J'ai un bon plan pour buda, ca vaut le deplacement?
koikiafairevoir?
Budapest
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par une des fakes de Der » 28 Déc 2012, 12:34
Tu m'feras plaisir de calculer ton bilan carbone !
Bon sinon :
Son architecture
Détruite par un tremblement de terre en 1977, Budapest voit son paysage profondément modifié. Le centre-ville, déjà peu épargné par les bombardements pendant la guerre, est quasiment rasé. C'est la fin du "Petit Paris" ; Ceausescu donne alors une nouvelle direction à l'architecture de la ville : place à l'influence soviétique et ses énormes volumes, dont le palais du Parlement est le symbole. Afin de satisfaire sa folie des grandeurs, Ceausescu n'a pas hésité à détruire un quartier tout entier et à sacrifier des monuments historiques. Construction démesurée, le palais du Parlement est le second bâtiment le plus vaste du monde, après le Pentagone. Il compte plus de mille pièces réparties sur douze étages ! Aux portes de la ville, ce sont d'incroyables tours type HLM qui s'élancent. Et parfois, derrière les façades à l'esthétique renversante, une réalité surprenante : des bâtiments en mauvais état, peu ou pas entretenus. La ville s'active désormais pour rénover ses constructions les plus anciennes, mais aussi pour terminer les chantiers lancés par Ceausescu, interrompus à la mort du dictateur. Des travaux considérables et coûteux, mais indispensables pour une cité qui se veut attractive. Monuments anciens et bâtiments modernes de styles très différents se côtoient à Budapest, pour un effet visuel plutôt déroutant, à l'image d'une ville en plein essor.
Ses parcs
Malgré les apparences, nature et verdure sont disséminées dans toute la ville. Une découverte inattendue mais bienvenue sous le poids de ces bâtisses étonnantes. Dès que les beaux jours arrivent, les abords des parcs s'animent, les terrasses fleurissent. D'immenses parcs sont répartis çà et là, havres de paix idéaux pour une halte rafraîchissante, loin de l'agitation des rues toutes proches. Très prisé des Budapestois, Cismigiu est le plus ancien des parcs de la ville. Inauguré en 1860, il s'étend sur 14 hectares. On peut canoter sur ses trois lacs, admirer le jardin des roses ou flâner devant les bustes des personnalités de la culture hongroise. La place Unirii, en face du palais du Parlement, rassemble chaque matin les marchands de fleurs tsiganes qui y installent leurs étals dans une profusion de couleurs. Excentré plus au nord, près de l'arc de triomphe, Herastrau, le plus grand parc de Budapest, abrite le musée du Village. Original, car en plein air, ce village composé d'une soixantaine de maisons traditionnelles, de fermes, de moulins reconstitue la vie et l'architecture des campagnes hongroises au fil du temps. Chaque région de la Hongrie est représentée à Herastrau, le musée devenant ainsi un lieu de rassemblement pour les familles, et un lieu de visite incontournable pour les touristes.
Ses légendes
La Hongrie est le berceau de contes et personnages légendaires, ses montagnes et ses forêts se prêtent naturellement aux récits les plus improbables, aux histoires les plus populaires. Budapest elle-même, ville moderne et capitale du pays, n'échappe pas à cette tradition. Selon la légende donc, Budapest doit son nom à un berger nommé Budur, qui construisit un village près de la rivière Dambovita. En hongrois, "budur" signifie joie, c'est pourquoi les écrivains ont surnommé Budapest "la ville de la joie". Plus tard, le prince Vlad Tepes, souverain cruel et tyrannique, fait de la petite cité une forteresse. Les villageois l'appelaient l'Empaleur, du fait de sa manière très personnelle de torturer ses ennemis. Il aurait inspiré le personnage du comte Dracula, inventé par l'écrivain irlandais Bram Stoker. Au coeur du quartier historique de Lipscani, les ruines de la vieille cour du Palais-Royal (Curtea Veche) fondée par le prince au Moyen Age se visitent toujours ; aujourd'hui, elles accueillent un musée. Budapest est le point de départ de nombreux circuits touristiques qui traversent la Hongrie, emmenant les visiteurs sur les traces du comte Dracula en Transylvanie, ou arpentant les pavés de la cité médiévale de Sibiu. Au-delà de la capitale, la Hongrie offre des paysages et des régions tout aussi beaux, très différents les uns des autres, des Carpates qui entourent la Transylvanie au delta du Danube, où le fleuve se jette dans la mer Noire.
