Breaking news WORLD CUP 2022...

Messagepar manulosc » 25 Juil 2015, 22:49

il y en a 9
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manulosc
 
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Messagepar fernando » 27 Juil 2015, 22:37

Poutine regrette le manque d'indépendance de l'Europe

Dans un entretien à la Radio-télévision suisse, Vladimir s'en est pris violemment à l'Europe, dont il regrette le manque d'indépendance vis-à-vis des USA. Et il a également tenu des propos élogieux à l'égard de Sepp Blatter.

Le président russe Vladimir Poutine a déploré le manque d' «indépendance» de l'Europe à l'égard des Etats-Unis, dans un entretien à la Radio-télévision suisse, mis en ligne lundi sur son site internet. Dans cette interview accordée à la RTS samedi dernier à Saint-Pétersbourg, le président russe a critiqué le rôle joué par les USA dans différents domaines, y compris concernant leur action contre la FIFA qu'il juge «inacceptable». Concernant le scandale qui éclabousse l'instance internationale, déclenché par les Etats-Unis, Vladimir Poutine a accusé Washington d'avoir agi pour ses propres intêrets.

«Les Etats-Unis, je crois savoir, étaient candidats pour accueillir la Coupe du Monde en 2022. Leurs plus proches alliés en Europe, la Grande-Bretagne, étaient candidats pour 2018. Et cette lutte contre la corruption telle qu'elle est conduite m'amène à me demander si ce n'est pas une continuité de la lutte pour le championnat de 2018 et de 2022», a-t-il lancé. «En aucun cas, un pays, grand ou petit, ne peut se déplacer dans le monde et attraper qui bon lui semble et le ramener dans ses prisons», a-t-il également déclaré.

Au cours de cette interview, Vladimir Poutine a par ailleurs tressé des lauriers à Sepp Blatter. «Je pense que des gens comme M. Blatter ou les chefs des grandes fédérations sportives internationales méritent une reconnaissance spéciale. Si quelqu'un mérite le prix Nobel, ce sont ces gens.»
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Messagepar Ramzy » 27 Juil 2015, 22:41

T'en penses quoi manu?
Je suis venu en France sans y être invité, et à vos frais.
Ramzy
 
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Messagepar fernando » 29 Juil 2015, 13:52

Platini officiellement candidat à la présidence de la FIFA



Michel Platini a officiellement annoncé, ce mercredi, qu'il se portait à la présidence de la FIFA, dont l'élection aura lieu le 26 février 2016. L'actuel président de l'UEFA souhaite donc, comme prévu, succéder à Sepp Blatter à la tête de l'instance internationale.


Comme cela avait été annoncé dans nos colonnes, Michel Platini a officiellement fait acte de candidature, ce mercredi, à la présidence de la FIFA, dont la prochaine élection aura lieu le 26 février 2016. En cas de succès, l'actuel président de l'UEFA, âgé de 60 ans, succèderait donc à la tête de l'instance internationale à Sepp Blatter, qui a démissionné de son poste en juin dernier juste après sa réélection.

Après avoir été l’un des meilleurs joueurs du monde, le sélectionneur de l’équipe de France, le coprésident du comité d’organisation de la Coupe du monde 1998, et le président de l'UEFA depuis 2007, l'ancien meneur de jeu, qui ne manque pas de soutien, veut donc continuer à écrire l'histoire.


«Je suis à l'un de ces instants décisifs»

Michel Platini a fait part de sa candidature dans une lettre envoyée aux 209 présidents et secrétaires généraux des associations membres de la FIFA. Un courrier où il fait part de sa motivation et ses objectifs pour changer le mode de fonctionnement de l'instance du football mondial : «C’est une décision très personnelle, mûrement réfléchie, dans laquelle se mêlent les considérations propres à l’avenir du football et celles qui tiennent à mon propre parcours. C’est aussi la conséquence des chaleureux témoignages d’estime, de soutien et d’encouragement que nombre d’entre vous m’ont prodigués. [...] Il est des moments dans la vie où il faut forcer son destin. Je suis à l’un de ces instants décisifs, à la jonction du cours de ma vie et des événements qui dessinent l’avenir de la FIFA.»

