Elle arrive, War topic et fin du monde komdéra

Messagepar une des fakes de Der » 17 Août 2012, 14:53

Mahmoud est dans la place et tient à le rappeler :

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a affirmé vendredi que la "tumeur cancéreuse" d'Israël va bientôt disparaître, lors d'un discours à Téhéran à l'occasion de la Journée d'al-Qods (Jérusalem).


"Le régime sioniste est une tumeur cancéreuse (...) Les pays de la région vont en finir prochainement avec la présence des usurpateurs sionistes sur la terre de Palestine", a déclaré M. Ahmadinejad devant les manifestants réunis à l'université de Téhéran pour la prière collective.

La télévision iranienne a montré les images de foules importantes de manifestants à travers le pays venues participer à la "journée de Qods" organisée chaque année par le pouvoir à la fin du mois de ramadan en solidarité avec les Palestiniens et contre Israël.

"Mort à Israël" et "mort à l'Amérique"
"Les sionistes partirons et la domination américaine sur le monde prendra fin", a-t-il ajouté alors que son discours était ponctué par des cris de "mort à Israël" et "mort à l'Amérique".

Il a aussi dénoncé une solution de deux Etats pour un règlement de paix entre Palestiniens et Israéliens.

Le guide suprême iranien l'ayatollah Ali Khamenei, avait affirmé mercredi qu'Israël, une "excroissance sioniste artificielle disparaîtra du paysage" de la région.

Ces dernières semaines, et de façon plus insistante ces derniers jours, les médias israéliens se sont largement fait l'écho d'informations, basées sur les déclarations de responsables ayant requis l'anonymat, selon lesquelles une action militaire israélienne contre le programme nucléaire iranien serait imminente.

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu et le ministre de la Défense Ehud Barak sont partisans d'une attaque contre le programme nucléaire iranien mais d'autres responsables, notamment parmi les responsables militaires et des services de renseignements y sont hostiles.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 17 Août 2012, 16:11

il s'inspire de mein Kampf Mahmoud
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 12:04

La poussée de rage d’Israël contre l’Iran, bluff ou menace réelle ?

Des tensions existent depuis longtemps entre les deux pays, mais cette année, les menaces sont montées d’un cran. Va-t-on vers une guerre Israël-Iran ?

En Israël, depuis quelques jours, on distribue des masques à gaz à tour de bras et on laisse courir la rumeur d’une attaque contre les installations nucléaires iraniennes dès cet automne ; en Iran, on fait mine de se réjouir d’une telle perspective, et l’on promet la destruction du « régime sioniste », qualifié de « tumeur cancéreuse », en cas d’agression.

Rarement les deux pays auront été aussi vociférants, rarement les mécaniques guerrières auront roulé aussi bruyamment. Faut-il prendre au sérieux ce nouvel accès d’hystérie guerrière ? Ou n’y voir qu’un coup de bluff israélien à moins de 100 jours de l’élection américaine ?

1 - Cette escalade des menaces est-elle nouvelle ?


La carte du Moyen-Orient vendue par la CIA (CIA)

A priori, il n’y a rien de très nouveau dans l’échange de menaces : on assiste à de telles tensions entre les deux pays depuis une douzaine d’années. En témoignent ces quelques exemples d’articles glanés sur le Web :

2011 : « L’Iran menace d’une riposte puissante en cas d’attaque » (NouvelObs.com) ;
2010 : « L’Iran menace de mettre Tel-Aviv à feu » (LeFigaro.fr) ;
2009 : « Iran, une attaque israélienne imminente ? » (Slate.fr) ;
2008 : « Israël menace de détruire l’Iran en cas d’attaque » (NouvelObs.com) ;
2007 : « Un responsable iranien menace de “mettre le feu” à Tel-Aviv » (France 24) ;
etc.

Ces tensions sont inévitables, l’Iran promettant régulièrement de faire disparaître Israël « de la page du temps » (et même de le « rayer de la carte » selon une traduction hardie de l’agence de presse officielle iranienne). L’Etat hébreu ne peut prendre le moindre risque de voir le régime islamique se doter de la bombe atomique. Son existence même est en jeu.

Cette année pourtant, la menace d’intervention militaire est prise très au sérieux par les Israéliens eux-mêmes. Des distributions à grande échelle de masques à gaz ont lieu, la mairie de Tel-Aviv annonce que 60 parkings souterrains seront aménagés en abris, une procédure d’alerte aux missiles par SMS est testée...

