Ecologix Krew: un monde sans Bhauvin est possible

Messagepar otto » 02 Nov 2013, 08:31

Depuis des décennies, les autorités françaises prétendent que le nucléaire relève de l' "indépendance énergétique", ce qui est totalement faux. En effet, depuis 2001, ce sont 100% du combustible nucléaire, l'uranium, qui sont extraits à l'étranger, et en particulier au Niger où la France maintient une présence quasi-coloniale par l'intermédiaire de son entreprise d'Etat Areva.

Or, si des salariés d'Areva ont été pris en otage au Niger, y sont restés captif pendant 3 ans, et si la France a payé 20 à 25 millions d'euros pour obtenir leur libération, c'est bien parce que l'uranium n'est pas extrait en France : le nucléaire relève encore moins de l'indépendance énergétique que le pétrole et le gaz (dont de petites quantités sont exploitées en France).

Sachant que les réserves d'uranium s'amenuisent dans le monde et que d'autres pays, en particulier la Chine, ont aussi besoin de ce minerai, il n'est pas difficile de comprendre que la France nucléaire est menacée de pénurie d'uranium à plus ou moins brève échéance. Ce sont donc 80% de la production électrique française qui sont en sursis.

C'est d'ailleurs pour cela que la France et Areva font ami-ami avec les pires dictateurs d'Asie centrale (en particulier au Kazakhstan et en Ouzbékistan) pour tenter de diversifier leurs approvisionnements en uranium au détriment des populations locales, de l'environnement, et des Droits de l'Homme.

On s'étonnera aussi, a minima, que la France verse de lourdes sommes à des groupes terroristes et qu'elle se préoccupe de faire libérer en priorité les salariés d'Areva, délaissant clairement les autres otages.

Au lieu d'investir massivement dans les énergies renouvelables, les seules à être garantes d'une véritable indépendance énergétique, la France s'enfonce depuis 50 ans dans l'impasse nucléaire. Or, c'est bien connu, au bout de chaque impasse se trouve un mur...

Après avoir tant vanté la supposée "indépendance énergétique de la France grâce au nucléaire", les "élites" françaises pourraient bien être rapidement obligées de rassurer les citoyens en leur rappelant qu'il est possible d'importer de l'électricité de chez nos voisins... car ils n'ont pas ou peu de nucléaire. D'ores et déjà, et depuis près de dix ans, l'Allemagne est exportatrice nette d'électricité vers la France...


http://observ.nucleaire.free.fr/otages-non-indep-ener.htm

"Étonnamment", ce site est attaqué en justice par Areva...
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Messagepar Dogue-son » 02 Nov 2013, 11:54

Ils espèrent être crédibles plus de cinq minutes avec ce genre de trucs ?

Effectivement, Areva se comporte comme toutes les sociétés minières et pétrolières dans ce genre de pays (corruption, non respect de conditions de travail décentes, pratiques environnementales éhontées).

