d'la boulette !
[O1T]Tous devant la télé ce soir pcq derrière on voit rien
par fernando » 04 Fév 2014, 10:00
Ca a l'air dingue ce truc
Perpétuité pour les enfants d'Amérique
Mardi 4 février de 20:35 à 21:30 sur France 5
Mars 2011, Floride. Cristian Fernandez, 12 ans, est suspecté d'avoir tué son petit frère de dizaines de coups sur le crâne. Au cours d'une garde à vue sans avocat, Cristian passe aux aveux et devient le plus jeune inculpé pour meurtre de l'histoire du comté de Duval. Pour les procureurs, il s'agit d'un acte prémédité : le jeune garçon est donc transféré devant la justice des adultes et risque la prison à perpétuité. Ce fait divers glaçant eut une résonance mondiale, mettant au jour l'extrême dureté de la justice des mineurs américaine. Deux mille six cents ados auraient à ce jour été condamnés à la perpétuité.
Les réalisateurs ont suivi pendant deux ans le cas Fernandez et sa gestion par la justice. Leur récit, nourri d'une réflexion sur le bien-fondé d'un tel traitement des mineurs, est passionnant. Détracteurs et défenseurs ont la parole, dans un grand souci d'équilibre. Et pourtant, un constat émerge à l'écoute de ces voix discordantes : cette sévérité est avant tout une démission. Une façon, dans le pays qui affiche le taux d'incarcération le plus fort au monde, de bannir définitivement les criminels de la société dès le plus jeune âge, sans tenter de les réhabiliter. Les entretiens avec la procureure républicaine de Floride, Angela Corey, partisane du culte de la peur et du tout-répressif, exhalent le délire irrationnel d'une justice basée sur l'émotion.
Remarquablement construit, enrichi de la parole bouleversante de mineurs condamnés à vie au premier faux pas (la perpétuité étant pourtant interdite par la Convention internationale des droits de l'enfant), le film s'achève sur le constat de l'aveuglement d'une justice passionnelle qui ne prend en compte ni l'âge, ni le vécu, ni le casier judiciaire des jeunes prévenus.
Les avocats qui ont successivement défendu Cristian (et obtenu la diminution de sa peine) sont sincèrement convaincus de son innocence : les procureurs n'ont tout simplement pas examiné les preuves qui feraient de la mère de Cristian une potentielle suspecte, que son fils aurait voulu protéger.
Perpétuité pour les enfants d'Amérique
Mardi 4 février de 20:35 à 21:30 sur France 5
Mars 2011, Floride. Cristian Fernandez, 12 ans, est suspecté d'avoir tué son petit frère de dizaines de coups sur le crâne. Au cours d'une garde à vue sans avocat, Cristian passe aux aveux et devient le plus jeune inculpé pour meurtre de l'histoire du comté de Duval. Pour les procureurs, il s'agit d'un acte prémédité : le jeune garçon est donc transféré devant la justice des adultes et risque la prison à perpétuité. Ce fait divers glaçant eut une résonance mondiale, mettant au jour l'extrême dureté de la justice des mineurs américaine. Deux mille six cents ados auraient à ce jour été condamnés à la perpétuité.
Les réalisateurs ont suivi pendant deux ans le cas Fernandez et sa gestion par la justice. Leur récit, nourri d'une réflexion sur le bien-fondé d'un tel traitement des mineurs, est passionnant. Détracteurs et défenseurs ont la parole, dans un grand souci d'équilibre. Et pourtant, un constat émerge à l'écoute de ces voix discordantes : cette sévérité est avant tout une démission. Une façon, dans le pays qui affiche le taux d'incarcération le plus fort au monde, de bannir définitivement les criminels de la société dès le plus jeune âge, sans tenter de les réhabiliter. Les entretiens avec la procureure républicaine de Floride, Angela Corey, partisane du culte de la peur et du tout-répressif, exhalent le délire irrationnel d'une justice basée sur l'émotion.
Remarquablement construit, enrichi de la parole bouleversante de mineurs condamnés à vie au premier faux pas (la perpétuité étant pourtant interdite par la Convention internationale des droits de l'enfant), le film s'achève sur le constat de l'aveuglement d'une justice passionnelle qui ne prend en compte ni l'âge, ni le vécu, ni le casier judiciaire des jeunes prévenus.
Les avocats qui ont successivement défendu Cristian (et obtenu la diminution de sa peine) sont sincèrement convaincus de son innocence : les procureurs n'ont tout simplement pas examiné les preuves qui feraient de la mère de Cristian une potentielle suspecte, que son fils aurait voulu protéger.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par krouw2 » 16 Fév 2014, 01:27
pinaise, franchement kiffant
Fleur, Thibaud, Joseph et Frédéric sont des fidèles de l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet, à Paris, où des messes sont célébrées à la mémoire du général Franco, "bon serviteur de sa patrie et de la chrétienté". Ils ont 20 ans, militent dans des partis d'extrême-droite aux cris de "Bleu blanc rouge, la France aux Français !" et se considèrent "en état de guerre" contre un monde qui met à mal la famille, regardée comme le fondement même de la société chrétienne. Défilés aux flambeaux, manifestations contre l’avortement ou la gay pride ("Les homosexuels, c'est une malformation de la nature"), mais aussi prières et retraites rythment leur jeunesse. C’est dans ce cadre qu’ils font leur apprentissage spirituel, politique et… amoureux.