«Durant ce presque demi-siècle, la FIFA n’a connu que deux présidents. Cette extrême stabilité est une sorte de paradoxe, dans un monde qui a été sujet à des bouleversements radicaux et dans un sport qui a vécu une mutation économique considérable. Mais les événements récents obligent l’institution suprême qui régit le football mondial à se réformer et à repenser sa gouvernance». Et de conclure : «Je compte sur votre soutien et sur notre amour commun du football pour qu’ensemble nous offrions aux dizaines de millions de passionnés de notre sport la FIFA qu’ils attendent : une FIFA exemplaire, unie et solidaire, une FIFA respectée, aimée et populaire».
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Messagepar fernando » 24 Août 2015, 22:21

Il reste inégalable dans son genre

Sepp Blatter : «Je n'ai rien fait»

Interrogé par la BBC, Sepp Blatter a réaffirmé être propre dans l'affaire de corruption qui secoue la FIFA depuis plusieurs mois. «Je sais ce que j'ai fait et je sais ce que je n'ai pas fait, a expliqué le président démissionnaire de l'organisme dirigeant le football mondial. J'ai ma conscience pour moi et je sais que je suis un honnête homme. Je n'ai rien fait. Du coup, je ne suis pas inquiet suite à ce tsunami. Si j'ai démissionné, c'est pour protéger la FIFA, qui n'est pas corrompue. D'ailleurs, il n'y a pas de corruption dans le football. Tout cela est l'affaire d'individus. Moi, je peux me protéger seul, je suis assez fort. Je suis respecté parce que j'ai beaucoup oeuvré pour le foot dans le monde.»
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Messagepar gblosc » 24 Août 2015, 22:35

Ah il était bien ce Sepp Blatter, intègre, droit dans ses bottes. On va presque le regretter ...
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Messagepar GilbertSedman » 25 Août 2015, 07:26

Blatter c'est Balkany level world
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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GilbertSedman
 
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Messagepar fernando » 07 Sep 2015, 09:11

L'Allemagne accusée d'avoir acheté l'organisation de la Coupe du monde 2006

Le journaliste d’investigation écossais Andrew Jennings, dont le travail a servi de base à l’enquête du FBI ayant abouti au coup de filet de la justice américaine contre les cadres de la FIFA, révèle dans un nouveau livre comment l’Allemagne aurait acheté en 2000 des votes pour obtenir l’organisation de la Coupe du monde 2006, avec la bienveillance de Sepp Blatter, qui s’assurait en échange le vote des fédérations de l’UEFA pour se faire réélire à la présidence de l’organisation.

Jennings est l’un des premiers journalistes à avoir enquêté sur la corruption à la FIFA. Il a signé dès 2006 un documentaire et un livre sur le sujet, et c’est en bonne partie à son travail sans relâche que l’on doit l’éclatement du plus gros scandale de l’histoire du football. Dans les bonnes feuilles de son dernier ouvrage, publiées par le Daily Mail, il explique comment l’Allemagne se serait assurée du vote de plusieurs membres du comité exécutif à travers un système impliquant notamment Franz Beckenbauer.
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Messagepar ruitos » 07 Sep 2015, 09:43

déjà en 1940 les allemands avaient triché...
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Messagepar Der » 07 Sep 2015, 11:42

Tu mens!
C'est les juifs (et les pédés, les tziganes, les polonais, etc...) qui ont provoqué!
On se fait des bisous et on s'encule.
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Der
 
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Messagepar fernando » 12 Sep 2015, 14:39

Sepp Blatter a vendu des droits TV très en dessous du marché

Joseph Blatter, président démissionnaire de la Fifa, a vendu des droits télévisés des Coupes du Monde 2010 et 2014 «à 5% de la valeur du marché» au président de la Fédération des Caraïbes, Jack Warner, selon la chaîne de télévision suisse SRF.

Sepp Blatter est directement mis en cause pour la première fois. (L'Equipe)

Joseph Blatter, président démissionnaire de la Fifa, a vendu très en dessous des prix du marché des droits télévisés des Mondiaux 2010 et 2014 au président de la Fédération des Caraïbes, Jack Warner, en 2005, selon la chaîne de télévision suisse SRF vendredi soir. Selon le contrat montré par la télévision publique suisse alémanique, les droits de retransmission télévisés pour la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud ont été cédés à M. Warner pour 250.000 dollars et ceux pour le Mondial-2014 au Brésil pour 350.000 dollars.

