despe a écrit:krouw2 a écrit:despe a écrit:[imghttps://pbs.twimg.com/media/C-aD9DyXYAA1gvS.jpg[/img]
il a pris cher Popeye
Captain iglo
Captain facho
[01T] Politix, fonctionnaire et Cie
par rhazelle » 27 Avr 2017, 20:18
fanofmonk a écrit:rhazelle a écrit:fanofmonk a écrit:Ok donc restons dans ce système la. Ya tout qui va bien.
+1.
Quelqu'un parlait de régulation, c'est le mot. Laurent a raison sur la pénalisation et le message envoyé aux investisseurs, mais des gardes fou doivent être impértivement mis en place...lesquels..faut demander à Attali :-)
Euh, c'était de l'humour pour ma part rhazelle. Je suis entre interim et cdd, pour m'en sortir, et entendre dire que 300 licenciement est une anecdote, ca me repugne au plus haut point.
Ba merci vieux, j'ai bien compris l'ironie de ton propos. :-)
ON s'est mal compris, je suis d'accord avec toi. Le "système" tel qu'il est actuellement ne fonctionne plus. Des cas comme whirlpool , c'est pas normal. Donc un peu de régulation là-dedans, ce serait déjà pas mal.
Et la photo de ta collection de godes que John Holmes a posté l'autre jour , ça vient du Journal de Mickey ?
par fanofmonk » 28 Avr 2017, 07:17
Ok rhazelle, dans ce cas on est d'accord. Bon sinon, a tf1 hier soir, macron parle pour ne rien dire. Et il a interet a bosser pour le debat, car on l'a bien sentit buggé par moment sur certaines questions. Marine va le tuer s'il refait cela. Sinon, je milite pour un 0-0 le 7 mai prochain, et qu'on nous donne deux autres candidats bien meilleurs! La c'est de la MERDE pour le moment.
par laurentlille1 » 28 Avr 2017, 08:18
La démocratie selon les Insoumis quoi... On vote et si ce n'est pas son candidat qui est élu on manifeste, on casse (ouin ouin les violences policières) et on recommence les élections?
par laurentlille1 » 28 Avr 2017, 09:13
Soyez dignes dans la défaite, comme les fillonistes de Rodolfo:
par Baratte » 28 Avr 2017, 09:39
fernando a écrit:Dageek a écrit:Lol le roux derrière qui gueulait " la presse on t encule"
?
Faut que t'arrêtes l'âne Ouna et que tu te tiennes un plus informé , bordel !
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par laurentlille1 » 28 Avr 2017, 11:47
Version longue, brute, à base de "on va voter Le Pen", médias corrompus...
Régalez-vous.
par fernando » 28 Avr 2017, 13:11
laurentlille1 a écrit:
Version longue, brute, à base de "on va voter Le Pen", médias corrompus...
Régalez-vous.
C'est la faute des médias! On dirait des électeurs de Trump
C'est beau de voir ces 6 jeunes révoltés par l'ISF et les charges sociales qui pèsent sur les entreprises.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 28 Avr 2017, 13:59
This is provocation
Laurence Parisot sur les rangs pour être Premier ministre d’Emmanuel Macron
Selon les informations du journal Marianne, l’ancienne présidente du Medef est régulièrement citée pour Matignon, en cas d’élection d’Emmanuel Macron le 7 mai prochain.
Le 8 mars dernier, Emmanuel Macron avait indiqué souhaiter nommer une femme à Matignon, s’il était élu. Mais alors qui ? Car dans son équipe de campagne rapprochée, force est de constater que les femmes sont assez rares… Selon le site de Marianne, son entourage commence à évoquer le nom de Laurence Parisot, l’ancienne présidente du Medef.
Engagée politiquement au centre puisqu’elle a soutenu les listes UDI-Modem aux élections européennes de 2014, Laurence Parisot reste toutefois fortement marquée par son étiquette de présidente du mouvement patronal, ce qui pourrait agacer une partie de la gauche qui s’apprête à voter pour Emmanuel Macron.