Et dans la presse, de nombreux journalistes politiques ont acquis la certitude que le Premier ministre Benyamin Netanyahou et son ministre de la Défense Ehoud Barak étaient déterminés à « faire quelque chose » dans les semaines qui viennent.

2 - Qu’est-ce qui a déclenché ces menaces de guerre ?

C’est dans les journaux israéliens que les rumeurs de préparatifs d’une attaque contre l’Iran sont parties. A les lire, Benyamin Netanyahou et Ehoud Barak ont l’intention d’attaquer certains sites nucléaires iraniens dès cet automne, avant même l’élection présidentielle américaine du 6 novembre.

Visiblement, ces informations ont été orchestrées. Vendredi 10 août, des articles « bien informés » ont été publiés par plusieurs journaux. Le quotidien Yedioth Ahronoth a le premier évoqué l’existence d’un plan pour une attaque imminente : « Netanyahou et Barak sont déterminés à frapper l’Iran à l’automne », titrait-il. Mais on pouvait ce jour-là trouver dans les autres journaux bien d’autres fuites allant dans le même sens.

Ces rumeurs, non démenties, ont été confortées par plusieurs signaux politiques. Ainsi, Netanyahou s’est accordé de nouvelles prérogatives pour pouvoir accroître l’efficacité des décisions gouvernementales ; il a par ailleurs choisi de nommer au ministère de la Défense civile (qui s’occupe de la protection de la population en cas de guerre) un des faucons de Kadima (le parti de l’opposition), Avi Dichter. Député, c’est l’ancien patron du Shin Beth, le service de Sécurité intérieure.

Qu’est-ce qui a amené le gouvernement israélien à lancer subitement ces menaces ? Selon Haaretz, les services secrets américains auraient eu de nouvelles informations sur les avancées de l’Iran sur la fabrication de têtes nucléaires. Une information très floue, que les Etats-Unis n’ont pas confirmée. En réalité, rien de précis n’explique ce durcissement israélien, à part le contexte électoral américain.

3 - Un simple bluff israélien ?

Le contexte politique américain prête à de tels roulements de tambour : l’élection approche, une période idéale, côté israélien, pour faire pression sur Washington. Pour les candidats des deux grands partis américains, il est exclu d’apparaître comme « faibles » face aux ennemis d’Israël.

Le vote des juifs n’est pas le seul en jeu : pour une grande partie des Américains, quelle que soit leur religion, Israël est un allié historique qu’il faut défendre. L’histoire de ce petit pays pionnier, entouré d’ennemis, créé par des hommes ayant vécu des persécutions, fait écho à la légende américaine dans ses différentes facettes.

Il n’est pas étonnant qu’Israël cherche à pousser les candidats américains à s’engager le plus fermement possible contre le programme nucléaire iranien.

Assiste-t-on pour autant à un simple coup de bluff ? Difficile de répondre.

Selon le secrétaire à la Défense américain, Leon Panetta, les Israéliens n’ont pas pris de décision d’intervention « à ce stade ». Mais à lire la presse israélienne, tant Netanyahou que Barak sont convaincus qu’il faut agir unilatéralement. Ils parieraient sur le fait qu’Obama, en pleine campagne, n’aurait pas d’autre choix que de les soutenir. Et qu’une action, même unilatérale, aurait pour résultat de « gagner du temps » : de retarder de quelques années la marche iranienne vers la bombe, le pari étant que le régime des mollahs tombera entre-temps.

Netanyahou aurait même la conviction qu’une telle attaque, par la déstabilisation qu’elle entraînerait, faciliterait le changement de régime en Iran. C’est pourtant le risque inverse qui est évoqué par des spécialistes de la région : le peuple pourrait se ressouder derrière le pouvoir, face à l’adversaire israélien, garantissant la survie du régime pour des années...

4 - Attaquer l’Iran sans le soutien des Etats-Unis ?

Les Etats-Unis ont clairement pris position contre une intervention militaire à ce stade, préférant poursuivre sur la voie de la négociation menée par le groupe dit « 5+1 » (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité – Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne – plus l’Allemagne).

Ils cherchent à convaincre l’Iran, en échange de l’allègement des sanctions qui frappent le pays, de limiter le degré d’enrichissement de son uranium, et de renoncer à détenir sur son sol de l’uranium enrichi à 20%. La République islamique continue de clamer qu’elle ne fait que poursuivre un programme nucléaire civil de recherche, ce qui n’est pas contraire au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires.

