[01T] Glorification de la région

Messagepar Giallo » 05 Juil 2018, 09:08

Je voulais aller y faire un tour mais j'ai lu qu'il y avait une attente de dingue
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar fernando » 05 Juil 2018, 13:09

C'était le rush de malade le jour de l'ouverture. Là le soir il y a du monde mais l'attente est tout à fait raisonnable pour chopper une bière. Ils proposent une très bonne blanche brassée pour eux, c'est très bien fait ça rappelle les Weissenbier allemande. Du bonheur par ce temps.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar krouw2 » 05 Juil 2018, 13:14

putain de bobo!!


fonctionnaire, socialiste, prime charbon
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Messagepar Giallo » 05 Juil 2018, 14:13

fernando a écrit:C'était le rush de malade le jour de l'ouverture. Là le soir il y a du monde mais l'attente est tout à fait raisonnable pour chopper une bière. Ils proposent une très bonne blanche brassée pour eux, c'est très bien fait ça rappelle les Weissenbier allemande. Du bonheur par ce temps.


Merci, je vais peut être aller y faire un tour alors
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Messagepar Der » 05 Juil 2018, 14:59

A quel endroit exactement? Sur le parking avec les bennes?
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar fernando » 05 Juil 2018, 17:33

Oui Der.
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Messagepar krouw2 » 05 Juil 2018, 20:01

que des bobos socialisse islamo gauchiste

Lille devient la première ville française à servir deux menus végétariens par semaine à la cantine
Deux fois par semaine, céréales et légumineuses remplacent les protéines animales servies aux enfants dans les cantines scolaires lilloises

Depuis le 1er juin, Lille remplace deux fois par semaine les protéines animales par des végétales à ses 14 000 écoliers. L'expérimentation sera poursuivie à la rentrée. Elle fait de la capitale des Flandres la première ville française à aller si loin dans l'alternative à la viande et au poisson.


En 2014, la ville de Lille avait introduit un menu végétarien par semaine dans les assiettes de ses écoliers.

Depuis le 1er juin, elle est passée à deux repas sans viande et sans poisson, et poursuivra sur le même régime à la rentrée. Nuggets de soja, omelette, haricots rouges, pois chiche et autres légumineuses, les alternatives aux protéines animales se déclinent au fil des jours dans les cantines des écoles publiques de Lille et de ses communes associées Hellemmes et Lomme.

Diversification alimentaire et respect de l'environnement

Un changement de paradigme qui fait aujourd'hui de la capitale des Flandres la première de France à passer la seconde en matière de végétarisme. Dans un triple soucis de respect de l'environnement, de diversification alimentaire et de réduction du gaspillage. A Lille comme ailleurs, un tiers au moins du contenu des assiettes finit à la poubelle.


Nous sommes allés poser notre caméra dans une école de Lille Sud. Ce jour à la cantine, c'était céleri, perles de blé sauce minestrone et tarte aux pommes.
Verdict à la dégustation : une majorité d'enfants enthousiastes qui ont "tout aimé", et qui trouvent "ça bien pour la planète". Et puis d'autres, plus sceptiques, comme ce jeune homme : "L’entrée j’aimais pas trop, il y a un goût de rien.". C'est toujours difficile de faire l'unanimité.



Tous les repas sont élaborés à la cuisine centrale de Lille, trois jours à l'avance. 14 000 entrées plats et desserts sortent chaque jour de ses fours et de ses marmites. Pour concocter ces repas végétariens, les cuisiniers ont dû se replonger dans les livres de recettes, pour adapter les plats aux enfants.

"J’étais récalcitrant", confesse Laurent Demesre, chef de cuisine. "Dans mon image de cuisiner, les repas végétariens, ce n'est pas mon idéal. Mais si on travaille le produit un peu comme de la viande, à l’arrivée on a un plat qui ressemble à une carbonnade flamande. On sait faire des choses comme ça".

Travailler les protéines, la viande en moins : l'assurance aussi de faire des économies. Jusqu'à 30 centimes de moins qu'un repas classique. Moins cher, mais tout aussi nourrissant : l'équilibre nutritionnel des plats est conservé.
"C’est clairement très bon pour la santé", affirme Frédéric Rotolo, responsable d'exploitation de la cuisine centrale. "Et puis, on n'est pas programmés pour manger de la viande toute notre vie. En tous cas pas à 100 %".

