[01T] Politix, fonctionnaire et Cie

Messagepar krouw2 » 02 Déc 2016, 13:31

hamontéloltoidéfoi
Hollande 2027
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Messagepar SAV » 02 Déc 2016, 13:50

krouw2 a écrit:hamontéloltoidéfoi

+1
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar krouw2 » 02 Déc 2016, 14:12

De quoi relancer la rumeur MaRTINE auBRy
Hollande 2027
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Messagepar rodolfo » 02 Déc 2016, 14:14

fernando a écrit:
pfff... a écrit:Montebourg, Hamon, l inconnue du PRG, Melenchon et son anti germanisme primaire, Philippe Poitou qui est candidat parce qu il faut rendre service . La liste est longue.


Ca va faire du monde pour se partager 35% des suffrages.

25%. :)
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Messagepar ancien posteur » 02 Déc 2016, 15:05

rodolfo a écrit:
fernando a écrit:
pfff... a écrit:Montebourg, Hamon, l inconnue du PRG, Melenchon et son anti germanisme primaire, Philippe Poitou qui est candidat parce qu il faut rendre service . La liste est longue.

Ca va faire du monde pour se partager 35% des suffrages.

25%. :)


25% si Valls se présente? Me rends compte que j ai oublie Macron et Bayrou. Et Jadot.
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Messagepar fernando » 02 Déc 2016, 15:48

Hormis Fillon et la grosse, y'aura pas grand monde au-dessus de 10%.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar Giallo » 02 Déc 2016, 15:51

malgré l’accumulation de candidats je crois que je n'ai jamais été aussi proche de ne pas voter.
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar SAV » 02 Déc 2016, 15:53

Giallo a écrit:malgré l’accumulation de candidats je crois que je n'ai jamais été aussi proche de ne pas voter.

Pareil.
Alors qu'avant c'était limite si je n'insultais pas les gens qui n'y allaient pas.
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar fernando » 02 Déc 2016, 15:55

Giallo a écrit:malgré l’accumulation de candidats je crois que je n'ai jamais été aussi proche de ne pas voter.


Ouais c'est assez étrange, j'ai un peu la même sensation, y'a une offre pléthorique mais rien qui me botte vraiment. Je vais comême lire les programmes des uns et des autres en espérant y trouver un peu de motivation.

Rodolfo, 3€ le livre-programme de Mélenchon, je t'en prends un à ce prix là?
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Messagepar manulosc » 02 Déc 2016, 15:58

vous pouvez toujour voté blanc
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Messagepar ancien posteur » 02 Déc 2016, 15:59

Giallo a écrit:malgré l’accumulation de candidats je crois que je n'ai jamais été aussi proche de ne pas voter.


En 2012, Sarkozy et Hollande redoublaient de promesses, toutes basées sur une croissance digne de l économie chinoise (autrement dit: des promesses basées sur des rentrées d'argent abondantes). Aucun journaliste pour les contredire (Pujadas style). Forcement, après le vote, on est forcement déçu. Et ca ne donne pas envie d aller voter.
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Messagepar Giallo » 02 Déc 2016, 16:02

SAV a écrit:
Giallo a écrit:malgré l’accumulation de candidats je crois que je n'ai jamais été aussi proche de ne pas voter.

Pareil.
Alors qu'avant c'était limite si je n'insultais pas les gens qui n'y allaient pas.


idem, j'ai jamais eu un candidat pour lequel j'étais derrière à 100% mais je me disais toujours qu'il y en avait un largement moins pire que les autres...

Après on se rend compte du dérapage incontrôlé du paysage politique sur la droite quand Juppé qui était à la droite de la droite en 95 passe pour un mou du genou en 2017.... même à "gauche" (si on peut encore appeler ça comme cela) c'est pas terrible...

Sur le papier je devrais donc voter un truc genre Mélenchon mais c'est juste pas possible quand on regarde ses propositions... et puis rien que pour son attitude faussement anti-système et ses positions sur Cuba, Poutine, Chavez ou encore la Libye il me donne envie de gerber.
Dernière édition par Giallo le 02 Déc 2016, 16:05, édité 1 fois.
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar Giallo » 02 Déc 2016, 16:04

désolé doublon
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Messagepar gblosc » 02 Déc 2016, 16:11

manulosc a écrit:vous pouvez toujour voté blanc

Bah depuis son licenciement du PSG, je ne le sens plus trop motivé ...
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Messagepar fernando » 02 Déc 2016, 16:19

Giallo a écrit:Sur le papier je devrais donc voter un truc genre Mélenchon mais c'est juste pas possible quand on regarde ses propositions...


