le cvt

Messagepar manulosc » 18 Mai 2014, 12:47

doit etre déçu de voir le losc finir le 3 eme
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Messagepar krouw2 » 18 Mai 2014, 13:14

t'as pas su?
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Messagepar manulosc » 18 Mai 2014, 13:15

non
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Messagepar fernando » 18 Mai 2014, 13:30

A ta place manu, je m'abstiendrais de faire ce genre de provocations. Tu t'attaques à plus fort que toi là, ils rigolent pas ces types là.
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Messagepar otto » 18 Mai 2014, 13:37

Puis, doivent être bien énervés...
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Messagepar krouw2 » 25 Juin 2014, 14:28

le début de la fin du CVT :/

Laurent Peyrelade : "On se sentait invincibles !"

Son nom sera pour toujours associé à cette incroyable équipe lilloise passée de la Ligue 2 à la Champions League en l’espace de deux saisons. Treize ans après cette formidable aventure humaine et sportive, Laurent Peyrelade n’a rien oublié de son épopée lilloise. Il raconte.

24/06/14

Laurent, bonjour. Ton histoire avec le LOSC a débuté à l’été 1997. Quels souvenirs gardes-tu de ce moment important de ta carrière ?
Je me rappelle que le club venait juste d’être relégué en deuxième division lorsque j’y ai signé. À l’époque, j’appartenais encore au FC Nantes mais je sortais d’une saison en prêt au Mans, en D2. Et quand le coach manceau, Thierry Froger, a été nommé entraîneur du LOSC, il m’a proposé de le suivre. Je n’ai pas hésité une seconde, même si j’avoue qu’au départ, cela n’a pas été facile de changer de vie. Jusqu’à ce que je me rende assez vite compte que le Nord est une belle région.

Quelle image avais-tu du LOSC à ton arrivée ?
Je le voyais comme un club de l’élite avec un stade de D1 et un effectif bâti pour ce championnat. Beaucoup de joueurs du groupe avaient connu la première division. D’ailleurs, nous avions commencé cette saison 1997-1998 en trombe. Mais avec le recul, je me dis que c’est peut-être ce qui nous a coûté la montée cette année-là. On s’est certainement trop vite mis en confiance. Au final, on a raté ce retour en D1 au goal-average… Et ce pendant deux saisons de suite, même si lors de la seconde, on partait de plus loin ! Ce fut un énorme gâchis. Car il y avait la place pour remonter tout de suite.

Et comme souvent dans ces cas-là, la troisième année a été la bonne…
Honnêtement, en 1999-2000, on savait qu’on irait au bout après seulement dix matchs. Le travail des années précédentes, les nouveaux joueurs, la notion de groupe, le discours du coach… bref, la mayonnaise a tout de suite pris. Une fois la machine lancée, on a réussi à surfer sur cette vague. On se sentait invincibles. Au plaisir pris au quotidien, à l’entraînement ou en matchs, je pense que cette saison a été la plus aboutie de ma carrière. Je la place même au-dessus de la suivante en Ligue 1 !

Vraiment ?
Oui, nous avions la sensation que rien ne pouvait nous arriver. Il y avait tout, le niveau de jeu, l’ambiance… On aurait pu mettre ce groupe-là dans n’importe quel club de Ligue 2 aux conditions d’entraînement limitées, il serait quand même monté. Le secret ? Je ne vais pas être très original si je parle de travail, mais c’est la vérité. On bossait beaucoup. Or quand on veut que les choses arrivent, il faut s’en donner les moyens. Et en règle générale, ceux qui travaillent dur et bien sont récompensés à un moment ou à un autre.

Lorsqu’on évoque Laurent Peyrelade à n’importe quel supporter lillois, il en ressort souvent la même image : ce but décisif à Monaco (1-2, le 19/05/01) qui contribue à la qualification du LOSC en Champions League. Est-ce ton meilleur souvenir ?
(il réfléchit) Oui et non. C’était à la fois un bon et un mauvais moment. Bien sûr, il aidait le club à gagner son billet pour la coupe d’Europe. Sur le moment, ce fut une joie immense. Dans le même temps, je savais qu’il s’agissait de mon dernier match au LOSC. J’étais à la fois triste et déçu de terminer cette aventure. Pour moi, la plus grosse émotion vécue sous le maillot lillois reste sans doute la montée ou mon but à la dernière seconde dans le derby contre Lens (2-1, le 24/10/00).