Barak Obama, en campagne, n’a aucun intérêt à conclure un accord avec l’Iran dans les onze semaines qui viennent : ce serait forcément exploité contre lui par les républicains. Mais il n’a pas non plus intérêt à être embarqué dans une guerre avec un grand pays du Moyen-Orient.

L’idée agitée par le gouvernement Netanyahou serait de frapper l’Iran en se passant du feu vert de l’oncle Sam. Ce ne serait pas la première fois : en 1981, des avions israéliens avaient détruit la centrale nucléaire (fournie par la France) d’Osirak en Irak. Les Etats-Unis avaient alors condamné le raid et même suspendu pendant un temps la livraison de quatre avions de combat F-16 à son allié.

Aujourd’hui, les militaires américains (et une grande partie des militaires israéliens) doutent pourtant du succès d’une éventuelle opération unilatérale israélienne contre l’Iran. Martin Dempsey, le chef d’état-major des armées américaines, l’a constaté lors d’une récente conférence de presse : compte tenu de ce qu’il sait des capacités militaires des Israéliens, « ils peuvent retarder mais pas détruire les installations nucléaires iraniennes », qui sont réparties en de nombreux lieux ou enterrées profondément.

En Israël, de nombreuses voix se sont élevées pour crier casse-cou. A commencer par celle de Shimon Peres, président israélien et prix Nobel de la paix. « Il est clair pour nous que nous ne pouvons pas faire cela seuls », a-t-il déclaré à la télévision, à l’occasion de son 89e anniversaire.

5 - La région s’embraserait-elle ?

C’est la menace que brandissent les responsables iraniens. Une guerre, clament même certains d’entre eux, permettrait de se débarrasser à jamais de l’Etat d’Israël.

Un conflit généralisé est aussi la crainte des Américains. En décembre 2011 déjà, le secrétaire à la Défense Leon Panetta prédisait qu’une attaque unilatérale d’Israël contre l’Iran risquait « d’embraser le Moyen-Orient dans un conflit que nous regretterions ». Selon Shaul Mofaz, chef du parti Kadima (opposition) et ancien ministre de la Défense israélien, attaquer l’Iran sans le soutien des Etats-Unis conduirait à un « désastre ».

Les partisans israéliens d’une intervention militaire, évidemment, ne parient pas sur un tel scénario. Ils imaginent une confrontation d’une trentaine de jours, avec l’intervention de missiles et de roquettes lancés par les alliés de l’Iran, Hamas à Gaza ou Hezbollah au Liban. Le gouvernement a estimé à 500 morts israéliens le coût d’une telle confrontation.

Selon leur analyse, l’Iran ne tient pas à se retrouver embarqué dans une guerre majeure avec les Etats-Unis, qui risquerait de se conclure par la chute de la République islamique. L’Iran, en cas d’attaque, a au contraire tout intérêt à calibrer sa riposte pour éviter l’escalade.

Mais le passé a montré combien les prévisions rassurantes, en matière de guerre, sont rapidement démenties. L’Histoire, même la plus récente (Irak) montre qu’il est très facile de perdre complètement le contrôle des événements.

6 - Quelles conséquences économiques et politiques ?

Sur le plan économique, les prix du pétrole brut s’envoleraient, plongeant de nombreux pays – en Europe notamment – dans la récession. L’Iran, si le conflit s’étend, peut décider de fermer le détroit d’Ormuz, ce qui priverait l’Europe d’une grande partie de son énergie fossile.

La hausse des prix de l’énergie aurait aussi des conséquences sur le pouvoir d’achat aux Etats-Unis, ce qui pourrait coûter l’élection à Obama. Cela ferait certes l’affaire de Netanyahou, qui mise sur Mitt Romney, qu’il connaît bien et depuis longtemps (ils ont bossé ensemble au Boston Consulting Group dans les années 70 et sont devenus amis).

Un conflit aurait d’autres conséquences politiques, à commencer par son impact sur la situation syrienne : le régime de Bachar el-Assad, qui s’engagerait aux côtés de Téhéran, retrouverait une forme de légitimité, ce qui pourrait prolonger sa survie.