Mélenchon fait un certain nombre de constats tout à fait justes, mais ses propositions c'est franchement too much. Tu appliques son programme à la lettre et tous les riches jusqu'au dernier fuient le territoire avant la fin de l'année, et t'as plus aucun investissement étranger en Fransse avant 2030.
Toutes ses propositions sont sur le fond très louables et sympathiques, mais il fait simplement abstraction du contexte économique mondialisé. Quand tu fais remarquer cela à des groupies de Mélenchon, certains te rétorquent sérieusement qu'il faut pas avoir peur d'aller à la rupture avec le monde capitaliste et qu'on peut vivre en autarcie. Sont plus très loin du NPA auourd'hui.
Et sur la politique étrangère ses sympathies sont souvent bien foireuses enéfé.
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Messagepar fernando » 02 Déc 2016, 16:19

gblosc a écrit:
manulosc a écrit:vous pouvez toujour voté blanc

Bah depuis son licenciement du PSG, je ne le sens plus trop motivé ...


Il va sortir du bois. Pas pour rien qu'on l'appelait "le Président".
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Messagepar Der » 02 Déc 2016, 16:22

gblosc a écrit:
manulosc a écrit:vous pouvez toujour voté blanc

Bah depuis son licenciement du PSG, je ne le sens plus trop motivé ...


Nan mais il fait pas de politique, Laurent Blanc, tu dois confondre avec lui:
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On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar John Holmes » 02 Déc 2016, 16:26

Der a écrit:
gblosc a écrit:
manulosc a écrit:vous pouvez toujour voté blanc

Bah depuis son licenciement du PSG, je ne le sens plus trop motivé ...


Nan mais il fait pas de politique, Laurent Blanc, tu dois confondre avec lui:
Image


Ou lui ?

Image
"Connard =)"
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Messagepar Giallo » 02 Déc 2016, 16:40

fernando a écrit: Quand tu fais remarquer cela à des groupies de Mélenchon, certains te rétorquent sérieusement qu'il faut pas avoir peur d'aller à la rupture avec le monde capitaliste et qu'on peut vivre en autarcie. Sont plus très loin du NPA auourd'hui.


ou ils te renvoient un article d'un blog obscur genre "je-ne-suis-plus-un-mouton.blogspot.fr" ou "les-insoumis.altermondialiste.org" qui dit que telle ou telle mesure a pourtant bien marché en Lituanie...
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar gblosc » 02 Déc 2016, 16:48

Donc Manu, il vaut mieux voter Laurent Blanc, Dominique Blanc ou Michel Blanc ?
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Messagepar rodolfo » 02 Déc 2016, 16:49

fernando a écrit:
Giallo a écrit:malgré l’accumulation de candidats je crois que je n'ai jamais été aussi proche de ne pas voter.


Ouais c'est assez étrange, j'ai un peu la même sensation, y'a une offre pléthorique mais rien qui me botte vraiment. Je vais comême lire les programmes des uns et des autres en espérant y trouver un peu de motivation.

Rodolfo, 3€ le livre-programme de Mélenchon, je t'en prends un à ce prix là?



Je veux bien. J'aime bien Mélenchon en fait.

J'ai toujours apprécié la franchise communiste et eu en horreur l'hypocrisie socialiste.
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Messagepar Der » 02 Déc 2016, 16:50

gblosc a écrit:Donc Manu, il vaut mieux voter Laurent Blanc, Dominique Blanc ou Michel Blanc ?

Mais puisque j'te dis que c'est Gérard!
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar fernando » 02 Déc 2016, 16:53

rodolfo a écrit:Je veux bien. J'aime bien Mélenchon en fait.

J'ai toujours apprécié la franchise communiste et eu en horreur l'hypocrisie socialiste.


Ah ben là il fait pas dans la dentelle. C'est quasi-révolutionnaire son programme.

