Transferts: bruits, rumeurs, et autres hallucinations...
par kaptn_kvern » 01 Sep 2016, 04:56
Victor Klonaridis...à Lens !
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par Giallo » 01 Sep 2016, 09:50
fernando a écrit:Giallo a écrit:Et Balotelli à Nice
Enfin un peu de distraction en L1
c 'est un gros coup de poker, il peut revenir à son monstrueux niveau ou te pourrir le vestiaire en plus de pas en marquer un seul (ces derniers temps c'était plutôt ça....)
ce message ne vient pas de moi
par fernando » 01 Sep 2016, 10:21
Sacré coup de poker enéfé au vu du salaire
L'OGC Nice a finalement obtenu, hier, de Liverpool qu'il lui cède gratuitement son attaquant. L'international italien aurait signé un contrat d'un an, renouvelable sous conditions, pour un salaire de 4,5 M€ bruts par saison.
L'OGC Nice a finalement obtenu, hier, de Liverpool qu'il lui cède gratuitement son attaquant. L'international italien aurait signé un contrat d'un an, renouvelable sous conditions, pour un salaire de 4,5 M€ bruts par saison.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Baratte » 01 Sep 2016, 13:07
Dogue-son a écrit:Ils ont vendu Mendy pour 15,5 millions cette année et Amavi pour 11 l'année dernière...
Je sens poindre un relent de sarcasmes ...
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par ancien posteur » 01 Sep 2016, 13:20
fernando a écrit:Sacré coup de poker enéfé au vu du salaire
L'OGC Nice a finalement obtenu, hier, de Liverpool qu'il lui cède gratuitement son attaquant. L'international italien aurait signé un contrat d'un an, renouvelable sous conditions, pour un salaire de 4,5 M€ bruts par saison.
Bah non, je vois pas torp le coup de poker. No,lan Roux, 8,5 millions de transfert PLUS un salaire de 100 k a u bas mot. La, ils ont juste a payer le salaire. Le coup de poker aurait ete de tenter un contrat de 2 ou 3 ans et prendre le risque d avoir un joueur qui ne parvient pas a se relancer.
- ancien posteur
- Retour
par fernando » 01 Sep 2016, 13:49
Mercato : la folie des grandeurs de la planète football
LE MONDE ECONOMIE | 01.09.2016 à 11h36 • Mis à jour le 01.09.2016 à 11h58 | Par Philippe Jacqué
Il n’y a jamais eu autant d’argent dans le football. Et cela se voit. Le mercato, la période de transferts de joueurs qui s’est étirée du 9 juin au mercredi 31 août à minuit, a encore crevé tous les plafonds. Pas moins de 3,3 milliards d’euros ont été dépensés par les clubs professionnels de cinq principaux championnats européens pour acheter des dizaines de joueurs, selon le décompte publié jeudi 1er septembre par le cabinet Deloitte.
Si en France les clubs ont dépensé près de 195 millions d’euros, le marché qui a affolé toute la planète du ballon rond, c’est bel et bien la Premier League, le célèbre championnat anglais. Les vingt clubs de l’élite d’outre-Manche ont pour la première fois dépassé la marque du milliard de livres dépensé pendant l’été, à 1,165 milliard de livres exactement, près de 1,4 milliard d’euros !
Le symbole de ce mercato record : Paul Pogba, devenu à 23 ans le joueur le plus cher de la planète. Le milieu de terrain tricolore est passé de la Juventus à Manchester United moyennant un chèque de 89 millions de livres (105 millions d’euros). John Stones, lui, est devenu le défenseur le plus cher de l’histoire. Manchester City a déboursé 55,6 millions d’euros pour s’offrir ce joueur d’Everton, soit 3 millions de plus que ce que club avait déboursé pour acheter le Français Eliaquim Mangala à Porto il y a à peine deux ans. Depuis, ce dernier, relégué sur le banc, a été prêté à Valence…
Surinvestissement
Les équipes du championnat anglais ont dépensé en moyenne 70 millions d’euros pour se renforcer. Arsenal, Manchester City, Manchester United ou Chelsea ont déboursé plus de 100 millions d’euros chacun. Des clubs plus modestes, comme Sunderland ou Wolverhampton, en deuxième division, n’ont pas hésité à casser leur tirelire pour s’offrir pour plusieurs dizaines de millions d’euros de jeunes joueurs encore en devenir.