Sa diversité culturelle
De quoi inspirer une vie culturelle aujourd'hui riche, tout entière articulée autour de festivals internationaux tels le Festival du film français ou le festival Europafest, solidement installés dans l'agenda européen. En marge de ses événements ponctuels qui attirent un public nombreux et éclairé, le Théâtre national et l'Opéra, réputés pour la beauté de leurs salles et la qualité des représentations, accueillent aussi bien des créations hongroises que des spectacles étrangers. Le paysage musical de Budapest ne se réduit pas à la pop stéréotypée du boys band déjà disparu Ozone, qui avait envahi les ondes européennes à l'été 2004. Ainsi, si l'on furète du côté de la musique classique, le festival international George Enescu est le rendez-vous à ne pas manquer pour les mélomanes. L'Orchestre philharmonique George Enescu se produit tout au long de l'année dans cette salle magnifique, achevée en 1888 par l'architecte français Albert Galleron. De même, la récente Palme d'or du réalisateur Cristian Mungiu ne vient que souligner le renouveau d'un cinéma hongrois qui s'exporte avec succès dans toute l'Europe. Si la France occupe d'ailleurs une place particulière dans la société hongroise, la culture tsigane peine à trouver sa place à Budapest, bien que la communauté soit très importante et reconnue officiellement. La musique tsigane, par exemple, s'apprécie dans des petits restaurants fréquentés essentiellement par les touristes.
Ses casinos
Fait impensable il y a seulement vingt ans, on compte maintenant à Budapest une centaine de casinos, ce qui vaut à la ville le surnom de 'Little Las Vegas'. Peu de Hongrois peuvent se payer le luxe de fréquenter les tables de jeu, alors la clientèle est principalement étrangère. Difficile d'échapper à cette nouvelle tendance et de repartir sans franchir la porte d'un des casinos qui pullulent à chaque coin de rue. Depuis la fin du régime de Ceausescu, Budapest s'est découvert une passion pour le jeu, au point de devenir une destination phare pour les joueurs du monde entier. La ville en a même fait l'un de ses arguments touristiques majeurs, c'est dire si le communisme est loin. Une transformation à l'image finalement de tout le pays, qui tend à abandonner ses grands clichés pour se tourner vers une société de consommations et de loisirs.
Résolument en devenir, Budapest a ainsi tourné le dos à son proche et encombrant passé. La capitale hongroise ne ménage pas ses efforts pour balayer les préjugés et faire taire les réticences des voyageurs tout en conservant une certaine authenticité. Une bonne raison pour partir à la découverte des charmes d'une des plus vieilles villes d'Europe.
Ti, tu vas te régaler !
Bon sinon :
Son architecture
Détruite par un tremblement de terre en 1977, Budapest voit son paysage profondément modifié. Le centre-ville, déjà peu épargné par les bombardements pendant la guerre, est quasiment rasé. C'est la fin du "Petit Paris" ; Ceausescu donne alors une nouvelle direction à l'architecture de la ville : place à l'influence soviétique et ses énormes volumes, dont le palais du Parlement est le symbole. Afin de satisfaire sa folie des grandeurs, Ceausescu n'a pas hésité à détruire un quartier tout entier et à sacrifier des monuments historiques. Construction démesurée, le palais du Parlement est le second bâtiment le plus vaste du monde, après le Pentagone. Il compte plus de mille pièces réparties sur douze étages ! Aux portes de la ville, ce sont d'incroyables tours type HLM qui s'élancent. Et parfois, derrière les façades à l'esthétique renversante, une réalité surprenante : des bâtiments en mauvais état, peu ou pas entretenus. La ville s'active désormais pour rénover ses constructions les plus anciennes, mais aussi pour terminer les chantiers lancés par Ceausescu, interrompus à la mort du dictateur. Des travaux considérables et coûteux, mais indispensables pour une cité qui se veut attractive. Monuments anciens et bâtiments modernes de styles très différents se côtoient à Budapest, pour un effet visuel plutôt déroutant, à l'image d'une ville en plein essor.
