[01T] Politix, fonctionnaire et Cie
par Baratte » 10 Nov 2024, 14:03
Du coup , je me pose la question de savoir si il y a une différence sur la circoncision , reubeuh , feuj , de gauche , de droite ... et comment on fait si c'est un négro .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par stikky » 10 Nov 2024, 23:20
marrant :
cette chaine s'appuie (notamment) sur un reportage d'une journaliste de sky news
dénonçant les exactions des hoolz de tel aviv et celles des hoolz de l'ajax
reportage qui est ensuite retiré pour en mettre un autre car "La chaîne précise qu’«il s’agit d’un nouveau montage d’une vidéo précédente qui ne répondait pas aux critères d’équilibre et d’impartialité de Sky News"
on aura tout vu ....
https://www.liberation.fr/checknews/amsterdam-sky-news-a-t-il-supprime-un-reportage-qui-soulignait-les-violences-des-supporters-du-maccabi-tel-aviv-20241110_OII6DQYXHVDI5FIO2LFTMXOCBM/
voila la première version
https://twitter.com/i/status/1855368416565383621
on ne peut même plus dire que certains israéliens peuvent être violents et racistes
cette chaine s'appuie (notamment) sur un reportage d'une journaliste de sky news
dénonçant les exactions des hoolz de tel aviv et celles des hoolz de l'ajax
reportage qui est ensuite retiré pour en mettre un autre car "La chaîne précise qu’«il s’agit d’un nouveau montage d’une vidéo précédente qui ne répondait pas aux critères d’équilibre et d’impartialité de Sky News"
on aura tout vu ....
https://www.liberation.fr/checknews/amsterdam-sky-news-a-t-il-supprime-un-reportage-qui-soulignait-les-violences-des-supporters-du-maccabi-tel-aviv-20241110_OII6DQYXHVDI5FIO2LFTMXOCBM/
voila la première version
https://twitter.com/i/status/1855368416565383621
on ne peut même plus dire que certains israéliens peuvent être violents et racistes
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betrays your lack of style
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par krouw2 » 11 Nov 2024, 00:04
On en est à balancer des vidéos (où l' on apprend rien de plus d'ailleurs) de la chaine de Pavec, militant revendiqué de LFI, pro -Poutine, bien connu pour ses vidéos polémiques notamment sur la crise du covid 19.
On pourrait réintégrer king kong et ses skyblog complotistes c'est du même niveau.
On pourrait réintégrer king kong et ses skyblog complotistes c'est du même niveau.
Hollande 2027
par stikky » 11 Nov 2024, 10:52
krouw2 a écrit:On en est à balancer des vidéos (où l' on apprend rien de plus d'ailleurs) de la chaine de Pavec, militant revendiqué de LFI, pro -Poutine, bien connu pour ses vidéos polémiques notamment sur la crise du covid 19.
On pourrait réintégrer king kong et ses skyblog complotistes c'est du même niveau.
la vidéo est partagée parce qu'elle part des éléments de media étranger ce qui donne un autre point du vue, Pavel je m'en cogne
si t'apprends rien on ne peut rien pour toi,
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par krouw2 » 11 Nov 2024, 18:51
oui elle reprend le point de vue de l'extrême-gauche balancé par lfi, les 4 dernières minutes sont à rire : "journaleus, politicards, milliardaires, exploiteurs,manipulations, banquiers" et un fiché S LFI mise en examen en guest pour nous donner son point de vue objectif.
De toute façon si l'enquête indique que c'était bien des agressions contre des supporters lambdas ça sera à cause des "journaleus, politicards, milliardaires, exploiteurs,manipulateurs, banquiers" qui contrôlent la justice Hollandaise.
De toute façon si l'enquête indique que c'était bien des agressions contre des supporters lambdas ça sera à cause des "journaleus, politicards, milliardaires, exploiteurs,manipulateurs, banquiers" qui contrôlent la justice Hollandaise.
Hollande 2027
par stikky » 11 Nov 2024, 20:24
krouw2 a écrit:oui elle reprend le point de vue de l'extrême-gauche balancé par lfi, les 4 dernières minutes sont à rire : "journaleus, politicards, milliardaires, exploiteurs,manipulations, banquiers" et un fiché S LFI mise en examen en guest pour nous donner son point de vue objectif.
De toute façon si l'enquête indique que c'était bien des agressions contre des supporters lambdas ça sera à cause des "journaleus, politicards, milliardaires, exploiteurs,manipulateurs, banquiers" qui contrôlent la justice Hollandaise.
non la journaliste anglaise ne reprend pas le point de vue de LFI puisqu'elle était sur place, à la limite ça pourrait être l'inverse
tu es gentil avec lui, moi à partir de quasiment la moitié de la vidéo ça ma gonflé,
c'était en effet un point de vue pure gauche anticapitale etc.. rien de nouveau ni d'intéressant
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par Yusuf Akbar » 19 Nov 2024, 22:02
https://www.lemonde.fr/politique/articl ... 23448.html
Bruno Le Maire et Elisabeth Borne répondent aux conclusions de la mission parlementaire du Sénat sur l’explosion du déficit
L’ancien ministre de l’économie a fustigé un rapport au vitriol de sénateurs LR et PS sur la responsabilité des précédents gouvernements concernant les finances publiques, le qualifiant de « réquisitoire d’opposants politiques », « truffé de mensonges ».