Par contre la fin de ce communiqué est même pas digne d'un crypto-communiste tentant de réhabiliter Staline.
Il y a bien évidemment une tension sur les importations d'uranium à cause notamment du futur développement du parc chinois mais on est sur du moyen terme au niveau des réserves bien plus que du court terme, sous oublier que la France en produit et pourrait être indépendante sur ce plan, mais avec un coût supérieur. Donc parler de sursis est largement exagéré.
Ce qui ne doit pas empêcher de mettre en place des solutions alternatives de production.
Seraient-elles pour autant plus indépendantes que le nucléaire ?
Manifestement non, hormis l'hydraulique dont le potentiel de croissance en France est faible et dont l'impact environnemental est conséquent.
Le solaire ? D'une part il y a une tension sur les ressources de silicium et de certains produits dopants comme l'indium. D'autre part, tous les fabricants ou presque de cellules sont chinois, taïwanais ou japonais.
L'éolien ? Il y a des fabricants français, mais une éolienne, c'est souvent beaucoup d'acier. Or la production française a cessé depuis 1997 en Lorraine (minerai de faible qualité d'ailleurs).
Vouloir sortir du nucléaire est une (bonne) chose, prétendre que les énergies renouvelables vont tout régler est malhonnête.
Quant au passage sur l'Allemagne, euh, comment dire, c'est ridicule. Nous importons effectivement de l'électricité d'Allemagne depuis des années, bien avant l'arrêt du nucléaire allemand en fait. Cela ne doit pas faire oublier que la France est exportatrice nette d'électricité pour plus de 44 TWh en 2012. La situation allemande est par ailleurs discutable, entre les centrales à charbon dont l'impact écologique et sanitaire est désastreux, et les énergies renouvelables sur lesquelles est fait du dumping.
En fait, on est pas dans la merde, entre la filière nucléaire qui refuse de revoir son modèle, ces putains d'écolos qui font de l'idéologie débilitante, et les politiques dont la seule action est de faire des écotaxes.
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Messagepar otto » 02 Nov 2013, 13:48

Dogue-son a écrit:Il y a bien évidemment une tension sur les importations d'uranium à cause notamment du futur développement du parc chinois mais on est sur du moyen terme au niveau des réserves bien plus que du court terme, sous oublier que la France en produit

where ?

et pourrait être indépendante sur ce plan, mais avec un coût supérieur. Donc parler de sursis est largement exagéré.

http://groupes.sortirdunucleaire.org/De-l-uranium-jusqu-a-quand-Lorsque

Vouloir sortir du nucléaire est une (bonne) chose, prétendre que les énergies renouvelables vont tout régler est malhonnête.

D'où l’intérêt du triptyque Négawatt : sobriété, efficacité, renouvelables...
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Messagepar Dogue-son » 02 Nov 2013, 14:21

otto a écrit:
Dogue-son a écrit:Il y a bien évidemment une tension sur les importations d'uranium à cause notamment du futur développement du parc chinois mais on est sur du moyen terme au niveau des réserves bien plus que du court terme, sous oublier que la France en produit

where ?


"est encore capable d'en produire" est plus juste.

et pourrait être indépendante sur ce plan, mais avec un coût supérieur. Donc parler de sursis est largement exagéré.

http://groupes.sortirdunucleaire.org/De-l-uranium-jusqu-a-quand-Lorsque


Tu devrais essayer les sources non orientées, c'est quand même mieux.
Même 60 ans, ça reste du moyen terme.
Surtout en changeant de technologie (sels fondus notamment)

Vouloir sortir du nucléaire est une (bonne) chose, prétendre que les énergies renouvelables vont tout régler est malhonnête.

D'où l’intérêt du triptyque Négawatt : sobriété, efficacité, renouvelables...


Oui, mais il est bien plus intelligent de le faire en lissant la sortie nucléaire que de tout transférer brutalement sur du fossile comme les allemands.
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Messagepar otto » 02 Nov 2013, 14:26

Negawatt : ils lissent sur une sortie du nucléaire en 25 ans de mémoire (25 ans brrr...).
Mais faut alors maintenant prendre politiquement cette décision... Ce qui est loin d'être le cas...
http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/10/13/l-etat-compte-prolonger-de-dix-ans-la-vie-des-centrales-nucleaires_3494983_3244.html
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Messagepar Dogue-son » 02 Nov 2013, 14:43

Prendre des décisions ne semble pas dans les capacités du gouvernement actuel (ni du précédent d'ailleurs)
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Messagepar krouw2 » 06 Nov 2013, 01:01

Viande : est-ce un produit de luxe ?

05/11/2013 / Dr CAC
http://www.france5.fr/emissions/dr-cac/ ... 013_146739
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Messagepar krouw2 » 07 Nov 2013, 18:59

VIDEO. "Envoyé spécial" : poissons d'élevage, un business en eaux troubles
Le magazine de France 2 diffuse, jeudi à 20h45, une enquête sur les dessous de l'industrie du poisson d'élevage.

