A tous les SNCFistes
par une des fakes de Der » 11 Déc 2012, 12:21
sinon, pour savoir le trafic en temps réel, les prévis et tout, il y a çà : http://webinfotrains.canaltp.fr/pages/mobi/WIT/full/accueil.jsp
par une des fakes de Der » 11 Déc 2012, 12:24
Ouch ! Ligne Saint-Quentin - Caambrai, y a un vivier de suicidables...
par une des fakes de Der » 11 Déc 2012, 12:27
Putain une ligne St Quentin/Cambrai...
Tu ne dois pas sortir indemne d'un tel trajet.
Tu ne dois pas sortir indemne d'un tel trajet.
par une des fakes de Der » 11 Déc 2012, 23:00
...
Arrivé à 21 h 20 à Mouscron, le train de déchets radioactifs néerlandais stationne en gare avant d'entrer en France. NB : on est tout près de l'agglomération Lille-Roubaix-Tourcoing, une des régions les plus denses du Nord Pas-de-Calais...
Arrivé à 21 h 20 à Mouscron, le train de déchets radioactifs néerlandais stationne en gare avant d'entrer en France. NB : on est tout près de l'agglomération Lille-Roubaix-Tourcoing, une des régions les plus denses du Nord Pas-de-Calais...
par une des fakes de Der » 19 Déc 2012, 22:16
Ah Ben merte, y en a une autre
Une nouvelle grève est annoncée pour ce vendredi, veille des vacances scolaires, à la fois sur le réseau TER et TGV de la SNCF dans le Nord-Pas-de-Calais.
Dans ses prévisions de trafic, la direction régionale de la SNCF annonce des restrictions sensibles avec la circulation de 3 TER sur 5 dans le Nord-Pas-de Calais et d'1 TER-GV sur deux entre la métropole lilloise et le littoral. Concernant les liaison à grande vitesse, sur le réseau des TGV-Nord, deux trains sur trois seulement circuleront. Le trafic sera en revanche normal pour les Corails Intercités, les TGV Province-Province, les Thalys et les Eurostar.
Le retour à la normale est prévu pour le week end. Un préavis déposé par lescontrôleurs soutenus par la CGT et Sud Rail est à l'origine de cette grève. Les trains maintenus sont affichés dans les gares.
Une nouvelle grève est annoncée pour ce vendredi, veille des vacances scolaires, à la fois sur le réseau TER et TGV de la SNCF dans le Nord-Pas-de-Calais.
Dans ses prévisions de trafic, la direction régionale de la SNCF annonce des restrictions sensibles avec la circulation de 3 TER sur 5 dans le Nord-Pas-de Calais et d'1 TER-GV sur deux entre la métropole lilloise et le littoral. Concernant les liaison à grande vitesse, sur le réseau des TGV-Nord, deux trains sur trois seulement circuleront. Le trafic sera en revanche normal pour les Corails Intercités, les TGV Province-Province, les Thalys et les Eurostar.
Le retour à la normale est prévu pour le week end. Un préavis déposé par lescontrôleurs soutenus par la CGT et Sud Rail est à l'origine de cette grève. Les trains maintenus sont affichés dans les gares.
par une des fakes de Der » 22 Déc 2012, 10:31
Des TGV directs pour les Alpes suisses au départ de Lille dès ce samedi
Ce samedi, TGV Lyria inaugurera sa nouvelle ligne au départ de Lille pour les cantons de Vaud et du Valais dans les Alpes suisses.
Il s'agit d'un aller-retour hebdomadaire, opéré chaque samedi, jusqu'en avril (à l'exception des samedis 5 et 25 janvier dans le sens France-Suisse et des samedis 12 janvier et 2 février dans le sens Suisse-France).
Ce train part de Lille Europe à 10 h 02 et dessert Genêve, Aigle, Martigny, Sierre, Viège et Brigue, qu'il atteint à 17 h 08.
