Et pendant ce temps-là en Ouganda

Messagepar une des fakes de Der » 14 Oct 2012, 11:12

une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 14 Oct 2012, 11:24

C'est dégueulasse les homos. They eat their "pou-pou".
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 14 Oct 2012, 11:33

Il fait une fixette sur le poupou ce garçon, m'a l'air bien énervé.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 14 Oct 2012, 11:35

Un homosexuel refoulé sans doute.
Faudrait l'envoyer en stage chez Karmé.
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Messagepar une des fakes de Der » 14 Oct 2012, 13:36

Et pendant ce temps là à Roubaix , Mélissoo vient d'accoucher d'accoucher de Jordan à 21 ans, Sabrinoo et Kimberley les 2 soeurs sont heureuses, La Caf un peu moins
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 14 Oct 2012, 14:13

Pasteur Docteur > Garagiste magnétiseur > Assureur militant.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 25 Avr 2013, 16:09

Ouganda: la pornographie «commence» avec la minijupe

Un ministre ougandais a proposé une loi contre la pornographie qui prévoit l'arrestation de toute femme vêtue d'une minijupe.

Après les homosexuels, les parlementaires ougandais s'attaquent à la pornographie. Un projet de loi incarne ce combat: «la loi contre la pornographie». S'il est adopté, ce projet rendra illégale une série de pratiques et d'activités. Et même le port de la minijupe.

Officiellement, ce dispositif législatif a été pensé pour répondre à l'essor de la pornographie dans les médias et les lieux fermés. Ses dispositions viseraient à «doter le pays d'une meilleure loi pour s'attaquer au problème social insidieux de la pornographie», relaie le site Think Africa Press.

Mais où commence et s'arrête la pornographie en Ouganda? Le texte ne le stipule pas précisément et laisse une grande marge de manœuvre au législateur. Dans le projet de loi, la pornographie renvoie à toutes les pratiques d'une personne ayant des relations sexuelles explicites ou des comportements érotiques censés provoquer l'excitation sexuelle ou corrompre les moeurs.

Cette définition est tellement vaste que le ministre ougandais porteur du projet de loi Simon Lokodo a déclaré que tous les vêtements qui ne dépasseront pas le genou seront interdits. Ces vêtements entrent selon lui dans les comportements érotiques qui provoquent l'excitation.

«Si une femme porte une minijupe, nous allons l'arrêter», a-t-il ajouté.

Si des groupes religieux conservateurs approuvent ce texte, une grande partie de la société ougandaise le trouve rétrograde. Ce projet de loi leur rappelle la politique menée aux temps du dictateur Idi Amin Dada (1971-1979). Des années où le contôle des corps des femmes étaient une marque du régime. Avant le vote du projet de loi, les opposants à la loi contre la pornographie s'organisent. Ils essaient de faire entendre leurs arguments. Pour sauver la minijupe.
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 25 Avr 2013, 16:14

le déterrage ici
une des fakes de Der
 
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Messagepar une des fakes de Der » 25 Avr 2013, 16:15

Ca c'est du bon upage de topic des familles. Ratik style.
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Messagepar fernando » 24 Fév 2014, 17:06

En Ouganda, une loi antihomosexualité drastique entre en vigueur

Le Monde.fr avec AFP | 24.02.2014 à 15h56 • Mis à jour le 24.02.2014 à 16h03

Malgré les tentatives de dissuasion des gouvernements occidentaux et des défenseurs des droits de l'homme, le président ougandais Yoweri Museveni a promulgué, lundi 24 février, une loi durcissant la répression de l'homosexualité, qu'il avait un temps refusé de signer. « La loi entre de ce fait en vigueur », a résumé Sarah Kagingo, une porte-parole de la présidence ougandaise.

Les relations homosexuelles sont déjà passibles de prison à vie en Ouganda, mais cette législation, adoptée à la mi-décembre par le Parlement, interdit notamment toute « promotion » de l'homosexualité et rend obligatoire la dénonciation de quiconque s'affichant homosexuel(le).

L'OUGANDA REJETTE « L'IMPÉRIALISME » OCCIDENTAL

Les dispositions les plus controversées, prévoyant la peine de mort en cas de récidive, de rapport avec un mineur ou de rapport en se sachant porteur du virus du sida, ont été abandonnées, mais la loi reste très critiquée.