Ses parcs
Malgré les apparences, nature et verdure sont disséminées dans toute la ville. Une découverte inattendue mais bienvenue sous le poids de ces bâtisses étonnantes. Dès que les beaux jours arrivent, les abords des parcs s'animent, les terrasses fleurissent. D'immenses parcs sont répartis çà et là, havres de paix idéaux pour une halte rafraîchissante, loin de l'agitation des rues toutes proches. Très prisé des Budapestois, Cismigiu est le plus ancien des parcs de la ville. Inauguré en 1860, il s'étend sur 14 hectares. On peut canoter sur ses trois lacs, admirer le jardin des roses ou flâner devant les bustes des personnalités de la culture hongroise. La place Unirii, en face du palais du Parlement, rassemble chaque matin les marchands de fleurs tsiganes qui y installent leurs étals dans une profusion de couleurs. Excentré plus au nord, près de l'arc de triomphe, Herastrau, le plus grand parc de Budapest, abrite le musée du Village. Original, car en plein air, ce village composé d'une soixantaine de maisons traditionnelles, de fermes, de moulins reconstitue la vie et l'architecture des campagnes hongroises au fil du temps. Chaque région de la Hongrie est représentée à Herastrau, le musée devenant ainsi un lieu de rassemblement pour les familles, et un lieu de visite incontournable pour les touristes.
Ses légendes
La Hongrie est le berceau de contes et personnages légendaires, ses montagnes et ses forêts se prêtent naturellement aux récits les plus improbables, aux histoires les plus populaires. Budapest elle-même, ville moderne et capitale du pays, n'échappe pas à cette tradition. Selon la légende donc, Budapest doit son nom à un berger nommé Budur, qui construisit un village près de la rivière Dambovita. En hongrois, "budur" signifie joie, c'est pourquoi les écrivains ont surnommé Budapest "la ville de la joie". Plus tard, le prince Vlad Tepes, souverain cruel et tyrannique, fait de la petite cité une forteresse. Les villageois l'appelaient l'Empaleur, du fait de sa manière très personnelle de torturer ses ennemis. Il aurait inspiré le personnage du comte Dracula, inventé par l'écrivain irlandais Bram Stoker. Au coeur du quartier historique de Lipscani, les ruines de la vieille cour du Palais-Royal (Curtea Veche) fondée par le prince au Moyen Age se visitent toujours ; aujourd'hui, elles accueillent un musée. Budapest est le point de départ de nombreux circuits touristiques qui traversent la Hongrie, emmenant les visiteurs sur les traces du comte Dracula en Transylvanie, ou arpentant les pavés de la cité médiévale de Sibiu. Au-delà de la capitale, la Hongrie offre des paysages et des régions tout aussi beaux, très différents les uns des autres, des Carpates qui entourent la Transylvanie au delta du Danube, où le fleuve se jette dans la mer Noire.
Sa diversité culturelle
De quoi inspirer une vie culturelle aujourd'hui riche, tout entière articulée autour de festivals internationaux tels le Festival du film français ou le festival Europafest, solidement installés dans l'agenda européen. En marge de ses événements ponctuels qui attirent un public nombreux et éclairé, le Théâtre national et l'Opéra, réputés pour la beauté de leurs salles et la qualité des représentations, accueillent aussi bien des créations hongroises que des spectacles étrangers. Le paysage musical de Budapest ne se réduit pas à la pop stéréotypée du boys band déjà disparu Ozone, qui avait envahi les ondes européennes à l'été 2004. Ainsi, si l'on furète du côté de la musique classique, le festival international George Enescu est le rendez-vous à ne pas manquer pour les mélomanes. L'Orchestre philharmonique George Enescu se produit tout au long de l'année dans cette salle magnifique, achevée en 1888 par l'architecte français Albert Galleron. De même, la récente Palme d'or du réalisateur Cristian Mungiu ne vient que souligner le renouveau d'un cinéma hongrois qui s'exporte avec succès dans toute l'Europe. Si la France occupe d'ailleurs une place particulière dans la société hongroise, la culture tsigane peine à trouver sa place à Budapest, bien que la communauté soit très importante et reconnue officiellement. La musique tsigane, par exemple, s'apprécie dans des petits restaurants fréquentés essentiellement par les touristes.
Ses casinos
Fait impensable il y a seulement vingt ans, on compte maintenant à Budapest une centaine de casinos, ce qui vaut à la ville le surnom de 'Little Las Vegas'. Peu de Hongrois peuvent se payer le luxe de fréquenter les tables de jeu, alors la clientèle est principalement étrangère. Difficile d'échapper à cette nouvelle tendance et de repartir sans franchir la porte d'un des casinos qui pullulent à chaque coin de rue. Depuis la fin du régime de Ceausescu, Budapest s'est découvert une passion pour le jeu, au point de devenir une destination phare pour les joueurs du monde entier. La ville en a même fait l'un de ses arguments touristiques majeurs, c'est dire si le communisme est loin. Une transformation à l'image finalement de tout le pays, qui tend à abandonner ses grands clichés pour se tourner vers une société de consommations et de loisirs.