La ville de Brigue se situe dans le Haut Valais, au pied du col du Simplon. C'est un point de départ idéal pour des excursions vers Zermatt ou Saas Fee et un point d'étape vers le fameux glacier Express.
Dans le sens du retour, départ à Brigue à 12 h 51 et arrivée à Lille à 18 h 55 (puis à 21 h 06 à Londres Saint Pancras).
Les prix sont à partir de 99 euros en 2ème classe l'aller simple et de 159 euros en 1ère.
En vente dans les gares et boutiques SNCF, les agences de voyages agrées SNCF, sur les sites www.voyages-sncf.com ou www.tgv-lyria.com
la voix du nord.fr
Ce samedi, TGV Lyria inaugurera sa nouvelle ligne au départ de Lille pour les cantons de Vaud et du Valais dans les Alpes suisses.
Il s'agit d'un aller-retour hebdomadaire, opéré chaque samedi, jusqu'en avril (à l'exception des samedis 5 et 25 janvier dans le sens France-Suisse et des samedis 12 janvier et 2 février dans le sens Suisse-France).
Ce train part de Lille Europe à 10 h 02 et dessert Genêve, Aigle, Martigny, Sierre, Viège et Brigue, qu'il atteint à 17 h 08.
La ville de Brigue se situe dans le Haut Valais, au pied du col du Simplon. C'est un point de départ idéal pour des excursions vers Zermatt ou Saas Fee et un point d'étape vers le fameux glacier Express.
Dans le sens du retour, départ à Brigue à 12 h 51 et arrivée à Lille à 18 h 55 (puis à 21 h 06 à Londres Saint Pancras).
Les prix sont à partir de 99 euros en 2ème classe l'aller simple et de 159 euros en 1ère.
En vente dans les gares et boutiques SNCF, les agences de voyages agrées SNCF, sur les sites www.voyages-sncf.com ou www.tgv-lyria.com
la voix du nord.fr
par une des fakes de Der » 10 Jan 2013, 14:39
Le TGV libéralisé en 2019 ?
Le commissaire européen aux transports règle ses comptes avec la France. Une affaire loin d'être gagnée.
Par CATHERINE MAUSSION
La réforme était attendue. Mais sans doute pas avec cette radicalité. Selon les Echos, la Commission européenne s'apprête à mettre sur la table une proposition ouvrant totalement à la concurrence le rail à l'horizon 2019. Si l'ouverture se fait, on peut imaginer que sur Paris-Lyon ou Paris-Marseille, opérateurs italiens, espagnols ou allemands se bousculent pour draguer la clientèle, laissant à la SNCF les dessertes moins juteuses. Et toutes les régions de France pourraient être obligées de passer par des appels d'offres pour choisir leur opérateur. Aux orties alors, le monopole actuel de la SNCF.
L'affaire n'est pas gagnée. Siim Kallas, le commissaire européen aux transports, va se retrouver à batailler avec ses deux plus farouches opposants, soit la France et l'Allemagne, chaque pays soutenant son champion : la SNCF et la Deutsche Bahn. Et si adoption de la réforme il y a, ce ne sera pas, au mieux, avant quatorze mois.
Ce paquet de directives - l'ouverture à la concurrence n'est qu'un volet de la réforme -, devrait être dévoilé officiellement le 23 mars. Il poursuit l'œuvre engagée de longue haleine par Bruxelles pour libéraliser le secteur. L'étape qui s'annonce est le point d'orgue d'une ouverture démarrée, pas à pas, dès 2006, avec la mise en concurrence des opérateurs sur le fret, puis poursuivie en 2009, par l'ouverture du trafic international sur la longue distance - exemple l'opérateur Thello entre Paris et Venise -, avant l'étape qui était déjà en route, des TER.