Six parents sur dix favorables aux menus sans viande

Selon une enquête de Greenpeace publiée en mai dernier, 6 parents sur 10 en France sont favorables à l'introduction de menus végétariens à l'école. Une mesure qui tient plus à la santé des enfants qu'à des raisons philosophiques, avec une incidence de l'excès de protéines animales sur l'obésité notamment.

La consommation d’une viande et d’un produit laitier chaque midi correspondrait chez les enfants de 3 à 11 ans à deux voire trois fois celle recommandée par l’ANSES, l'agence nationale de sécurité sanitaire et de l’alimentation.

En France, 70% des enfants mangent trop de viande par rapport à leurs besoins nutritionnels.

A la sortie de l'école dans laquelle nous avons réalisé notre reportage, les mamans se sont montrées enthousiastes : "C’est logique que les enfants mangent un peu plus de légumes, à la maison, ils mangent assez de viande comme ça", nous a dit l'une d'elles. Pour cette autre : "C’est une bonne habitude pour les enfants, ils apprennent à manger sain".

Menus végétariens pour moins d'une ville sur dix

Aujourd'hui, à peine 9% des villes françaises servent un repas végétarien par semaine à la cantine. Outre Lille dans la région, Lambersart, Bondues, Wattrelos, Douai, Bruay-sur-l'Escaut, Trith-Saint-Léger et Grande-Synthe ont également sauté le pas.

La généralisation d'un menu sans viande hebdomadaire a été âprement débattu au printemps dernier, lors du projet de loi agriculture et alimentation. Le Ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot y était favorable. Contrairement à nombre de députés, y compris au sein de la majorité, au motif de ne pas vouloir « imposer un style de vie » aux concitoyens.

Les menus végétariens à la cantine ont été recalés au profit d'un autre objectif fixé dans la loi : au moins 50 % de produits issus de l’agriculture bio ou tenant compte de l’environnement dans la restauration collective publique d’ici à 2022.

Du progrès sur les produits bio et locaux

A Lille, sur ce terrain là, la ville affiche déjà plus de 20% de bio et 30 à 40% de produits locaux. La volaille, mais aussi les oeufs, le poisson frais ou encore certains fruits et légumes. "Cela correspond à une demande des parents. Notre objectif, c'est le plus possible", déclare Michel Ifri, conseiller municipal délégué à la restauration scolaire.

"Nous voudrions bien faire mieux, mais les filières ne sont pas encore assez structurées", poursuit-il. "Quand on a besoin de pommes, c'est 30 tonnes, d'endives, c'est 7 tonnes".

Lutter contre le gaspillage alimentaire

En introduisant un deuxième repas végétarien, la ville entend aussi réduire le gaspillage alimentaire. Toutes les denrées sont concernées, mais la viande paie un lourd tribut, avec parfois des plats entiers qui partent à la poubelle sans avoir été touchés.

Plusieurs mesures sont mises en place, comme l'implication des enfants dans l'élaboration des menus. Plusieurs classes lilloises ont déjà travaillé avec la diététicienne de la ville pour concevoir des repas.

Autre mesure, la ville prévoit d'introduire deux types de ramequins pour les entrées, un grand et un petit, pour que l'enfant puisse choisir en fonction de son appétit.

Enfin, des bacs à déchets transparents doivent être installés, afin que les écoliers puissent voir concrètement ce qui part à la poubelle.
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Messagepar fernando » 05 Juil 2018, 21:18

Quand c'est bien faut le dire.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar krouw2 » 05 Juil 2018, 22:25

A Tourcoing il y a un menu végétarien...une fois par an, le vendredi de carême
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Messagepar Deub » 06 Juil 2018, 20:50

Y'a plusieurs vendredi pendant le carême krouw, tu dois vouloir parler du vendredi saint. Je comprends que tu ne maitrises pas bien de part tes origines.
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Messagepar krouw2 » 07 Juil 2018, 01:47

N'importe quoi ici, je sais ce que je dis, c'est le vendredi avant le Ramadan
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Messagepar SAV » 07 Juil 2018, 12:15

Deub a écrit:Je comprends que tu ne maitrises pas bien de part tes origines.

