krouw2 a écrit:Breaking news: Henry de Lesquen @LesquenPNL 3 juil.
Je quitte Radio Courtoisie et j'annonce l'écriture d'un nouveau livre, que je publierai dans les prochains mois.
Elle va avoir les oreilles qui sifflent, Simone Veil.
[01T] Politix, fonctionnaire et Cie
par fernando » 05 Juil 2017, 10:02
Elle va avoir les oreilles qui sifflent, Simone Veil.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par krouw2 » 05 Juil 2017, 12:18
Discours de politique générale : les députés LREM avaient reçu pour consigne d’applaudir
Publié à 07h44, le 05 juillet 2017 , Modifié à 07h44, le 05 juillet 2017
sebastien.tronche@europe1.fr
Comme un meeting de campagne d’En Marche ? Si pendant la campagne présidentielle, les acclamations des militants étaient téléguidées par des messages envoyés sur les smartphones, il en est presque de même pour les députés lors du discours de politiques générale d’Edouard Philippe, mardi 4 juillet à l’Assemblée nationale.
Car le Premier ministre voyait quasiment chacune de ses phrases ponctuées d’applaudissements du groupe présidé par Richard Ferrand. Au total, 55 salves d’applaudissements sur un discours d’1h05/10. Soit près d’une fois par… minute. Mais tout cela n’était pas si spontané. Député LREM du Nord, Dimitri Houbron confie au Figaro de ce mercredi 5 juillet avoir reçu des consignes en ce sens de la part de Christophe Castaner, porte-parole du gouvernement et ministre chargé des relations avec le Parlement :
Il nous a dit qu’on avait été un peu timides, lundi, à Versailles. Et qu’il ne fallait pas hésiter à nous exprimer pendant le discours.
Il a manifestement été écouté religieusement. Une consigne également passée par le président du groupe et ex-ministre Richard Ferrand, rapporte Laure Bretton, journaliste politique à Libération, dans l’émission de Franceinfo Les informés. Une consigne également appliquée trop mécaniquement et qui a conduit à ce que les députés LREM applaudissent Edouard Philippe au moment où il évoquait les 60% de bacheliers qui échouent en licence. Oups.
Publié à 07h44, le 05 juillet 2017 , Modifié à 07h44, le 05 juillet 2017
sebastien.tronche@europe1.fr
Comme un meeting de campagne d’En Marche ? Si pendant la campagne présidentielle, les acclamations des militants étaient téléguidées par des messages envoyés sur les smartphones, il en est presque de même pour les députés lors du discours de politiques générale d’Edouard Philippe, mardi 4 juillet à l’Assemblée nationale.
Car le Premier ministre voyait quasiment chacune de ses phrases ponctuées d’applaudissements du groupe présidé par Richard Ferrand. Au total, 55 salves d’applaudissements sur un discours d’1h05/10. Soit près d’une fois par… minute. Mais tout cela n’était pas si spontané. Député LREM du Nord, Dimitri Houbron confie au Figaro de ce mercredi 5 juillet avoir reçu des consignes en ce sens de la part de Christophe Castaner, porte-parole du gouvernement et ministre chargé des relations avec le Parlement :
Il nous a dit qu’on avait été un peu timides, lundi, à Versailles. Et qu’il ne fallait pas hésiter à nous exprimer pendant le discours.
Il a manifestement été écouté religieusement. Une consigne également passée par le président du groupe et ex-ministre Richard Ferrand, rapporte Laure Bretton, journaliste politique à Libération, dans l’émission de Franceinfo Les informés. Une consigne également appliquée trop mécaniquement et qui a conduit à ce que les députés LREM applaudissent Edouard Philippe au moment où il évoquait les 60% de bacheliers qui échouent en licence. Oups.
Hollande 2027
par ancien posteur » 05 Juil 2017, 13:03
krouw2 a écrit:Breaking news: Henry de Lesquen @LesquenPNL 3 juil.
Je quitte Radio Courtoisie et j'annonce l'écriture d'un nouveau livre, que je publierai dans les prochains mois.