Le poisson a l'image d'un aliment sain et naturel. En cinquante ans, sa consommation a plus que doublé en France, une évolution bénéfique pour la société. Mais la chair de l'animal renferme bien des secrets. Les équipes du magazine "Envoyé spécial" se sont rendues en Suède, en Norvège, au Danemark et au Vietnam afin de découvrir les dessous de l’industrie mondiale du poisson d’élevage. Une enquête diffusée jeudi 7 novembre à 20h45, sur France 2.

Usage massif d'antibiotiques et de pesticides, utilisation de farines animales, pollutions au mercure et aux PCB (Polychlorobiphényles), défauts de traçabilité : que sait-on réellement du poisson qui atterrit dans nos assiettes ? La consommation de poissons d’élevage présente-t-elle un risque pour la santé ?

Selon Jérôme Ruzzin, chercheur à l’université de Bergen (Norvège), le saumon d’élevage est cinq fois plus toxique que le saumon sauvage car il contient beaucoup plus de polluants. L’universitaire a établi un lien, sur les rats de laboratoire, entre nourriture au saumon d’élevage et développement de l'obésité et du diabète.
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Messagepar krouw2 » 12 Nov 2013, 22:51

Olivia Mokiejewski, l'emmerdeuse, a voulu savoir ce qu’il se cachait derrière une tranche de jambon et son déguisement champêtre. Elle a tenté de suivre le parcours d’un cochon de l’élevage jusqu’à l’assiette. Et ça n'a pas été simple. La filière porcine est l’une des plus discrètes du secteur agroalimentaire. Et pour ne rien arranger, elle traverse une grave crise qui touche de plein fouet la Bretagne, la région du cochon.

À voir sur France 2, mardi 12 novembre à 22h35.

du mourd en perspective
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Messagepar Dageek » 12 Nov 2013, 23:08

Finalement, on va finir au McDo car c'est ptet ce qu'il y a de plus contrôlé
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Messagepar otto » 12 Nov 2013, 23:27

loul !
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Messagepar krouw2 » 12 Nov 2013, 23:36

tu mouriras gros d'un AVC mais en bonne santé
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Messagepar Dogue-son » 12 Nov 2013, 23:37

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Messagepar otto » 12 Nov 2013, 23:38

Et si on débattait vraiment des transports ?
http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/091113/et-si-debattait-vraiment-des-transports

Selon le ministère de l’écologie et du développement durable, le secteur des transports était en 2011 le premier secteur émetteur de gaz à effet de serre en France, représentant plus d'un quart des émissions. Alors que l'objectif affiché par le Grenelle de l'Environnement était de parvenir à une part du fret “ non routier non aérien ” dans le fret total de 15,75% en 2012, cette part n'était que de 11,7 % en 2011 (voir le rapport en pdf), et les marchandises transportées par route ont continué de progresser, passant de 157, 5 milliards de tonnes-kilomètres en 1995 à 165,8 en 2012.

Contre-leçon numéro 1. Taxer les poids lourds qu'on a soi-même mis sur les routes.

L'écotaxe, dont il est beaucoup question ces derniers temps, concerne les poids lourds de plus de 3,5 tonnes. Commençons par rappeler que c'est le même gouvernement qui en décembre 2012 a signé l'arrêté autorisant la circulation des giga-camions de 44 tonnes sur les routes. Cette mesure devrait coûter, d’après une étude faite par le Conseil général du développement durable, entre 400 à 500 millions d’euros de surcoût à la collectivité pour l’entretien des routes.

Contre-leçon numéro 2. Faire supporter l'entretien des routes par la collectivité.