Manchester United et Chelsea, pourtant privés cette année de Ligue des champions, la compétition européenne la plus prestigieuse, ont particulièrement alimenté ce marché fou des transferts. Pour attirer des joueurs de très haut niveau, tel Pogba, qui ne pourront s’afficher sur l’épreuve européenne reine, ils n’ont pas hésité à surinvestir, indique le cabinet Deloitte. Chelsea a ainsi signé un chèque de 40 millions d’euros pour recruter Michy Batshuayi, le jeune avant-centre belge de Marseille et 35 millions d’euros pour racheter David Luiz au Paris-Saint-Germain…
Le championnat d’Angleterre est progressivement entré dans un autre monde grâce à l’extravagante inflation des droits de retransmission télévisée. En perdition dans les années 1980-1990, le foot anglais a fait sa révolution en refoulant les hooligans des stades et en investissant largement dans leurs effectifs et leur environnement, avec des stades désormais toujours pleins. Dans cette mue, la quasi-totalité des clubs, de vraies entreprises, est passée aux mains d’investisseurs américains, russes, émiratis ou encore asiatiques…
130 millions de livres pour le dernier
La Premier League est le premier championnat de football au niveau mondial et est diffusée dans quelque 145 pays. Son chiffre d’affaires a atteint 4,4 milliards d’euros pour la saison 2015-2016, selon les données du cabinet Deloitte. C’est trois fois plus que la Ligue 1, et c’est surtout très rentable. Sur le dernier exercice, les clubs ont dégagé près de 150 millions d’euros de bénéfices…
Le « Petit Poucet » Leicester, qui a remporté le championnat en 2016, disposait de la bagatelle de 137 millions d’euros de budget l’an dernier
Parmi les vingt clubs de football disposant du plus gros chiffre d’affaires au monde, huit sont anglais, selon Forbes. Le « Petit Poucet » Leicester, qui a remporté le championnat en 2016, disposait de la bagatelle de 137 millions d’euros de budget l’an dernier. Plus que 85 % des clubs français…
En 2015, les Anglais ont pu compter sur 1,9 milliard d’euros de droits de retransmission, soit de 75 millions à 120 millions d’euros par équipe ! Et cela devrait encore augmenter. Sur la période 2016-2019, les clubs de Premier League se partageront plus de 3 milliards d’euros par an. A partir de cette saison, « le club qui finira dernier (…) va engranger 130 millions de livres, expliquait cet été le chercheur britannique Rob Wilson à L’Equipe. Rien qu’avec les droits télé, ce club touchera plus que l’ensemble des revenus de la plupart des clubs européens… » Par comparaison, en France, ces droits rapporteront à l’ensemble des clubs professionnels 745 millions d’euros par an entre 2016 et 2020.
Un marché désormais mondial
Avec leur manne, les équipes anglaises se permettent tout.
« Les écuries les plus riches s’offrent les joueurs les plus cotés, mais les autres ne sont pas en reste car ils bénéficient à plein de la redistribution au sein de la Premier League, indique Loïc Ravenel, chercheur au Centre international d’étude du sport de Neuchâtel, en Suisse. Ils n’hésitent pas à investir des sommes extravagantes pour des joueurs prometteurs ou moyens. S’ils ne se trompent pas, ils pourront faire une plus-value importante en les revendant à un plus gros club. C’est typiquement un système de bulle spéculative. »
La bulle ne semble cependant pas encore près d’exploser. Car la Premier League n’est pas seule sur un marché désormais mondial. Les clubs chinois, dont le championnat en est encore à ses balbutiements, ou des pays du Golfe, ont pris le relais des clubs russes pour recruter très cher des joueurs. En excluant les clubs anglais, le deuxième plus gros transfert de l’été (après celui de l’Argentin Gonzalo Higuain qui a rejoint la Juventus Turin pour 95 millions d’euros) est celui du Brésilien Hulk, passé de Saint-Petersbourg à Shanghaï pour 55 millions d’euros…
Même si les clubs anglais financent aujourd’hui par leur politique les clubs des petits championnats, et notamment la Ligue 1, en leur achetant des joueurs, le système ne semble pas soutenable. A long terme, la Premier League risque de les asphyxier et ils pourraient alors perdre en intérêt. Sans compter que cela consacre également la concentration des richesses au niveau d’une poignée de clubs européens (Real Madrid, Barcelone, Juventus, Bayern Munich, Paris-Saint-Germain, etc.), au détriment de l’équité sportive.
LE MONDE ECONOMIE | 01.09.2016 à 11h36 • Mis à jour le 01.09.2016 à 11h58 | Par Philippe Jacqué
Il n’y a jamais eu autant d’argent dans le football. Et cela se voit. Le mercato, la période de transferts de joueurs qui s’est étirée du 9 juin au mercredi 31 août à minuit, a encore crevé tous les plafonds. Pas moins de 3,3 milliards d’euros ont été dépensés par les clubs professionnels de cinq principaux championnats européens pour acheter des dizaines de joueurs, selon le décompte publié jeudi 1er septembre par le cabinet Deloitte.
Si en France les clubs ont dépensé près de 195 millions d’euros, le marché qui a affolé toute la planète du ballon rond, c’est bel et bien la Premier League, le célèbre championnat anglais. Les vingt clubs de l’élite d’outre-Manche ont pour la première fois dépassé la marque du milliard de livres dépensé pendant l’été, à 1,165 milliard de livres exactement, près de 1,4 milliard d’euros !