“J’ai une expérience, je suis crédible”
Ce qui n’empêche pas Laurence Parisot de se déclarer “prête” pour le poste. “J’ai plusieurs fois dit que j’étais disponible à faire des choses. J’ai une expérience, je suis crédible. Donc je peux être prête”, a déclaré la vice-présidente de l’Ifop, qui concède : “actuellement, je n’ai pas de relation avec lui ou ses équipes sur la question”, assure-t-elle. Pour l’instant ?
D’ailleurs, toujours selon Marianne, l’entourage d’Emmanuel Macron reconnait que le candidat n’aborde jamais la question du Premier ministre, demandant à ses équipes de se “concentrer sur la campagne” en ne faisant “aucune promesse de poste”. D’autant que l’élection est loin d’être gagnée pour Emmanuel Macron. Selon un dernier sondage Opinionway-Orpi pour Les Échos et Radio Classique publié jeudi, le candidat d’En Marche chute à 59% d’intentions de vote au second tour de l’élection présidentielle le 7 mai contre 41% pour Marine Le Pen.
Laurence Parisot sur les rangs pour être Premier ministre d’Emmanuel Macron
Selon les informations du journal Marianne, l’ancienne présidente du Medef est régulièrement citée pour Matignon, en cas d’élection d’Emmanuel Macron le 7 mai prochain.
Le 8 mars dernier, Emmanuel Macron avait indiqué souhaiter nommer une femme à Matignon, s’il était élu. Mais alors qui ? Car dans son équipe de campagne rapprochée, force est de constater que les femmes sont assez rares… Selon le site de Marianne, son entourage commence à évoquer le nom de Laurence Parisot, l’ancienne présidente du Medef.
Engagée politiquement au centre puisqu’elle a soutenu les listes UDI-Modem aux élections européennes de 2014, Laurence Parisot reste toutefois fortement marquée par son étiquette de présidente du mouvement patronal, ce qui pourrait agacer une partie de la gauche qui s’apprête à voter pour Emmanuel Macron.
“J’ai une expérience, je suis crédible”
Ce qui n’empêche pas Laurence Parisot de se déclarer “prête” pour le poste. “J’ai plusieurs fois dit que j’étais disponible à faire des choses. J’ai une expérience, je suis crédible. Donc je peux être prête”, a déclaré la vice-présidente de l’Ifop, qui concède : “actuellement, je n’ai pas de relation avec lui ou ses équipes sur la question”, assure-t-elle. Pour l’instant ?
D’ailleurs, toujours selon Marianne, l’entourage d’Emmanuel Macron reconnait que le candidat n’aborde jamais la question du Premier ministre, demandant à ses équipes de se “concentrer sur la campagne” en ne faisant “aucune promesse de poste”. D’autant que l’élection est loin d’être gagnée pour Emmanuel Macron. Selon un dernier sondage Opinionway-Orpi pour Les Échos et Radio Classique publié jeudi, le candidat d’En Marche chute à 59% d’intentions de vote au second tour de l’élection présidentielle le 7 mai contre 41% pour Marine Le Pen.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par krouw2 » 28 Avr 2017, 14:29
il y a dans ce pays une fracture...
Présidentielle 2017 : ouvriers, chômeurs, jeunes... Qui a voté quoi ?
ÉCLAIRAGE - Si Emmanuel Macron a rassemblé un électorat assez homogène, certaines différences notables existent entre les candidats selon l'âge,
publié le 25/04/2017 à 14:10 mis à jour le 27/04/2017 à 14:18
Dimanche 23 avril, le rideau est tombé. Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont dominé les débats et remporté le premier tour de l'élection présidentielle. Si François Fillon et Jean-Luc Mélenchon ont un temps cru pouvoir bouleverser cette hiérarchie, ils ont échoué à respectivement moins de 470.000 et 620.000 voix de cette deuxième place qualificative pour le second tour.
Si Emmanuel Macron peut se targuer d'être arrivé en tête du premier tour avec 24,01%, il le doit surtout à un vote très homogène dans toutes les catégories interrogées, selon une enquête réalisée par Ipsos / Sopra Steria au près de 4.698 personnes inscrites sur les listes électorales.