Le Trinidadien Jack Warner était alors vice-président de la Fifa et président de la Confédération de football d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale et des Caraïbes (Concacaf). Le montant de ces droits est beaucoup trop bas, «environ 5% de la valeur du marché», a déclaré dans l'émission «10vor10» l'homme d'affaires australien Jaimie Fuller, qui a lancé New FIFA Now, un mouvement réclamant plus de transparence au sein de l'association qui dirige le football mondial.

C'est la première fois que le nom de Blatter apparaît directement sur un document, selon M. Fuller. Jack Warner est accusé aux Etats-Unis de corruption et de blanchiment d'argent. Arrêté à Trinité-et-Tobago, il a été libéré sous caution. Les Etats-Unis ont demandé son extradition.
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Messagepar fernando » 14 Sep 2015, 17:37

Enquête Fifa: Bientôt de nouvelles poursuites dans le monde du football

La justice américaine a prévu d'engager des poursuites supplémentaires «à l'encontre de nouveaux individus et de nouvelles organisations» dans le cadre de l'enquête sur la corruption dans le monde du foot.


Loretta Lynch, la ministre de la Justice américaine, a annoncé ce lundi lors d'une conférence de presse tenue à Zurich que les autorités américaines avaient élargi leurs investigations concernant la corruption au sein du monde du football. «Parallèlement aux actes d'accusations en cours, notre enquête reste active depuis le mois de mai. Sur la base de notre coopération (avec les autorités suisses) et sur la base de nouvelles preuves, nous prévoyons d'engager des poursuites supplémentaire à l'encontre de nouveaux individus et de nouvelles organisations», a-t-elle expliqué.


«Des appartements dans les Alpes suisses et des actifs financiers saisis»


En mai dernier, plusieurs hauts responsables de la Fifa avaient été arrêtés dans le cadre d’une enquête sur la corruption. Plusieurs d'entre eux ont déjà été extradés vers les Etats-Unis. «Nous avons bon espoir que les autres individus poursuivis depuis mai arrivent aux Etats-Unis», a précisé Loretta Lynch. Egalement présent lors de cette conférence de presse, le procureur général suisse Michael Lauber a déclaré que son bureau avait saisi des biens - dont des appartements dans les Alpes suisses - et des actifs financiers dans le cadre de l'enquête contre la Fifa. «Nous n'en sommes pas encore à la mi-temps (de l'enquête)», a-t-il précisé.
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Messagepar Giallo » 15 Sep 2015, 08:05

c'est le moment de sortir le bon vieil argument en mode Copé/Balkani : "c'est de l'acharnement"
ce message ne vient pas de moi
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Giallo
 
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Messagepar fernando » 17 Sep 2015, 21:48

à mon avis Blatter n'est au courant de rien, tout cela a du se faire à son insu

FIFA: Jérôme Valcke démis de ses fonctions

La FIFA annoncé ce jeudi dans un communiqué que son secrétaire général, Jérôme Valcke, «a été mis en congé et relevé de ses fonctions avec effet immédiat jusqu’à nouvel ordre». La Fédération internationale a précisé qu'elle avait été «mise au courant d’une série d’allégations impliquant son secrétaire général» et qu'elle a «demandé une enquête de la Commission d’Ethique».
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Messagepar fernando » 25 Sep 2015, 19:05

Corruption FIFA: procédure pénale ouverte contre Sepp Blatter

Le Procureur général de Suisse a ouvert officiellement, ce vendredi, une procédure pénale pour «gestion déloyale» et «abus de confiance» contre Sepp Blatter. Le dirigeant est soupçonné d'avoir effectué «un paiement déloyal» de 1,83 millions d'euros en faveur de Michel Platini.

Une procédure pénale pour «gestion déloyale» et «abus de confiance» vient d'être officiellement ouverte contre Sepp Blatter par le Procureur général de Suisse. Président de la FIFA jusqu'au 26 février prochain, le dirigeant est soupçonné d'avoir effectué «un paiement déloyal» de 2 millions de francs suisses (soit 1,83 M€) en faveur de Michel Platini, actuel président de l'UEFA et candidat à sa succession. Dans un communiqué, la FIFA a annoncé vouloir coopérer pleinement avec le Procureur général, en lui fournissant tous les documents et toutes les données nécessaires.