Rupture de fiançailles
Les réalisatrices ont fréquenté plusieurs mois durant les jeunes de cette communauté, afin de se faire admettre dans leur monde fermé. Dans une succession de petites scènes très éclairantes (dialogue entre mère et fils, discussions entre amis...), Nos fiançailles s'attache plus particulièrement à suivre l'histoire de Fleur et Thibaud, entre certitudes idéologiques et doutes personnels, jusqu'à la rupture de leurs fiançailles.
http://www.arte.tv/guide/fr/043723-000/ ... autoplay=1
Fleur, Thibaud, Joseph et Frédéric sont des fidèles de l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet, à Paris, où des messes sont célébrées à la mémoire du général Franco, "bon serviteur de sa patrie et de la chrétienté". Ils ont 20 ans, militent dans des partis d'extrême-droite aux cris de "Bleu blanc rouge, la France aux Français !" et se considèrent "en état de guerre" contre un monde qui met à mal la famille, regardée comme le fondement même de la société chrétienne. Défilés aux flambeaux, manifestations contre l’avortement ou la gay pride ("Les homosexuels, c'est une malformation de la nature"), mais aussi prières et retraites rythment leur jeunesse. C’est dans ce cadre qu’ils font leur apprentissage spirituel, politique et… amoureux.
Rupture de fiançailles
Les réalisatrices ont fréquenté plusieurs mois durant les jeunes de cette communauté, afin de se faire admettre dans leur monde fermé. Dans une succession de petites scènes très éclairantes (dialogue entre mère et fils, discussions entre amis...), Nos fiançailles s'attache plus particulièrement à suivre l'histoire de Fleur et Thibaud, entre certitudes idéologiques et doutes personnels, jusqu'à la rupture de leurs fiançailles.
http://www.arte.tv/guide/fr/043723-000/ ... autoplay=1
Hollande 2027
par SAV » 16 Fév 2014, 13:41
krouw2 a écrit:pinaise, franchement kiffant
Fleur, Thibaud, Joseph et Frédéric sont des fidèles de l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet, à Paris, où des messes sont célébrées à la mémoire du général Franco, "bon serviteur de sa patrie et de la chrétienté". Ils ont 20 ans, militent dans des partis d'extrême-droite aux cris de "Bleu blanc rouge, la France aux Français !" et se considèrent "en état de guerre" contre un monde qui met à mal la famille, regardée comme le fondement même de la société chrétienne. Défilés aux flambeaux, manifestations contre l’avortement ou la gay pride ("Les homosexuels, c'est une malformation de la nature"), mais aussi prières et retraites rythment leur jeunesse. C’est dans ce cadre qu’ils font leur apprentissage spirituel, politique et… amoureux.
Rupture de fiançailles
Les réalisatrices ont fréquenté plusieurs mois durant les jeunes de cette communauté, afin de se faire admettre dans leur monde fermé. Dans une succession defaut que je matte petites scènes très éclairantes (dialogue entre mère et fils, discussions entre amis...), Nos fiançailles s'attache plus particulièrement à suivre l'histoire de Fleur et Thibaud, entre certitudes idéologiques et doutes personnels, jusqu'à la rupture de leurs fiançailles.
http://www.arte.tv/guide/fr/043723-000/ ... autoplay=1
La vache, faut que je matte ça au plus vite.
Brigitte Macron 2027.
par bijams » 19 Fév 2014, 12:41
J'ai maté des bribes de Catfish sur D17.
Sympa le concept.
Mais j'ai eu mal à mon tit coeur au chocolat au lait.
Le bogosse, sportif, pas con, la coqueluche des pom pom girls était un cœur à prendre mais le sien était voué à une bombass blonde avec qui il chattait sur Facebook depuis 1 an 1/2 sans l'avoir jamais vu.
L'équipe de Catfish les a fait rencontrer.
Résultat, c'était un bon black, bien gras, schpounz et qui portait des claquettes...
Sympa le concept.
Mais j'ai eu mal à mon tit coeur au chocolat au lait.
Le bogosse, sportif, pas con, la coqueluche des pom pom girls était un cœur à prendre mais le sien était voué à une bombass blonde avec qui il chattait sur Facebook depuis 1 an 1/2 sans l'avoir jamais vu.
L'équipe de Catfish les a fait rencontrer.
Résultat, c'était un bon black, bien gras, schpounz et qui portait des claquettes...
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