant peut-être moins coûteuse en termes de transfert de richesse », a assuré Benoît Hamon. « On avait réfléchi sur la base d’un financement brut, sauf que le revenu universel d’existence, ça rapporte aussi de l’argent », a-t-il justifié.

Le candidat PS à la présidentielle avait promis pendant la primaire de mettre en place le revenu universel en trois étapes.
Projet global la semaine prochaine

« Pour la première étape, dès 2018, le RSA sera augmenté de 10 % à hauteur de 600EUR et versé automatiquement à tous les ayants droit. La même année, un revenu d’existence sera versé à tous les jeunes de 18 à 25 ans quel que soit leur niveau de ressources » avait-il expliqué.

Pour la deuxième étape, le candidat socialiste avait évoqué une « généralisation partielle du revenu universel sous condition de ressources », « d’ici la fin du quinquennat » ; et pour la troisième, « sur un second quinquennat », une généralisation hors conditions de ressources, pour un revenu universel d’un montant de 750 €.

Déplorant la « saturation du débat présidentiel autour des affaires de François Fillon » et la difficulté « de mener campagne dans la dignité », le candidat socialiste a par ailleurs annoncé qu’il présenterait « la semaine prochaine un projet global contenant l’ensemble de (ses) propositions », qu’il envisageait initialement de présenter « morceau par morceau ».
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Messagepar fernando » 07 Mars 2017, 22:32

krouw2 a écrit:
SAV a écrit:Aussi non, bichon converti au mélanchonisme, ça se laisse lire.


cassedédi



Dans tous les concerts de Nolwenn à Scorpions
Il y a toujours un con avec un drapeau breton


tellement vrai ^^
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Messagepar fernando » 08 Mars 2017, 10:12

Le spectacle affligeant de cette campagne me donne envie de voter Mélenchon ou blanc au 1er tour




L’Union des démocrates et indépendants soutient François Fillon sous conditions

Le bureau exécutif du parti centriste a adopté une motion conditionnant l’alliance électorale à des « initiatives » du candidat de la droite.

Le bureau exécutif de l’Union des démocrates et indépendants (UDI) a décidé, mardi 7 décembre au soir, de renouveler son soutien à François Fillon sous réserve d’« initiatives de rassemblement ».

Cette motion a été adoptée à une large majorité : 48 voix pour, 10 contre et 3 abstentions. « Nous prenons acte avec regret du renoncement d’Alain Juppé », souligne l’instance dans le texte voté.


En attente d’« initiatives »

Le bureau « prend acte », également, du souhait de François Fillon de poursuivre sa campagne et de « sa volonté de prendre des initiatives de rassemblement en direction de l’UDI, comme des élus LR, qui avaient souhaité un changement de candidat ». Le parti « approuve l’accord électoral » mais se dit « en attente » – avec, en ligne de mire, le respect de l’accord pour les législatives.

Tout en validant « le projet politique négocié pour la France avec François Fillon », le bureau exécutif conserve « un certain nombre de différences qui seront défendues par l’UDI lors de la prochaine législature ».

« Il n’y a eu personne ce soir, au bureau politique, pour emprunter la voie [Emmanuel] Macron, même s’il y a des tentations », a déclaré le président du groupe UDI à l’Assemblée nationale, Philippe Vigier.

Appel au rassemblement

En meeting à Orléans au même moment, mardi soir, François Fillon a lancé un appel aux centristes à « rejoindre » sa campagne, affirmant que droite et centre avaient « les mêmes valeurs » et « les mêmes objectifs ».

L’UDI avait décidé la semaine dernière de suspendre son soutien au candidat empêtré dans l’affaire des emplois présumés fictifs visant sa famille. Lundi 6 mars, son président, Jean-Christophe Lagarde, soutien d’Alain Juppé pour la primaire, avait affirmé à l’AFP qu’il fallait que « LR change de candidat pour avoir une chance de gagner ».
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Messagepar gblosc » 08 Mars 2017, 11:05

On sent bien que les législatives voire certains postes au gouvernement sont derrière ...
Vivement Valérie Boyer Ministre de la Famille ...
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Messagepar fernando » 08 Mars 2017, 11:31

Postes au gouvernement, faudrait qu'ils gagnent les élections pour cela...

La droite aura sombré corps et âme dans le cynisme et l'amoralité la plus totale au cours de cette campagne pour de simples calculs électoraux à court terme. Abjecte.
Ils perdront et ce parti implosera au lendemain de la défaite (tout comme le PS d'ailleurs). Fin de carrière pour Fillon, ce sera la nuit des longs couteaux au lendemain du 1er tour.
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Messagepar gblosc » 08 Mars 2017, 11:34

Ils représentent bien la grandeur de la Fransse ...
On est au niveau de la 1ère puissance mondiale, les états-unisiens de ce côté là.
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Messagepar W » 08 Mars 2017, 12:18

Fifi qui dit hier "les voyous doivent redécouvrir ce qu'est la loi", c'est un putain de troll en fait.
It's art. You don't need pants.
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Messagepar krouw2 » 08 Mars 2017, 12:19

Delanoé rejoint le cul de Macron
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Messagepar fernando » 08 Mars 2017, 12:25

W a écrit:Fifi qui dit hier "les voyous doivent redécouvrir ce qu'est la loi", c'est un putain de troll en fait.


Quelle honte cette campagne.
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Messagepar Dageek » 08 Mars 2017, 12:45

Il ose tout, c est même a ça qu' on le reconnaît
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Messagepar ancien posteur » 08 Mars 2017, 12:45

fernando a écrit:L’Union des démocrates et indépendants soutient François Fillon sous conditions.


Je dois dire que la, on atteint un plafond bas en terme de lâcheté et de calcul. Ça rend Donald Trump encore plus sympathique.
ancien posteur
 
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Messagepar fernando » 08 Mars 2017, 12:53

Sont prêts à tout pour un plat de lentilles. Aucune morale, aucune cohérence, aucune honte. Affligeant.
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Messagepar Dageek » 08 Mars 2017, 13:00

oui mais ce sont des hommes de convictions avant tout
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Messagepar fernando » 08 Mars 2017, 13:22

W a écrit:Fifi qui dit hier "les voyous doivent redécouvrir ce qu'est la loi", c'est un putain de troll en fait.


En fait ça doit être pour un film qui va sortir prochainement. C'est Sacha Baron Cohen qui est déguisé en Fillon, spapossib'.
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Messagepar kaptn_kvern » 08 Mars 2017, 18:05

Dans le même style, j'ai vu passer une vidéo affirmant que Henry de Lesquen serait la création d'un collectif artistique qui voulait voir jusqu'où on pouvait aller dans le discours extrême...vrai ou faux ???
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
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Messagepar ancien posteur » 08 Mars 2017, 18:16

Henry de Lesquen n'est pas un fake artistique

Ne vous y trompez pas, Henry de Lesquen, politique d'extrême-droite aux théories racialistes nauséabondes, régulièrement poursuivi devant les tribunaux, existe bien. Le compte Twitter @baborlelefan a publié une vidéo laissant croire que le président de Radio Courtoisie était une création artistique d'un collectif nantais pour «éprouver un peu les limites du système». La fameuse théorie du double maléfique. Trop beau pour être vrai, au point que de nombreux Internautes se sont laissés prendre, rassurés sans doute qu'un tel énergumène soit une blague. Le site Hoaxbuster a du coup publié un papier pour expliquer que cette vidéo racontait n'importe quoi. Malheureusement, Henry de Lesquen n'est pas une invention.

http://www.liberation.fr/direct/element/henry-de-lesquen-nest-pas-un-fake-artistique_59427/
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