A l’antenne, Lesquen a dénoncé un «putsch manigancé par un trio d’individus envieux et incompétents», stigmatisant «l’équipe de bras cassés qui me succède» et méditant sur «la noirceur des sentiments des hommes». A Radio Courtoisie, les saillies lesquenistes ne plaisaient pas à tout le monde ; surtout, on en redoutait l’effet sur les dons des auditeurs, seule source de financement de la radio.
L’homme aura au moins reçu le soutien de l’hebdomadaire d’extrême droite Rivarol, dont un article du directeur Jérôme Bourbon sermonne «les tièdes, les faux amis, les timorés, les duplices». Et appelle Radio Courtoisie à garantir «l’expression de toutes les sensibilités des droites, y compris les plus radicales et les moins israélophiles»
waow
- ancien posteur
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par Der » 05 Juil 2017, 13:27
J'ai beau n'être absolument pas d'accord avec les idées de ce type, il me serait presque sympathique parce que je pense que contrairement à beaucoup, il pense totalement ce qu'il dit, et ne fait pas ça par calcul. Ce qui lui donne un côté totalement anti-politiquement correct assez drole.
On se fait des bisous et on s'encule.
par fernando » 05 Juil 2017, 13:32
Alors que la réforme du marché du travail par ordonnances était un des piliers du programme de François Fillon, Christian Jacob s’est également payé le luxe de critiquer cette mauvaise manière faite au Parlement. « Si le débat n’a pas lieu ici, il aura lieu dans la rue », a mis en garde le président du groupe LR, oubliant de rappeler que son candidat malheureux avait théorisé le recours aux ordonnances au cœur de l’été pour court-circuiter le mouvement social…
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par krouw2 » 06 Juil 2017, 02:06
Certes, mais comme tous les autres ont pris une branlée il se place comme opposant number one, 28% des sondés contre 14% au FN, 4% pour le..PS, rappelons qu'à 6 millions de voix il gagnait :)
Aussi non, un début à la Hollande à base de déficit caché? l'ex premier ministre est député apparenté LREM rappelons le :
Les impôts augmenteront en 2018
CSG, impôts locaux, taxe carbone vont bondir, tandis que les baisses prévues par le candidat Macron sont repoussées. Revue de détail.
Par Laurence Allard
Publié le 05/07/2017 à 12:53 | Le Point.fr
Contrairement à ce qu' avait annoncé le candidat Emmanuel Macron, les prélèvements obligatoires vont progresser l'année prochaine.
Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent. Les Français vont encore en faire les frais l'an prochain. Dans son discours de politique générale, le Premier ministre a annoncé le report de quasiment toutes les baisses d'impôts annoncées par le candidat Macron. Il ne reste plus que la hausse de 1,7 point de la CSG compensée en partie par la suppression des 3,15 points de cotisations chômage et maladie payées par les salariés. Ces deux mesures interviendront, elles, dès le 1er janvier. En cause : le dérapage des déficits publics révélé par la Cour des comptes.
La suppression complète de la taxe d'habitation pour 80 % des ménages est repoussée à 2022, la réforme de l'ISF qui devait sortir de l'assiette imposable tous les actifs non immobiliers, l'instauration de la flat tax de 30 % (prélèvements sociaux inclus) sur les revenus du capital n'interviendront qu'en 2019. Tout comme la transformation du CICE en baisse des charges. Un report assorti d'aucune certitude que, cette fois, ces mesures ne seront pas l'an prochain encore repoussées. Le retour du déficit public sous la barre des 3 % du PIB est d'autant moins acquis que se profilent de nouvelles charges du fait de la hausse des taux d'intérêt (augmentation de la charge de la dette) et que ces réformes devaient contribuer à redonner du dynamisme à la croissance, redonner de l'attractivité à notre pays.