Ces coûts sont en effet supportés en grande partie par les conseils généraux. La route est un des seuls moyens de transport dont les dépenses sont entièrement socialisées, faussant totalement les études d'opportunité économique. En effet, un certain nombre de coûts – évalués à 650 milliards d'euros au niveau européen, 85 milliards pour la France – ne sont pas pris en compte dans la définition du prix de marché mais supportés par d'autres acteurs : pollution de l'air, de l'eau et des sols, accidents, congestions, contribution au dérèglement climatique... Si l'on réintégrait ces coûts externes liés au transport de passagers, le train est 3 fois plus performant que la voiture, 2 fois plus que l'avion, et 1,5 fois plus que l'autocar. Et la tendance se confirme pour le transport de marchandises : le fret ferroviaire est 4 fois moins coûteux que le routier et 15 fois moins que l'avion.

Contre-leçon numéro 3. Démanteler la SNCF et négliger le fret ferroviaire.

Certes, les recettes de l'écotaxe sont censées être utilisées au financement des infrastructures de transport. Mais pour bénéficier au report modal vers le fret, encore faudrait-il disposer d'un plan de modernisation du rail. Las, dans les rapports successifs issus du ministère, on cherche en vain un plan de développement du fret digne de ce nom. Et ce ne sont pas les paquets ferroviaires européens successifs de libéralisation du rail qui vont arranger les choses. Comme on peut le constater depuis l'ouverture à la concurrence et le démantèlement de la SNCF en branches distinctes, la recherche de rentabilité a pris le pas sur les investissements et l'activité de fret, malgré les objectifs du Grenelle de l'Environnement, n'a visiblement pas été jugé suffisamment rentable pour être développée.

Contre-leçon numéro 4. Exonérer les autoroutes.

Il y a aujourd'hui quelque 8 600 km d'autoroutes en France, soit l'équivalent de la distance de Paris à Bogota. Or, l'écotaxe dont il est beaucoup question en ce moment ne concerne pas les infrastructures autoroutières. Le décret précise bien qu'elle ne concerne que les routes nationales non payantes et les routes départementales qui contournent les itinéraires payants. Ces autoroutes sont majoritairement gérées par trois groupes privés : Vinci, Eiffage et l'espagnol Abertis. C'est le gouvernement de Villepin qui a conclu l'opération de bradage en 2006, contre l'avis de la majorité des Français qui étaient 70% opposés à cette privatisation selon les sondages. Résultat, alors que les investissements de départ ont été pris en charge par les contribuables, ce sont aujourd'hui les multinationales qui ramassent la mise. Sans compter que plus de 95% de leur chiffre d'affaires provient des péages, c'est-à-dire de nos poches. En somme, nous payons pour utiliser des autoroutes que nous avons contribué à financer par nos impôts et dont les recettes alimentent les profits des grandes entreprises.

Contre-leçon numéro 5. Faire des cadeaux aux concessionnaires privés.

Et comme si ça ne suffisait pas, sans même parler du scandale du contrat passé avec Ecomouv, voilà que le gouvernement actuel se met dans les pas de la droite : le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, veut prolonger de trois ans la durée d'exploitation de nos autoroutes par les groupes Vinci, Eiffage et Albertis. Tout ceci commence à ressembler à un joli scandale en direction du lobby autoroutier et rappelle étrangement d'autres précédents, sous un autre gouvernement. Déjà en janvier 2010, le ministre Jean-Louis Borloo posait aux côtés de cinq concessionnaires pour dévoiler leurs nouveaux « engagements verts » : plus d'un milliard de travaux, financés par l'octroi d'une année supplémentaire de concession. Sous couvert de “ relance verte ”, en échange d'investissements qui de toutes façons devaient être programmés, nous avons donc fait cadeau à ces groupes privés d'une année de concession et des recettes qui vont avec. Avec quelques perles du « greenwashing » comme ce magnifique “ péage sans arrêt ”, censé faire baisser les émissions de gaz à effet de serre, qui en fait permet surtout de développer les technologies de surveillance, à faire passer plus de voitures et ainsi augmenter encore les recettes des concessionnaires. C'est dans ce contexte qu'a été initié L'appel des élus contre la privatisation des autoroutes.