Les positions dogmatiques du commissaire européen, Siim Kallas, en faveur de l'ouverture totale du secteur, sont connues. TER, trains intercités, TGV... toutes les formes de transport ferroviaire sont dans le collimateur. Et jusqu'aux schémas d'organisation des entreprises ferrovaires. La Commission milite ainsi pour une séparation radicale entre l'exploitation des trains, assurée en France par la SNCF, et la gestion de l'infrastructure, entre les mains aujourd'hui de RFF (Réseau ferré de France), le propriétaire du réseau. Ce qui n'est pas du goût du ministre français des Transports, Frédéric Cuvillier, en train de peaufiner une réforme du système ferroviaire français qui, à l'inverse, va rapprocher le réseau physique et son exploitant, l'opérateur SNCF, et ce, justifie le ministre, pour un meilleur fonctionnement.
Mercredi soir, en marge d’un dîner de presse organisé par la SNCF, un haut cadre de l'entreprise minimisait la réforme : «Comme tout idéologue, Siim Kallas a choisi d'aller au conflit.» Quelques mois plus tôt, en septembre, Guillaume Pepy, le patron de la SNCF, s'était allié à son homologue, à la tête de la Deutsche Bahn, le puissant Rüdiger Grube, pour contrer les vues de la Commission. Une alliance à réactiver ?
Le commissaire européen aux transports règle ses comptes avec la France. Une affaire loin d'être gagnée.
Par CATHERINE MAUSSION
La réforme était attendue. Mais sans doute pas avec cette radicalité. Selon les Echos, la Commission européenne s'apprête à mettre sur la table une proposition ouvrant totalement à la concurrence le rail à l'horizon 2019. Si l'ouverture se fait, on peut imaginer que sur Paris-Lyon ou Paris-Marseille, opérateurs italiens, espagnols ou allemands se bousculent pour draguer la clientèle, laissant à la SNCF les dessertes moins juteuses. Et toutes les régions de France pourraient être obligées de passer par des appels d'offres pour choisir leur opérateur. Aux orties alors, le monopole actuel de la SNCF.
L'affaire n'est pas gagnée. Siim Kallas, le commissaire européen aux transports, va se retrouver à batailler avec ses deux plus farouches opposants, soit la France et l'Allemagne, chaque pays soutenant son champion : la SNCF et la Deutsche Bahn. Et si adoption de la réforme il y a, ce ne sera pas, au mieux, avant quatorze mois.
Ce paquet de directives - l'ouverture à la concurrence n'est qu'un volet de la réforme -, devrait être dévoilé officiellement le 23 mars. Il poursuit l'œuvre engagée de longue haleine par Bruxelles pour libéraliser le secteur. L'étape qui s'annonce est le point d'orgue d'une ouverture démarrée, pas à pas, dès 2006, avec la mise en concurrence des opérateurs sur le fret, puis poursuivie en 2009, par l'ouverture du trafic international sur la longue distance - exemple l'opérateur Thello entre Paris et Venise -, avant l'étape qui était déjà en route, des TER.
Les positions dogmatiques du commissaire européen, Siim Kallas, en faveur de l'ouverture totale du secteur, sont connues. TER, trains intercités, TGV... toutes les formes de transport ferroviaire sont dans le collimateur. Et jusqu'aux schémas d'organisation des entreprises ferrovaires. La Commission milite ainsi pour une séparation radicale entre l'exploitation des trains, assurée en France par la SNCF, et la gestion de l'infrastructure, entre les mains aujourd'hui de RFF (Réseau ferré de France), le propriétaire du réseau. Ce qui n'est pas du goût du ministre français des Transports, Frédéric Cuvillier, en train de peaufiner une réforme du système ferroviaire français qui, à l'inverse, va rapprocher le réseau physique et son exploitant, l'opérateur SNCF, et ce, justifie le ministre, pour un meilleur fonctionnement.