=)
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Messagepar bijams » 07 Juil 2018, 14:56

krouw2 a écrit:que des bobos socialisse islamo gauchiste

Lille devient la première ville française à servir deux menus végétariens par semaine à la cantine
Deux fois par semaine, céréales et légumineuses remplacent les protéines animales servies aux enfants dans les cantines scolaires lilloises

Depuis le 1er juin, Lille remplace deux fois par semaine les protéines animales par des végétales à ses 14 000 écoliers. L'expérimentation sera poursuivie à la rentrée. Elle fait de la capitale des Flandres la première ville française à aller si loin dans l'alternative à la viande et au poisson.


En 2014, la ville de Lille avait introduit un menu végétarien par semaine dans les assiettes de ses écoliers.

Depuis le 1er juin, elle est passée à deux repas sans viande et sans poisson, et poursuivra sur le même régime à la rentrée. Nuggets de soja, omelette, haricots rouges, pois chiche et autres légumineuses, les alternatives aux protéines animales se déclinent au fil des jours dans les cantines des écoles publiques de Lille et de ses communes associées Hellemmes et Lomme.

Diversification alimentaire et respect de l'environnement

Un changement de paradigme qui fait aujourd'hui de la capitale des Flandres la première de France à passer la seconde en matière de végétarisme. Dans un triple soucis de respect de l'environnement, de diversification alimentaire et de réduction du gaspillage. A Lille comme ailleurs, un tiers au moins du contenu des assiettes finit à la poubelle.


Nous sommes allés poser notre caméra dans une école de Lille Sud. Ce jour à la cantine, c'était céleri, perles de blé sauce minestrone et tarte aux pommes.
Verdict à la dégustation : une majorité d'enfants enthousiastes qui ont "tout aimé", et qui trouvent "ça bien pour la planète". Et puis d'autres, plus sceptiques, comme ce jeune homme : "L’entrée j’aimais pas trop, il y a un goût de rien.". C'est toujours difficile de faire l'unanimité.



Tous les repas sont élaborés à la cuisine centrale de Lille, trois jours à l'avance. 14 000 entrées plats et desserts sortent chaque jour de ses fours et de ses marmites. Pour concocter ces repas végétariens, les cuisiniers ont dû se replonger dans les livres de recettes, pour adapter les plats aux enfants.

"J’étais récalcitrant", confesse Laurent Demesre, chef de cuisine. "Dans mon image de cuisiner, les repas végétariens, ce n'est pas mon idéal. Mais si on travaille le produit un peu comme de la viande, à l’arrivée on a un plat qui ressemble à une carbonnade flamande. On sait faire des choses comme ça".

Travailler les protéines, la viande en moins : l'assurance aussi de faire des économies. Jusqu'à 30 centimes de moins qu'un repas classique. Moins cher, mais tout aussi nourrissant : l'équilibre nutritionnel des plats est conservé.
"C’est clairement très bon pour la santé", affirme Frédéric Rotolo, responsable d'exploitation de la cuisine centrale. "Et puis, on n'est pas programmés pour manger de la viande toute notre vie. En tous cas pas à 100 %".

Six parents sur dix favorables aux menus sans viande

Selon une enquête de Greenpeace publiée en mai dernier, 6 parents sur 10 en France sont favorables à l'introduction de menus végétariens à l'école. Une mesure qui tient plus à la santé des enfants qu'à des raisons philosophiques, avec une incidence de l'excès de protéines animales sur l'obésité notamment.

La consommation d’une viande et d’un produit laitier chaque midi correspondrait chez les enfants de 3 à 11 ans à deux voire trois fois celle recommandée par l’ANSES, l'agence nationale de sécurité sanitaire et de l’alimentation.

En France, 70% des enfants mangent trop de viande par rapport à leurs besoins nutritionnels.

A la sortie de l'école dans laquelle nous avons réalisé notre reportage, les mamans se sont montrées enthousiastes : "C’est logique que les enfants mangent un peu plus de légumes, à la maison, ils mangent assez de viande comme ça", nous a dit l'une d'elles. Pour cette autre : "C’est une bonne habitude pour les enfants, ils apprennent à manger sain".