À l’époque savais-tu que le LOSC emprunterait cette trajectoire pour devenir aujourd’hui un club qui compte dans le paysage du football français ?
C’est une suite logique. Le LOSC a été un immense club de l’après-guerre, avec beaucoup d’internationaux et des titres en rafale. Le fait qu’il s’agisse d’une grande métropole lui offre aussi un important potentiel public et sponsors. On savait donc tous qu’un jour, ça repartirait. Mais on était loin de se douter qu’il se doterait d’un aussi beau stade. Pourtant, on en parlait déjà en 1997. Dix ans après, la première pierre n’avait pas encore été posée. Quand on voit le rendu, cela vaut le coup d’avoir attendu.

Quel fut ton premier sentiment en découvrant ce Stade Pierre Mauroy ?
Je suis venu ici à trois reprises. Et à chaque fois, je me suis fait la même réflexion : "qu’est-ce que j’aurais aimé jouer ici, avec cette équipe". Le simple fait de penser à cela me rajeunit (sourire). Cette enceinte est vraiment magnifique, c’est un outil fantastique pour le LOSC qui se positionne désormais comme un grand club français, non seulement par cette structure, mais aussi grâce à son centre de formation et son camp d’entraînement. Il n’a plus rien à voir avec ce à quoi il ressemblait à la fin des années 90.

Quel regard portes-tu sur la saison accomplie par les Lillois ?
Elle est forcément positive. Parvenir à lutter pour un strapontin en Champions League derrière les deux mastodontes que sont le PSG et l’AS Monaco, c’est énorme et surtout mérité sur l’ensemble de la saison. Sans ces deux clubs précités, le LOSC aurait même été armé pour jouer le titre. René Girard a su tirer le meilleur de son groupe. Il a fait au mieux avec les moyens mis à sa disposition. Chapeau !

Merci à Laurent Peyrelade #WeAreLOSC
Laurent Peyrelade

Né le 07/04/1970 à Limoges (87)
Attaquant
Clubs successifs : ESA Brive (1990-1993), Pau FC (1993-1994), ESA Brive (1994-1995), FC Nantes (1995-1996), Le Mans (1996-1997, prêt), LOSC (1997-2001), Sedan (2001-2002), Le Mans (2002-2005)

Entraîneur Adjoint du Mans en 2009, Laurent Peyrelade est aujourd’hui à la recherche d’un poste d’éducateur dans un centre de formation
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Messagepar fernando » 25 Juin 2014, 14:31

mon but à la dernière seconde dans le derby contre Lens (2-1, le 24/10/00).


vlatipakejbande
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Messagepar ChevalierBlanc » 25 Juin 2014, 14:36

"Entraîneur Adjoint du Mans en 2009, Laurent Peyrelade est aujourd’hui à la recherche d’un poste d’éducateur dans un centre de formation"

Il est au chômage depuis 2009 ? Un peu le même parcours que celui de manu.
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
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Messagepar manulosc » 25 Juin 2014, 17:57

tu bluff
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Messagepar basmainforme » 25 Juin 2014, 18:03

mais loul manu !

toujours le décèlement du bluff just
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Messagepar manulosc » 08 Déc 2014, 22:23

c est au moment que le losc ne gagne plus depuis un moment que le prez du cvt disparait
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Messagepar ghostrida! » 08 Déc 2014, 22:26

On communique par les (non-)résultats.
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Messagepar LOSCDIVISION » 08 Déc 2014, 22:47

Le CVT ambitionne aucune victoire du Losc avant le printemps 2015, c'est un chouette cadeau pour les supporters.
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Messagepar fernando » 09 Déc 2014, 00:19

Il faut saluer la capacité de résilience du CVT. Ils ne s'avouent jamais vaincus les gaillards.
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Messagepar ruitos » 09 Déc 2014, 10:37

il faut attendre pour voir si le CVT 2.0 vaut celui du siècle dernier, qui était superfort...
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Messagepar Der » 09 Déc 2014, 12:24

Ca parlera à quelques uns ici...
Le seuil de l'indifférence

Chaque supporteur en arrive un jour à ne plus ressentir la moindre colère lors d'un match de son équipe. L'envie de passer ses nerfs doit-elle fatalement passer?


Extrait du numéro 334 de When Saturday Comes. Titre original : "Minimum Rage". Traduction: Toto le zéro.