Le symbole de ce mercato record : Paul Pogba, devenu à 23 ans le joueur le plus cher de la planète. Le milieu de terrain tricolore est passé de la Juventus à Manchester United moyennant un chèque de 89 millions de livres (105 millions d’euros). John Stones, lui, est devenu le défenseur le plus cher de l’histoire. Manchester City a déboursé 55,6 millions d’euros pour s’offrir ce joueur d’Everton, soit 3 millions de plus que ce que club avait déboursé pour acheter le Français Eliaquim Mangala à Porto il y a à peine deux ans. Depuis, ce dernier, relégué sur le banc, a été prêté à Valence…
Surinvestissement
Les équipes du championnat anglais ont dépensé en moyenne 70 millions d’euros pour se renforcer. Arsenal, Manchester City, Manchester United ou Chelsea ont déboursé plus de 100 millions d’euros chacun. Des clubs plus modestes, comme Sunderland ou Wolverhampton, en deuxième division, n’ont pas hésité à casser leur tirelire pour s’offrir pour plusieurs dizaines de millions d’euros de jeunes joueurs encore en devenir.
Manchester United et Chelsea, pourtant privés cette année de Ligue des champions, la compétition européenne la plus prestigieuse, ont particulièrement alimenté ce marché fou des transferts. Pour attirer des joueurs de très haut niveau, tel Pogba, qui ne pourront s’afficher sur l’épreuve européenne reine, ils n’ont pas hésité à surinvestir, indique le cabinet Deloitte. Chelsea a ainsi signé un chèque de 40 millions d’euros pour recruter Michy Batshuayi, le jeune avant-centre belge de Marseille et 35 millions d’euros pour racheter David Luiz au Paris-Saint-Germain…
Le championnat d’Angleterre est progressivement entré dans un autre monde grâce à l’extravagante inflation des droits de retransmission télévisée. En perdition dans les années 1980-1990, le foot anglais a fait sa révolution en refoulant les hooligans des stades et en investissant largement dans leurs effectifs et leur environnement, avec des stades désormais toujours pleins. Dans cette mue, la quasi-totalité des clubs, de vraies entreprises, est passée aux mains d’investisseurs américains, russes, émiratis ou encore asiatiques…
130 millions de livres pour le dernier
La Premier League est le premier championnat de football au niveau mondial et est diffusée dans quelque 145 pays. Son chiffre d’affaires a atteint 4,4 milliards d’euros pour la saison 2015-2016, selon les données du cabinet Deloitte. C’est trois fois plus que la Ligue 1, et c’est surtout très rentable. Sur le dernier exercice, les clubs ont dégagé près de 150 millions d’euros de bénéfices…
Le « Petit Poucet » Leicester, qui a remporté le championnat en 2016, disposait de la bagatelle de 137 millions d’euros de budget l’an dernier
Parmi les vingt clubs de football disposant du plus gros chiffre d’affaires au monde, huit sont anglais, selon Forbes. Le « Petit Poucet » Leicester, qui a remporté le championnat en 2016, disposait de la bagatelle de 137 millions d’euros de budget l’an dernier. Plus que 85 % des clubs français…
En 2015, les Anglais ont pu compter sur 1,9 milliard d’euros de droits de retransmission, soit de 75 millions à 120 millions d’euros par équipe ! Et cela devrait encore augmenter. Sur la période 2016-2019, les clubs de Premier League se partageront plus de 3 milliards d’euros par an. A partir de cette saison, « le club qui finira dernier (…) va engranger 130 millions de livres, expliquait cet été le chercheur britannique Rob Wilson à L’Equipe. Rien qu’avec les droits télé, ce club touchera plus que l’ensemble des revenus de la plupart des clubs européens… » Par comparaison, en France, ces droits rapporteront à l’ensemble des clubs professionnels 745 millions d’euros par an entre 2016 et 2020.
Un marché désormais mondial
Avec leur manne, les équipes anglaises se permettent tout.
« Les écuries les plus riches s’offrent les joueurs les plus cotés, mais les autres ne sont pas en reste car ils bénéficient à plein de la redistribution au sein de la Premier League, indique Loïc Ravenel, chercheur au Centre international d’étude du sport de Neuchâtel, en Suisse. Ils n’hésitent pas à investir des sommes extravagantes pour des joueurs prometteurs ou moyens. S’ils ne se trompent pas, ils pourront faire une plus-value importante en les revendant à un plus gros club. C’est typiquement un système de bulle spéculative. »
La bulle ne semble cependant pas encore près d’exploser. Car la Premier League n’est pas seule sur un marché désormais mondial. Les clubs chinois, dont le championnat en est encore à ses balbutiements, ou des pays du Golfe, ont pris le relais des clubs russes pour recruter très cher des joueurs. En excluant les clubs anglais, le deuxième plus gros transfert de l’été (après celui de l’Argentin Gonzalo Higuain qui a rejoint la Juventus Turin pour 95 millions d’euros) est celui du Brésilien Hulk, passé de Saint-Petersbourg à Shanghaï pour 55 millions d’euros…
Même si les clubs anglais financent aujourd’hui par leur politique les clubs des petits championnats, et notamment la Ligue 1, en leur achetant des joueurs, le système ne semble pas soutenable. A long terme, la Premier League risque de les asphyxier et ils pourraient alors perdre en intérêt. Sans compter que cela consacre également la concentration des richesses au niveau d’une poignée de clubs européens (Real Madrid, Barcelone, Juventus, Bayern Munich, Paris-Saint-Germain, etc.), au détriment de l’équité sportive.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par ancien posteur » 01 Sep 2016, 14:23
Dogue-son a écrit:plus de 6 millions d'euros de dépenses certaines pour un joueur parfaitement capable de foirer complètement sa saison, c'est un pari
Encore une fois, Nolan Roux 8.5 millions de transfert plus un contrat de 4 ans a 100 k, c est pas un pari? Un avant centre qui n avait jamais plus de 10 buts? Pour remplacer un AC qui avait score 25 buts?....