Exit les mesures sur le capital qui devaient inciter les expatriés à rentrer
Exit en 2018 la baisse des charges et la baisse de l'impôt sur les sociétés qui devaient relancer l'investissement aujourd'hui en berne. Exit toutes les mesures sur le capital qui devaient inciter les expatriés à rentrer, à investir sur leur épargne sur des placements qui financent l'économie. Pire : en 2016, ces revenus seront encore plus taxés qu'aujourd'hui du fait de la hausse de la CSG. Exit la relance du pouvoir d'achat au travers de la disparition progressive de la taxe d'habitation. Au total, les ménages paieront en 2018 plus de CSG sur les revenus salariaux, leurs pensions et sur les revenus de leur épargne, plus d'impôts locaux, plus de taxe carbone. Édouard Philippe a, en effet, annoncé l'accélération de la montée en puissance de cet impôt qui frappe la consommation de carburants. Il avait été prévu que cette « contribution climat », qui a représenté pour chaque Français en moyenne un coût supplémentaire de 86 euros en 2016, atteigne 200 euros bien avant 2020. S'y ajoute la hausse du prix du paquet de cigarettes, qui devrait passer en moyenne progressivement de 7 à 10 euros.
Autre contre-message : la baisse des dépenses publiques se transforme en une stabilisation, ce qui, certes, exige des économies compte tenu de l'inflation et de l'évolution naturelle des dépenses, mais on est loin d'un programme drastique de retour à l'équilibre par la maîtrise des dépenses.
Dans un pays où le ras-le-bol fiscal est fort, les Français accepteront-ils d'attendre un an de plus ? Emmanuel Macron en fait le pari.
Aussi non, un début à la Hollande à base de déficit caché? l'ex premier ministre est député apparenté LREM rappelons le :
Les impôts augmenteront en 2018
CSG, impôts locaux, taxe carbone vont bondir, tandis que les baisses prévues par le candidat Macron sont repoussées. Revue de détail.
Par Laurence Allard
Publié le 05/07/2017 à 12:53 | Le Point.fr
Contrairement à ce qu' avait annoncé le candidat Emmanuel Macron, les prélèvements obligatoires vont progresser l'année prochaine.
Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent. Les Français vont encore en faire les frais l'an prochain. Dans son discours de politique générale, le Premier ministre a annoncé le report de quasiment toutes les baisses d'impôts annoncées par le candidat Macron. Il ne reste plus que la hausse de 1,7 point de la CSG compensée en partie par la suppression des 3,15 points de cotisations chômage et maladie payées par les salariés. Ces deux mesures interviendront, elles, dès le 1er janvier. En cause : le dérapage des déficits publics révélé par la Cour des comptes.
La suppression complète de la taxe d'habitation pour 80 % des ménages est repoussée à 2022, la réforme de l'ISF qui devait sortir de l'assiette imposable tous les actifs non immobiliers, l'instauration de la flat tax de 30 % (prélèvements sociaux inclus) sur les revenus du capital n'interviendront qu'en 2019. Tout comme la transformation du CICE en baisse des charges. Un report assorti d'aucune certitude que, cette fois, ces mesures ne seront pas l'an prochain encore repoussées. Le retour du déficit public sous la barre des 3 % du PIB est d'autant moins acquis que se profilent de nouvelles charges du fait de la hausse des taux d'intérêt (augmentation de la charge de la dette) et que ces réformes devaient contribuer à redonner du dynamisme à la croissance, redonner de l'attractivité à notre pays.
Exit les mesures sur le capital qui devaient inciter les expatriés à rentrer
Exit en 2018 la baisse des charges et la baisse de l'impôt sur les sociétés qui devaient relancer l'investissement aujourd'hui en berne. Exit toutes les mesures sur le capital qui devaient inciter les expatriés à rentrer, à investir sur leur épargne sur des placements qui financent l'économie. Pire : en 2016, ces revenus seront encore plus taxés qu'aujourd'hui du fait de la hausse de la CSG. Exit la relance du pouvoir d'achat au travers de la disparition progressive de la taxe d'habitation. Au total, les ménages paieront en 2018 plus de CSG sur les revenus salariaux, leurs pensions et sur les revenus de leur épargne, plus d'impôts locaux, plus de taxe carbone. Édouard Philippe a, en effet, annoncé l'accélération de la montée en puissance de cet impôt qui frappe la consommation de carburants. Il avait été prévu que cette « contribution climat », qui a représenté pour chaque Français en moyenne un coût supplémentaire de 86 euros en 2016, atteigne 200 euros bien avant 2020. S'y ajoute la hausse du prix du paquet de cigarettes, qui devrait passer en moyenne progressivement de 7 à 10 euros.