* * *

Quelques rangées devant la tribune de presse du Riverside Stadium de Middlesbrough, une mère avait l'habitude de venir aux matches accompagnée de son fils. Elle était de petite taille et avait les cheveux blancs. Lui était énorme et, avec son survêtement, il ressemblait à une chaudière à enveloppe. En première mi-temps de chaque match, il se levait, pointait le terrain d'un index crochu et, de sa voix qui réverbérait comme l'explosion d'une bombe atomique dans un cave sibérienne, se mettait à mugir: "Bon sang, Boro!" À chaque brame, son visage devenait tellement rouge que l'on pensait voir la chaleur de ses joues faire transpirer ses sourcils.



Il le faisait à chaque match, saison après saison. Parfois au bout de deux minutes seulement, plus rarement il fallait en attendre une dizaine. Le jour où nous avions planté huit buts à Manchester City, il avait dû laisser s'écouler un bon quart d'heure avant que ne déborde sa frustration contenue. On pouvait toujours compter sur sa clameur. C'était le fidèle parmi les fidèles de Middlehaven.



Comme Jack Nicholson

Par la suite, je n'avais plus fréquenté cette partie du stade pendant quelques temps. Quand je finis par y retourner, j'attendis impatiemment que ce grondement retentisse dans toute l'enceinte. Le cri ne vint jamais. "Qu'est-ce qui est arrivé au gars qui criait: 'Bon sang, Boro'?", demandai-je à un ami qui avait un abonnement à l'année dans la tribune Ouest. Il me répondit:
"Il est toujours là.
– Mais je l'ai pas entendu.
– Je sais, mais il ne crie plus. Il a arrêté l'année dernière. Il reste simplement assis. C'est assez triste et inquiétant, un peu comme Jack Nicholson dans sa dernière scène de Vol au-dessus d'un nid de coucou."



"Qu'est-ce qui lui est arrivé?" Mon ami haussa les épaules: "La même chose qu'à nous tous, j'imagine. Moi c'est pareil. Tu sais parfois les gens parlent 'd'usure de la compassion'. Et bien moi c'est de l'usure de la frustration. Je présume que tout le monde naît avec un réservoir limité de colère amère et pendant ces dix-huit derniers mois, le mien n'a fait que charrier de l'eau de cale. Il y avait une époque où je pouvais passer quatre-vingt dix minutes à m'énerver et à brailler rien que contre Andy Dibble. Maintenant je n'arrive même plus à être vexé par Tomas Mejias, alors que c'est un gardien dix fois plus mauvais. Je n'arrive plus à me mettre dans une colère noire. Je suis blasé. On devrait appeler ça le Trouble du déficit de la colère. Pelé en fera peut-être une pilule."



Mon ami me révéla que son père avait arrêté d'aller à Ayresome Park, l'ancien stade du club, à l'âge de quarante-sept ans et que, lui-même ayant atteint cet âge, il se demandait s'il devait l'imiter. Il ajouta :"Quand on ne peut même plus se mettre en rogne à propos d'un gardien espagnol surpayé et inutile mais qui joue les starlettes, c'est peut-être que la nature veut nous faire comprendre qu'il est temps de partir, sous peine de devenir comme ceux qui n'ouvrent la bouche pendant un match que pour enfiler des Haribos ou dire à la personne en face d'eux de se rasseoir. Est-ce vraiment ce à quoi mon existence est réduite?"



À décrocher les bernacles de la quille d'un bateau

À l'image d'un Enzo Bearzot se demandant: "Où est l'envie?" à propos d'une équipe d'Angleterre faiblarde dans les années 1970, je comprends très bien ce que mon ami ressent. Au mois d'août dernier je suis allé au stade. J'ai dû faire la queue pendant une demi-heure pour avoir un ticket, tout en me plaignant avec mon voisin des frais de réservation en ligne. J'arrivai en retard à mon siège, énervé et en nage à cause de l'impitoyable soleil de la région.


Middlesbrough s'inclina 3 à 0 grâce à une défense d'une confondante apathie. Tout autour de moi, les fans passaient leur colère. Le type derrière moi s'égosillait dans ma nuque avec une telle férocité que j'avais l'impression d'être dans une soufflerie. À côté, une jeune femme dont la voix aurait décroché tous les bernacles de la quille d'un bateau utilisait une telle quantité d'insultes que j'avais l'impression qu'elle jurait pour deux. Son partenaire était manifestement un homme lettré car il fustigeait l'arbitre en utilisant le terme "tatillon" en compagnie de verbes et de noms un peu plus anglo-saxons. Devant, un type avec un sparadrap sur le bout du nez masquant ce qui semblait être une morsure, emplit l'air de prédictions funestes sur le futur de l'équipe auprès desquelles le Livre d'Ezéchiel ressemblait à l'horoscope de l'Observer. Moi? Je restais muet à ma place, souffrant en silence, non pas furieux mais renfrogné.