Menus végétariens pour moins d'une ville sur dix

Aujourd'hui, à peine 9% des villes françaises servent un repas végétarien par semaine à la cantine. Outre Lille dans la région, Lambersart, Bondues, Wattrelos, Douai, Bruay-sur-l'Escaut, Trith-Saint-Léger et Grande-Synthe ont également sauté le pas.

La généralisation d'un menu sans viande hebdomadaire a été âprement débattu au printemps dernier, lors du projet de loi agriculture et alimentation. Le Ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot y était favorable. Contrairement à nombre de députés, y compris au sein de la majorité, au motif de ne pas vouloir « imposer un style de vie » aux concitoyens.

Les menus végétariens à la cantine ont été recalés au profit d'un autre objectif fixé dans la loi : au moins 50 % de produits issus de l’agriculture bio ou tenant compte de l’environnement dans la restauration collective publique d’ici à 2022.

Du progrès sur les produits bio et locaux

A Lille, sur ce terrain là, la ville affiche déjà plus de 20% de bio et 30 à 40% de produits locaux. La volaille, mais aussi les oeufs, le poisson frais ou encore certains fruits et légumes. "Cela correspond à une demande des parents. Notre objectif, c'est le plus possible", déclare Michel Ifri, conseiller municipal délégué à la restauration scolaire.

"Nous voudrions bien faire mieux, mais les filières ne sont pas encore assez structurées", poursuit-il. "Quand on a besoin de pommes, c'est 30 tonnes, d'endives, c'est 7 tonnes".

Lutter contre le gaspillage alimentaire

En introduisant un deuxième repas végétarien, la ville entend aussi réduire le gaspillage alimentaire. Toutes les denrées sont concernées, mais la viande paie un lourd tribut, avec parfois des plats entiers qui partent à la poubelle sans avoir été touchés.

Plusieurs mesures sont mises en place, comme l'implication des enfants dans l'élaboration des menus. Plusieurs classes lilloises ont déjà travaillé avec la diététicienne de la ville pour concevoir des repas.

Autre mesure, la ville prévoit d'introduire deux types de ramequins pour les entrées, un grand et un petit, pour que l'enfant puisse choisir en fonction de son appétit.

Enfin, des bacs à déchets transparents doivent être installés, afin que les écoliers puissent voir concrètement ce qui part à la poubelle.


Oui c'est bien mais les frites c'est aussi un plat végétarien (si cuisson à la végétaline)
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Messagepar krouw2 » 14 Juil 2018, 02:19

oooh bordel

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Messagepar Dageek » 14 Juil 2018, 09:50

loul
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Messagepar Xylophène » 03 Août 2018, 17:51

J'espère qu'elle n'a pas oublié de faire des selfies avec les migrants pour alimenter son compte Instagram.
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."


Armand, les Nénuphars
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Messagepar krouw2 » 06 Août 2018, 02:51

Octogénaire repêchée dans la Lys à Armentières, son petit-fils la forçait à mendier auprès des voisins

Josiane, 84 ans, a été retrouvée sans vie dans la Lys vendredi. La veille, son petit-fils âgé d’une trentaine d’années, a avoué l’avoir violentée puis jetée, encore vivante, avec son fauteuil roulant, dans le canal. Sous le choc, des voisins décrivent le suspect comme quelqu’un de très perturbé. Son aïeule, quant à elle, était très discrète, voire isolée.

Depuis deux mois et demi, Josiane vivait avec son petit-fils dans un appartement à Armentières. Dans ce quartier populaire de la cité de la Toile, le drame était dans tous les esprits ce samedi.

Le petit-fils et suspect (*) était perçu par ses voisins comme un homme perturbé. Le trentenaire était d’ailleurs connu des services de police pour des faits de violence envers sa grand-mère. « Il jetait souvent ses bouteilles de bière par la fenêtre (depuis le troisième étage, ndlr) », s’accordent deux habitants de la résidence.


S’il ne parlait pas beaucoup, l’homme suscitait l’interrogation de la part de nombreux résidents. « J’étais en contact avec cette dame de temps en temps et elle me demandait parfois un peu d’argent. Une fois, elle a éclaté en sanglots en me disant que son petit-fils était fou », se souvient sa voisine de palier.