Les ouvriers avec Le Pen, Macron séduit les cadres
Ouvrier, retraité, cadre, profession intermédiaire... L'électorat varie fortement en fonction des catégories socio-professionnelles. Le monde ouvrier est ainsi largement tourné vers Marine Le Pen, qui réalise un score de 37%, loin devant Jean-Luc Mélenchon (24%). Une catégorie où Emmanuel Macron ne séduit guère (16%).
À l'inverse, le leader "En Marche !" est majoritairement plébiscité chez les professions intermédiaires (26%) et surtout chez les cadres (33%) distançant largement François Fillon (20%), Jean-Luc Mélenchon (19%) et Marine Le Pen (14%).
En revanche, les retraités se sont eux essentiellement tournés vers François Fillon, à plus de 36%, alors que Emmanuel Macron arrive en deuxième position, dix points derrière.
Si le vote des salariés est assez homogène, Marine Le Pen arrivant devant Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon, les écarts sont beaucoup plus importants. Une catégorie où le leader de la France insoumise domine (31%), devant Marine Le Pen (26%) alors qu'Emmanuel Macron ne reçoit que 14% des votes.
Macron et la France qui va bien
C'est un des constats de cette enquête, Emmanuel Macron réalise des scores très favorables chez les foyers qui "vont bien". Outre les catégories socio-professionnelles, les statistiques en fonction du revenu des foyers sont dans la même lignée. Ainsi l'ancien pensionnaire de Bercy domine chez les foyers gagnants entre 2.000 et 3.000 euros (25%) et encore plus chez les foyers gagnant plus de 3.000 euros (32%).
Le raisonnement est parfaitement inversé pour Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen. Ces derniers arrivent largement en tête chez les foyers gagnant moins de 1.250 euros. Ils obtiennent respectivement 25% et 32% quand Emmanuel Macron est troisième à seulement 14%.
Mélenchon remporte le vote des jeunes
Concernant l'âge des électeurs, là encore subsistent certaines divergences notables. Ainsi, les jeunes de 18-24 ans se sont, en grand majorité, tournés vers Jean-Luc Mélenchon (30%). La présidente du Front national, deuxième, n'obtient cependant que 21% des voix.
À l'inverse, chez les plus de 60 ans, la population a majoritairement voté en faveur de François Fillon. D'une courte tête chez les 60-69 ans mais très largement chez les 70 ans et plus : 45% des personnes ont choisi l'ancien premier ministre, 27% Emmanuel Macron, 10% Marine Le Pen et seulement 9% Jean-Luc Mélenchon.
En fonction du sexe, Emmanuel Macron séduit davantage l'électorat féminin (25%), devant François Fillon (21%) et Marine Le Pen (20%). Cette dernière arrivant légèrement devant si l'on compare l'électorat masculin.
Dans les villes, les habitants plébiscitent Macron
Si l'on classe le vote en fonction de la taille des villes, l'a aussi les résultats sont différents des résultats nationaux. Le monde rural a ainsi davantage plébiscité Marine Le Pen (23%), devant Emmanuel Macron (21%), François Fillon (19%) et Jean-Luc Mélenchon (18%). Le constat est similaire dans les villes de moins de 20.000 habitants.
En revanche, le rapport de force s'inverse dans les communes de plus de 20.000 habitants. L'ancien ministre de l'Économie (26%) dépassant la fille de Jean-Marie Le Pen (24%). Un écart qui se creuse encore davantage dans l'agglomération parisienne où la présidente du Front national est relayée en quatrième position, derrière Emmanuel Macron (29%), François Fillon (25%) et Jean-Luc Mélenchon (19%).
Présidentielle 2017 : ouvriers, chômeurs, jeunes... Qui a voté quoi ?
ÉCLAIRAGE - Si Emmanuel Macron a rassemblé un électorat assez homogène, certaines différences notables existent entre les candidats selon l'âge,
publié le 25/04/2017 à 14:10 mis à jour le 27/04/2017 à 14:18
Dimanche 23 avril, le rideau est tombé. Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont dominé les débats et remporté le premier tour de l'élection présidentielle. Si François Fillon et Jean-Luc Mélenchon ont un temps cru pouvoir bouleverser cette hiérarchie, ils ont échoué à respectivement moins de 470.000 et 620.000 voix de cette deuxième place qualificative pour le second tour.
