loul je regarde, à peine rentré d'un périple SNCF à Montpellier...
Un vrai tocard le mec: "chasseur de tete" alors qu'il a récupéré la boite de papa. Il n'a aucune légitimité.
Son profil viadeo est loulant: Ecole de vente, consultant dans la boite de papa 5 ans, puis que de expériences d'un an dans des vraies boites où il a du se faire jeter et retour dans la boite de papa. Mais ouais, c'est un "self made man" qui votre à droite et crache sur les losers avec sa tete de bite.
[O1T]Tous devant la télé ce soir pcq derrière on voit rien
par une des fakes de Der » 15 Fév 2013, 10:02
matcheu a écrit:otto a écrit:En 2ème partie de soirée sur arte : "water makes money".
C'était une rediffusion ? Ça me dit quelque chose ce truc.
Ouep, c'est une rediffusion. Soutien d'Arte à ça -->
Le 14 février 2013 à 13heures 30 au Palais de Justice à Paris s'ouvrira le procès en diffamation intenté par le groupe Veolia contre le film « Water Makes Money ». Toutefois, seuls la présidente de l'association La Mare aux canards, distributeur français du film, et Jean-Luc Touly, cadre de Veolia et protagoniste central du film, sont poursuivis. La procédure judiciaire du groupe contre les « vrais » responsables du film «Water Makes Money » - les réalisateurs Leslie Franke et Herdolor Lorenz - s'est en effet brisée contre le fait que la filiale allemande de Veolia a renoncé à déposer une plainte en Allemagne.
par une des fakes de Der » 16 Fév 2013, 18:49
Sur France 5, y a un éléphanteau qui joue au football.
par une des fakes de Der » 18 Fév 2013, 00:16
emission racoleuse mais enquete exclusive m6 sur les gens du voyage...édifiant.
par une des fakes de Der » 25 Fév 2013, 16:09
Après avoir étrillé les lapins stéfanois :
Quand l'Europe sauve ses banques, qui paye ?
mardi, 26 février 2013 à 22:20 sur arte
50 milliards d’euros en Grèce, 70 milliards en Irlande, 40 milliards en Espagne : au sein de la zone euro, les États se sont vus contraints les uns après les autres – moyennant des sommes astronomiques – de venir en aide aux banques pour compenser les pertes subies suite à des prêts pourris. Mais qui sont les véritables bénéficiaires de telles opérations ?
C’est en posant cette question très simple que Harald Schumann, essayiste en économie et brillant journaliste, sillonne l’Europe à la rencontre des négociateurs politiques et financiers situés aux plus hauts niveaux de responsabilités. Et obtient des
réponses pour le moins sidérantes. Car ceux qui ont été “sauvés” ne se trouvent pas – comme on tend à vouloir nous le faire croire – dans les pays en détresse, mais surtout en Allemagne et en France.
En effet, une part importante des sommes débloquées finit dans les caisses des créanciers des banques sauvées. Quant aux financiers qui ont fait de mauvais investissements, ils se retrouvent protégés contre toute perte aux frais de la collectivité. Et ce contrairement aux règles de l’économie de marché. Pourquoi ? Qui encaisse l’argent ?
Quand l'Europe sauve ses banques, qui paye ?
mardi, 26 février 2013 à 22:20 sur arte
50 milliards d’euros en Grèce, 70 milliards en Irlande, 40 milliards en Espagne : au sein de la zone euro, les États se sont vus contraints les uns après les autres – moyennant des sommes astronomiques – de venir en aide aux banques pour compenser les pertes subies suite à des prêts pourris. Mais qui sont les véritables bénéficiaires de telles opérations ?
C’est en posant cette question très simple que Harald Schumann, essayiste en économie et brillant journaliste, sillonne l’Europe à la rencontre des négociateurs politiques et financiers situés aux plus hauts niveaux de responsabilités. Et obtient des
réponses pour le moins sidérantes. Car ceux qui ont été “sauvés” ne se trouvent pas – comme on tend à vouloir nous le faire croire – dans les pays en détresse, mais surtout en Allemagne et en France.
En effet, une part importante des sommes débloquées finit dans les caisses des créanciers des banques sauvées. Quant aux financiers qui ont fait de mauvais investissements, ils se retrouvent protégés contre toute perte aux frais de la collectivité. Et ce contrairement aux règles de l’économie de marché. Pourquoi ? Qui encaisse l’argent ?
par une des fakes de Der » 25 Fév 2013, 16:10
Otto il a encore envie de se faire fister par la main invisible du marché.
par une des fakes de Der » 25 Fév 2013, 16:28
Nan, je suis necrewphile...
