Un topic romophobe sur l'autre passion.losc ?

Messagepar bijams » 26 Nov 2013, 21:40

laurentlille1 a écrit:Image

On peut peut-être les accueillir dans le nord?


Faut pas s'emballer, c'est sûrement sa femme.
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Messagepar boban » 26 Nov 2013, 21:44

nan mais c'est Leonarda nan?
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Messagepar krouw2 » 26 Nov 2013, 21:50

nan trop vieille maintenant
Hollande 2027
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Messagepar laurentlille1 » 26 Nov 2013, 21:50

Oui


ou Casim en vacances
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Messagepar bijams » 26 Nov 2013, 21:55

C'est Leonarda ?
Naaaan.
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Messagepar King Kong » 26 Nov 2013, 22:27

Bah si..
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
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Messagepar bijams » 26 Nov 2013, 22:32

Ça vaaaa...
Si on peut plus toucher les nichons de sa fille pour vérifier le matos.
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Messagepar Dageek » 26 Nov 2013, 22:34

time to fap
borat crew
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Messagepar Der » 26 Nov 2013, 22:44

bijams a écrit:Ça vaaaa...
Si on peut plus toucher les nichons de sa fille pour vérifier le matos.

Oh putain j'avais pas capté. J'me demandais l'intérêt de la photo...
On se fait des bisous et on s'encule.
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Der
 
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Messagepar bitadmin » 27 Nov 2013, 16:32

Un incendie très important est en cours dans le camp rom situé sous le pont de Fives. Plus aucun train ne circule depuis la gare Lille-Flandres.

Des caravanes ont été ravagées par un incendie en ce début d’après-midi dans le camp rom situé près du pont de Fives, le long des voies ferrées. Un nuage de fumée très impressionnant est visible.
Les pompiers sont sur place. Les trains ne circulent plus à l’arrivée et au départ de la gare Lille-Flandres. Des agents SNCF sont sur place et attendent l’extinction complète des flammes pour faire reprendre la circulation ferroviaire.

Sur le périphérique, la sortie Lille-Centre et Lille Grand Palais a été fermée pour les véhicules venant de Roubaix-Tourcoing.

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Messagepar GilbertSedman » 27 Nov 2013, 16:58

Je me suis dis qu'ici cela a avait sa place...

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Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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Messagepar basmainforme » 27 Nov 2013, 17:03

tain, le romanichien

Tish, t'abuses là !
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Messagepar dickadmin » 27 Nov 2013, 17:55

foulard rouge = iench à punk
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Messagepar bitadmin » 06 Déc 2013, 14:26

Drame dans le camp de roms de l’avenue Paul-Langevin, à Villeneuve d’Ascq ce vendredi matin. Un bébé rom a trouvé la mort dans un incendie de caravane.

Le sinistre s’est produit peu après 11h30 ce vendredi matin au camp Rom stabilisé de l’avenue Paul-Langevin de Villeneuve d’Ascq. Dans des circonstances encore inconnues, une caravane a pris feu. A l’intérieur, un bébé de deux ans n’a pu réagir et a péri dans l’incendie.

Le drame a mis en émoi la petite communauté Rom locale. Pour l’instant, on ne sait pas précisément pourquoi l’enfant était seul dans la caravane et pourquoi elle a pris feu.
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Messagepar Dageek » 06 Déc 2013, 14:34

Trop de clope
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Messagepar GilbertSedman » 06 Déc 2013, 16:58

"la petite communauté Rom locale" à partir de combien on commence à parler de grande communauté locale ?
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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Messagepar otto » 06 Déc 2013, 20:25

trixt monde.
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Messagepar fernando » 16 Déc 2013, 16:37

Un maire en Essonne barricade les Roms pour mieux les faire fuir

Pour faire fuir les Roms sans avoir à recourir à une expulsion en bonne et due forme, le maire UMP de Vigneux-sur-Seine a trouvé une nouvelle méthode : disposer des containers à l'entrée du terrain. Les familles sont parties d'elles-mêmes.

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Le maire UMP de Vigneux-sur-Seine en Essonne a fait fuir une soixantaine de Roms de sa commune sans recourir à une expulsion en bonne et due forme. Comment s’y est-il pris ? Il les a barricadés ou plutôt parqués. En fait, le mot précis pour décrire ce qu’il a fait n’existe pas dans le dictionnaire. Des containers métalliques d'environ trois mètres de haut ont été disposés à l’entrée du terrain, occupé sans autorisation, de manière à empêcher le passage.