Autre contre-message : la baisse des dépenses publiques se transforme en une stabilisation, ce qui, certes, exige des économies compte tenu de l'inflation et de l'évolution naturelle des dépenses, mais on est loin d'un programme drastique de retour à l'équilibre par la maîtrise des dépenses.
Dans un pays où le ras-le-bol fiscal est fort, les Français accepteront-ils d'attendre un an de plus ? Emmanuel Macron en fait le pari.
Hollande 2027
par Baratte » 06 Juil 2017, 08:13
fanofmonk a écrit:Tain il aura meme pas attendu 6 mois pour bien tous nous sodomiser ce con. Sinon deg pour la taxe d'habitation, moi qui y ai vraiment cru, 2022, j'ai le temps d'être sdf avant que ca se mette en place ce truc. Merci président. Lol!!
Ah , t'y avais crû ... t'es bien naïf ! Mimolette avait mis la vaseline , lui . Et on en est qu'au début ...
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par fernando » 06 Juil 2017, 09:16
Dageek a écrit:Finalement c etait genial cette idee de mettre des doukisortent comme candidats aux législatives. Ca donnera probablement l assemblée la plus passive de l histoire
C'est l'idée enéfé.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 06 Juil 2017, 09:17
fanofmonk a écrit:Tain il aura meme pas attendu 6 mois pour bien tous nous sodomiser ce con. Sinon deg pour la taxe d'habitation, moi qui y ai vraiment cru, 2022, j'ai le temps d'être sdf avant que ca se mette en place ce truc. Merci président. Lol!!
C'est beau de voir un jeune plein d'idéal =)
Aussi non, on pose déjà les bases d'un 2ème tour Le Pen-Mélenchon en 2022, ça démarre fort.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fanofmonk » 06 Juil 2017, 09:34
C'est beau de toujours donné encore plus envie au jeunes de croire en la politique.. Et après on va venir engueuler les gens qui ne votent pas car cest un droit et un devoir.. Mais respecter les frensssais quand on est president, c'est un devoir egalement. Et apparemment, ca, tout le monde s'en branle..
par fernando » 06 Juil 2017, 12:05
krouw2 a écrit:tant que tu fais barrage ça ira.
+1, le seul programme important pour se faire élire c'est faire barrage au front national. Pour le reste faut pas trop se soucier des détails.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par krouw2 » 06 Juil 2017, 12:45
tiens des news du député (roux) de Nando:
Adrien Quatennens : Juste, est-ce qu'il serait possible madame la présidente d'avoir un état des lieux du nombre d'amendements que nous avons traités jusqu'ici ?
Brigitte Bourguignon : Oui.
Adrien Quatennens : Merci.
Brigitte Bourguignon : Il en reste 93 et nous en avons vu 77.
Adrien Quatennens : D'accord. Avec un taux d'acceptation de 0%. C'est bien ça ?
Brigitte Bourguignon : Bah évidemment. [Rires] Vous l'imaginez.
http://lelab.europe1.fr/video-evidemmen ... te-3381749
Adrien Quatennens : Juste, est-ce qu'il serait possible madame la présidente d'avoir un état des lieux du nombre d'amendements que nous avons traités jusqu'ici ?
Brigitte Bourguignon : Oui.
Adrien Quatennens : Merci.
Brigitte Bourguignon : Il en reste 93 et nous en avons vu 77.
Adrien Quatennens : D'accord. Avec un taux d'acceptation de 0%. C'est bien ça ?
Brigitte Bourguignon : Bah évidemment. [Rires] Vous l'imaginez.
http://lelab.europe1.fr/video-evidemmen ... te-3381749
Hollande 2027
par Der » 06 Juil 2017, 13:29
Et?
C'est sensé être choquant?
Toutes les majorités font à peu près la même chose. Et faut voir la gueule des amendements aussi; si c'est pour vider la loi de sa substance ou la dénaturer en profondeur comme avec la dernière loi travail...
C'est sensé être choquant?