Vendredi 1 mars 22:25 au samedi 2 mars 2013 00:05 sur France 2
Les Infiltrés : Pompes funèbres : l'obscur marché de la mort
S'il y a un sujet qui tôt ou tard nous concernera tous, c'est bien la question du recours aux pompes funèbres. Mais qui, frappé par la douleur d'un décès, peut se permettre de procéder à une étude de marché ? Comment savoir si les devis avancés sont corrects et comment avoir la certitude que le défunt sera bien traité ?
Vous craigniez le pire ? Ce quatrième volet de la saison des Infiltrés, produite par Capa, nous le confirme. Cette enquête, menée caméra cachée, frappe fort et douloureusement. Pour infiltrer ce milieu très fermé, le journaliste Sylvain Perron a décroché un poste de porteur de cercueil, sans cacher son ambition de devenir conseiller funéraire. Et très vite, il a obtenu des confidences de la part de ses nouveaux collègues. Un croque-mort lui assure d'emblée qu'il faut « piquer le livret de famille et la carte d'identité » du défunt pour que la famille revienne. « Ton business, c'est faire rentrer du pognon ! » assure-t-il (il dira plus loin : « C'est une famille que je connais. Ils sont venus les yeux fermés, et je les ai assassinés ! »). Et pour cause : les prix sont libres, les tarifs rocambolesques. Les devis sont dressés à la tête du client. Toutes les combines sont bonnes pour surfacturer la moindre prestation. Mais si certaines sociétés de pompes funèbres se « contentent » de saler la note tout en restant professionnelles dans leurs prestations, d'autres ont encore moins de scrupules. Les corps sont malmenés, les services expédiés, quand ils ne sont pas purement fictifs.
Des scènes, des récits de ce numéro des Infiltrés prennent à la gorge, tant le cynisme de certains « entrepreneurs » peut révulser. Et l'on se prend à rêver qu'un tel reportage parvienne à faire bouger les choses... — Juliette Warlop
Vendredi 1 mars 22:25 au samedi 2 mars 2013 00:05 sur France 2
Les Infiltrés : Pompes funèbres : l'obscur marché de la mort
S'il y a un sujet qui tôt ou tard nous concernera tous, c'est bien la question du recours aux pompes funèbres. Mais qui, frappé par la douleur d'un décès, peut se permettre de procéder à une étude de marché ? Comment savoir si les devis avancés sont corrects et comment avoir la certitude que le défunt sera bien traité ?
Vous craigniez le pire ? Ce quatrième volet de la saison des Infiltrés, produite par Capa, nous le confirme. Cette enquête, menée caméra cachée, frappe fort et douloureusement. Pour infiltrer ce milieu très fermé, le journaliste Sylvain Perron a décroché un poste de porteur de cercueil, sans cacher son ambition de devenir conseiller funéraire. Et très vite, il a obtenu des confidences de la part de ses nouveaux collègues. Un croque-mort lui assure d'emblée qu'il faut « piquer le livret de famille et la carte d'identité » du défunt pour que la famille revienne. « Ton business, c'est faire rentrer du pognon ! » assure-t-il (il dira plus loin : « C'est une famille que je connais. Ils sont venus les yeux fermés, et je les ai assassinés ! »). Et pour cause : les prix sont libres, les tarifs rocambolesques. Les devis sont dressés à la tête du client. Toutes les combines sont bonnes pour surfacturer la moindre prestation. Mais si certaines sociétés de pompes funèbres se « contentent » de saler la note tout en restant professionnelles dans leurs prestations, d'autres ont encore moins de scrupules. Les corps sont malmenés, les services expédiés, quand ils ne sont pas purement fictifs.
Des scènes, des récits de ce numéro des Infiltrés prennent à la gorge, tant le cynisme de certains « entrepreneurs » peut révulser. Et l'on se prend à rêver qu'un tel reportage parvienne à faire bouger les choses... — Juliette Warlop
par une des fakes de Der » 25 Fév 2013, 22:49
shaolin soccer, des barres devant ce truc quand je l ai vu a l époque
par une des fakes de Der » 05 Mars 2013, 20:58
ce soir Arte 20h50
The Gatekeepers
Film documentaire réalisé en 2012 par Dror Moreh
SYNOPSIS
Six anciens directeurs du service israélien de sécurité intérieure et de renseignement, le Shin Beth, dévoilent les dessous de la politique antiterroriste menée par leur pays depuis la guerre des Six Jours, en 1967. Ils tirent le bilan de leurs échecs, de leurs succès, et évoquent les actions violentes qu'ils ont dirigées - attentats ciblés, exécutions sommaires ou enlèvements. Le récit part de la retraite du Sinaï et de la guerre du Liban, retrace la montée de l'extrémisme juif, les deux intafadas et l'invasion récente de Gaza. Des archives inédites de l'armée et des documents privés appartenant à des soldats étoffent leur témoignage...