Un autre voisin du même étage raconte : « Elle venait souvent sonner chez moi pour me demander 2 euros. Mais j’ai ensuite compris que c’était son petit-fils qui lui demandait de faire ça. Il sonnait à ma porte avec elle, rentrait aussitôt chez lui et la laissait seule sur le pas de ma porte, debout avec sa canne… »
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Messagepar fernando » 06 Août 2018, 11:25

La visite dominicale de Laurent chez Mémé s'est visiblement mal passée.
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Messagepar Dageek » 06 Août 2018, 11:27

Ah c est ça ce petit côté Francis Kuntz..
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Messagepar fernando » 05 Oct 2018, 19:34

Aubry depuis un moment elle a la lose chevillée au corps





Lille La justice gèle la piscine et le projet Saint-Sauveur

Le juge des référés du tribunal administratif vient de suspendre la délibération du conseil de la Métropole européenne de Lille (MEL) déclarant le projet Saint-Sauveur d’intérêt général. La justice était saisie par deux associations.
L. B. | 05/10/2018


Avec le projet Saint-Sauveur, il est question d’implanter un nouveau quartier entre le centre ville et Moulins.

L’association pour la suppression des pollutions industrielles et l’association Parc Saint-Sauveur viennent de marquer un point conséquent dans leur opposition au développement, dans son aspect actuel, du projet Saint-Sauveur, dans le centre de Lille. Le 15 juin dernier, une délibération du conseil de la MEL déclarait le projet Saint-Sauveur d’intérêt général. Située dans le centre de Lille, cette immense friche pourrait être amenée à accueillir un très important morceau de ville comportant de nombreux logements ou encore toutes sortes d’équipements publics.

Défendues par l’avocate Muriel Ruef, les associations opposées au programme annoncé mettent notamment en avant des inquiétudes quant aux risques de pollution. Dans ce projet très contesté par un collectif associatif, elles critiquent notamment le projet de piscine olympique. D’où une saisine de la justice d’urgence, le juge des référés.

« Ces insuffisances et inexactitudes ont pu avoir pour effet de nuire à l’information complète de la population. »

Dans son ordonnance datée de ce vendredi 5 octobre, le juge administratif indique : « Il résulte de l’instruction que l’étude d’impact datée de mai 2017 et incluse dans le dossier soumis à enquête publique réalisée au cours des mois mars et avril 2018 comporte des insuffisances quant aux incidences du projet sur la qualité de l’air. »
Il souligne également « des inexactitudes » quant à « l’état d’avancement du projet d’implantation d’une piscine olympique eu égard aux décisions prises en la matière par le conseil de la Métropole européenne de Lille lors de sa séance du 19 octobre 2017 ». « Ces insuffisances et inexactitudes ont pu avoir pour effet de nuire à l’information complète de la population », conclut le magistrat.

« Cela rend impossible la délivrance de permis de construire. Et études publiques et études d’impact seront à refaire... », prédit l’avocate Muriel Ruef.
L’exécution de la délibération déclarant le projet Saint-Sauveur d’intérêt général est donc suspendue jusqu’à ce que le tribunal administratif se prononce sur le recours déposé au fond par les deux associations.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar laurentlille1 » 05 Oct 2018, 20:52

fernando a écrit:Aubry depuis un moment elle a la lose chevillée au corps


Ouais, curieusement, quand on fait passer toutes ses mesures en force sans concerter qui que ce soit, on se fait retoquer. Vraiment pas de chance.
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Messagepar laurentlille1 » 05 Oct 2018, 21:12

Le département du Nord s'est fait escroquer de 800 000 euros par le biais de fausses factures, selon une information de La Voix du Nord confirmée auprès du conseil départemental.

L'escroc est passé par un système particulièrement sophistiqué, s'attaquant d'abord à une entreprise chargée du chantier de contournement nord de Valenciennes, en se faisant passer pour un agent du département, commanditaire du projet.