- ancien posteur
- Retour
par fernando » 01 Sep 2016, 14:41
Giallo a écrit:Cela dit moi je salue la prise de risque.
Moi aussi. Il a un côté sympathique Balotelli à force de faire et de dire des conneries. Et s'il revient à son meilleur niveau c'est un sacré jouor.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 01 Sep 2016, 14:43
Encore un beau pari
Alou Diarra à Nancy
Le contrat du milieu français Alou Diarra vient tout juste d'être résilié à sa demande par Charlton. Il s'est engagé avec Nancy, promu cette saison en L1.
L'ASNL a recruté le milieu international Alou Diarra (35 ans). L'ancien Bordelais, pisté cet été par Dijon, jouait l'an dernier à Charlton (32 matches) et vient tout juste de voir son contrat résilié à sa demande. «L’ancien capitaine des Bleus Alou Diarra va s'engager pour une saison», annonce ainsi le club lorrain sur son site officiel ajoutant que Diarra allait «apporter de la taille (1m90) et de l’expérience au milieu de terrain.»
Alou Diarra à Nancy
Le contrat du milieu français Alou Diarra vient tout juste d'être résilié à sa demande par Charlton. Il s'est engagé avec Nancy, promu cette saison en L1.
L'ASNL a recruté le milieu international Alou Diarra (35 ans). L'ancien Bordelais, pisté cet été par Dijon, jouait l'an dernier à Charlton (32 matches) et vient tout juste de voir son contrat résilié à sa demande. «L’ancien capitaine des Bleus Alou Diarra va s'engager pour une saison», annonce ainsi le club lorrain sur son site officiel ajoutant que Diarra allait «apporter de la taille (1m90) et de l’expérience au milieu de terrain.»
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 01 Sep 2016, 14:45
Le meilleur du pire de Mario Balotelli
L'enfant terrible du football italien s'est souvent distingué par ses frasques. Notre top 5.
L'artificier
22 octobre 2011. À deux jours d’un derby contre Manchester United, l’attaquant italien tente une expérience : allumer des feux d’artifice depuis sa salle de bain. Mauvaise idée, une serviette prend feu et une bonne partie de sa maison part en fumée. Les pompiers mettront plusieurs heures à maîtriser l’incendie. Résultat : 500 000 € de dégâts.
Cocasse pour un joueur qui affirmait quelques jours auparavant avoir «grandi» : «J’ai l’intention d’arrêter de faire parler de moi en négatif. J’ai changé de vie, je ne vis plus en ville mais à la campagne, c’est plus tranquille.» L’incendie n’empêchera pas Super Mario de contribuer au large succès contre MU (6-1) avec un doublé, non sans dévoiler un tee-shirt où l’on peut lire «Why always me ?» («Pourquoi toujours moi ?»). Avant d’expliquer que c’est un de ses amis qui avait commis l’imprudence, puis de soutenir une campagne sur les risques des feux d’artifice.
L'imperturbable
30 août 2010. Sur la route menant au centre d’entraînement des Citizens, l’Italien heurte un autre véhicule, détruisant ainsi tout l’avant gauche de son Audi R 8. Sur place, les policiers trouvent 5.000 livres sterling (environ 6.000 €) dans sa voiture. Pourquoi ? «Parce que je suis riche», affirme-t-il.
Pas vraiment bouleversé après cette collision pourtant décrite comme violente, l’attaquant prend la pose avec plusieurs fans sur les lieux de l’accident. Il leur confie : «Je m’en fous de la voiture, je ne l’ai reçue qu’hier soir.»
Le visiteur
1er octobre 2010. Opéré d’un genou après son transfert à City, Mario Balotelli récupère en Italie. Comme le Transalpin trouve le temps long, il décide de visiter une prison pour femmes aux alentours de Brescia avec son frère cadet, Enock. Car «la porte de l’établissement était ouverte».