Toutes les majorités font à peu près la même chose. Et faut voir la gueule des amendements aussi; si c'est pour vider la loi de sa substance ou la dénaturer en profondeur comme avec la dernière loi travail...
On se fait des bisous et on s'encule.
par fernando » 06 Juil 2017, 13:49
Outre le rejet de tous les amendements étudiés, certains journalistes ont noté qu'aucun député La République en marche n'a pris la parole, à l'exception de la présidente de la commission et du rapporteur du texte Laurent Pietraszewski. Évidemment.
Une belle assemblée de députés godillots qu'on va avoir là.
Une belle assemblée de députés godillots qu'on va avoir là.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par krouw2 » 06 Juil 2017, 13:55
bah non, rien de choquant, et pour avoir vu quelques amendements ils n'ont rien de débiles,certains veulent juste préciser et encadrer certains points.
C'est juste pour montrer la perte de temps et la parodie de débat, avec le petit rire ironique en bonus...
Après on peut regretter les amendements de la précédente loi travail sur les limitations des indemnités prudhommes et les accords de branches, c'est pas passé par 2 fois (loi Macron et el Kohmri) mais ça va passer pour la saison 3 , malgré tout
C'est juste pour montrer la perte de temps et la parodie de débat, avec le petit rire ironique en bonus...
Après on peut regretter les amendements de la précédente loi travail sur les limitations des indemnités prudhommes et les accords de branches, c'est pas passé par 2 fois (loi Macron et el Kohmri) mais ça va passer pour la saison 3 , malgré tout
Hollande 2027
par fernando » 07 Juil 2017, 08:47
krouw2 a écrit:par contre les fonxios vont finir par plus faire trop barrage, bing le jour de carence...
Objectivement, y'a aucune raison à ce que les salariés du privé aient 3 jours de carence et les fonctionnaires aucun.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par krouw2 » 07 Juil 2017, 12:18
nan mais si on coupe la phrase ça veut plus dire la même chose pfff, en plus t'as pas dit Mélenchon dans ta phrase :)
perso je trouve ça normal que l'on demande quelque chose aux retraités qui sont souvent proprio et ont connu les années faciles, mais les 78% de viocs qui ont voté Macron au second tour vont peut être avoir le vernis qui craque la prochaine fois sans la suppression de la taxe d'hab.
Pour le jour de carence, la plupart des boites du privé ont une conv collective ou un accord de branche avec la prise en charge des jours de carences, après un certain délai de présence, mais eux de toute façon le vernis a craqué depuis longtemps, pas une majorité de fonxios.
On verra en aux prochaines élections
perso je trouve ça normal que l'on demande quelque chose aux retraités qui sont souvent proprio et ont connu les années faciles, mais les 78% de viocs qui ont voté Macron au second tour vont peut être avoir le vernis qui craque la prochaine fois sans la suppression de la taxe d'hab.
Pour le jour de carence, la plupart des boites du privé ont une conv collective ou un accord de branche avec la prise en charge des jours de carences, après un certain délai de présence, mais eux de toute façon le vernis a craqué depuis longtemps, pas une majorité de fonxios.
On verra en aux prochaines élections
Hollande 2027
par fernando » 07 Juil 2017, 12:29
krouw2 a écrit:Pour le jour de carence, la plupart des boites du privé ont une conv collective ou un accord de branche avec la prise en charge des jours de carences,
oui 80% des salariés du privé
Y'a beaucoup d'abus concernant les arrêts maladies, dans le public, faut le reconnaître, mais tout le monde paye pour cette minorité de fumistes.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par rodolfo » 07 Juil 2017, 12:33
fernando a écrit:krouw2 a écrit:Pour le jour de carence, la plupart des boites du privé ont une conv collective ou un accord de branche avec la prise en charge des jours de carences,
oui 80% des salariés du privé
Y'a beaucoup d'abus concernant les arrêts maladies, dans le public, faut le reconnaître, mais tout le monde paye pour cette minorité de fumistes.
500M€/an pour l'état je crois.
Mais le gouvernement précédent avait répondu : "Ouais...... bof, qu'est-ce que c'est 500M€ pour l'état, hein?"
......
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