Résumons : cadeau aux concessionnaires privés d'autoroutes, coûts externes de la route pris en charge par la collectivité, coût du rail gonflé, démantèlement de l'entreprise intégrée SNCF et absence de plan fret... Si on profitait du débat sur l'écotaxe pour ouvrir sérieusement le débat sur une vraie planification du report modal en France ?
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Messagepar Dageek » 12 Nov 2013, 23:40



Heureusement ils réagissent, 5 ans après, c est controlé jvous dis
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Messagepar otto » 12 Nov 2013, 23:41

C'est ton esprit qui est contrôlé.
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Messagepar bijams » 12 Nov 2013, 23:44

Lorsque ma bougie rouge de chez Ikea est terminée, j'enlève la cire restante et j'en fait un verre.
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Messagepar otto » 12 Nov 2013, 23:50

Tu le prends pour aller au GS ?
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Messagepar laurentlille1 » 12 Nov 2013, 23:50

Dans mes bras bijams!


PS: ça marche aussi avec les blanches et les oranges.
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Messagepar bijams » 12 Nov 2013, 23:55

otto a écrit:Tu le prends pour aller au GS ?


Bah non, à cause du transport.
On est écologique ou on ne n'est pas.

C'est bien aussi Laurent.
Mais je ne supporte que les rouges niveau odeur.
Toi aussi t'es un recycleur, ça fait plaiz'.
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bijams
 
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Messagepar laurentlille1 » 12 Nov 2013, 23:59

Ouais l'environnement c'est ma priorité.
D'ailleurs une copine m'a fait remarquer la semaine dernière que mes verres étaient sympas. Je lui ai expliqué la combine.
C'est comme ça qu'on fera avancer les mentalités.
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Messagepar bijams » 13 Nov 2013, 00:02

Tu lui as mis un ptit coup quand-même ?
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Messagepar laurentlille1 » 13 Nov 2013, 00:04

Bordel, je savais que j'avais oublié un truc!
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Messagepar krouw2 » 13 Nov 2013, 00:07

Dageek a vu un document officiel qui prouve que la Fransse y sont gentils avec les animals

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Messagepar otto » 27 Nov 2013, 16:40

Image

(trixt monde)
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Messagepar krouw2 » 01 Déc 2013, 02:42

Emmanuelle Cosse ,vice-présidente écologiste du conseil régional d'Île-de-France est élue secrétaire nationale d'Europe Ecologie Les Verts , elle est la compagne de Denis Baupin Député de la 10e circonscription de Paris. Elles est proche de Cécile Duflot ministre Vert du logement , l'ex de Jean-Vincent Placé sénateur Vert de l'Essonne, qui sort avec Eva Sas députée verte de la septième circonscription de l'Essonne., l'ex de Pascal Canfin Ministre Vert délégué au Développement.

Espérons que cette élection apporte une nouvelle ouverture au peuple Franssé
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Messagepar GilbertSedman » 01 Déc 2013, 12:31

Ancienne présidents d'act up et maintenant d'eelv... j'ai du mal à voir la cohérence du parcours. Ca sent encore la pastèque chez eelv
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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GilbertSedman
 
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Messagepar otto » 01 Déc 2013, 13:14

Une nouvelle fois, les militants se feront zodom. Mais y aura protection m'tenant.
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Messagepar krouw2 » 10 Déc 2013, 19:52

Pêche: le Parlement européen épargne le chalutage en eau profonde
AFP 10 décembre 2013 à 11:03 (Mis à jour : 10 décembre 2013 à 16:30)


Le Parlement européen a rejeté mardi l’interdiction du chalutage en eaux profondes, à la satisfaction de l’industrie de pêche française, en dépit d’une forte mobilisation écologique pour protéger les abysses.

L’issue du vote s’est joué dans un mouchoir de poche, avec 342 voix contre l’interdiction et 326 pour, au vu des divisions des parlementaires européens y compris au sein de leur propre famille politique.