Résolument en devenir, Budapest a ainsi tourné le dos à son proche et encombrant passé. La capitale hongroise ne ménage pas ses efforts pour balayer les préjugés et faire taire les réticences des voyageurs tout en conservant une certaine authenticité. Une bonne raison pour partir à la découverte des charmes d'une des plus vieilles villes d'Europe.
Ti, tu vas te régaler !
par une des fakes de Der » 28 Déc 2012, 12:46
otto a écrit:Depuis la fin du régime de Ceausescu, Budapest s'est découvert une passion pour le jeu
loul.
par une des fakes de Der » 28 Déc 2012, 12:48
otto a écrit:Tu m'feras plaisir de calculer ton bilan carbone !
Bon sinon :
Son architecture
Détruite par un tremblement de terre en 1977, Budapest voit son paysage profondément modifié. Le centre-ville, déjà peu épargné par les bombardements pendant la guerre, est quasiment rasé. C'est la fin du "Petit Paris" ; Ceausescu donne alors une nouvelle direction à l'architecture de la ville : place à l'influence soviétique et ses énormes volumes, dont le palais du Parlement est le symbole. Afin de satisfaire sa folie des grandeurs, Ceausescu n'a pas hésité à détruire un quartier tout entier et à sacrifier des monuments historiques. Construction démesurée, le palais du Parlement est le second bâtiment le plus vaste du monde, après le Pentagone. Il compte plus de mille pièces réparties sur douze étages ! Aux portes de la ville, ce sont d'incroyables tours type HLM qui s'élancent. Et parfois, derrière les façades à l'esthétique renversante, une réalité surprenante : des bâtiments en mauvais état, peu ou pas entretenus. La ville s'active désormais pour rénover ses constructions les plus anciennes, mais aussi pour terminer les chantiers lancés par Ceausescu, interrompus à la mort du dictateur. Des travaux considérables et coûteux, mais indispensables pour une cité qui se veut attractive. Monuments anciens et bâtiments modernes de styles très différents se côtoient à Budapest, pour un effet visuel plutôt déroutant, à l'image d'une ville en plein essor.
Ses parcs
Malgré les apparences, nature et verdure sont disséminées dans toute la ville. Une découverte inattendue mais bienvenue sous le poids de ces bâtisses étonnantes. Dès que les beaux jours arrivent, les abords des parcs s'animent, les terrasses fleurissent. D'immenses parcs sont répartis çà et là, havres de paix idéaux pour une halte rafraîchissante, loin de l'agitation des rues toutes proches. Très prisé des Budapestois, Cismigiu est le plus ancien des parcs de la ville. Inauguré en 1860, il s'étend sur 14 hectares. On peut canoter sur ses trois lacs, admirer le jardin des roses ou flâner devant les bustes des personnalités de la culture hongroise. La place Unirii, en face du palais du Parlement, rassemble chaque matin les marchands de fleurs tsiganes qui y installent leurs étals dans une profusion de couleurs. Excentré plus au nord, près de l'arc de triomphe, Herastrau, le plus grand parc de Budapest, abrite le musée du Village. Original, car en plein air, ce village composé d'une soixantaine de maisons traditionnelles, de fermes, de moulins reconstitue la vie et l'architecture des campagnes hongroises au fil du temps. Chaque région de la Hongrie est représentée à Herastrau, le musée devenant ainsi un lieu de rassemblement pour les familles, et un lieu de visite incontournable pour les touristes.
Ses légendes
La Hongrie est le berceau de contes et personnages légendaires, ses montagnes et ses forêts se prêtent naturellement aux récits les plus improbables, aux histoires les plus populaires. Budapest elle-même, ville moderne et capitale du pays, n'échappe pas à cette tradition. Selon la légende donc, Budapest doit son nom à un berger nommé Budur, qui construisit un village près de la rivière Dambovita. En hongrois, "budur" signifie joie, c'est pourquoi les écrivains ont surnommé Budapest "la ville de la joie". Plus tard, le prince Vlad Tepes, souverain cruel et tyrannique, fait de la petite cité une forteresse. Les villageois l'appelaient l'Empaleur, du fait de sa manière très personnelle de torturer ses ennemis. Il aurait inspiré le personnage du comte Dracula, inventé par l'écrivain irlandais Bram Stoker. Au coeur du quartier historique de Lipscani, les ruines de la vieille cour du Palais-Royal (Curtea Veche) fondée par le prince au Moyen Age se visitent toujours ; aujourd'hui, elles accueillent un musée. Budapest est le point de départ de nombreux circuits touristiques qui traversent la Hongrie, emmenant les visiteurs sur les traces du comte Dracula en Transylvanie, ou arpentant les pavés de la cité médiévale de Sibiu. Au-delà de la capitale, la Hongrie offre des paysages et des régions tout aussi beaux, très différents les uns des autres, des Carpates qui entourent la Transylvanie au delta du Danube, où le fleuve se jette dans la mer Noire.