LA CRITIQUE TV DE TELERAMA DU 02/03/2013
On aime beaucoup
En décidant d'organiser intégralement The Gatekeepers autour de la parole de six anciens dirigeants du Shin Bet, l'agence de renseignements en charge de la sécurité intérieure d'Israël, Dror Moreh a eu une brillante idée, qui détermine la valeur de son documentaire, récit de trente années de lutte antiterroriste et de gestion infructueuse de la question palestinienne. De ces six hommes d'action, pragmatiques et sans états d'âme, qui s'étaient jusqu'alors astreints au devoir de réserve, personne ne pourrait dire qu'ils manquent de patriotisme, ni qu'ils aient jamais fait preuve de pacifisme, de gauchisme ou d'idéalisme. Les missions qu'ils décrivent, dans lesquelles la torture et les exécutions se taillent une part de choix, les distinguent des habituels prêcheurs de paix. « Dans la guerre contre le terrorisme, oublie la morale », conseille d'ailleurs l'un d'eux au documentariste.
Aussi les conclusions qu'ils tirent de la gestion calamiteuse du conflit par les différents gouvernements israéliens sonnent-elles avec une force d'autant plus convaincante. Il faut les entendre critiquer vertement les politiques dénuées de perspective menées depuis trente ans et prôner un recours massif à la diplomatie. « Israël ne peut pas se payer le luxe de ne pas parler avec ses ennemis », énonce Carmi Gillon, chef du Shin Bet de 1994 à 1996. « On ne fait pas la paix avec des méthodes militaires, mais en cultivant des relations de confiance », renchérit Avi Dichter, qui le dirigea entre 2000 et 2005. Fort de la parole de ces six retraités en colère, dont les points de vue convergent étonnamment, The Gatekeepers montre la voie de la paix en s'appuyant sur le constat d'échec d'une guerre à laquelle ils participèrent.
suivi de :
Le monde après Fukushima
Société par Kenichi Watanabe
Synopsis de Le monde après Fukushima
Dans la région de Fukushima, après l'accident nucléaire survenu en 2011, la vie des habitants continue, en intégrant au quotidien la pollution radioactive. Avec gravité, ces familles d'agriculteurs ou de pêcheurs qui s'efforcent désespérément de protéger leurs enfants, poursuivent malgré tout leur activité, encadrée par des outils de contrôle. Attachés à leur terre, ils disent leur haine du nucléaire, que la propagande leur a vendu comme un fleuron de la sécurité industrielle. Une mise en abyme du monde futur, à travers des témoignages de vies fracassées.
La critique TV de télérama du 02/03/2013
Vivre dans la région de Fukushima, deux ans après la triple catastrophe survenue le 11 mars 2011, c'est renoncer à son existence « d'avant », celle où l'on ne redoutait pas d'absorber des aliments contaminés, où l'on pouvait envisager son avenir avec un optimisme raisonnable, où l'on envoyait jouer dehors, sans se ronger d'angoisse, des enfants qui ne portaient pas de dosimètre autour du cou.
C'est apprendre à composer avec la pollution radioactive, ennemi invisible dont la capacité de nuisance, malgré les leçons de l'histoire, est minimisée par les autorités, et que l'on ne peut qu'imparfaitement mesurer. Aucune indemnisation ne compensera la perte irrémédiable subie par ceux qui habitent à proximité de la zone interdite. Et l'on frémit en entendant une femme avouer qu'elle a demandé à ses deux filles de 17 et 24 ans de ne pas avoir d'enfants...
Elégiaque et militant, accompagné d'un commentaire discret mais engagé (confié à l'écrivain Michaël Ferrier), le film de Kenichi Watanabe réserve une large place à la parole des simples citoyens, dont l'inquiétude et la colère sont relayées, à Tokyo, par les participants parfois prestigieux (comme le Prix Nobel de littérature Kenzaburô Oé) des manifestations contre le nucléaire. On entend aussi l'avis de spécialistes, ainsi que les témoignages plus ou moins autocritiques de représentants de l'administration japonaise (de l'ex-préfet de Fukushima à l'ex-Premier ministre Naoto Kan) et des médias. Un retour saisissant sur un désastre « à fin ouverte », selon l'expression du sociologue Ulrich Beck, car le poison des radiations agit sans limite de temps ni d'espace.