Le lieu, une usine désaffectée, étant ceint de part et d’autre d’un mur de pierre, les allées et venues sont devenues impossibles, sauf à se faufiler. Terrorisées à l’idée de se retrouver bloquées, les familles venues de Roumanie installées pour l’hiver à l’abri des murs de ce site industriel sont parties d’elles-mêmes. On pourrait parler, en quelque sorte, d'auto-expulsion. Le maire de Vigneux-sur-Seine n’est pas un inconnu, notamment des lecteurs de Mediapart. Lors de sa mandature, Serge Poinsot a mis en place un système visant à empêcher les gens du voyage d’acquérir des biens immobiliers, sollicitant pour cela des notaires et des policiers municipaux (lire l'enquête de notre confrère Karl Laske).


Le 4 décembre, donc, les Roms ont quitté leur refuge. Le jour même, dans sa « lettre du maire », diffusée à ses administrés, Serge Poinsot, revendiquant le soutien du député Nicolas Dupont-Aignan, s’auto-congratule. « Démantèlement du campement illicite des “Roms” : notre détermination les a fait partir ! » titre-t-il, avant de poursuivre : « Le 17 novembre dernier, je vous ai écrit pour vous faire part de mon exaspération de voir, une nouvelle fois, notre commune être la cible et la victime d’une implantation illicite d’un campement de populations “Roms” (…). Aujourd’hui (en gras), je suis heureux de vous annoncer que notre détermination et notre fermeté ont payé. Comme je m’y étais engagé auprès de vous, j’ai obtenu le démantèlement sans conditions de ce campement (…). Vous le savez, j’avais exigé du propriétaire une action prompte et résolue, multiplié les interventions auprès de la préfecture et des autorités judiciaires et surtout, sécurisé, avec des moyens réellement dissuasifs, les principaux points d’entrée du terrain pour prévenir toute arrivée massive. Je l’ai dit, je le rappelle et je l’assume : notre ville n’a pas vocation à accueillir toute la misère du monde, à devenir une zone d’accueil permanente et un dépotoir. »

Un « dépotoir », donc, contre lequel le maire a déployé des « moyens réellement dissuasifs ». Effectivement, cette technique, du jamais vu, a fonctionné.

Ce matin de décembre, le givre a recouvert la région parisienne. Cela fait six jours que les résidents précaires ont déserté. Ne restent que des traces de leur présence fugitive, des matelas, des couvertures, des réchauds, des baguettes de pain, des sachets de thé, des peluches. Les murs eux, sont toujours là, ces murs qui auraient pu retenir la chaleur quand les températures commencent à baisser.

Dès qu’il les a vus arriver, le 11 novembre, dans cette ancienne entreprise de retraitement de vieux papiers, située à quelques centaines de mètres de la gare SNCF, le maire n’a pas tardé à réagir. Campagne pour les élections municipales oblige, il a aussitôt informé les 27 000 habitants des dispositions qu’il avait prises. Le terrain étant privé, il indique, dans un premier courrier en date du 17 novembre, avoir « exigé » du propriétaire qu’il agisse « immédiatement » pour déposer plainte. Mais cela ne l’a pas empêché, pour aller plus vite et court-circuiter la procédure judiciaire, de prendre un arrêté municipal de « péril imminent », relevant de ses pouvoirs de police, lui assurant une mise à exécution rapide sans intervention d’un juge. Il vient en personne l'apposer sur les murs. La menace a suffi. Les forces de l’ordre ont à peine été sollicitées. Les « moyens réellement dissuasifs » ont produit d’eux-mêmes leurs effets.

Le maire s'arroge la responsabilité de la « sécurisation » des « points d'entrée », mais la responsabilité est partagée. Comme l’indiquent les inscriptions peintes sur les parois, les containers appartiennent à l’entreprise TER, dont le patron, Marcel Solarz, est le propriétaire des lieux. Quand le site a été barricadé, des camionnettes étaient garées à l’intérieur. Les occupants étant ferrailleurs, ils ont voulu sortir leurs véhicules, dont ils ont besoin pour récupérer les métaux. Tant bien que mal, ils sont parvenus à se dégager un passage. Le lendemain, la mairie a remis en place son équipement « dissuasif ». Elle l’a même solidifié en remplissant les bennes de sable et en les immobilisant définitivement à l'aide de cylindres et de blocs de béton. Quelques heures plus tard, une camionnette appartenant aux Roms, stationnée à proximité, a pris feu. L’insistance municipale a eu raison des Roms. « Je ne tolérerai pas une implantation “hivernale” de ces populations et j’utiliserai tous les moyens possibles mis à ma disposition de maire pour les faire partir. Il y en a assez de plier devant celles et ceux qui ne respectent pas la loi républicaine, se moquent de nos forces de police et s’amusent de nos faiblesses bien-pensantes », avait prévenu Serge Poinsot.