Le PS après le quinquennat d'Hollande, ils vont avoir du mal à se faire passer pour le parti des classes populaires et laborieuses.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar gblosc » 02 Déc 2016, 16:59

Der a écrit:
gblosc a écrit:Donc Manu, il vaut mieux voter Laurent Blanc, Dominique Blanc ou Michel Blanc ?

Mais puisque j'te dis que c'est Gérard!

Gérard Lopez se présente seulement à la présidence du LOSC je crois.
Tain, Manu a encore foutu le bowdel !!!
Il n'est pas tout blanc en tout cas ...
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Messagepar laurentlille1 » 02 Déc 2016, 17:12

Les français galèrent financièrement, vivent dans un pays sous menace terroriste et subissent la L1 tous les week-ends mais les hommes politiques, aujourd'hui, saluent le "courage de François Hollande".
Bordel, le courage de quoi?
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Messagepar manulosc » 02 Déc 2016, 17:38

j ai pas foutu le bordel hein gb
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Messagepar fernando » 02 Déc 2016, 17:48

laurentlille1 a écrit:les hommes politiques, aujourd'hui, saluent le "courage de François Hollande". Bordel, le courage de quoi?


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Messagepar fernando » 02 Déc 2016, 22:41

Ouch il pique celui-là


Hollande laisse le pays comme il avait laissé le PS

2 décembre 2016 Par stéphane alliès

Le président a géré la France avec la même inconséquence qu’il a dirigé le PS dix ans durant. En partant, il transmet à ses successeurs un paysage identique. Dépolitisé, sans idées et peuplé d’un personnel politique médiocre.

Mêmes causes, même conséquence. Sans réelle surprise, après avoir longuement documenté à quel point François Hollande avait géré le pays comme il a géré le parti socialiste, la similitude entre l’état de la France et celui du PS apparaît tout aussi flagrante. Sans avoir jamais réussi à se départir de son « syndrome de Dijon » (lire notre analyse de 2013), François Hollande jette l’éponge après avoir fait le vide de ses soutiens autour de lui, au point de ne plus avoir comme seule alternative de laisser ce qu’il reste de socialistes se débrouiller avec ce qu’il est difficile de nommer héritage. Comme en 2008 après avoir quitté la direction du PS. Après lui, le KO.

L’appareil socialiste ressemble aujourd’hui à ce à quoi il ressemblait à l’époque. Dépolitisé, sans idée et ayant renoncé à ses fondamentaux, promouvant un personnel politique médiocre.

Dépolitisé, car rarement une impasse politique n’aura été aussi constamment et patiemment construite sur du vide idéologique. Plus le temps a passé, plus les accents orwelliens (« la guerre, c’est la paix ; la gauche, c’est la droite ») ont remplacé toute tentative de mise en cohérence d’un discours et d’une action au pouvoir.

Plutôt que d’affronter réellement le non-sens d’une orientation politique tournant systématiquement le dos à un programme et à un électorat, le pouvoir élu par la gauche a privilégié la construction d’un monde parallèle (où les défaites récurrentes n’en sont jamais) aux slogans ineptes (« Hé oh la gauche ! »). Souvenons-nous du PS à la fin de l’ère Hollande : la seule satisfaction post-défaite présidentielle de 2007 fut l’adoption d’une charte des principes en 2008, dont la seule nouveauté fut d’abandonner le terme “Lutte des classes”.

Sans idée, car jamais l’Élysée n’a cherché à donner une quelconque hauteur intellectuelle au pouvoir, préférant se réfugier dans une politique de la peur. Politique qui a, par exemple, permis de mettre en accusation « ceux qui veulent comprendre » d'aussitôt vouloir excuser le terrorisme. Obnubilé par l’orthodoxie économiciste et le « hors l’Ena point de salut », Hollande n’a jamais ambitionné de se sauver par l’intelligence. On cherche encore les sociologues ou historiens régulièrement consultés au château, où même soutenant, ne serait-ce que du bout des lèvres, la moindre action du chef de l’État.

Pour la culture, « il faut voir avec Jack et Monique », résume-t-il dans le documentaire d’Yves Jeuland. Pour les artistes, hormis Benjamin Biolay et Catherine Deneuve encore mobilisés pour une dernière pétition en forme de long sanglot, ils n’ont jamais été aussi peu nombreux à s’assumer compagnons de route socialistes. Sauf à la fin des années 2000, avant que Martine Aubry ne se réconcilie patiemment avec une intelligentsia écœurée par l’obsession gestionnaire de François Hollande, déjà.