Grâce à cette fausse identité et à un mail en apparence officiel, la personne à l'origine de l'arnaque obtient des documents ainsi que des renseignements, dont il ou elle se sert pour fabriquer de toutes pièces une facture transmise au conseil départemental, cette fois-ci en se faisant passer pour le comptable de l'entreprise.

Une arnaque très crédible

La facture de 800 000 euros est jugée crédible par le Département, qui la paie. L'escroquerie, réalisée fin août, n'a été découverte qu'en septembre lorsque la vraie facture a été envoyée par l'entreprise.

"Elle correspondait aux travaux effectués et aux coûts réels" se défend le président du département du Nord Jean-René Lecerf auprès de La Voix du Nord.


Pour nous, la facture, même fausse, est payée

Une plainte a été déposée et une enquête est en cours, confiée à la brigade financière de la PJ de Lille. L'escroquerie proviendrait, selon nos confrères, d'une organisation internationale "lié[e] à un réseau chinois passant par Israël" précise-t-ils en citant le département.

Mais le véritable perdant dans l'histoire, ce n'est pas le département mais l'entreprise dont l'identité a été usurpée. "Pour nous, la facture, même fausse, est payée" assure Jean-René Lecerf. "Il faut trouver une solution pour la dédommager. Il est vraisemblable qu’elle sera remboursée par la direction générale des finances publiques."
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Messagepar krouw2 » 06 Oct 2018, 15:33

https://www.mediacites.fr/lille/enquete ... d-76813171

Lille Métropole Habitat à la MEL : « T’as pas 100 millions ? »

L’office HLM de la métropole lilloise a besoin de boucher le trou énorme qui s'annonce dans son budget, imputable à une gestion jugée déficiente et aux mesures gouvernementales visant le logement social. Mais le montant astronomique de l'aide réclamée à la MEL fait tanguer le consensus au sein de la collectivité.

Un nouveau Scud vient d’être tiré sur la Métropole européenne de Lille (MEL). Pas par n’importe qui : par Guillaume Delbar, l’un de ses vice-présidents et aussi maire de Roubaix. Au nom du groupe de droite Métropole communes unies (MCU), il signe une tribune d’une virulence inédite dans les colonnes de la dernière revue de la MEL. L’élu y fusille l’office public Lille-Métropole Habitat (LMH), qui gère plus de 32 000 logements sociaux dans l’agglomération et, écrit-il, « n’assume pas, ou plus, le rôle qui est le sien ». Et de dénoncer le « train de vie » de l’organisme, dont la construction d’un siège social de 36,4 millions d’euros, et la quête de « rallonges budgétaires ». L’édile irrité conclut en exigeant « un audit externe précis » de LMH et « une feuille de route rigoureuse pour garantir son retour à l’équilibre et la gestion vertueuse des deniers publics ».


Damien Castelain, président de la MEL, a dû se frotter les yeux en lisant son magazine préféré… Regain de la guerre des beffrois et des versants ? Ou retour de la querelle droite-gauche autour du logement social, chasse gardée historique du Parti socialiste régional ? En tout cas, la délibération qui devait déterminer sans délai le soutien de la métropole à LMH, portée par le vice-président au logement, ne figure pas à l’ordre du jour du conseil du 19 octobre. L’examen du dossier est renvoyé à la séance consacrée au budget primitif en décembre. Un nouveau coup de canif dans la gestion consensuelle de l’établissement intercommunal.
Amères ponctions

Sur le fond, l’affaire mérite attention et sérieux. LMH, issu de la fusion en 2006 des offices de Lille, Roubaix et Tourcoing, est lourdement touché par les récentes mesures gouvernementales sur le logement social. Du fait de la « réduction du loyer de solidarité » (RLS), de l’augmentation du taux de TVA sur les constructions d’immeubles (de 5,5 à 10 %) et de la hausse de cotisation à la caisse de garantie du logement social, il perdra entre 10 et 12 millions d’euros de recettes cette année. Cette ponction se renouvellera dans des proportions équivalentes ou supérieures en 2019 et en 2020. D’autres bailleurs, publics ou privés, sont impactés par ces mesures. Partenord Habitat, l’office départemental du Nord, s’attend à être privée de 15 millions d’euros. Philippe Rémignon, patron de Vilogia, la société héritière du 1 % logement, évoque une fourchette de 10 à 20 millions d’euros. Et Dominique Soyer, directeur de Maisons & Cités – Soginorpa, gestionnaire des anciens logements miniers, parle d’un repli de 18 millions d’euros.