Un surveillant de la prison, Calogero Lo Presti, raconte : «Il sont arrivés à bord d’une superbe Mercedes vers 16 heures. On l’a vite reconnu, mais il fallait suivre la procédure officielle avant de pouvoir les laisser visiter. Ils avaient l’air un peu effrayés et très intrigués de voir une prison exclusivement réservée aux femmes. Balotelli parlait avec une petite voix et s’est même excusé plusieurs fois. Ils sont repartis après une demi-heure.» Explications de Super Mario : «J’étais curieux. Je n’avais jamais visité une prison. Puis c’était une prison pour femmes en plus...»
L'inconscient
28 mars 2011. Le pire ennemi de Super Mario, c’est l’ennui. Alors chaque moyen est bon pour se distraire. Accoudé à un balcon du premier étage du centre d’entraînement des Citizens, Balotelli voit passer les jeunes pousses du club mancunien et les prend pour cible... avec des fléchettes.
Heureusement, l’international italien vise très mal et ne blesse personne. Convoqué par une commission de discipline du club, il explique avoir inventé ce petit jeu pour «lutter contre l’ennui». Une improvisation qui lui coûtera 100.000 € d’amende.
Le grand frère
10 mai 2011. À la sortie de l’entraînement, un jeune supporter de Manchester City demande un autographe à Mario Balotelli. Ce dernier lui demande pourquoi il n’est pas à l’école et l’enfant explique que son absence est due au harcèlement que lui fait subir un de ses camarades.
L’attaquant fait alors monter le gamin dans sa Maserati, direction l’établissement scolaire. Devant le directeur, il joue les médiateurs et sermonne le trublion, à qui il fait promettre de ne plus embêter son nouveau protégé.
L'enfant terrible du football italien s'est souvent distingué par ses frasques. Notre top 5.
L'artificier
22 octobre 2011. À deux jours d’un derby contre Manchester United, l’attaquant italien tente une expérience : allumer des feux d’artifice depuis sa salle de bain. Mauvaise idée, une serviette prend feu et une bonne partie de sa maison part en fumée. Les pompiers mettront plusieurs heures à maîtriser l’incendie. Résultat : 500 000 € de dégâts.
Cocasse pour un joueur qui affirmait quelques jours auparavant avoir «grandi» : «J’ai l’intention d’arrêter de faire parler de moi en négatif. J’ai changé de vie, je ne vis plus en ville mais à la campagne, c’est plus tranquille.» L’incendie n’empêchera pas Super Mario de contribuer au large succès contre MU (6-1) avec un doublé, non sans dévoiler un tee-shirt où l’on peut lire «Why always me ?» («Pourquoi toujours moi ?»). Avant d’expliquer que c’est un de ses amis qui avait commis l’imprudence, puis de soutenir une campagne sur les risques des feux d’artifice.
L'imperturbable
30 août 2010. Sur la route menant au centre d’entraînement des Citizens, l’Italien heurte un autre véhicule, détruisant ainsi tout l’avant gauche de son Audi R 8. Sur place, les policiers trouvent 5.000 livres sterling (environ 6.000 €) dans sa voiture. Pourquoi ? «Parce que je suis riche», affirme-t-il.
Pas vraiment bouleversé après cette collision pourtant décrite comme violente, l’attaquant prend la pose avec plusieurs fans sur les lieux de l’accident. Il leur confie : «Je m’en fous de la voiture, je ne l’ai reçue qu’hier soir.»
Le visiteur
1er octobre 2010. Opéré d’un genou après son transfert à City, Mario Balotelli récupère en Italie. Comme le Transalpin trouve le temps long, il décide de visiter une prison pour femmes aux alentours de Brescia avec son frère cadet, Enock. Car «la porte de l’établissement était ouverte».
Un surveillant de la prison, Calogero Lo Presti, raconte : «Il sont arrivés à bord d’une superbe Mercedes vers 16 heures. On l’a vite reconnu, mais il fallait suivre la procédure officielle avant de pouvoir les laisser visiter. Ils avaient l’air un peu effrayés et très intrigués de voir une prison exclusivement réservée aux femmes. Balotelli parlait avec une petite voix et s’est même excusé plusieurs fois. Ils sont repartis après une demi-heure.» Explications de Super Mario : «J’étais curieux. Je n’avais jamais visité une prison. Puis c’était une prison pour femmes en plus...»
L'inconscient
28 mars 2011. Le pire ennemi de Super Mario, c’est l’ennui. Alors chaque moyen est bon pour se distraire. Accoudé à un balcon du premier étage du centre d’entraînement des Citizens, Balotelli voit passer les jeunes pousses du club mancunien et les prend pour cible... avec des fléchettes.
Heureusement, l’international italien vise très mal et ne blesse personne. Convoqué par une commission de discipline du club, il explique avoir inventé ce petit jeu pour «lutter contre l’ennui». Une improvisation qui lui coûtera 100.000 € d’amende.
Le grand frère
10 mai 2011. À la sortie de l’entraînement, un jeune supporter de Manchester City demande un autographe à Mario Balotelli. Ce dernier lui demande pourquoi il n’est pas à l’école et l’enfant explique que son absence est due au harcèlement que lui fait subir un de ses camarades.