Mercredi soir, en marge d’un dîner de presse organisé par la SNCF, un haut cadre de l'entreprise minimisait la réforme : «Comme tout idéologue, Siim Kallas a choisi d'aller au conflit.» Quelques mois plus tôt, en septembre, Guillaume Pepy, le patron de la SNCF, s'était allié à son homologue, à la tête de la Deutsche Bahn, le puissant Rüdiger Grube, pour contrer les vues de la Commission. Une alliance à réactiver ?
par une des fakes de Der » 11 Jan 2013, 18:44
Tain mais ils peuvent pas aller tous se pendre les commissaires européens ?
par une des fakes de Der » 11 Jan 2013, 18:48
Ce qui n'est pas du goût du ministre français des Transports, Frédéric Cuvillier
C'est vrai que le PS n'a pas appelé à voter Maatricht, ni le TSE
C'est vrai que le PS n'a pas appelé à voter Maatricht, ni le TSE
par une des fakes de Der » 12 Jan 2013, 17:02
SAV a écrit:Tain mais ils peuvent pas aller tous se pendre les commissaires européens ?
Ils sont bien puissants, pour des gens non élus. Et souvent ils font bien chier le monde.
par une des fakes de Der » 13 Jan 2013, 23:06
Les tarifs des TGV, des trains Intercités et des TER vont augmenter le 24 janvier en moyenne de 2,3%, soit près du double de l'inflation, a annoncé dimanche la SNCF en précisant qu'elle engageait un "programme d'investissements sans précédent" de 2,6 milliards d'euros.
L'exploitant historique du réseau ferroviaire français a décidé de dépenser 500 millions d'euros de plus qu'en 2012 "pour améliorer et développer les services pour les voyageurs".
La priorité sera "l'amélioration de la qualité de service rendu aux voyageurs, grâce à de nouveaux trains, des gares rénovées et un service à bord plus étendu", a-t-il souligné.
Pour "faire face à cette augmentation très importante des investissements, certains tarifs évolueront en 2013", a justifié la SNCF.
Les abonnements Fréquence (TGV et Intercités), les abonnements régionaux ainsi que le tarif de base Loisirs 2e classe sont également concernés par cette hausse de 2,3%, a précisé l'exploitant, qui a aussi prévu une augmentation "limitée à 2%" pour le Forfait sur Intercités.
En revanche, il a décidé de geler pour 2013 un certain nombre de tarifs comme les abonnements Forfait sur TGV, les réservations pour les abonnements Forfait et Etudiants, Elèves et Apprentis.
Gel également en 2013 pour tous les clients Loisirs et Longue distance (plus de quatre heures de trajet) des tarifs Prem's, des prix des cartes de réduction et des tarifs sur les liaisons entre le nord-est de la France et les stations balnéaires (Lille-Marseille, Lille-Nice, Strasbourg-Nice et Metz-Marseille).
En parallèle, la SNCF prévoit d'augmenter de 20% le volume des billets à petit prix grâce à sa politique d'offres promotionnelles sur TGV (Prem's) et Intercités (100% Eco et Mini-groupe), à l'élargissement de l'offre IDTVG vers Quimper et au lancement au premier semestre du TGV Eco.
En ce qui concerne les investissements, la SNCF attend la livraison de 15 rames TGV neuves et de 30 rames équipées d'un nouvel aménagement intérieur. Ces 45 rames représentent 10% du parc TGV. Elle prévoit aussi de rénover 15 rames Intercités. Pour les régions, elle devrait également réceptionner en 2013 10 tram-trains ainsi que 38 rames Regiolis et les premières rames Regio2N.
Quelque 309 millions d'euros vont par ailleurs être dépensés par sa branche Gares&Connexions pour rénover les gares de Toulon, Lille-Europe, Orléans, Tours, Montpellier, Dijon et les gares d'Austerlitz et de Lyon à Paris.