Elle a suscité des critiques virulentes, notamment de la part des Etats-Unis, allié clé de Kampala, qui avaient récemment averti que l'entrée en vigueur de cette loi « compliquerait [ses] relations » avec Kampala. « Le projet de loi antihomosexualité en Ouganda, une fois promulgué, sera plus qu'un affront et un danger pour la communauté gay d'Ouganda. Ce sera un pas en arrière pour tous les Ougandais », avait souligné le président Barack Obama.

Mais le président ougandais a assuré ne pas se laisser impressionner. « Les étrangers ne peuvent pas nous donner des ordres. C'est notre pays. (...) Ils doivent être avec nous, s'ils ne le veulent pas qu'ils gardent leur aide », a-t-il martelé après avoir paraphé la loi : « je conseille aux amis occidentaux de ne pas faire [du sujet] un problème » car « ils ont beaucoup à perdre ».

« Imposer des valeurs sociales d'un groupe à notre société, c'est de l'impérialisme social. Maintenant, vous nous dites que nous devrions vivre comme vous. Pas du tout ! », a poursuivi M. Museveni, dont le gouvernement fait déjà l'objet de sévères critiques occidentales pour sa corruption endémique et le sort réservé aux homosexuels.

HOMOSEXUALITÉ « COMPORTEMENTALE, PAS GÉNÉTIQUE »

Le président ougandais, un chrétien évangélique au pouvoir depuis 1986, avait initialement indiqué qu'il ne promulguerait pas la loi antihomosexualité car il est « mal de punir une personne parce qu'elle est anormale », qualifiant les homosexuels de « malades ».

Il avait ensuite annoncé avoir changé d'avis après consultation d'un groupe de « scientifiques » qui lui ont assuré que l'homosexualité était « comportementale, pas génétique ». Lundi, il a également fustigé le sexe oral, pratique selon lui encouragée par le monde occidental. « La bouche sert à manger, elle n'est pas faite pour le sexe. Je veux mettre en garde nos enfants », a-t-il lancé.

M. Museveni avait déjà, au début de février, promulgué une loi antipornographie, interdisant notamment certaines manières de s'habiller « provocatrices », bannissant les artistes légèrement vêtus de la télévision ougandaise et surveillant de près les sites consultés par les internautes.

Les homosexuels sont l'objet de persécutions et de violences pouvant aller jusqu'au meurtre en Ouganda, pays où l'homophobie est largement propagée par les très influentes églises évangéliques. Le prix Nobel de la paix sud-africain Desmond Tutu a jugé que cette loi rappelait les tentatives des nazis et du régime d'apartheid de « légiférer contre l'amour ».
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar SAV » 24 Fév 2014, 17:31

La bouche sert à manger

Et la teub à pisser.
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Messagepar stikky » 24 Fév 2014, 17:51

ils sont déjà noirs, si on pouvait leur éviter d'être des fiottes en plus ce serait pas mal
Ouganda à la pointe du progrès et de la dénonciation !!
Men look at breasts the way women look at babies
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stikky
 
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Messagepar SAV » 24 Fév 2014, 18:24

C'est vrai, quelle idée d'être payday en Ouganda à la base...
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar rhazelle » 24 Fév 2014, 19:50

un progressiste ce président, un visionnaire, un peu comme eux :

http://www.mouvementunitaire.fr/
Et la photo de ta collection de godes que John Holmes a posté l'autre jour , ça vient du Journal de Mickey ?
rhazelle
 
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Messagepar fernando » 01 Août 2014, 14:03

En Ouganda, la loi antihomosexualité a été annulée par la justice

Le Monde.fr avec AFP | 01.08.2014 à 13h43 • Mis à jour le 01.08.2014 à 13h52

Le 24 février, le président ougandais, Yoweri Museveni, promulguait une loi durcissant la répression de l'homosexualité.

« Nulle et non avenue »

La Cour constitutionnelle ougandaise a annulé vendredi 1er août cette loi controversée, estimant que le quorum exigé par la Constitution lors du vote au Parlement n'avait pas été atteint. « La loi est nulle et non avenue », a déclaré le président de la Cour donnant lecture du jugement.

Cette loi, qui ajoutait notamment la répression de la « promotion de l'homosexualité » et l'obligation de dénoncer les homosexuels à une législation punissant déjà depuis plus d'un demi-siècle les relations homosexuelles de la prison à vie, avait suscité l'indignation au niveau international. Plusieurs bailleurs de fonds avaient suspendu certaines de leurs aides au gouvernement ougandais.