Dans ses deux missives, le maire insiste sur un autre élément : le campement semble à ses yeux faire tache dans ce « tout nouveau quartier » voué à se développer. Il ne le précise pas, mais une opération de vente en cours retient son attention : un promoteur immobilier, Antonio de Souza, à la tête de France-Pierre, avec lequel il entretient des relations privilégiées, est en train de racheter le terrain pour y construire plusieurs centaines de logements (à lire les enquêtes de Mediapart ici et là).

Le maire n’en est pas à son coup d’essai en matière de « chasse aux Roms », selon l’expression de l’un de ses opposants, Patrice Finel, élu au conseil municipal et candidat du Front de gauche en 2014. Ce dernier se souvient d’un précédent débat, qui avait abouti au vote d’une motion 3, au cours duquel les « squatteurs » désignés comme Roms d’un autre terrain, entre-temps délogés, avaient été accusés de « faire griller les cygnes et les poissons » des plans d’eau à proximité pour se nourrir. Plus encore que de véhiculer des préjugés, il reproche à l'équipe actuelle de refuser l'inscription à l'école des enfants de ces campements, ce qui est contraire à la loi.

« En période électorale, affirme l’élu de gauche, ce n’est pas évident de parler de cette question. Dans certains quartiers, les habitants sont à cran, ils en ont marre de voir les poubelles renversées et de trouver des gens dans leur jardin. Même si ça n’arrive qu’une fois, les rumeurs circulent. Le FN risque de faire un bon score si on laisse faire. » Lui qui a aménagé une roulotte pour son porte-à-porte a rodé son argumentaire: « Aux gens qui m’interrogent, je dis que c’est à l’État et à l’Europe de prendre leurs responsabilités. Nous, maires, nous ne pouvons pas nous retrouver seuls face à toutes ces difficultés. » « Concernant les Roms de l’usine, poursuit-il, il n’y avait pas de péril imminent, c’est faux. Les lieux étaient correctement tenus, c’était la misère, mais c’était propre. On aurait quand même pu les laisser passer l’hiver au chaud. Et après, on leur aurait demandé de partir quand les travaux de démolition auraient commencé. » À propos de la camionnette brûlée, il dénonce un « incendie criminel », qui s’ajoute, selon lui, au « harcèlement quotidien » des policiers municipaux pour les faire partir.

Un bénévole de l’Association de solidarité en Essonne avec les familles roumaines et roms (Asefrr) confirme cette pression policière régulière. Roland Blanchetière connaît les familles depuis trois ans et demi. Maintes fois expulsées, elles ont occupé plusieurs terrains en région parisienne avant de repérer cette friche à Vigneux-sur-Seine. Le militant accuse le maire de les avoir « pris au piège ». « On ne peut pas traiter les gens comme ça. Ils sont partis d’eux-mêmes, parce qu’ils ont eu peur pour leur vie et celle de leurs enfants », lance-t-il, tout en courant d'un campement à l'autre dans le département. Il a des nouvelles des « auto-expulsés ». Il se prépare à bientôt repartir de zéro avec eux dans une nouvelle ville.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar stikky » 16 Déc 2013, 17:23

GilbertSedman a écrit:Je me suis dis qu'ici cela a avait sa place...

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C'est le Gitanou de Tish nan ?
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Messagepar otto » 16 Déc 2013, 20:35

Nan ! Stilal a 4 pattes.

Sinon, le maire mérite sa place dans le topic Fdp...

Samedi, j'ai donné mon premier cours à une jeune migrante (incapable de dire si c'est une Rom ou non...). Rien à faire durant ce cours : juste à relire sa rédaction, all was perfect.
M'a fait sourire quand elle s'insurgeait de voir sur une table de son bahut, le nom d'un de ses profs suivi de la mention "Fdp"...
Elle regrettait aussi de ne pas assez étudier de poésie et de ne pas avoir assez de bouquins à lire...
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Messagepar GilbertSedman » 16 Déc 2013, 20:42

A te lire otti, je me dis que les roms sont des beaux arnaqueurs quand ils font 20 fotes sur leurs pancartes...
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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Messagepar ursulet » 16 Déc 2013, 20:45

otto a écrit:Nan ! Stilal a 4 pattes.

Sinon, le maire mérite sa place dans le topic Fdp...

Samedi, j'ai donné mon premier cours à une jeune migrante (incapable de dire si c'est une Rom ou non...). Rien à faire durant ce cours : juste à relire sa rédaction, all was perfect.
M'a fait sourire quand elle s'insurgeait de voir sur une table de son bahut, le nom d'un de ses profs suivi de la mention "Fdp"...
Elle regrettait aussi de ne pas assez étudier de poésie et de ne pas avoir assez de bouquins à lire...


Et en plus ils sont leche cul....
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
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Messagepar laurentlille1 » 16 Déc 2013, 21:32

T'as vérifier tes poches quand même à la fin du cours?