Côté services, la SNCF a mis en place un service de restauration ambulante dans les TGV Paris-Lille dès janvier. Elle prévoit de lancer des services et commerces en gare (centre d'affaires à Bordeaux, crèche à Castres) et de créer le billet sur téléphone mobile pour plus de 1.000 destinations en France et à l'international.
L'exploitant historique du réseau ferroviaire français a décidé de dépenser 500 millions d'euros de plus qu'en 2012 "pour améliorer et développer les services pour les voyageurs".
La priorité sera "l'amélioration de la qualité de service rendu aux voyageurs, grâce à de nouveaux trains, des gares rénovées et un service à bord plus étendu", a-t-il souligné.
Pour "faire face à cette augmentation très importante des investissements, certains tarifs évolueront en 2013", a justifié la SNCF.
Les abonnements Fréquence (TGV et Intercités), les abonnements régionaux ainsi que le tarif de base Loisirs 2e classe sont également concernés par cette hausse de 2,3%, a précisé l'exploitant, qui a aussi prévu une augmentation "limitée à 2%" pour le Forfait sur Intercités.
En revanche, il a décidé de geler pour 2013 un certain nombre de tarifs comme les abonnements Forfait sur TGV, les réservations pour les abonnements Forfait et Etudiants, Elèves et Apprentis.
Gel également en 2013 pour tous les clients Loisirs et Longue distance (plus de quatre heures de trajet) des tarifs Prem's, des prix des cartes de réduction et des tarifs sur les liaisons entre le nord-est de la France et les stations balnéaires (Lille-Marseille, Lille-Nice, Strasbourg-Nice et Metz-Marseille).
En parallèle, la SNCF prévoit d'augmenter de 20% le volume des billets à petit prix grâce à sa politique d'offres promotionnelles sur TGV (Prem's) et Intercités (100% Eco et Mini-groupe), à l'élargissement de l'offre IDTVG vers Quimper et au lancement au premier semestre du TGV Eco.
En ce qui concerne les investissements, la SNCF attend la livraison de 15 rames TGV neuves et de 30 rames équipées d'un nouvel aménagement intérieur. Ces 45 rames représentent 10% du parc TGV. Elle prévoit aussi de rénover 15 rames Intercités. Pour les régions, elle devrait également réceptionner en 2013 10 tram-trains ainsi que 38 rames Regiolis et les premières rames Regio2N.
Quelque 309 millions d'euros vont par ailleurs être dépensés par sa branche Gares&Connexions pour rénover les gares de Toulon, Lille-Europe, Orléans, Tours, Montpellier, Dijon et les gares d'Austerlitz et de Lyon à Paris.
Côté services, la SNCF a mis en place un service de restauration ambulante dans les TGV Paris-Lille dès janvier. Elle prévoit de lancer des services et commerces en gare (centre d'affaires à Bordeaux, crèche à Castres) et de créer le billet sur téléphone mobile pour plus de 1.000 destinations en France et à l'international.
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 09:38
C'est normal que le train soit bien souvent plus cher que l'avion?
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 10:49
on va m'augmenter mon abt TER pour voyager debout tous les jours dans l'accordéon.
par une des fakes de Der » 14 Jan 2013, 12:48
bitembois a écrit: et un service à bord plus étendu", a-t-il souligné.
En gros il faut payer pour financer des services qui seront facturés ensuite.
par une des fakes de Der » 21 Jan 2013, 11:21
2h sur le quai de Seclin.
Merci la SNCF
et c'est pas la neige, mais un train en panne
Merci la SNCF
et c'est pas la neige, mais un train en panne
par une des fakes de Der » 04 Mars 2013, 10:04
'tain d'grève demain.
dernier train pour rentrer 17h02. lol
dernier train pour rentrer 17h02. lol
par une des fakes de Der » 04 Mars 2013, 10:07
bitembois a écrit:'tain d'grève demain.
dernier train pour rentrer 17h02. lol
Je les mets directement dans le topic FDP ! Ils m'énervent !
par GilbertSedman » 22 Mai 2013, 19:35
Un préavis de grève aurait été déposé le 13 juin (bien sûr date de mon départ en vacances en TGVn donc cheuuuurrrrr). Casi, l'info a tourné à l'interne de la SNCF ?