L’attaquant fait alors monter le gamin dans sa Maserati, direction l’établissement scolaire. Devant le directeur, il joue les médiateurs et sermonne le trublion, à qui il fait promettre de ne plus embêter son nouveau protégé.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Giallo » 01 Sep 2016, 14:45
Oui et puis en L1 les joueurs de talent partant vite vers d'autres club$ de co€ur on a toujours les mêmes joueurs moyens qui font le tour de France. De Toulouse à Montpellier, de Rennes à Nantes.... Peut être qu'ils se planteront mais au moins ils auront essayé.
ce message ne vient pas de moi
par fernando » 01 Sep 2016, 14:50
Giallo a écrit:Oui et puis en L1 les joueurs de talent partant vite vers d'autres club$ de co€ur on a toujours les mêmes joueurs moyens qui font le tour de France. De Toulouse à Montpellier, de Rennes à Nantes.... Peut être qu'ils se planteront mais au moins ils auront essayé.
Exact, la L1 a trop de laborieux type Bauthéac, donc faire un parti sur un joueur talentueux mais égaré, dans l'espoir de voir du spectacle, c'est à saluer.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par ancien posteur » 01 Sep 2016, 15:31
Pas seulement dans l'espoir d avoir du spectacle. Nice ne fera aucune plus value puisque c est un contrat d un an. Donc s il fout la merde, ils pourront le dégager. Si par contre il daigne jouer un petit peu, ce type est un pur scorer et apportera surement pas mal de points. Ajoute a ça un certain Belhanda qui est loin d être un estropie et sait donner des ballons, ça peut faire quelque chose.
- ancien posteur
- Retour
par Xylophène » 01 Sep 2016, 15:57
fernando a écrit:Mercato : la folie des grandeurs de la planète football
LE MONDE ECONOMIE | 01.09.2016 à 11h36 • Mis à jour le 01.09.2016 à 11h58 | Par Philippe Jacqué
…
« Les écuries les plus riches s’offrent les joueurs les plus cotés, mais les autres ne sont pas en reste car ils bénéficient à plein de la redistribution au sein de la Premier League, indique Loïc Ravenel, chercheur au Centre international d’étude du sport de Neuchâtel, en Suisse. Ils n’hésitent pas à investir des sommes extravagantes pour des joueurs prometteurs ou moyens. S’ils ne se trompent pas, ils pourront faire une plus-value importante en les revendant à un plus gros club. C’est typiquement un système de bulle spéculative. »
La "bulle spéculative", ça doit faire une bonne dizaine d'années qu'on en parle et on attend toujours qu'elle éclate.
De toute façon, il y a trop d'intérêts (économiques voire politiques) en jeu pour que le système éclate dans son ensemble. Ils trouveront toujours des pigeons ou des mafieux pour remettre une pièce dans le juke-box.
On l'a bien vu avec Lens, quand il y a des intérêts politiques et financiers en jeu, tous les moyens sont bons pour maintenir le système, même les moins ragoûtants.
Même si les clubs anglais financent aujourd’hui par leur politique les clubs des petits championnats, et notamment la Ligue 1, en leur achetant des joueurs, le système ne semble pas soutenable. A long terme, la Premier League risque de les asphyxier et ils pourraient alors perdre en intérêt. Sans compter que cela consacre également la concentration des richesses au niveau d’une poignée de clubs européens (Real Madrid, Barcelone, Juventus, Bayern Munich, Paris-Saint-Germain, etc.), au détriment de l’équité sportive.
Sans blague ?
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
par Baratte » 01 Sep 2016, 17:05
Idem pour moi , pfff . j'ai regardé Arsenal / Watford et City / Villa ...bof ... sans avoir vu le Chelski de Conte et le ManU de Mourinho , je sais déjà que ce sera un de ces 2 là qui sera champion .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par ancien posteur » 01 Sep 2016, 17:56
Baratte a écrit:Idem pour moi , pfff . j'ai regardé Arsenal / Watford et City / Villa ...bof ... sans avoir vu le Chelski de Conte et le ManU de Mourinho , je sais déjà que ce sera un de ces 2 là qui sera champion .
La magie du champ anglais c est qu il y a toujours une surprise. Et l an passe elle fut de taille; Leicester champion. Seulement, C+ ne passait que Chelsea, MU, MCity et l inénarrable Arsenal. Et fallait entendre les commentaires quand une belle equipe comme Norwich City jouait.... Concernant SFR/Numericable, il est clair qu on aura droit a des commentaires de type acquarium puisque tous les matchs ne serotn pas couvert pas un journaliste sur place. C est encore plus scandaleux....
- ancien posteur
- Retour
par Dageek » 01 Sep 2016, 18:33
fernando a écrit:Le meilleur du pire de Mario Balotelli
L'enfant terrible du football italien s'est souvent distingué par ses frasques. Notre top 5.
L'artificier
22 octobre 2011. À deux jours d’un derby contre Manchester United, l’attaquant italien tente une expérience : allumer des feux d’artifice depuis sa salle de bain. Mauvaise idée, une serviette prend feu et une bonne partie de sa maison part en fumée. Les pompiers mettront plusieurs heures à maîtriser l’incendie. Résultat : 500 000 € de dégâts.