La promotion d’un personnel politique affligeant, c’était aussi déjà le cas en 2008 au milieu des ruines du PS hollandais. Les barons locaux si chers au premier secrétaire d’alors, comme les secrétaires nationaux fantoches mais permettant toutes les synthèses, ont laissé place à des ministres et des secrétaires d’État dont la qualité première semble le plus souvent d’avoir été le meilleur apparatchik (Jean-Christophe Cambadélis promu à la tête du PS), voire le pire (Harlem Désir au PS, puis aux affaires européennes).

Les rapports au reste de la gauche sont tout aussi anecdotisés et réduits aux pires débauchages des pires ambitieux (Jean-Vincent Placé) ou du pire des professionnels politiques (Jean-Marie Le Guen, Jean-Michel Baylet). Le parallèle accompagne aussi sa solitude au pouvoir, hors son carré de fidèles. Méprisé par les poids lourds du parti il était (Strauss-Kahn, Aubry ou Fabius), assassiné politiquement par la nouvelle génération (Macron, Valls, Montebourg, Hamon) il finit.

François Hollande aura incarné la dissolution du clivage gauche/droite en même temps que l’enterrement du socialisme français, presque réalisé à Solférino mais définitivement achevé à l’Élysée. Lors de son double quinquennat à la tête du PS, comme de son simple quinquennat à la tête de l’État, c’est sur l’Europe que s’est appuyé cet héritier de Jacques Delors (dont il partagera au moins le sens de la mise en scène au moment de renoncer). Non content d’avoir fait campagne commune avec Sarkozy en 2005 pour le traité constitutionnel et contre la majorité du peuple français comme de gauche, c’est sur le dos des Grecs et avec la droite allemande qu’il aura acté la disparition de toute audace politique.

Le parallèle avec les années Hollande au PS peut aussi fonctionner en évoquant l’incapacité à saisir l’importance des affaires (laissant prospérer des Guérini comme il s’est laissé convaincre par le mensonge répété de Cahuzac) ; le désintérêt absolu des questions de discriminations ou de droits de l’homme ; un intérêt tout relatif pour l’écologie, sauf quand elle est susceptible de servir les siens (d’intérêts) ; la réticence à comprendre toute mobilisation qui viendrait de la rue.

On pourrait même poursuivre cette comparaison lugubre en évoquant les inconséquences de sa vie privée plombant les dynamiques politiques de son camp, ou même l’impossibilité rue du Faubourg-Saint-Honoré comme rue de Solférino de sortir de son rôle de commentateur de lui-même, ne parvenant pas à voir la vie au-delà du filtre journalistique qu’il apprécie tant et qui sera finalement sa perte (lire le billet d’Antoine Perraud).

« François Hollande, le fossoyeur du PS » s’est lui-même fossoyé à l'Élysée, sans rien changer à son « bricolage pragmatique » (énoncé il y a plus de trente ans dans le livre La Troisième Alliance), dont on ne parvient toujours pas à comprendre comment il a pu convaincre sa majorité, malgré une première expérience de pouvoir aussi annonciatrice que calamiteuse.

En 2008, quand François Hollande s’est retiré du parti, il avait adoubé Bertrand Delanoë comme continuateur réformiste et social-libéral. Celui-ci avait été balayé par les militants lors du congrès de Reims. Cette fois-ci, l’héritier pourrait se nommer Manuel Valls, sous l’égide de Jean-Christophe Cambadélis devenu chef de parti. Comme lui (mais aussi comme François Fillon ou Jean-Luc Mélenchon), ils n’ont jamais vécu d’autre chose que d’indemnités d’élu. Mais pour François Hollande, l’heure de la retraite anticipée a sonné.
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Messagepar rodolfo » 02 Déc 2016, 23:06

Patrick Sébastien renonce aussi à se présenter à la présidentielle.

De rien.
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Messagepar ancien posteur » 03 Déc 2016, 01:33

Bel aryicle Fernando.

Mais concernant Fillon, en toute fin de texte, il y a erreur. Il s est bien enrichi en faisant du consulting.
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