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par GilbertSedman » 22 Mai 2013, 20:19
Tish a écrit:takapartirenjuillay
j'suis un clodo moi, pas un bourgeois qui a les moyens de payer les tarifs juilletistes.
En juillet, mes seules vacances c'est le TER'Mer
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par manulosc » 24 Sep 2013, 13:07
Dès ce mardi, des TGV Nord moins nombreux et moins rapides
La circulation des trains entre le Nord et Paris est perturbée pendant deux mois à cause de travaux à la sortie de la gare du Nord. Dès ce mardi matin, cinq TGV sont supprimés chaque jour. Il faut aussi prévoir huit minutes de plus sur chaque trajet.
À partir de ce mardi et jusqu'au 29 novembre, les TGV mettront huit minutes de plus entre Lille et Paris. Ils seront également un peu moins nombreux à circuler sur le réseau Nord entre la capitale et les principales villes de la région.
Ces modifications sont la conséquence de travaux d'envergure qui se prolongeront pendant plus de deux mois. Il s'agit de rénover le pont du Havre, situé à Saint-Denis, à la sortie de la gare de Paris Nord. Ce pont est emprunté par plus de cinq cents trains par jour. Ce chantier n'est pas sans impact sur le trafic des TGV mais aussi des Eurostar, Thalys, TER, trains Intercités et même sur le RER D.
Entre Lille et Paris, la liaison dans les deux sens ne se fera donc plus en une heure et deux ou trois minutes mais en une heure dix. Le même retard est applicable entre la capitale et les autres villes de la région.
Des trains supprimés
Autre conséquence des travaux: la SNCF annonce la suppression de quelques TGV chaque jour. Au départ de Lille, les trains de 7h02 et 18 h 11 ne circuleront plus les jours de semaine.
Dans l'autre sens, c'est le TGV au départ de Paris Nord à 17 h16 qui est supprimé.
Quelques TGV seront supprimés certains week-ends du mois d'octobre.
L'axe Paris - Valenciennes est également impacté (un TGV de moins dans chaque sens) en semaine et dans une moindre mesure le week-end.
Le week-end encore, les suppressions affecteront également les liaisons entre Paris et Boulogne comme Dunkerque
la voix du nord.fr
La circulation des trains entre le Nord et Paris est perturbée pendant deux mois à cause de travaux à la sortie de la gare du Nord. Dès ce mardi matin, cinq TGV sont supprimés chaque jour. Il faut aussi prévoir huit minutes de plus sur chaque trajet.
À partir de ce mardi et jusqu'au 29 novembre, les TGV mettront huit minutes de plus entre Lille et Paris. Ils seront également un peu moins nombreux à circuler sur le réseau Nord entre la capitale et les principales villes de la région.
Ces modifications sont la conséquence de travaux d'envergure qui se prolongeront pendant plus de deux mois. Il s'agit de rénover le pont du Havre, situé à Saint-Denis, à la sortie de la gare de Paris Nord. Ce pont est emprunté par plus de cinq cents trains par jour. Ce chantier n'est pas sans impact sur le trafic des TGV mais aussi des Eurostar, Thalys, TER, trains Intercités et même sur le RER D.
Entre Lille et Paris, la liaison dans les deux sens ne se fera donc plus en une heure et deux ou trois minutes mais en une heure dix. Le même retard est applicable entre la capitale et les autres villes de la région.
Des trains supprimés
Autre conséquence des travaux: la SNCF annonce la suppression de quelques TGV chaque jour. Au départ de Lille, les trains de 7h02 et 18 h 11 ne circuleront plus les jours de semaine.
Dans l'autre sens, c'est le TGV au départ de Paris Nord à 17 h16 qui est supprimé.