Sa diversité culturelle
De quoi inspirer une vie culturelle aujourd'hui riche, tout entière articulée autour de festivals internationaux tels le Festival du film français ou le festival Europafest, solidement installés dans l'agenda européen. En marge de ses événements ponctuels qui attirent un public nombreux et éclairé, le Théâtre national et l'Opéra, réputés pour la beauté de leurs salles et la qualité des représentations, accueillent aussi bien des créations hongroises que des spectacles étrangers. Le paysage musical de Budapest ne se réduit pas à la pop stéréotypée du boys band déjà disparu Ozone, qui avait envahi les ondes européennes à l'été 2004. Ainsi, si l'on furète du côté de la musique classique, le festival international George Enescu est le rendez-vous à ne pas manquer pour les mélomanes. L'Orchestre philharmonique George Enescu se produit tout au long de l'année dans cette salle magnifique, achevée en 1888 par l'architecte français Albert Galleron. De même, la récente Palme d'or du réalisateur Cristian Mungiu ne vient que souligner le renouveau d'un cinéma hongrois qui s'exporte avec succès dans toute l'Europe. Si la France occupe d'ailleurs une place particulière dans la société hongroise, la culture tsigane peine à trouver sa place à Budapest, bien que la communauté soit très importante et reconnue officiellement. La musique tsigane, par exemple, s'apprécie dans des petits restaurants fréquentés essentiellement par les touristes.
Ses casinos
Fait impensable il y a seulement vingt ans, on compte maintenant à Budapest une centaine de casinos, ce qui vaut à la ville le surnom de 'Little Las Vegas'. Peu de Hongrois peuvent se payer le luxe de fréquenter les tables de jeu, alors la clientèle est principalement étrangère. Difficile d'échapper à cette nouvelle tendance et de repartir sans franchir la porte d'un des casinos qui pullulent à chaque coin de rue. Depuis la fin du régime de Ceausescu, Budapest s'est découvert une passion pour le jeu, au point de devenir une destination phare pour les joueurs du monde entier. La ville en a même fait l'un de ses arguments touristiques majeurs, c'est dire si le communisme est loin. Une transformation à l'image finalement de tout le pays, qui tend à abandonner ses grands clichés pour se tourner vers une société de consommations et de loisirs.
Résolument en devenir, Budapest a ainsi tourné le dos à son proche et encombrant passé. La capitale hongroise ne ménage pas ses efforts pour balayer les préjugés et faire taire les réticences des voyageurs tout en conservant une certaine authenticité. Une bonne raison pour partir à la découverte des charmes d'une des plus vieilles villes d'Europe.
Ti, tu vas te régaler !
Je crois que tu confond avec Bucarest Otto!
quel erreur pour un instit!
Tu seras muté à l'école de Buzancy!
par une des fakes de Der » 28 Déc 2012, 13:13
Belle ville qui vaut le déplacement.
Côté Buda: Château, Palais, bastillon des pêcheurs, les bains Gellert, citadelle.
Côté Pest: Parlement, ancienne synagogue, cathèdrale sts étienne, nouvelle synagogue, place des héros, musée de la terreur, opéra.
voilà...
Côté Buda: Château, Palais, bastillon des pêcheurs, les bains Gellert, citadelle.