The Gatekeepers
Film documentaire réalisé en 2012 par Dror Moreh
SYNOPSIS
Six anciens directeurs du service israélien de sécurité intérieure et de renseignement, le Shin Beth, dévoilent les dessous de la politique antiterroriste menée par leur pays depuis la guerre des Six Jours, en 1967. Ils tirent le bilan de leurs échecs, de leurs succès, et évoquent les actions violentes qu'ils ont dirigées - attentats ciblés, exécutions sommaires ou enlèvements. Le récit part de la retraite du Sinaï et de la guerre du Liban, retrace la montée de l'extrémisme juif, les deux intafadas et l'invasion récente de Gaza. Des archives inédites de l'armée et des documents privés appartenant à des soldats étoffent leur témoignage...
LA CRITIQUE TV DE TELERAMA DU 02/03/2013
On aime beaucoup
En décidant d'organiser intégralement The Gatekeepers autour de la parole de six anciens dirigeants du Shin Bet, l'agence de renseignements en charge de la sécurité intérieure d'Israël, Dror Moreh a eu une brillante idée, qui détermine la valeur de son documentaire, récit de trente années de lutte antiterroriste et de gestion infructueuse de la question palestinienne. De ces six hommes d'action, pragmatiques et sans états d'âme, qui s'étaient jusqu'alors astreints au devoir de réserve, personne ne pourrait dire qu'ils manquent de patriotisme, ni qu'ils aient jamais fait preuve de pacifisme, de gauchisme ou d'idéalisme. Les missions qu'ils décrivent, dans lesquelles la torture et les exécutions se taillent une part de choix, les distinguent des habituels prêcheurs de paix. « Dans la guerre contre le terrorisme, oublie la morale », conseille d'ailleurs l'un d'eux au documentariste.
Aussi les conclusions qu'ils tirent de la gestion calamiteuse du conflit par les différents gouvernements israéliens sonnent-elles avec une force d'autant plus convaincante. Il faut les entendre critiquer vertement les politiques dénuées de perspective menées depuis trente ans et prôner un recours massif à la diplomatie. « Israël ne peut pas se payer le luxe de ne pas parler avec ses ennemis », énonce Carmi Gillon, chef du Shin Bet de 1994 à 1996. « On ne fait pas la paix avec des méthodes militaires, mais en cultivant des relations de confiance », renchérit Avi Dichter, qui le dirigea entre 2000 et 2005. Fort de la parole de ces six retraités en colère, dont les points de vue convergent étonnamment, The Gatekeepers montre la voie de la paix en s'appuyant sur le constat d'échec d'une guerre à laquelle ils participèrent.
suivi de :
Le monde après Fukushima
Société par Kenichi Watanabe
Synopsis de Le monde après Fukushima
Dans la région de Fukushima, après l'accident nucléaire survenu en 2011, la vie des habitants continue, en intégrant au quotidien la pollution radioactive. Avec gravité, ces familles d'agriculteurs ou de pêcheurs qui s'efforcent désespérément de protéger leurs enfants, poursuivent malgré tout leur activité, encadrée par des outils de contrôle. Attachés à leur terre, ils disent leur haine du nucléaire, que la propagande leur a vendu comme un fleuron de la sécurité industrielle. Une mise en abyme du monde futur, à travers des témoignages de vies fracassées.
La critique TV de télérama du 02/03/2013
Vivre dans la région de Fukushima, deux ans après la triple catastrophe survenue le 11 mars 2011, c'est renoncer à son existence « d'avant », celle où l'on ne redoutait pas d'absorber des aliments contaminés, où l'on pouvait envisager son avenir avec un optimisme raisonnable, où l'on envoyait jouer dehors, sans se ronger d'angoisse, des enfants qui ne portaient pas de dosimètre autour du cou.
C'est apprendre à composer avec la pollution radioactive, ennemi invisible dont la capacité de nuisance, malgré les leçons de l'histoire, est minimisée par les autorités, et que l'on ne peut qu'imparfaitement mesurer. Aucune indemnisation ne compensera la perte irrémédiable subie par ceux qui habitent à proximité de la zone interdite. Et l'on frémit en entendant une femme avouer qu'elle a demandé à ses deux filles de 17 et 24 ans de ne pas avoir d'enfants...