Si Emmanuel Macron peut se targuer d'être arrivé en tête du premier tour avec 24,01%, il le doit surtout à un vote très homogène dans toutes les catégories interrogées, selon une enquête réalisée par Ipsos / Sopra Steria au près de 4.698 personnes inscrites sur les listes électorales.
Les ouvriers avec Le Pen, Macron séduit les cadres
Ouvrier, retraité, cadre, profession intermédiaire... L'électorat varie fortement en fonction des catégories socio-professionnelles. Le monde ouvrier est ainsi largement tourné vers Marine Le Pen, qui réalise un score de 37%, loin devant Jean-Luc Mélenchon (24%). Une catégorie où Emmanuel Macron ne séduit guère (16%).
À l'inverse, le leader "En Marche !" est majoritairement plébiscité chez les professions intermédiaires (26%) et surtout chez les cadres (33%) distançant largement François Fillon (20%), Jean-Luc Mélenchon (19%) et Marine Le Pen (14%).
En revanche, les retraités se sont eux essentiellement tournés vers François Fillon, à plus de 36%, alors que Emmanuel Macron arrive en deuxième position, dix points derrière.
Si le vote des salariés est assez homogène, Marine Le Pen arrivant devant Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon, les écarts sont beaucoup plus importants. Une catégorie où le leader de la France insoumise domine (31%), devant Marine Le Pen (26%) alors qu'Emmanuel Macron ne reçoit que 14% des votes.
Macron et la France qui va bien
C'est un des constats de cette enquête, Emmanuel Macron réalise des scores très favorables chez les foyers qui "vont bien". Outre les catégories socio-professionnelles, les statistiques en fonction du revenu des foyers sont dans la même lignée. Ainsi l'ancien pensionnaire de Bercy domine chez les foyers gagnants entre 2.000 et 3.000 euros (25%) et encore plus chez les foyers gagnant plus de 3.000 euros (32%).
Le raisonnement est parfaitement inversé pour Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen. Ces derniers arrivent largement en tête chez les foyers gagnant moins de 1.250 euros. Ils obtiennent respectivement 25% et 32% quand Emmanuel Macron est troisième à seulement 14%.
Mélenchon remporte le vote des jeunes
Concernant l'âge des électeurs, là encore subsistent certaines divergences notables. Ainsi, les jeunes de 18-24 ans se sont, en grand majorité, tournés vers Jean-Luc Mélenchon (30%). La présidente du Front national, deuxième, n'obtient cependant que 21% des voix.
À l'inverse, chez les plus de 60 ans, la population a majoritairement voté en faveur de François Fillon. D'une courte tête chez les 60-69 ans mais très largement chez les 70 ans et plus : 45% des personnes ont choisi l'ancien premier ministre, 27% Emmanuel Macron, 10% Marine Le Pen et seulement 9% Jean-Luc Mélenchon.
En fonction du sexe, Emmanuel Macron séduit davantage l'électorat féminin (25%), devant François Fillon (21%) et Marine Le Pen (20%). Cette dernière arrivant légèrement devant si l'on compare l'électorat masculin.
Dans les villes, les habitants plébiscitent Macron
Si l'on classe le vote en fonction de la taille des villes, l'a aussi les résultats sont différents des résultats nationaux. Le monde rural a ainsi davantage plébiscité Marine Le Pen (23%), devant Emmanuel Macron (21%), François Fillon (19%) et Jean-Luc Mélenchon (18%). Le constat est similaire dans les villes de moins de 20.000 habitants.
En revanche, le rapport de force s'inverse dans les communes de plus de 20.000 habitants. L'ancien ministre de l'Économie (26%) dépassant la fille de Jean-Marie Le Pen (24%). Un écart qui se creuse encore davantage dans l'agglomération parisienne où la présidente du Front national est relayée en quatrième position, derrière Emmanuel Macron (29%), François Fillon (25%) et Jean-Luc Mélenchon (19%).