Les avocats de Sepp Blatter ont déclaré que le contrat sur lequel enquêtent les autorités suisses a été «correctement préparé et négocié» par les membres de la FIFA appropriés et qu’il n’y a pas eu de «mauvaise gestion»

Michel Platini entendu

Les autorités suisses, qui ont interrogé Sepp Blatter «en qualité de prévenu», ont perquisitionné son bureau et récupéré des documents après le comité exécutif qui s’est tenu ce vendredi. «Michel Platini a été entendu en qualité de personne appelée à donner des renseignements», précise le communiqué de la justice suisse. Une conférence de presse de la FIFA, qui devait avoir lieu à 14h00 puis à 15h00 en ce jour, avait été finalement annulée, sans aucune explication.
Réélu pour un cinquième mandat à la tête de l'instance internationale le 30 mai dernier, Sepp Blatter a décidé de démissionner le 3 juin. Toujours en poste en attendant le prochain congrès électif le 26 février 2016, le Suisse a renoncé à se représenter à ce nouveau scrutin. Sept personnes se sont pour l'instant déclarées candidates: le Français Michel Platini, le Prince Ali de Jordanie, le milliardaire Sud-Coréen Chung Mong-joon, le Libérien Musa Bility, le Trinidadien David Nakhiid, le Nigérian Segun Odegbami et le Brésilien Zico.
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Messagepar fernando » 25 Sep 2015, 19:07

Corruption à la FIFA: Sepp Blatter risque un maximum de dix ans de prison

La justice suisse a ouvert une enquête à l'encontre de Sepp Blatter pour «soupçon de gestion déloyale et, subsidiairement, abus de confiance». Dans certaines conditions, cette dernière infraction est passible de 10 ans de prison.

Le Ministère public Suisse a ouvert une procédure pénale ce vendredi à l’encontre de Sepp Blatter, président de la FIFA, pour «soupçon de gestion déloyale et, subsidiairement, abus de confiance». En droit suisse, la première de ces infractions est définie comme «celui qui, en vertu de la loi, d'un mandat officiel ou d'un acte juridique, est tenu de gérer les intérêts pécuniaires d'autrui ou de veiller sur leur gestion et qui, en violation de ses devoirs, aura porté atteinte à ces intérêts ou aura permis qu'ils soient lésés». Elle est passible d’une «peine privative de liberté» de cinq ans au maximum en fonction des circonstances.

Le «paiement déloyal» évoqué par la justice suisse, que Blatter a versé à Michel Platini pour 2 millions de francs suisses en février 2011, entre dans le cadre de la notion de «gestion déloyale». Le destinataire d'un paiement déloyal «n'a pas forcément commis d'infraction» souligne un spécialiste de droit pénal suisse interrogé par nos soins.

L'abus de confiance, passible de 10 ans de prison

L’abus de confiance, deuxième infraction évoquée par le Procureur suisse, peut être puni par une peine privative de liberté allant jusqu’à 10 ans «si l’auteur a agi en qualité de membre d’une autorité, de fonctionnaire, de tuteur, de curateur, de gérant de fortunes ou dans l’exercice d’une profession, d’une industrie ou d’un commerce auquel les pouvoirs publics l’ont autorisé», catégorie dans laquelle Sepp Blatter (79 ans) pourrait entrer en sa qualité de président de la FIFA, selon le même spécialiste du droit pénal suisse.
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Messagepar fernando » 26 Sep 2015, 14:47

loul le travail contractuel à 1.8M€, il a du rédiger un beau rapport pour ce prix-là

Platini évoque un «montant versé pour un travail accompli de manière contractuelle pour la Fifa»

Entendu comme témoin dans une procédure visant Sepp Blatter, président de la Fifa, pour un versement illégal d'1,8 millions d'euros en sa faveur, Michel Platini a reconnu ce montant vendredi. Mais le Français a justifié cette somme. «En ce qui concerne le paiement qui a été effectué en ma faveur, je désire clarifier que ce montant m'a été versé pour le travail que j'ai accompli de manière contractuelle pour la Fifa et je suis satisfait d'avoir pu éclaircir ce point envers les autorités», explique-t-il dans un communiqué.
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Messagepar Der » 26 Sep 2015, 15:04

Platini>Balkany>Tibery
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar fernando » 26 Sep 2015, 15:11

On attend le devis et les factures correspondant à ce "travail contractuel" à 1.8MUSD.

Putain les prestas de conseil de DSK à 300 000 boules pour la MNEF, c'est ptit joueur à côté.
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Messagepar fernando » 26 Sep 2015, 15:42

loul, 1.8M€ de consulting, payés 10 ans après les "prestations", tout va bien

L’étau se resserre autour du président de la FIFA, Joseph Blatter. Le procureur suisse a annoncé, vendredi 25 septembre, l’ouverture d’une procédure pénale pour soupçons de gestion déloyale et abus de confiance contre le président de la principale institution du football.