« Je ne suis plus une criminelle »

L'annulation de la loi a été rapidement saluée sur Twitter par les défenseurs de la cause homosexuelle, même si la précédente législation – l'article 145 du Code pénal, datant de 1950 et remontant au régime colonial britannique, qui punit de la prison à vie les « relations charnelles contre nature » – reste en vigueur.

« Jugement final : je ne suis plus une criminelle aujourd'hui. Nous avons fait l'Histoire pour les générations à venir », a exulté Jacqueline Kasha, figure de la cause homosexuelle en Ouganda.

« La loi antihomosexualité rétrograde en Ouganda a été annulée par la Cour constitutionnelle, elle est désormais morte et bien morte », s'est réjoui le journaliste ougandais Andrew Mwenda, qui était un des requérants.

Le pasteur Martin Ssempa veut faire appel

Le pasteur Martin Ssempa, pourfendeur radical de l'homosexualité, a réagi en affirmant que « les Etats-Unis [avaient] insufflé la sodomie dans notre pays », en référence aux récentes sanctions contre l'Ouganda prises en réaction à cette loi par Washington. Le pasteur, qui avait dénoncé ces derniers jours par avance un « avortement judiciaire de notre loi », attribué, selon lui, aux pressions internationales exercées sur l'Ouganda, s'est dit « déterminé à faire appel devant la Cour suprême ».

Selon des ONG, le durcissement de la législation réprimant l'homosexualité en Ouganda a provoqué une hausse des abus contre les homosexuels : arrestations arbitraires et racket policier, licenciements, expulsions de leurs logements et agressions. La nouvelle loi avait également réduit l'accès des homosexuels aux services de santé et de prévention contre le sida, en raison des craintes d'arrestation, selon ces ONG.
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Messagepar fernando » 20 Mai 2015, 15:55

Ouganda : une chanteuse encourt dix ans de prison pour avoir montré ses fesses dans un clip

La chanteuse de 21 ans Panadol wa Basajja a passé cinq semaines en prison fin 2014. La raison : avoir diffusé un clip suggestif dans lequel elle apparaît en string et savonne lascivement ses fesses et son généreux décolleté. Elle encourt désormais jusqu’à dix ans de prison pour violation de la loi antipornographique si elle est jugée coupable lors du premier procès appliquant ce texte, promulgué en février 2014. L’artiste doit comparaître d’ici la fin du mois mais son avocat compte demander un report jusqu’à ce que la Cour constitutionnelle tranche une requête déposée contre la loi par des militants qui l’estiment « excessive et vague ».

http://www.lemonde.fr/afrique/video/2015/05/19/ouganda-une-chanteuse-encourt-dix-ans-de-prison-pour-avoir-montre-ses-fesses-dans-un-clip_4636417_3212.html
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Messagepar triple5 » 20 Mai 2015, 16:17

pas de bol panadol ..................................................'tain je traine trop sur le .org oim
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Messagepar Dageek » 20 Mai 2015, 16:18

Très bonne sanction, si ça pouvait nous éviter de supporter Madonna, Nikki Minaj et autres bouses
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Messagepar n.iiicolas » 20 Mai 2015, 19:08

Nikli Minaj... je la poutre volontiers entre autres
Je crois que le bonheur c'est d'être autiste.
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Messagepar fernando » 18 Jan 2021, 21:45

Ouganda : réélu président pour la sixième fois, Museveni veut éviter toute contestation

Le domicile de son principal adversaire, l’ex-chanteur Bobi Wine, espoir de la jeunesse ougandaise, est encerclé par des militaires depuis vendredi.


Pour ne rien manquer de l’actualité africaine, inscrivez-vous à la newsletter du « Monde Afrique » depuis ce lien. Chaque samedi à 6 heures, retrouvez une semaine d’actualité et de débats traitée par la rédaction du « Monde Afrique ».

L’espoir de changement voulu par une grande partie de la jeunesse ougandaise a été douché. Le président sortant, Yoweri Museveni, 76 ans, dont trente-cinq à la tête de l’Etat, s’apprête à démarrer un sixième mandat. Samedi 16 janvier, la commission électorale, étroitement contrôlée par son régime politico-militaire, l’a proclamé vainqueur de l’élection présidentielle avec 58,6 % des voix. Des résultats contestés par son principal opposant, le chanteur et député de 38 ans Bobi Wine (Robert Kyagulanyi Ssentamu de son vrai nom), qui s’est vu attribuer 34,8 % des votes et dénonce « l’élection la plus frauduleuse de l’histoire de l’Ouganda ».