Hollande 2027
par fernando » 28 Avr 2017, 15:05
Même constat qu'aux states ou en Angleterre, le fossé sociologique se creuse entre les grosses villes, et la fransse rurale ou périphérique.
Dans les régions sinistrées, les losers de la mondialisation sont mauvais perdants et ne votent pas comme il faut.
Dans les régions sinistrées, les losers de la mondialisation sont mauvais perdants et ne votent pas comme il faut.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 28 Avr 2017, 15:11
Bah oui connasse, c'est le principe d'une union
Royaume-Uni : l’UE « s’unit contre nous » sur le Brexit, accuse Theresa May
La première ministre britannique a réagi aux appels au réalisme lancés par la chancelière allemande Angela Merkel.
L’Union européenne est en train de s’unir contre le Royaume-Uni dans les négociations du Brexit, a accusé jeudi soir la première ministre britannique Theresa May, devant les appels au réalisme lancés par la chancelière allemande Angela Merkel.
« Les 27 autres pays européens sont en train de s’unir contre nous », a dit Mme May lors d’un discours à Leeds (nord de l’Angleterre). Mme Merkel « a dit que le Royaume-Uni se faisait des “illusions” sur le processus et que les 27 Etats membres de l’Union européenne étaient d’accord », a relevé Theresa May, soulignant que les « négociations allaient être difficiles ».
Angela Merkel a engagé jeudi le bras de fer sur le Brexit en prévenant les Britanniques de n’attendre aucune mansuétude de l’Europe dans les négociations, avant un sommet de l’UE sur le sujet.
« Un pays tiers ne bénéficiera pas des mêmes droits, ou de droits plus avantageux, qu’un pays membre » de l’Union européenne, a prévenu la chancelière allemande devant la chambre des députés à Berlin. « Peut-être pensez-vous que tout ceci est évident, mais je dois malheureusement le dire aussi clairement, car j’ai le sentiment que certains en Grande-Bretagne se font encore des illusions à ce sujet », a ajouté Angela Merkel.
Royaume-Uni : l’UE « s’unit contre nous » sur le Brexit, accuse Theresa May
La première ministre britannique a réagi aux appels au réalisme lancés par la chancelière allemande Angela Merkel.
L’Union européenne est en train de s’unir contre le Royaume-Uni dans les négociations du Brexit, a accusé jeudi soir la première ministre britannique Theresa May, devant les appels au réalisme lancés par la chancelière allemande Angela Merkel.
« Les 27 autres pays européens sont en train de s’unir contre nous », a dit Mme May lors d’un discours à Leeds (nord de l’Angleterre). Mme Merkel « a dit que le Royaume-Uni se faisait des “illusions” sur le processus et que les 27 Etats membres de l’Union européenne étaient d’accord », a relevé Theresa May, soulignant que les « négociations allaient être difficiles ».
Angela Merkel a engagé jeudi le bras de fer sur le Brexit en prévenant les Britanniques de n’attendre aucune mansuétude de l’Europe dans les négociations, avant un sommet de l’UE sur le sujet.
« Un pays tiers ne bénéficiera pas des mêmes droits, ou de droits plus avantageux, qu’un pays membre » de l’Union européenne, a prévenu la chancelière allemande devant la chambre des députés à Berlin. « Peut-être pensez-vous que tout ceci est évident, mais je dois malheureusement le dire aussi clairement, car j’ai le sentiment que certains en Grande-Bretagne se font encore des illusions à ce sujet », a ajouté Angela Merkel.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par ancien posteur » 28 Avr 2017, 15:17
« Un pays tiers ne bénéficiera pas des mêmes droits, ou de droits plus avantageux, qu’un pays membre » de l’Union européenne, a prévenu la chancelière allemande devant la chambre des députés à Berlin. « Peut-être pensez-vous que tout ceci est évident, mais je dois malheureusement le dire aussi clairement, car j’ai le sentiment que certains en Grande-Bretagne se font encore des illusions à ce sujet », a ajouté Angela Merkel.
Miam. J adore.
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