Quelques TGV seront supprimés certains week-ends du mois d'octobre.
L'axe Paris - Valenciennes est également impacté (un TGV de moins dans chaque sens) en semaine et dans une moindre mesure le week-end.
Le week-end encore, les suppressions affecteront également les liaisons entre Paris et Boulogne comme Dunkerque
la voix du nord.fr
par manulosc » 09 Juin 2014, 22:58
Grève à la SNCF: les cheminots dénoncent la réforme ferroviaire
Les organisations syndicales appellent à faire grève, mardi 10 juin à 19 heures, à la SNCF. Elles veulent peser sur les l'élaboration de la loi encadrant la réforme ferroviaire.
Grève à partir de demain, mardi 10 juin, 19 heures à la SNCF. Quatre organisations syndicales appellent les cheminots à débrayer pour 24 heures. Un mouvement reconductible. La CGT, Sud-Rail, FO et First comptent peser sur les l'élaboration de la loi encadrant la réforme ferroviaire.
Oui à la réunification de la SNCF et de Réseau Ferré de France mais pas à n'importe quelle condition. Car le projet actuel ne règle pas, selon les syndicats l'épineuse question de l'endettement de RFF. Ils redoutent que la dette abyssale du gestionnaire du réseau ne finisse transférée dans les comptes de la SNCF et compromette l'avenir du nouvel ensemble.
Revendications multiples
De plus, si la création d'une holding regroupant les deux entreprises va dans la bonne direction, les ambitions sont, elles, trop timides. Ce que demandent les grévistes c'est ni plus ni moins que la réunification permette de retrouver un cadre similaire à celui qui était en place avant la séparation de RFF et de la SNCF en 1997. En clair, ils veulent une uniformisation des conditions de travail et des accords sociaux dans toute l'entreprise.
Et comme c'est de plus en plus le cas, ce préavis de grève est aussi l'occasion pour les syndicats de multiplier les revendications. Ils veulent, par exemple, plus d'effectifs et de meilleures conditions de travail. Seule manière selon eux de réhumaniser les gares et les trains.
bfmtv.com
Les organisations syndicales appellent à faire grève, mardi 10 juin à 19 heures, à la SNCF. Elles veulent peser sur les l'élaboration de la loi encadrant la réforme ferroviaire.
Grève à partir de demain, mardi 10 juin, 19 heures à la SNCF. Quatre organisations syndicales appellent les cheminots à débrayer pour 24 heures. Un mouvement reconductible. La CGT, Sud-Rail, FO et First comptent peser sur les l'élaboration de la loi encadrant la réforme ferroviaire.
Oui à la réunification de la SNCF et de Réseau Ferré de France mais pas à n'importe quelle condition. Car le projet actuel ne règle pas, selon les syndicats l'épineuse question de l'endettement de RFF. Ils redoutent que la dette abyssale du gestionnaire du réseau ne finisse transférée dans les comptes de la SNCF et compromette l'avenir du nouvel ensemble.
Revendications multiples
De plus, si la création d'une holding regroupant les deux entreprises va dans la bonne direction, les ambitions sont, elles, trop timides. Ce que demandent les grévistes c'est ni plus ni moins que la réunification permette de retrouver un cadre similaire à celui qui était en place avant la séparation de RFF et de la SNCF en 1997. En clair, ils veulent une uniformisation des conditions de travail et des accords sociaux dans toute l'entreprise.
Et comme c'est de plus en plus le cas, ce préavis de grève est aussi l'occasion pour les syndicats de multiplier les revendications. Ils veulent, par exemple, plus d'effectifs et de meilleures conditions de travail. Seule manière selon eux de réhumaniser les gares et les trains.
bfmtv.com
par John Holmes » 10 Juin 2014, 07:39
Je ne vois pas ou ça parle de la Fistinière Manu, encore et toujours du bluff, lassant !
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
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