Piqués au vif, ils ont décidé de réagir immédiatement. Lors d’une conférence de presse commune, Bruno Le Maire, Gabriel Attal, Elisabeth Borne et Thomas Cazenave ont répondu, mardi 19 novembre, aux critiques émises par les sénateurs de la commission des finances sur la dégradation des comptes publics depuis octobre 2023. L’ancien ministre de l’économie M. Le Maire a fustigé un rapport au vitriol de sénateurs Les Républicains (LR) et Parti socialiste (PS) sur la responsabilité des précédents gouvernements concernant l’état des finances publiques, le qualifiant de « réquisitoire d’opposants politiques », « truffé de mensonges ».
« Nous avons collectivement anticipé, réagi vite, réagi fort contre toutes les oppositions, notamment le groupe des Républicains et le groupe du Parti socialiste qui continuaient à proposer des dépenses supplémentaires », a insisté l’ancien pensionnaire de Bercy lors d’un brief avec des journalistes. « Il s’agit d’une attaque indigne qui repose sur des allégations qui sont irréalistes ou mensongères », a abondé l’ancienne cheffe du gouvernement Elisabeth Borne.
Les deux sénateurs, opposants de longue date au camp présidentiel, n’ont « pas trouvé un seul élément tangible attestant que la situation des finances publiques n’aurait pas été prise au sérieux », a renchéri Gabriel Attal. « Pour une raison simple, il n’y en a pas », a-t-il poursuivi.
« Déni collectif »
Les précédents gouvernements ont été sévèrement égratignés mardi par les conclusions d’une mission parlementaire du Sénat sur l’explosion du déficit. Selon les conclusions de la mission d’information, tous les anciens dirigeants, à Bercy, à Matignon comme à l’Elysée, ont leur part de responsabilité dans le creusement du déficit public, attendu à 6,1 % du PIB fin 2024, contre 4,4 % initialement prévu. Déficit qui ne passerait sous les 3 % autorisés par l’UE qu’en 2029, faisant de la France un mauvais élève européen.
« Au sentiment général du déni collectif sur la situation des finances publiques, s’ajoute désormais un sentiment d’irresponsabilité de ceux qui étaient alors au gouvernement », a lancé lors d’une conférence de presse le rapporteur de cette mission, le sénateur (LR) Jean-François Husson. « Le gouvernement connaissait en réalité l’état critique de nos finances publiques dès le mois de décembre 2023. Il aurait dû, selon nous, réagir vigoureusement. Mais il ne l’a pas fait », a repris le président (PS) de la commission des Finances, Claude Raynal.
Les deux sénateurs estiment aussi que de nombreux mois ont été « perdus » dans le rétablissement des comptes, en raison des remaniements et surtout de la dissolution, prémisse d’une « trop longue attente dans la désignation du nouveau premier ministre ». Ils regrettent aussi l’absence de budget rectificatif au printemps, décidée selon eux par des « calculs à courte vue » sur fonds d’élections européennes et de risque de censure.
Un « procès politique »
Les deux sénateurs estiment que les services de l’Etat disposaient d’informations sur le dérapage des finances publiques dès la fin 2023 et que le gouvernement a tardé à agir ou communiquer sur le sujet. Ils s’appuient notamment sur diverses notes internes du Trésor, ainsi que sur une missive envoyée le 13 décembre 2023 par le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, et celui des comptes publics, Thomas Cazenave, à Elisabeth Borne, alors première ministre, lui recommandant de communiquer sur « le caractère critique de [la] situation budgétaire ».
« Les ministres ont tenu un double discours » entre cette note interne, perçue comme une « alerte » par Mme Borne, et leurs prises de position publiques rassurantes de l’époque, s’indigne la mission sénatoriale. Lors de leurs auditions, les anciens responsables se sont eux défendus de toute « dissimulation », assurant tous avoir « maîtrisé la dépense » et avoir réagi avec célérité au fil des actualisations économiques, en gelant des milliards de crédits notamment.
L’explication, selon eux, réside surtout dans une erreur d’évaluation des recettes fiscales, inférieures de 41,5 milliards d’euros aux prévisions. Bruno Le Maire avait aussi renvoyé une partie de la responsabilité sur ses successeurs, reprochant au gouvernement Barnier de ne pas avoir « mis en œuvre » des mesures de redressement préparées durant l’été par l’équipe démissionnaire. Gabriel Attal avait lui défendu son ancien ministre, fustigeant un « procès politique et médiatique scandaleux ».
L’Assemblée nationale s’apprête à prendre le relais : elle mènera dans les prochaines semaines une commission d’enquête sur le même thème, sous la houlette d’Eric Coquerel (La France insoumise, Seine-Saint-Denis) et d’Eric Ciotti (Union des droites pour la République, Alpes-Maritimes).