Le chroniqueur du New York Times Roger Cohen dresse ainsi la liste des conséquences possibles d’une attaque contre l’Iran :

« Elle unirait l’Iran dans la colère ;
cimenterait la République islamique pour une génération ;
consoliderait le régime vacillant d’Assad en Syrie ;
radicaliserait le monde arabe au moment d’une transition délicate ;
embraserait le Hezbollah à la frontière libanaise ;
renforcerait le Hamas ;
mettrait en danger les troupes US dans la région ;
attiserait le terrorisme ;
ferait exploser les prix du pétrole ;
déstabiliserait l’économie globale ;
déclencherait peut-être une guerre régionale ;
offrirait une bouée de sauvetage à l’Iran au moment où les sanctions commencent à produire leur effet ;
ajouterait à la vendetta arabe contre Israël une vendetta perse éternelle ;
et pourrait, au mieux, retarder de deux ans les ambitions nucléaires iraniennes ou, au pire, accélérer son programme en poussant l’Iran à la course à la bombe et au renvoi des inspecteurs de l’AIEA [l’Agence internationale de l’énergie atomique, ndlr].
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 12:10

malgré l'insecurité qu'il y regne, l'Amerique du Sud sera bientot le seul continent où on pourra vivre tranquille...en Europe on est mal...
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 12:11

les noiches vont mettre tlm d'accord. mettez vous au mandarin et vite les mecs!
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 12:54

Taratata, on va les violer les Noiches... Ou alors on mourra mais les armes à la main et la main sur le cœur tandis que l autre main caresse les cheveux de nos femmes mortes. Un truc dans le genre.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 13:25

Si guerre contre les chinois, faut espérer un été ensoleillé. Si c'est le cas, on gagnera tranquille parce que se battre et tenir une ombrelle en même temps, c'est galère, même pour un noiche.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 13:29

eux ils sont dejà au front, voici leur plan de bataille:


Image
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 13:35

"Nid de phoenix aux fruits de mer"

Du rat avec des moules...
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 13:52

Phoenix je vois plus un pigeon, moi.

Sinon les restos noiches, je crois que je préfère encore aller au quick, au subway ou au flunch.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 14:08

Suis allé au flunch à v2 y a deux semaines, j'avais plus mis les pieds depuis 8-10 ans, le décor a bien changé, le style, la carte est vraiment variée, la bouffe et la clientèle ont pas changé par contre...
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 14:14

Et Flunchy est toujours là?
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 14:15

Y'a des choses à éviter, mais y'a des trucs pas mal au vu du prix. Les stands plancha ou wok ça va au niveau rapport qualité-prix.
Le flunch c'est correct comme cantine/restaurant d'entreprise, pour ceux qui bossent dans le coin et n'en ont pas. Tu peux varier un peu tes repas en restant en dessous de 10€.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 14:16

laurentlille1 a écrit:Et Flunchy est toujours là?


Pfff..., je l'ai pas croisé.
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 14:17

fernando a écrit:Y'a des choses à éviter, mais y'a des trucs pas mal au vu du prix. Les stands plancha ou wok ça va au niveau rapport qualité-prix.
Le flunch c'est correct comme cantine/restaurant d'entreprise, pour ceux qui bossent dans le coin et n'en ont pas. Tu peux varier un peu tes repas en restant en dessous de 10€.


c'est sur qu'entre la cantine de ma boite et el flunch, y a pas photo....
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 14:22

Tout le monde n'a pas la chance d'avoir un restaurant Sodexo au taf.
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 14:45

j'ai un topin qui faisait Flunchy , il gagnait 2 fois plus que les esclaves à tripoter des enfants, W va blaser
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 14:48

Allez, tu peux avouer, c'était toi flunchy, mais t'étais à l'étroit dans le costume.
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 14:51

nan par contre j'ai joué Flunchix dans une version pour adulte
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 14:56

ah! t'es là, oit...
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 15:04

Sans oublier Josiane le pianiste transexuel de flunch V2 qui faisait le tour des ducasses du NPDC
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 15:06

Flunchy n'est qu'une pâle copie de Grosquick



W va apprécier
Dernière édition par LOSCDIVISION le 20 Août 2012, 15:15, édité 2 fois.
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Messagepar une des fakes de Der » 20 Août 2012, 15:07

Une grande artiste. Titanic joué au piano avec frites à volonté, c'était le bonheur.
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Messagepar une des fakes de Der » 28 Sep 2012, 01:03

NATIONS UNIES (Reuters) - Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a estimé jeudi que la seule manière d'empêcher l'Iran de se doter de l'arme nucléaire était de fixer une "ligne rouge claire" à ne pas franchir à Téhéran pour l'inciter à mettre un terme à son programme controversé d'enrichissement d'uranium.