Mais ces « confrères » disposent de patrimoines plus importants – et de reins plus solides – que LMH. « Notre cas est vraiment particulier », plaide Didier Manier, président de l’office métropolitain. L’organisme loge les familles parmi les plus pauvres de l’agglomération (63 % de ses occupants touchent l’Aide personnalisée au logement (APL), soit pas loin du record national). Ses loyers sont 12 à 13 % inférieurs à la moyenne encaissée par les opérateurs similaires. Qui plus est, un nouveau programme de rénovation urbaine se profile qui amènera LMH à démolir et reconstruire, au prix de lourdes dépenses, près de 1 400 logements à Lille, Tourcoing et Roubaix. « Si rien n’est fait, l’office se retrouvera en autofinancement négatif (c’est-à-dire en déficit, ndlr) dès 2020 et nous ne pourrons pas faire face aux impératifs de la rénovation urbaine », expose Didier Manier. Le dirigeant sollicite donc d’urgence l’aide de la MEL, son institution de référence.
Cent millions sur la table

A quelle hauteur ? 100 millions d’euros ! Ni plus ni moins. D’abord une subvention de 70 millions d’’euros sur dix ans. Puis une contribution d’une trentaine de millions d’euros au titre de la rénovation urbaine quand, en l’état actuel des discussions, Partenord ne bénéficierait que de quatre millions et Vilogia en toucherait à peine un… « Dix millions par an, c’est la stricte compensation des manques à gagner et des dépenses à venir pour LMH », indique Bernard Haesebroeck, vice-président de la MEL chargé du logement. L’office métropolitain est peut-être dans l’ornière mais il s’y est fourré lui-même, répliquent les élus de MCU.

Les critiques se concentrent sur Alain Cacheux. Celui qui fut président de LMH jusqu’en 2014 est accusé d’avoir négligé, pendant des années, d’augmenter les loyers comme l’y autorisait le gouvernement ; mais aussi de ne pas avoir regardé à la dépense pour construire le nouveau siège social à Tourcoing plutôt que d’investir dans « les fonctions premières » de l’entreprise. On reproche encore à l’impécunieux office des frais de structure disproportionnés (1 076 euros par logement) et une masse salariale élevée, résultant de la fusion des trois offices locaux (780 collaborateurs)…

Interrogé par Mediacités, Guillaume Delbar s’épanche : « Cette structure n’est pas bien gérée. Elle a des habitudes de fonctionnement qui n’ont plus lieu d’être alors que l’argent public se fait rare. » Le maire de Roubaix surgit bientôt derrière le vice-président de la MEL. « Je passe mon temps à rappeler LMH à ses obligations sur le terrain. En juin, j’ai dû convoquer son président dans le quartier des Trois Ponts pour lui montrer les appartements mal entretenus, les épaves sur les parkings, et le placer devant ses responsabilités. » Pas question, donc, de « faire un chèque en blanc » à ce bailleur-là. L’aide éventuelle de la MEL devra être assortie de conditions et son montant pourrait même être rediscuté.

Quand l’un s’épanche, l’autre s’étrangle. Didier Manier souligne que LMH a entrepris dès cette année un programme drastique d’économies : 2,9 millions d’euros sur les frais de personnel et de fonctionnement, 4,6 millions d’euros sur l’entretien et l’équipement des appartements et maisons du parc, 3,4 millions d’euros grattés sur le fonds de roulement, 6 à 7 millions d’euros récupérés grâce à la vente de logements… « On peut toujours exiger plus mais à un moment, on sera à l’os », conclut le président de LMH. Sur des contreparties que l’office pourrait apporter à la subvention métropolitaine, Didier Manier et Bernard Haesebroeck restent pour le moment évasifs.