Bruno Le Maire et Elisabeth Borne répondent aux conclusions de la mission parlementaire du Sénat sur l’explosion du déficit
L’ancien ministre de l’économie a fustigé un rapport au vitriol de sénateurs LR et PS sur la responsabilité des précédents gouvernements concernant les finances publiques, le qualifiant de « réquisitoire d’opposants politiques », « truffé de mensonges ».
Piqués au vif, ils ont décidé de réagir immédiatement. Lors d’une conférence de presse commune, Bruno Le Maire, Gabriel Attal, Elisabeth Borne et Thomas Cazenave ont répondu, mardi 19 novembre, aux critiques émises par les sénateurs de la commission des finances sur la dégradation des comptes publics depuis octobre 2023. L’ancien ministre de l’économie M. Le Maire a fustigé un rapport au vitriol de sénateurs Les Républicains (LR) et Parti socialiste (PS) sur la responsabilité des précédents gouvernements concernant l’état des finances publiques, le qualifiant de « réquisitoire d’opposants politiques », « truffé de mensonges ».
« Nous avons collectivement anticipé, réagi vite, réagi fort contre toutes les oppositions, notamment le groupe des Républicains et le groupe du Parti socialiste qui continuaient à proposer des dépenses supplémentaires », a insisté l’ancien pensionnaire de Bercy lors d’un brief avec des journalistes. « Il s’agit d’une attaque indigne qui repose sur des allégations qui sont irréalistes ou mensongères », a abondé l’ancienne cheffe du gouvernement Elisabeth Borne.
Les deux sénateurs, opposants de longue date au camp présidentiel, n’ont « pas trouvé un seul élément tangible attestant que la situation des finances publiques n’aurait pas été prise au sérieux », a renchéri Gabriel Attal. « Pour une raison simple, il n’y en a pas », a-t-il poursuivi.
« Déni collectif »
Les précédents gouvernements ont été sévèrement égratignés mardi par les conclusions d’une mission parlementaire du Sénat sur l’explosion du déficit. Selon les conclusions de la mission d’information, tous les anciens dirigeants, à Bercy, à Matignon comme à l’Elysée, ont leur part de responsabilité dans le creusement du déficit public, attendu à 6,1 % du PIB fin 2024, contre 4,4 % initialement prévu. Déficit qui ne passerait sous les 3 % autorisés par l’UE qu’en 2029, faisant de la France un mauvais élève européen.
« Au sentiment général du déni collectif sur la situation des finances publiques, s’ajoute désormais un sentiment d’irresponsabilité de ceux qui étaient alors au gouvernement », a lancé lors d’une conférence de presse le rapporteur de cette mission, le sénateur (LR) Jean-François Husson. « Le gouvernement connaissait en réalité l’état critique de nos finances publiques dès le mois de décembre 2023. Il aurait dû, selon nous, réagir vigoureusement. Mais il ne l’a pas fait », a repris le président (PS) de la commission des Finances, Claude Raynal.
Les deux sénateurs estiment aussi que de nombreux mois ont été « perdus » dans le rétablissement des comptes, en raison des remaniements et surtout de la dissolution, prémisse d’une « trop longue attente dans la désignation du nouveau premier ministre ». Ils regrettent aussi l’absence de budget rectificatif au printemps, décidée selon eux par des « calculs à courte vue » sur fonds d’élections européennes et de risque de censure.
Un « procès politique »
Les deux sénateurs estiment que les services de l’Etat disposaient d’informations sur le dérapage des finances publiques dès la fin 2023 et que le gouvernement a tardé à agir ou communiquer sur le sujet. Ils s’appuient notamment sur diverses notes internes du Trésor, ainsi que sur une missive envoyée le 13 décembre 2023 par le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, et celui des comptes publics, Thomas Cazenave, à Elisabeth Borne, alors première ministre, lui recommandant de communiquer sur « le caractère critique de [la] situation budgétaire ».
« Les ministres ont tenu un double discours » entre cette note interne, perçue comme une « alerte » par Mme Borne, et leurs prises de position publiques rassurantes de l’époque, s’indigne la mission sénatoriale. Lors de leurs auditions, les anciens responsables se sont eux défendus de toute « dissimulation », assurant tous avoir « maîtrisé la dépense » et avoir réagi avec célérité au fil des actualisations économiques, en gelant des milliards de crédits notamment.
L’explication, selon eux, réside surtout dans une erreur d’évaluation des recettes fiscales, inférieures de 41,5 milliards d’euros aux prévisions. Bruno Le Maire avait aussi renvoyé une partie de la responsabilité sur ses successeurs, reprochant au gouvernement Barnier de ne pas avoir « mis en œuvre » des mesures de redressement préparées durant l’été par l’équipe démissionnaire. Gabriel Attal avait lui défendu son ancien ministre, fustigeant un « procès politique et médiatique scandaleux ».
L’Assemblée nationale s’apprête à prendre le relais : elle mènera dans les prochaines semaines une commission d’enquête sur le même thème, sous la houlette d’Eric Coquerel (La France insoumise, Seine-Saint-Denis) et d’Eric Ciotti (Union des droites pour la République, Alpes-Maritimes).
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