"Il n'y a qu'une seule manière d'empêcher pacifiquement l'Iran de se doter de bombes atomiques, c'est de fixer une ligne rouge claire au programme d'armes nucléaires iranien", a-t-il déclaré devant l'Assemblée générale de l'Onu.

"Les lignes rouges ne mènent pas à la guerre. Les lignes rouges empêchent la guerre", a-t-il ajouté.

Afin d'illustrer son propos, le chef du gouvernement israélien a brandi le dessin d'une bombe prête à exploser sur lequel il a tracé, au feutre, une ligne rouge située juste en-dessous de l'"étape finale".

"Une ligne rouge devrait être tracée juste ici, avant que l'Iran ne finalise la deuxième étape de son enrichissement nucléaire nécessaire à la fabrication d'une bombe, avant que l'Iran n'en soit qu'à quelques mois ou quelques semaines d'avoir amassé suffisamment d'uranium enrichi pour fabriquer une arme nucléaire", a commenté Netanyahu.

"Chaque jour, cette date approche, et c'est pourquoi j'évoque aujourd'hui une telle urgence, et c'est pourquoi tout le monde devrait avoir conscience de cette urgence."

Alors que le dossier du nucléaire iranien a fait naître des désaccords sur la marche à suivre entre Israël et les Etats-Unis, le chef du gouvernement israélien a une nouvelle fois minimisé les divergences avec son allié américain.

"Israël est en discussions avec les Etats-Unis sur cette question et je suis confiant sur le fait que nous arriverons à définir la marche à suivre ensemble", a-t-il déclaré.

Barack Obama et Benjamin Netanyahu souhaitent tous les deux empêcher l'Iran de se doter de l'armée nucléaire, a indiqué la Maison blanche peu après le discours du Premier ministre israélien.

"Comme le Premier ministre l'a dit, les Etats-Unis et Israël partagent le même objectif, celui d'empêcher l'Iran d'acquérir l'arme nucléaire", a déclaré le porte-parole de la Maison blanche, Tommy Vietor. "Le président l'a clairement dit à la communauté internationale lors de son discours à l'Assemblée générale de l'Onu cette semaine. Nous allons poursuivre notre proche coopération pour atteindre cet objectif."

Israël a brandi la menace d'une attaque préventive contre les installations nucléaires de la République islamique, qui affirme pour sa part ne poursuivre que des buts civils.

Selon Netanyahu, d'ici l'été prochain, l'Iran sera sur le point d'avoir suffisamment d'uranium enrichi pour fabriquer une bombe nucléaire.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 28 Sep 2012, 01:26

ça va peter, pour etre tranquille faudra aller dans la campagne chinoise ou dans la pampa argentine...
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Messagepar une des fakes de Der » 28 Sep 2012, 09:37

Mais clair que ça va pêter....

Brrrr.
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Messagepar une des fakes de Der » 16 Mars 2013, 03:28

bonlasavapété


Face aux menaces nord-coréennes, Washington renforce sa défense antimissile

Face à la menace brandie par la Corée du Nord d'une frappe nucléaire "préventive" contre les Etats-Unis, Washington a décidé vendredi de renforcer sa défense antimissile en déployant 14 intercepteurs supplémentaires sur la côte Ouest


Dans un rapport annuel au Congrès remis mardi, le directeur national du renseignement James Clapper a jugé que Pyongyang n'utilisera l'arme nucléaire que s'il sent que sa survie menacéeAfficher la photo

Dans un rapport annuel au Congrès remis mardi, le directeur national du renseignement James Clapper a jugé que Pyongyang n'utilisera l'arme nucléaire que s'il sent que sa survie menacée
Face à la nouvelle poussée de fièvre sur la péninsule coréenne qui s'en est suivie et la dénonciation par Pyongyang de l'armistice de 1953, les Etats-Unis ont décidé d'envoyer un message: il s'agit de "renforcer la protection de notre territoire et de conserver une longueur d'avance face à la menace", a expliqué le secrétaire à la Défense Chuck Hagel en présentant quatre mesuresAfficher la photo

Face à la nouvelle poussée de fièvre sur la péninsule coréenne qui s'en est suivie et la dénonciation par Pyongyang de l'armistice de 1953, les Etats-Unis ont décidé d'envoyer un message: il s'agit de "renforcer la protection de notre territoire et de conserver une longueur d'avance face à la menace", a expliqué le secrétaire à la Défense Chuck Hagel en présentant quatre mesures



Face à la menace brandie par la Corée du Nord d'une frappe nucléaire "préventive" contre les Etats-Unis, Washington a décidé vendredi de renforcer sa défense antimissile en déployant 14 intercepteurs supplémentaires sur la côte Ouest.