Les eurodéputés ont à défaut largement soutenu le compromis qui avait été dégagé par les membres conservateurs et socialistes de la commission de la Pêche du parlement, se limitant à encadrer le chalutage profond pour protéger les écosystèmes les plus vulnérables.

Cette technique de pêche consiste à tracter un filet sur les fonds marins compris entre 400 à 1.500 mètres sous la surface des flots.

Pratiquée essentiellement au large de l’Ecosse et de l’Irlande, elle est dénoncée par les écologistes et le gros de la communauté scientifique comme particulièrement destructrice pour les fonds marins, et les espèces fragiles des grands fonds.

Les représentants de l’industrie européenne de la pêche se sont immédiatement félicité du sursis accordé à cette pratique, assurée à 90% par la France, l’Espagne et le Portugal.

Il s’agit d’une reconnaissance «que la pêche en eau profonde peut s’exercer de manière durable et responsable en préservant l’équilibre crucial mais fragile entre la protection de l’environnement et celle des territoires maritimes auxquels des milliers d’emplois sont attachés», a déclaré Olivier Le Nézet, président de Blue Fish qui représente les intérêts des armateurs.

«C’est la victoire de la raison», le Parlement européen a choisi l’option «garantissant la préservation à la fois de l’environnement et des emplois», s’est aussi prévalu la socialiste française Isabelle Thomas.

En France, les emplois menacés par une interdiction auraient varié de 500, selon le ministre de la Pêche, Frédéric Cuvillier, à jusqu’à 3.000 selon les représentants de la Scapêche, premier armateur national de pêche fraîche, qui contrôle pour le compte du distributeur Intermarché six des neuf navires français qui étaient directement visés.

Mais l’argument avait été contré lundi par la commissaire chargée de la pêche, Maria Damanaki, pour qui il suffirait aux pêcheurs d’abandonner le chalutage au profit de la palangre, moins destructrice, pour garantir, voire augmenter, les emplois.

Le Parlement européen a cédé à «la logique productiviste du toujours plus, plus loin, plus profond» malgré «les destructions considérables du milieu marin que cette technique de pêche provoque», a déploré le vert français Jean-Paul Besset.

A l’origine d’une vaste mobilisation anti-chalutage en France à la tête de son association Bloom, Claire Nouvian a dénoncé une «victoire du lobbying acharné des industriels».

Limiter les dégâts

Grâce au ralliement à sa campagne de Pénélope Bagieu, dont une bande dessinée en forme de plaidoyer ludique pour les grands fonds avait fait le buzz, Bloom avait recueilli plus de 750.000 signatures pour l’interdiction du chalutage.

Tentant de faire contre mauvaise fortune bon coeur, l’organisation PEW de protection de l’environnement a toutefois jugé que «les mesures convenues par le Parlement européen pourront, si elles sont appliquées, aider à limiter les dégâts infligés aux écosystèmes des grands fonds».

Cet encadrement prévoit de renforcer la prise en compte d’avis scientifiques pour fixer les quotas d’espèces profondes, de réduire les prises accessoires piégées dans les filets, et d’évaluer l’impact environnemental avant l’ouverture de zones à la pêche profonde.

Mais pour entrer en vigueur, ce cadre doit encore être avalisé par les gouvernements, ce qui semble peu probable avant les prochaines élections européennes, les 28 trainant des pieds depuis des mois sur ce dossier.

Le rapporteur du projet, Kriton Arsenis, avait d’ailleurs mis en exergue lundi la mauvaise volonté des gouvernements à protéger les grands fonds, pour réclamer «un mandat fort» via l’adoption de l’interdiction.

Se limiter au compromis comme l’a finalement fait le Parlement européen, alors qu’il est voué «à être encore édulcoré n’aurait pas de sens» avait-il lancé.
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Messagepar fernando » 10 Déc 2013, 20:54

Hé ouais, y'a des élections dans 6 mois.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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