Cocasse pour un joueur qui affirmait quelques jours auparavant avoir «grandi» : «J’ai l’intention d’arrêter de faire parler de moi en négatif. J’ai changé de vie, je ne vis plus en ville mais à la campagne, c’est plus tranquille.» L’incendie n’empêchera pas Super Mario de contribuer au large succès contre MU (6-1) avec un doublé, non sans dévoiler un tee-shirt où l’on peut lire «Why always me ?» («Pourquoi toujours moi ?»). Avant d’expliquer que c’est un de ses amis qui avait commis l’imprudence, puis de soutenir une campagne sur les risques des feux d’artifice.
L'imperturbable
30 août 2010. Sur la route menant au centre d’entraînement des Citizens, l’Italien heurte un autre véhicule, détruisant ainsi tout l’avant gauche de son Audi R 8. Sur place, les policiers trouvent 5.000 livres sterling (environ 6.000 €) dans sa voiture. Pourquoi ? «Parce que je suis riche», affirme-t-il.
Pas vraiment bouleversé après cette collision pourtant décrite comme violente, l’attaquant prend la pose avec plusieurs fans sur les lieux de l’accident. Il leur confie : «Je m’en fous de la voiture, je ne l’ai reçue qu’hier soir.»
Le visiteur
1er octobre 2010. Opéré d’un genou après son transfert à City, Mario Balotelli récupère en Italie. Comme le Transalpin trouve le temps long, il décide de visiter une prison pour femmes aux alentours de Brescia avec son frère cadet, Enock. Car «la porte de l’établissement était ouverte».
Un surveillant de la prison, Calogero Lo Presti, raconte : «Il sont arrivés à bord d’une superbe Mercedes vers 16 heures. On l’a vite reconnu, mais il fallait suivre la procédure officielle avant de pouvoir les laisser visiter. Ils avaient l’air un peu effrayés et très intrigués de voir une prison exclusivement réservée aux femmes. Balotelli parlait avec une petite voix et s’est même excusé plusieurs fois. Ils sont repartis après une demi-heure.» Explications de Super Mario : «J’étais curieux. Je n’avais jamais visité une prison. Puis c’était une prison pour femmes en plus...»
L'inconscient
28 mars 2011. Le pire ennemi de Super Mario, c’est l’ennui. Alors chaque moyen est bon pour se distraire. Accoudé à un balcon du premier étage du centre d’entraînement des Citizens, Balotelli voit passer les jeunes pousses du club mancunien et les prend pour cible... avec des fléchettes.
Heureusement, l’international italien vise très mal et ne blesse personne. Convoqué par une commission de discipline du club, il explique avoir inventé ce petit jeu pour «lutter contre l’ennui». Une improvisation qui lui coûtera 100.000 € d’amende.
Le grand frère
10 mai 2011. À la sortie de l’entraînement, un jeune supporter de Manchester City demande un autographe à Mario Balotelli. Ce dernier lui demande pourquoi il n’est pas à l’école et l’enfant explique que son absence est due au harcèlement que lui fait subir un de ses camarades.
L’attaquant fait alors monter le gamin dans sa Maserati, direction l’établissement scolaire. Devant le directeur, il joue les médiateurs et sermonne le trublion, à qui il fait promettre de ne plus embêter son nouveau protégé.
Mario Balotelli en 44 histoires (non exhaustif)
1. Il s'entêtait à refuser laisser Samuel Eto'o tirer un pénalty.
2. Il s'est affiché à la TV avec un maillot du Milan AC alors qu'il jouait pour l'Inter.
3. Il a essayé d'entrer dans une prison pour femme car il était curieux de voir ce qu'il se passait à l'intérieur.
4. Il a été photographié en achetant un magazine porno.
5. Il a fait construire un circuit de karting dans son jardin.
6. Il a porté un vieux maillot de l'Italie durant la 2eme MT d'un match amical car il n'aimait pas le nouveau. Il a dû le changer.
7. Il a commencé à se battre contre Boateng à l'entraînement.
8. Il a mis le feu à sa maison en tirant un feu d'artifice de sa salle de bain. Il est ensuite devenu ambassadeur pour la prévention des feux d'artifices.
9. Il a pris en photo à un RDV secret coquin pendant sur sa petite amie travaillait en Italie.
10. Il s'est fait arrêter par la police en train de forcer la porte de sa propre maison.
11. Il a fait rire toute la toile en essayant de mettre une chasuble et il n'y arrivait pas.
12. Il a fait une roulette complètement foirée en voulant marquer en face à face et a rendu fou son coach.
13. Il a rompu avec Melissa Costagnoli par texto pendant qu'elle était en direct à la TV : "Tu es une fille stupide, le vrai problème n'est pas que tu es une gamine, mais que tu es stupide ! Passe le bonjour au présentateur, il semble parfait pour toi !".