Sinon le maire semble être un enculé mais le mec du front de gauche est loulant avec son "Et après, on leur aurait demandé de partir quand les travaux de démolition auraient commencé."
Mais ouais... bien sûr. En fait il suffit de leur demander poliment.
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Messagepar fernando » 19 Déc 2013, 16:53

Jean-Marie Le Pen condamné pour des propos sur les Roms

Le président d'honneur du FN a écopé de 5 000 euros d'amende pour avoir dit que les Roms, «comme les oiseaux», volaient «naturellement».

Le président d’honneur du Front national Jean-Marie Le Pen a été condamné jeudi à 5 000 euros d’amende pour ses propos sur les Roms, qui, avait-il dit, «comme les oiseaux», voleraient «naturellement». Le tribunal correctionnel de Paris l’a déclaré coupable d’injure publique envers un groupe de personnes en raison de son appartenance à une ethnie. Le parquet avait requis deux mois de prison avec sursis contre l’ancien leader frontiste, âgé de 85 ans.

Le 22 septembre 2012 à l’université d’été du Front national à La Baule (Loire-Atlantique), Jean-Marie Le Pen avait enchaîné les provocations sur l’immigration, thème fétiche du parti, sous les yeux de sa fille Marine. Moquant les Roms, il avait suscité rires et applaudissements nourris en leur attribuant la phrase : «Nous, nous sommes comme les oiseaux, nous volons naturellement».

Pour le parquet comme pour les associations antiracistes, il s’agissait sans conteste d’une injure à caractère racial, tandis que l’avocat de Jean-Marie Le Pen, Me Wallerand de Saint-Just, avait plaidé la relaxe, soutenant que son client faisait de l’humour. Les sorties de Jean-Marie Le Pen lui ont déjà valu plusieurs condamnations.
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Messagepar King Kong » 19 Déc 2013, 17:24

Tout les chemins en cuivre,mènent aux roms!
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
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Messagepar King Kong » 19 Déc 2013, 21:27

"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
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Messagepar bitadmin » 20 Déc 2013, 15:22

Mardi matin, les policiers de la Sûreté de Lille (et des fonctionnaires lensois), ont opéré un coup de filet dans un coron de Noyelles-sous-Lens, où vivent plusieurs familles Roms. Cinq hommes suspectés de proxénétisme et une dizaine de prostituées victimes ont été interpellés. Ces dernières travaillaient rue Winston Churchill à Lille, et du Pré-Catelan à La Madeleine.

La rue du Pré-Catelan à La Madeleine, prolonge la rue Winston-Churchill à Lille, en bordure du « secteur prostitutionnel lillois ». C’est là que, à l’automne, s’installent des prostituées roumaines, travaillant à la fois côté lillois et madeleinois, notamment face au supermarché Carrefour de La Madeleine. Une situation qui suscite la colère des riverains, dénonçant un « climat malsain ». Le maire de La Madeleine, Sébastien Leprêtre, promet des caméras.

Depuis un coron lensois

La brigade des mœurs et du proxénétisme de la Sûreté de Lille décide, elle, d’y monter un gros dispositif de surveillances permanentes, afin d’identifier ceux qui placent ces femmes sur les trottoirs. Elles travaillent de 14 h à minuit, et ne viennent pas des camps de familles roms de la métropole lilloise.

Pendant une quinzaine de jours d’observations, les enquêteurs identifient cinq individus, qui déposent les filles en voitures, les reprennent après le travail, les protègent et récupèrent leurs gains. Au total, ces proxénètes veillent sur quinze prostituées, toutes âgées d’une vingtaine d’années.

Les policiers suivent aussi les suspects en voiture, lors des voyages de retour, la nuit. Et ils découvrent que les filles habitent avec leurs proxénètes dans des maisons squattées, dans un coron de Noyelles-sous-Lens.

Mardi matin, à 6 h, une quarantaine d’hommes de la Sûreté les ont réveillés, aidés d’une vingtaine de policiers du Pas-de-Calais. Cinq suspects ont été interpellés, ainsi qu’une dizaine de prostituées entendues comme victimes. Tous ont nié les faits, même malgré les photos prises à Lille et La Madeleine. Le réseau générait peu de gains, dont une partie était renvoyée en Roumanie.

Sur les cinq suspects, trois, âgés entre 30 et 40 ans, ont été présentés à un magistrat et doivent être jugés ce vendredi en comparution immédiate.
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Messagepar fernando » 20 Déc 2013, 16:02

C'est de la stigmatisation. Abjecte.
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Messagepar GilbertSedman » 20 Déc 2013, 16:14

Clair que le pré catelan était envahie de putes leonarda...
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GilbertSedman
 
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