Le « président du ghetto », ainsi qu’il est surnommé, a appelé les électeurs à « rejeter » ces résultats, tout en exhortant ses partisans à « renoncer à toute forme de violence ». Le régime redoute plus que tout des émeutes urbaines dans les grandes villes du pays, où 80 % de la population a moins de 30 ans et n’a connu qu’un unique dirigeant. Après avoir pris note de sa victoire, le président Museveni a tenu à rappeler que « la seule chose à éviter est la violence ».

Ses forces de sécurité continuent toutefois de réprimer brutalement les militants et les leaders de l’opposition, tandis que les réseaux sociaux ont été suspendus et que l’Internet est très fortement perturbé. Depuis vendredi dans la soirée, Bobi Wine se retrouve en quelque sorte assigné à résidence. Sa maison, en banlieue de Kampala, est encerclée par des militaires qui lui interdisent d’en sortir et de recevoir. « Nous n’avons plus de nourriture », déclarait-il dimanche. Le gouvernement a expliqué, avec sérieux, que ce dispositif a été mis en place pour garantir la sécurité de l’opposant dont la popularité inquiète.

« Intimidation » et « peur »

D’autant que M. Wine prétend disposer des preuves de sa victoire. « Des militaires ont commis des fraudes électorales, mais nous ne pouvons pas publier ces vidéos car l’Internet est coupé et parce que les militaires poursuivent nos agents électoraux », a-t-il précisé. Sa plate-forme politique avait déployé son propre réseau d’agents électoraux et mis en place un système de récolte des résultats indépendant de l’Internet local. L’opposant a annoncé qu’il comptait saisir la justice. Toutefois, face à la détermination du régime, qui exerce une mainmise sur toutes les institutions, les chances de voir aboutir une procédure impartiale sont infimes.

Les Etats-Unis, qui avaient fini par annuler la mission de leurs observateurs dont la majorité n’avait pu obtenir l’accréditation, se sont dits « profondément troublés » par les soupçons d’irrégularités. Washington dénonce un « environnement d’intimidation et de peur ». L’Union européenne n’avait pas non plus d’agents électoraux sur place. L’Union africaine, qui avait déployé une équipe d’observateurs, est restée silencieuse sur la répression exercée par l’armée et la police tout au long de la campagne. Au moins 54 personnes ont été tuées en novembre 2020, après que Bobi Wine a été arrêté, selon les Nations unies, qui dénoncent « des violences, des arrestations, des détentions arbitraires et, dans certains cas, des rapports de torture et de mauvais traitements par les forces de sécurité ».

Accusé d’être un « agent de l’étranger » par le régime, Bobi Wine a été plusieurs fois arrêté et incarcéré, de même que des membres de son équipe, dont certains ont été tués durant cette campagne. Autocrate brutal, M. Museveni s’est révélé indifférent aux critiques de la communauté internationale. « Il va désormais devoir gérer une inéluctable montée des violences politiques et des tensions internes qu’il a lui-même créées et instrumentalisées, au risque de précipiter le pays dans un cycle d’instabilité progressive », analyse un diplomate occidental en poste à Kampala.

Du marxisme au libéralisme

Dans cette région de l’Afrique des Grands Lacs, encore en convalescence des guerres meurtrières en République démocratique du Congo, du génocide des Tutsi au Rwanda en 1994 et des violences des mouvements politico-militaires, M. Museveni a pris part à la plupart des conflits, tout en préservant une certaine stabilité dans son pays, où il a militairement écrasé les rébellions. Il a su habilement s’attirer le soutien des partenaires occidentaux et des institutions multilatérales, séduits par cet ancien « combattant de la liberté » arrivé au pouvoir par la force en 1986 et passé du marxisme au libéralisme.