Je ne comprenais plus rien. En vieillissant, les gens sont censés devenir plus intolérants et irascibles, et pourtant il y a une grande différence entre marmonner: "Pourquoi les ailiers repiquent tout le temps vers le centre? Pourquoi ils vont pas vers l'extérieur? Stuart Ripley serait allé vers l'extérieur..." – jusqu'à ce que la personne assise près de vous change de rangée –, et réagir à une énième transversale ratée en beuglant tellement fort dans le ciel nocturne que la cire vous ressort des oreilles. J'admets qu'il y a bien des moments où si j'entendais encore un auditeur de l'émission 6.06 à la radio se plaindre que Wayne Rooney paraît "désintéressé" en équipe d'Angleterre alors qu'il veut dire "indifférent", je crierais tellement fort que Robbie Savage en perdrait son bronzage, mais ce n'est pas la même chose. C'est juste de l'aigreur. Se lamenter de la grandiloquence du football moderne ou bien frapper le siège devant soi tellement fort que la personne assise dessus retombe sur le dos, ce sont deux choses complètement différentes.

Et honnêtement, je ne peux plus le faire. J'aimerais vraiment, mais je suis vieux, je suis fatigué. Ce sont d'autres choses qui me préoccupent. Je suis vraiment désolé. Ce n'est pas leur faute, c'est la mienne.
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar Dageek » 09 Déc 2014, 16:05

Venge toi Nando !
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Messagepar fernando » 09 Déc 2014, 16:33

C'est tentant enéfé.
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Messagepar stikky » 09 Déc 2014, 16:54

Der a écrit: Je présume que tout le monde naît avec un réservoir limité de colère amère



Et kikon pique dans le réservoir de tout le monde depuis des années.
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Messagepar LOSCDIVISION » 12 Déc 2014, 01:07

Merci au CVT pour cette belle soirée européenne !
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Messagepar fernando » 12 Déc 2014, 16:19

De loin notre plus mauvaise campagne européenne. Trixt.
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Messagepar Der » 12 Déc 2014, 16:26

Bof, tu dis ça à chaque fois...
On se fait des bisous et on s'encule.
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Der
 
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Messagepar stikky » 12 Déc 2014, 17:39

Même le CVT est triste cette année. Le président s'est barré avec la caisse pour en monter un au Qsg.
Sévèrement burné le président !
Men look at breasts the way women look at babies
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Messagepar Xylophène » 12 Déc 2014, 19:29

J'ai surtout l'impression que le président ne dessaoule plus depuis 3 mois.
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."

Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
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Xylophène
 
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Messagepar John Holmes » 12 Déc 2014, 20:10

Sérieusement quelqu'un a des news de Ursulet ?
"Connard =)"
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Messagepar fernando » 12 Déc 2014, 20:36

Der a écrit:Bof, tu dis ça à chaque fois...


Bah faut avouer que les 2 CL avec Garcia c'était pas bien folichon, et que cette campagne-ci est de loin la plus triste de l'histoire lilloise.
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Messagepar Der » 12 Déc 2014, 21:42

John Holmes a écrit:Sérieusement quelqu'un a des news de Ursulet ?

Vu lors du match contre Lens, ça avait l'air d'aller.
Bon par contre, je l'ai laissé avec Karmé et Bij... il doit pas encore avoir récupéré logiquement.
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar John Holmes » 12 Déc 2014, 22:39

Der a écrit:
John Holmes a écrit:Sérieusement quelqu'un a des news de Ursulet ?

Vu lors du match contre Lens, ça avait l'air d'aller.
Bon par contre, je l'ai laissé avec Karmé et Bij... il doit pas encore avoir récupéré logiquement.


OK, tu sais pkoi il poste plus chez nous, il nous snobe ?
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Messagepar W » 12 Déc 2014, 22:45

T'as pas su ??
It's art. You don't need pants.
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Messagepar John Holmes » 13 Déc 2014, 09:13

Sale...
"Connard =)"
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