14. Il a détruit son Audi R8 V10 à 150 000$.
15. Il a été arrêté par la police au volant de sa voiture avec 6000$ sur le siège passager. Lorsqu'ils lui ont demandé pourquoi, il a répondu : "parce que je suis riche".
16. Il s'est fait tatouer : "Je suis le chatiment de Dieu. Si vous n'aviez pas commis de péchés, Dieu n'aurait jamais libéré sur vous une punition comme moi".
17. Il est sorti à la mi-temps d'un match en Ukraine pretextant être allergique à l'herbe.
18. Il a pris 400 000$ d'amende pour s'être fait photographier à la sortie d'un club de strip tease la veille d'un match.
19. Il a saisi Manchester City au tribunal pour avoir eu 340 000$ d'amende pour mauvaise conduite. Mais il s'est ravisé et a payé.
20. C'était chaud avec Kompany à l'entraînement, Micah Ricards, Alex Song en plein match, bousculé Ferdinand ...et en est venu aux mains avec son coach Mancini.
21. Il a volé les gants d'Aguero juste avant un match où il faisait froid.
22. Il a déclaré : "Sur tous les joueurs qui ont gagné ce prix , seul un joueur est légèrement meilleur que moi : Messi" lors de son trophée remporté au Golden Boy 2010.
23. Il a déclaré "Mourinho est le meilleur coach du monde, mais comme homme, il doit encore apprendre les bonnes manières".
24. En boite de nuit, il envoyait ses amis aborder les filles et leur dire : "Balotelli va pouvoir vous recevoir maintenant".
25. Il a eu des liens avec la mafia napolitaine et a été questionné par la police "anti mafia" après avoir revendu de la drogue pour s'amuser.
26. Pour remettre un peu d'ordre chez lui sa mère lui a demandé d'acheter un aspirateur. Il est revenu avec un trampoline, 2 scooters, un circuit électrique, et une table de ping pong.
27. Il a eu une amende de 250 000$ pour avoir été impliqué dans une bataille de rouleux à pâtisserie avec un ami dans un restaurant indien avant un match.
28. Il a pris une amende de 100 000 livres parce qu'il visait les jeunes du centre de formation lors d'une partie de fléchettes. Quand on lui a demandé pourquoi il avait fait ça, il a dit qu'il s'ennuyait.
29. Des témoins appellent la police, en signalant avoir vu des individus tirant des coups de feu à bord d’un véhicule. Balotelli jouait au bandit, il doit rendre son arme... un pistolet en plastique.
30. Il sort son Ipad pour jouer sur le banc de touche quand son équipe l'Italie joue aux Iles Féroés.
31. Une photo a fait le buzz en le voyant s'amuser avec un poteau de corner comme si c'était son phallus.
32. Une photo a fait le buzz en le voyant allongé sur le ventre tranquille quand les autres coéquipiers faisaient des pompes à l'entraînement.
33. Contrat avec le Milan AC : Interdiction de faire du karting. Balotelli prend sa Ferrari sur un circuit de Karting.
34. Il a couché avec Chloé Evans, un top model, pendant que sa petite amie dormait au rez de chaussée.
35. Chloé Evans a ensuite décidé de rompre avec lui car il était très possessif et l'accusait d'avoir une liaison avec son coiffeur (qui était homo).
36. Il a déclaré : "Je ne célèbre pas mes buts parce que c'est mon travail, t'as déjà vu un facteur sauter de joie quand il vient de livrer un colis ?"
37. Il a déclaré : "Berlusconi a dit que Cassano était le joueur italien le plus talentueux. Il se trompe, ou alors il ne me connait pas."
38. Il a déclaré : "Je pense être plus intelligent que la norme. Mais je te jure, que ça m'intéresse pas de le démontrer."
39. Il a déclaré : "Je vais inviter Shakira pour la finale, comme ça elle verra ce que je vais faire à son fiancé (G. Piqué)."
40. Il a déclaré : "Quand je décide de marquer, je marque. Je sais que je suis fort mais pas encore assez. Je tire bien, je dribble parfaitement, mais je dois quand même m'améliorer."
41. Il a déclaré : "Si le Real Madrid refait son retard contre Dortmund et se qualifie pour la finale de la Ligue de Champions, je laisse ma copine coucher avec tous les joueurs madrilènes."
42. Il a déclaré : "Mes modèles ? Myke Tyson et le pape !"
43. Il a dit que de le comparer à Zlatan Ibrahimovic était un compliment pour Zlatan.
44. Il a déclaré : "Si nous battons le Costa Rica, je veux un bisou, bien sûr sur la joue, de la reine d'Angleterre".
par Xylophène » 02 Sep 2016, 14:25
C'est clair que toutes ces "frasques" me le rendent finalement presque sympathique. A partir du moment où il ne blesse personne (genre faucher un gosse en bagnole avec 2 g dans le sang), ça ne me parait finalement que des cornichonneries d'un grand gamin.
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
Qui est en ligne ?
Utilisateur(s) parcourant ce forum : Freddy et 171 invité(s)