Son engagement militaire dans la guerre contre le terrorisme, comme en Somalie ou encore en Irak, lui a valu d’être soutenu par Washington, qui a cru voir en lui un représentant de la « nouvelle génération » de présidents africains. Après les présidents du Cameroun, Paul Biya (87 ans), de la Guinée équatoriale, Teodoro Obiang (78 ans), du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso (77 ans), l’Ougandais est aujourd’hui le plus âgé du continent. Ces quatre autocrates cumulent plus de cent cinquante ans de pouvoir.
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Messagepar gblosc » 18 Jan 2021, 21:52

STOP THE COUNT !
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Messagepar krouw2 » 18 Jan 2021, 23:20

Merci Fernando, l'occasion de voir que sur ce forum il y a un topic sur l'Ouganda qui date de 2012
Hollande 2027
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Messagepar SAV » 19 Jan 2021, 15:48

Tout ça c’est la faute de l’Europe colonisatrice.
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar Dageek » 19 Jan 2021, 15:57

oh ça va hein... qui leur a appris une vraie langue ? Qui leur a apporté une vraie religion? Les vêtements en paille et les danses de la pluie ça va bien deux minutes...
il s'agirait de grandir..
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Messagepar fernando » 04 Fév 2021, 20:37

Dominic Ongwen, ancien enfant soldat devenu chef rebelle en Ouganda, reconnu coupable de crimes de guerre

La Cour pénale internationale a reconnu cet ancien chef de l’Armée de résistance du Seigneur coupable de soixante et un chefs d’accusation. Un verdict « historique » selon Human Rights Watch.


Un verdict « historique » selon Human Rights Watch. La Cour pénale internationale (CPI) a jugé coupable, jeudi 4 février, de crimes de guerre et crimes contre l’humanité en Ouganda Dominic Ongwen, un ancien enfant soldat devenu commandant du groupe rebelle ougandais L’Armée de résistance du Seigneur (LRA). Dominic Ongwen, 45 ans, a été reconnu coupable de soixante et un chefs d’accusation, dont celui de grossesse forcée qui n’avait, jusqu’à présent, jamais été prononcé par la CPI.

Selon le tribunal, M. Ongwen a ordonné, au début des années 2000, des attaques contre des camps de réfugiés, alors qu’il était l’un des commandants de la LRA, dirigée alors par le fugitif Joseph Kony et qui a mené une guerre brutale en Ouganda et dans trois autres pays, afin d’établir un Etat basé sur les dix commandements de la Bible. « Sa culpabilité a été établie au-delà de tout doute raisonnable », a déclaré le président de la cour, Bertram Schmitt, prononçant le verdict à l’encontre de Dominic Ongwen, surnommé « la Fourmi blanche », jugé notamment pour meurtre, viol, esclavage sexuel et conscription d’enfants soldats.

Dominic Ongwen a nié l’ensemble des accusations « au nom de Dieu » et ses avocats avaient plaidé l’acquittement, soulignant qu’il avait lui-même été victime de la brutalité du groupe rebelle qui l’avait enlevé à l’âge d’environ neuf ans.

« La chambre est consciente qu’il a beaucoup souffert », a déclaré le juge Schmitt. « Cependant, il s’agit, dans cette affaire, de crimes commis par Dominic Ongwen en tant qu’adulte responsable et commandant de l’Armée de résistance du Seigneur. » « La chambre n’a pas trouvé de preuves confirmant l’affirmation de la défense selon laquelle il souffrait d’une maladie mentale ou qu’il avait commis ces crimes sous la contrainte », a déclaré Bertram Schmitt. La Cour doit prononcer la peine de M. Ongwen à une date ultérieure. Il encourt la perpétuité.

Des enfants « jetés dans des maisons en feu »

Fondée il y a trois décennies par Joseph Kony, un ancien enfant de chœur catholique devenu prophète autoproclamé, la LRA a lancé une rébellion sanglante contre le président Yoweri Museveni dans le nord de l’Ouganda. Selon l’ONU, les rebelles ont massacré plus de 100 000 personnes et enlevé 60 000 enfants lors de violences qui se sont étendues à trois autres pays africains : le Soudan, la République démocratique du Congo et la République centrafricaine.

Les juges ont déclaré que Dominic Ongwen a ordonné à ses soldats de commettre des massacres de civils dans les camps de réfugiés de Lukodi, Pajule, Odek et Abok, en Ouganda. Des enfants et des mères, portant leurs nourrissons sur le dos, figurent sur la liste des personnes tuées, a déclaré le juge Bertram Schmitt, qui a lu les noms des victimes. « Des enfants ont été jetés dans des maisons en feu, certains ont été placés dans un sac en polyéthylène et battus à mort », a déclaré Bertram Schmitt.