Elégiaque et militant, accompagné d'un commentaire discret mais engagé (confié à l'écrivain Michaël Ferrier), le film de Kenichi Watanabe réserve une large place à la parole des simples citoyens, dont l'inquiétude et la colère sont relayées, à Tokyo, par les participants parfois prestigieux (comme le Prix Nobel de littérature Kenzaburô Oé) des manifestations contre le nucléaire. On entend aussi l'avis de spécialistes, ainsi que les témoignages plus ou moins autocritiques de représentants de l'administration japonaise (de l'ex-préfet de Fukushima à l'ex-Premier ministre Naoto Kan) et des médias. Un retour saisissant sur un désastre « à fin ouverte », selon l'expression du sociologue Ulrich Beck, car le poison des radiations agit sans limite de temps ni d'espace.
par une des fakes de Der » 05 Mars 2013, 21:31
j'en ai entendu parler ce midi ça me tentait, par contre ils ont un truc de replay arte? Parce que y'a un peu Ligue des champions la
par une des fakes de Der » 05 Mars 2013, 23:58
C'est vraiment très bien, je vous le recommande. Mais c'est franchement désespérant.
par une des fakes de Der » 06 Mars 2013, 00:05
C'est faux!! ces feujs étaient des acteurs, y a jamais eu d'élimination ciblées, paix et amour sur la terre
par une des fakes de Der » 06 Mars 2013, 00:08
krouw2 a écrit:C'est faux!! ces feujs étaient des acteurs
Il m'avait bien semblé reconnaître Woody Allen, grossièrement grimé.
par une des fakes de Der » 07 Avr 2013, 11:05
Perso je trouve Béria devrait un peu plus joueur au foot en ce moment...
Le magazine Capital, sur M6 ce soir à 20h50, s’intéressera aux salaires en France, notamment à ceux des footballeurs de Ligue 1. Le défenseur lillois Franck Béria y joue la transparence : alors que le salaire moyen d’un joueur tourne autour de 45 000 euros brut par mois, le défenseur du Losc avoue gagner 2 millions d’euros par an.
En plus de son salaire, il encaisse les primes de match (environ 2 000 euros la victoire) et participation aux bénéfices. À cela s’ajoutent les avantages en nature, comme la possibilité d’habiller sa petite famille chez son équipementier. Béria a également profité des opérations transferts.
Ainsi, le départ d’Eden Hazard à Chelsea l’été dernier lui aurait rapporté 10 000 euros. « Sur le plan humain mais aussi économique, tout le monde a été ravi de ce transfert>> , déclare Béria .
hum hummm
Le magazine Capital, sur M6 ce soir à 20h50, s’intéressera aux salaires en France, notamment à ceux des footballeurs de Ligue 1. Le défenseur lillois Franck Béria y joue la transparence : alors que le salaire moyen d’un joueur tourne autour de 45 000 euros brut par mois, le défenseur du Losc avoue gagner 2 millions d’euros par an.
En plus de son salaire, il encaisse les primes de match (environ 2 000 euros la victoire) et participation aux bénéfices. À cela s’ajoutent les avantages en nature, comme la possibilité d’habiller sa petite famille chez son équipementier. Béria a également profité des opérations transferts.
Ainsi, le départ d’Eden Hazard à Chelsea l’été dernier lui aurait rapporté 10 000 euros. « Sur le plan humain mais aussi économique, tout le monde a été ravi de ce transfert>> , déclare Béria .
hum hummm
par une des fakes de Der » 07 Avr 2013, 11:32
mouais.
Ca va être compliqué ce soir : Capital, le match sur Canal et la Nascar sur AB moteurs
Ca va être compliqué ce soir : Capital, le match sur Canal et la Nascar sur AB moteurs
par une des fakes de Der » 07 Avr 2013, 13:43
Le match est en direct ? Car comment peut jouer Béria et être en même temps sur le plateau de Capital ?
Euh... Comment se fait-il que Béria gagne du pognon quand Hazard est transféré ?
Euh... Comment se fait-il que Béria gagne du pognon quand Hazard est transféré ?
par une des fakes de Der » 07 Avr 2013, 14:16
c'est lui qui lui prétait le gel douche dans les vestiaires, du coup il avait prolongé en partie pour ça
par une des fakes de Der » 30 Avr 2013, 10:05
laurentlille1 a écrit:Bon, je ne sais pas si y en a qui regardent Top Chef comme moi (ouais rachoumade mais je suis accroc à ces émissions de cuisine) mais c'est Naoelle qui va gagner cette année mouhahahaha (info fiable venant d'un ancien candidat de l'émission).
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