Le régime stalinien n'est pas jugé capable à ce stade de menacer directement le territoire américain et les Etats-Unis sont "tout à fait capables" de se défendre contre toute attaque de missile nord-coréen, a rappelé la semaine passée la Maison Blanche.

Mais Pyongyang a effectué des progrès ces derniers mois en lançant avec succès en décembre une fusée identifiée comme un missile balistique par les Occidentaux, puis, deux mois plus tard, en réalisant un troisième essai nucléaire.

Face à la nouvelle poussée de fièvre sur la péninsule coréenne qui s'en est suivie et la dénonciation par Pyongyang de l'armistice de 1953, les Etats-Unis ont décidé d'envoyer un message: il s'agit de "renforcer la protection de notre territoire et de conserver une longueur d'avance face à la menace", a expliqué le secrétaire à la Défense Chuck Hagel en présentant quatre mesures.

Le première concerne l'installation d'ici 2017 de 14 missiles supplémentaires appelés "intercepteurs basés à terre" (GBI). Ceux-ci viendront s'ajouter aux 30 déjà déployés sur les bases de Fort Greely en Alaska et de Vandenberg en Californie, ce qui représente une augmentation de 50% des moyens antimissile sur le continent.

Le missile GBI est destiné à intercepter les missiles balistiques intercontinentaux (ICBM). Il emporte un "véhicule exo-atmosphérique" qui une fois lâché se précipite vers le missile pour le percuter.

Interrogé sur l'important taux d'échec de ce missile lors de tests d'interception, Chuck Hagel a dit sa "confiance" dans le système et annoncé de nouveaux essais.

"Mesures de précaution"

Le seconde mesure prévoit l'installation d'un second radar TPY-2 au Japon, a rappelé le ministre. Ce radar, conçu pour détecter les lancements d'ICBM et leur trajectoire, doit être installé sur une base de l'armée de l'Air nippone au nord-ouest de Kyoto, sur les rivages de la mer du Japon, appelée mer de l'Est par les Coréens.

Les Etats-Unis maintiennent environ 28.000 hommes en garnison en Corée du Sud et 47.000 au Japon.

Un radar TPY-2 doit par ailleurs être installé en Turquie dans le cadre d'un programme de l'Otan destiné à contrer la menace balistique iranienne, des missiles devant être déployés en Pologne et en Roumanie.

Washington va également "restructurer" son programme de missiles SM3, un autre type d'intercepteur principalement embarqué à bord de destroyers ou de croiseurs Aegis, qui constitue l'une des composantes de la défense antimissile américaine.

Enfin, Chuck Hagel a annoncé une étude environnementale pour identifier un éventuel nouveau site pour des missiles GBI aux Etats-Unis, dont il n'a pas précisé la localisation. Des élus républicains du Congrès ont demandé l'an passé l'installation d'un tel site sur la côte Est des Etats-Unis.

Selon le numéro trois du Pentagone, James Miller, "les annonces publiques retentissantes de la Corée du Nord soulignent le besoin pour les Etats-Unis de continuer à prendre des mesures de précaution pour mettre en échec tout ICBM nord-coréen futur".

Dans un rapport annuel au Congrès remis mardi, le directeur national du renseignement James Clapper a jugé que Pyongyang n'utilisera l'arme nucléaire que s'il sent que sa survie menacée.

"Mais nous ne savons pas ce qui constituerait pour le régime nord-coréen le franchissement de cette ligne" rouge, a-t-il ajouté.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 05 Mai 2013, 18:33

nanmélàsavavémenpété


avec la Syrie
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Messagepar une des fakes de Der » 05 Mai 2013, 19:02

Chui pas inquiet, on a le M51.
51, pour 51 ans de R&D.
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Messagepar une des fakes de Der » 05 Mai 2013, 19:57

Font vraiment ce qu'ils veulent Israël. même Obama n'ose rien dire.
une des fakes de Der
 
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