Côté Pest: Parlement, ancienne synagogue, cathèdrale sts étienne, nouvelle synagogue, place des héros, musée de la terreur, opéra.
voilà...
par une des fakes de Der » 28 Déc 2012, 13:33
On m'a conseillé de faire Budapest mais pour 3-4 jours pas pour un long séjour. on m'a aussi d'être vigilant à l'hôtellerie car certains sites sont bien degueu
par une des fakes de Der » 28 Déc 2012, 13:34
Tu vas domso grave la bàs Tishou, les byatchs sont pas farouches !
par une des fakes de Der » 29 Déc 2012, 11:19
merci les bateres, je viens de booker pour mars.
je passe par groupon belgique, premier test je verrai bien.
edit
grosse rachoumade, mes dates plus dispo.
je passe par groupon belgique, premier test je verrai bien.
edit
grosse rachoumade, mes dates plus dispo.
par une des fakes de Der » 29 Déc 2012, 13:18
Tish, je file à Budapest fin février avec madame on a payé 29€ A/R TTC pour deux avec Ryanair. A des heures confortables (départ 9h Belgique départ 16h Hongrie). Je sais pas s'il y a encore des tarifs aussi bas, mais ça peut être une bonne occasion pour toi. Merci Nikolas pour les tips
par une des fakes de Der » 03 Jan 2013, 12:20
Super sympa Budapest. Faut faire absolument les bains Gellert et Szechenyi si tu y vas. C'est touristique certes, mais c'est une des choses les plus originales et marquantes à faire dans cette ville.
par une des fakes de Der » 03 Jan 2013, 13:05
Bien Budapest.
Tu pourras en profiter pour apprendre le Hongrois, une des langues les plus faciles à maîtriser.
Tu pourras en profiter pour apprendre le Hongrois, une des langues les plus faciles à maîtriser.
par une des fakes de Der » 03 Jan 2013, 13:07
rodolfo a écrit:Tu pourras en profiter pour apprendre le Hongrois, une des langues les plus faciles à maîtriser.
'tain c'est clair, on se demande d'où ça sort le magyar, ça ressemble à rien :-)
par une des fakes de Der » 03 Jan 2013, 14:25
Je ne crois pas, il me semble que ce ne sont pas les mêmes racines. C'est une langue bizarre, une grammaire impossible avec 5 déclinaisons...
Il me semble avoir lu que c'est une langue dont l'origine est obscure, comme le basque.
Il me semble avoir lu que c'est une langue dont l'origine est obscure, comme le basque.
par une des fakes de Der » 03 Jan 2013, 15:14
Peut-être que les savants du futur sauront décrypter la prose de Ribéry.
par une des fakes de Der » 03 Jan 2013, 15:32
fernando a écrit:Je ne crois pas, il me semble que ce ne sont pas les mêmes racines. C'est une langue bizarre, une grammaire impossible avec 5 déclinaisons...
Il me semble avoir lu que c'est une langue dont l'origine est obscure, comme le basque.
+1. il me semble aussi que c'est pas du slave.
En tout cas, c'est pas du polono\tchèque\ruskov quoi.
par une des fakes de Der » 03 Jan 2013, 18:27
fernando a écrit:Je ne crois pas, il me semble que ce ne sont pas les mêmes racines. C'est une langue bizarre, une grammaire impossible avec 5 déclinaisons...
Il me semble avoir lu que c'est une langue dont l'origine est obscure, comme le basque.
ouais je me goure, j'ai lu une fois, que c'était la langue la plus proche du finnois, que j'ai pris à tort pour du slave.
par une des fakes de Der » 03 Jan 2013, 18:32
Y'a des enchaînements de voyelles comme en finnois enéfé. En tous cas ça a l'air impossible à apprendre ce bordel.
par une des fakes de Der » 03 Jan 2013, 18:48
bah perso, pour avoir maté pas mal d'actrices hongroises dans des films d'art et d'essai,j'ai tjs trouvé le hongrois tout à fait compréhensible, même sans traduction, avec des dialogues pourtant relevés sur la philosophie et la place de la femme dans la société à base de "hanhanhan", "oh yeah", "ha ha ha haaaaaaaaaaaaaaaaah".
par une des fakes de Der » 04 Jan 2013, 10:03
ursulet a écrit:bah perso, pour avoir maté pas mal d'actrices hongroises dans des films d'art et d'essai,j'ai tjs trouvé le hongrois tout à fait compréhensible, même sans traduction, avec des dialogues pourtant relevés sur la philosophie et la place de la femme dans la société à base de "hanhanhan", "oh yeah", "ha ha ha haaaaaaaaaaaaaaaaah".
John Holmes approuve ce message !
par une des fakes de Der » 11 Mars 2013, 11:29
Bon, un petit up s'impose, suis revenu de Budapest il y a peu, ville vraiment top !
N'hésitez pas à venir vers moi si vous voulez une location d'appartement de FDP à prix cassé...
N'hésitez pas à venir vers moi si vous voulez une location d'appartement de FDP à prix cassé...
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