En tant que commandant de la brigade Sinia, M. Ongwen est également responsable de l’enlèvement de filles, afin d’en faire des domestiques et des esclaves sexuels, ainsi que de garçons qui devaient servir de soldats, ont déclaré les juges. Entre 2002 et 2005, sept femmes ont été forcées à être les « épouses » de Dominic Ongwen, deux d’entre elles donnant naissance à des enfants, ce qui a conduit à une condamnation historique de la CPI pour grossesse forcée.

Dominic Ongwen s’était rendu début 2015 aux forces spéciales américaines qui traquaient Joseph Kony en République centrafricaine, avant d’être transféré à la CPI. Joseph Kony, quant à lui, est considéré comme toujours en fuite et fait l’objet d’un mandat d’arrêt de la CPI.
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Messagepar fernando » 17 Août 2021, 17:10

En Ouganda, la loi contre la pornographie qui prohibait les minijupes a été abrogée

En vigueur depuis 2014, l’interdiction du port de la minijupe était notamment dénoncée par les organisations féministes du pays.


La Cour constitutionnelle ougandaise a abrogé mardi 17 août la loi contre la pornographie en vigueur dans le pays depuis 2014, dont plusieurs articles, comme l’interdiction du port de la minijupe, étaient dénoncés par des organisations féministes et la société civile en général.

Selon le jugement publié lundi et consulté mardi par l’Agence France-Presse (AFP), la loi est déclarée « incompatible ou contraire avec la Constitution ». « Les articles (…) de la loi antipornographie sont déclarés nuls et non avenus », conclut le juge Frederick Egonda-Ntende dans sa décision, qui supprime également les pouvoirs d’un comité de neuf membres chargé de faire appliquer la loi.

L’avocate du gouvernement, Imelda Adong, n’a pas souhaité réagir dans l’immédiat, précisant à l’AFP que les autorités « étudiaient la décision ». La loi de février 2014 considérait comme pornographiques des comportements et activités aussi banals que le port de jupes courtes ou des textes de chansons jugés trop osés.

Un mouvement antilibéral en expansion

Des associations de défense des droits des femmes ont fait campagne ces dernières années pour l’abrogation de ce texte, surnommé « loi anti-minijupes », dénonçant le harcèlement mené contre les femmes portant des tenues considérées comme indécentes. « Ça a été un combat acharné et nous sommes reconnaissants du fait que ceux qui croient aux droits des femmes l’aient emporté », s’est félicitée auprès de l’AFP Lillian Drabo, qui figurait parmi les neuf organisations et personnes privées pétitionnaires qui ont contesté la loi en justice.

« La loi a révélé les dangers auxquels les femmes sont confrontées dans ce qui est considéré comme le monde moderne », a-t-elle ajouté. Selon ses détracteurs, cette loi était révélatrice d’un mouvement antilibéral en expansion en Ouganda, qui a également inspiré une loi très répressive contre l’homosexualité, promulguée elle aussi en février 2014. En 2014, la chanteuse Jemimah Kansiime, de son nom de scène « Panadol wa Basajja », avait passé cinq semaines en prison après la sortie d’un clip suggestif où elle apparaissait en string et large décolleté, se savonnant lascivement les fesses. Selon la loi antipornographie, elle encourait dix ans de prison.

Fervent partisan de cette loi, le ministre de l’éthique et de l’intégrité, Simon Lokodo, avait fait saisir en 2016 dans une prestigieuse école privée des exemplaires d’un roman britannique qui exposait, selon lui, les élèves à la sexualité de façon trop précoce.
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Messagepar SAV » 17 Août 2021, 18:33

Ministre de l’éthique et de l’intégrité, ça claque.
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Messagepar krouw2 » 17 Août 2021, 19:31

Nando a une alerte google "Ouganda" je ne vois pas d'autres explications
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Messagepar laurentlille1 » 17 Août 2021, 19:39

SAV a écrit:Ministre de l’éthique et de l’intégrité, ça claque.


En général, les mêmes qu'on surprend un jour en train de se masturber devant du porno portugais ou de faire des soirées à la fistinière.
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laurentlille1
 
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Messagepar fernando » 17 Août 2021, 23:21

SAV a écrit:Ministre de l’éthique et de l’intégrité, ça claque.


Un job taillé pour Balkany.
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