Sous couvert d’anonymat, un élu haut placé dans l’institution assène : « Finalement, tout cela montre que la MEL ne s’est jamais vraiment occupée de LMH. Nous n’avons pas demandé de comptes à l’office et nous en portons la responsabilité collective. » L’épisode brûlant des 100 millions d’euros marquera-t-il un sursaut vertueux ? Ou, plus prosaïquement, faut-il voir dans l’ombre de Guillaume Delbar, un coup porté par Gérald Darmanin, dont il est proche ? « Une chose est sûre, Darmanin nous en veut à mort », confie un représentant de LMH, en évoquant une longue diatribe de celui était alors maire de Tourcoing, lors de l’inauguration des services centraux de l’office, en 2015.
Un climat social tendu

Notre enquête nous a amené à rencontrer des représentants de la CFDT, organisation majoritaire à LMH. Les syndicalistes ne cachent pas leurs inquiétudes sur la situation du bailleur et plus largement sur l’avenir du logement social. Mais au fil de l’entretien, nos interlocuteurs ont aussi dépeint un climat social rendu difficile par une directrice réputée intransigeante qui, assurent-ils, « ne négocie pas ». Quatorze licenciements et seize démissions enregistrés depuis le début de l’année en seraient les signes. En bons délégués du personnel, ils protestent contre des salaires trop bas ou des primes rognées. Plus surprenant, ils déplorent de mauvaises conditions de travail au siège de LMH. « On y bout l’été et on y a froid l’hiver, un comble pour un bâtiment de cette ambition. L’atrium, trop vaste, ne sert à rien et ce ne sont pas “les coussins” achetés récemment pour le meubler qui y changeront quelque chose », expliquent-ils en substance. Plus étonnant encore : toutes les portes coupe-feu de l’établissement seraient hors service depuis plusieurs mois, malgré les signalements répétés des élus du personnel…
Point final.
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Messagepar laurentlille1 » 16 Oct 2018, 11:35

Bravo à la soeur de Rafael Varane pour son titre de Miss Nord Pas de Calais.

Les parents ont fait des enfants cons mais physiquement au top.
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Messagepar fernando » 16 Oct 2018, 13:32

Et la photo alors?
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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fernando
 
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Messagepar guinness » 16 Oct 2018, 16:52

Les parents ont fait des enfants cons mais physiquement au top.


pour le fils (la soeur j'en sais rien), il y a pire ..... Ribery, Nasri ....
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guinness
 
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Messagepar krouw2 » 16 Oct 2018, 20:10

toutaleur j'ai un client qui m'a appelé, Johnny Brêle de Lens, le sort s'acharne par moment
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Messagepar Giallo » 17 Oct 2018, 10:21

A Harnes et Hénin-Beaumont, cuver au commissariat coûtera 120 euros

Deux villes du Nord ont décidé de suivre l’exemple d’Orléans suite à des délibérations votées à Harnes en juin et à Hénin-Beaumont ce vendredi. Les personnes retrouvées ivres sur la voie publique et conduites au commissariat par les policiers municipaux ne recevront pas seulement une amende : elles auront droit à une facture de 120 euros, pour rembourser leur prise en charge.

Haleine sentant fortement l’alcool, propos incohérents, démarche titubante… Voilà quelques-uns des symptômes de l’ivresse manifeste, selon la jurisprudence. Dans les lieux publics, celle-ci est punie par la loi. C’est une contravention de deuxième classe, elle expose donc à une amende pouvant aller jusqu’à 150 euros. Mais dans certaines villes, ça peut coûter encore un peu plus cher.

L’exemple a été donné par Orléans. Il a été suivi par Saint-Malo, Pau, et, depuis peu, par deux communes du bassin minier, Harnes et Hénin-Beaumont, expliquent nos confrères de La Voix du Nord. Toutes ces villes s’appuient sur le même article du code de la santé publique, le L3341-1. Cet article indique qu’une personne trouvée ivre dans un lieu public doit être conduite au commissariat ou à la gendarmerie la plus proche « pour y être retenue jusqu’à ce qu’elle ait recouvré la raison » et ce… « à ses frais ».

À Harnes et Hénin-Beaumont, les personnes prises en charge par leur police municipale recevront une facture de 120 euros. Ce montant, déjà pratiqué à Orléans, a été jugé raisonnable par la justice administrative. La nuit en cellule de dégrisement reste, elle, offerte par la police nationale.
ce message ne vient pas de moi
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