Joseph Blatter est notamment soupçonné d’avoir ordonné un « paiement déloyal » de 2 millions de francs suisses (1,83 million d’euros) en faveur de Michel Platini, président de l’UEFA et candidat à sa succession à la tête de la FIFA. Selon le communiqué du ministère de la justice suisse mis en ligne, ce paiement au bénéfice de Michel Platini effectué en février 2011 a été fait « au préjudice de la FIFA, prétendument pour des travaux effectués entre janvier 1999 et juin 2002 ».

A l’époque, l’ex-numéro 10 des Bleus officiait comme « conseiller football » de M. Blatter avant de siéger, dès juin 2002, au comité exécutif de la FIFA et d’en devenir son vice-président. « En ce qui concerne le paiement qui a été effectué en ma faveur, je désire clarifier que ce montant m’a été versé pour le travail que j’ai accompli de manière contractuelle pour la FIFA et je suis satisfait d’avoir pu éclaircir ce point envers les autorités », s’est justifié, dans la soirée, Michel Platini. Le premier ministre, Manuel Valls, lui a de nouveau apporté son soutien vendredi soir sur France info, disant faire « entièrement confiance » au « grand sportif » français.

Reste à savoir l’effet que pourrait avoir cette nouvelle procédure sur la candidature de Michel Platini à la présidence de la FIFA. « Avec moi, il n’y aura que du foot, pas de politique », avait confié le sexagénaire, le 24 septembre, à l’agence de presse américaine Associated Press. « Il aura du mal à s’en remettre, jugeait-on vendredi après-midi aux portes de la FIFA alors que le dépôt des candidatures est prévu le 26 octobre. C’est un tournant dans la campagne. On a affaire à une accusation d’emploi fictif avec un versement effectué neuf ans après les faits. »
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Messagepar guinness » 26 Sep 2015, 16:20

ouf ... Valls a confiance en Platini, je vais mieux dormir
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Messagepar MrjoPL » 26 Sep 2015, 16:44

Platini avait (tenté) de couvrir Valls qd il avait fait le deplacement avec ses enfants pour voir la finale de la Ligue des Champions, en pretextant une reunion de travail avec Platini.

Renvoi d'ascenceur...
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Messagepar fernando » 27 Sep 2015, 09:00

Valls n'est évidemment pas neutre dans l'affaire. Pitoyable.
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Messagepar Dogue-son » 27 Sep 2015, 14:11

j'ai lu récemment dans un article sur un célèbre entrepreneur dans la gestion des déchets, un autre pote parfaitement honnête de Platini, que le fils de ce dernier travaillait pour une filiale de QSI.
Le monde est quand même bien fait non ?
I used to be a fan. Now I'm an air conditioner
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Messagepar fernando » 27 Sep 2015, 19:53

Ca fait un moment que c'est connu ça. Il est super crédible Platini pour remettre de l'éthique dans la FIFA.
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Messagepar fernando » 02 Oct 2015, 15:02

Scandale FIFA: le cas Blatter plombe à son tour Platini

01 octobre 2015 | Par Antoine Grynbaum

L’ancien dirigeant du football mondial et le favori à sa succession se trouvent aujourd'hui réunis sous les feux de la justice suisse. Retour sur une relation entre deux complices devenus adversaires sous le poids de la conquête du pouvoir.

C’est le dernier acte d’une dramaturgie shakespearienne liant deux destinées complices avant de devenir ennemies. Alors que Joseph Blatter pouvait donner l'impression d'avoir rendu les armes, démissionnant de la FIFA à peine réélu, il est en fait toujours battant pour empêcher Michel Platini de conquérir la direction du football mondial. Voici d'ailleurs que le Français se retrouve embringué dans les turpitudes de celui qu’il a toujours rêvé de remplacer.

Le sort de « Platoche » et de sa candidature est désormais entre les mains de la commission d’éthique de la FIFA, qui a décidé d’ouvrir une enquête dans la foulée de celle ouverte par la justice suisse contre Blatter, pour « soupçon de gestion déloyale et – subsidiairement – abus de confiance », dans laquelle le Français a été entendu sous un statut « entre celui de témoin et celui d’accusé », selon les termes du procureur général suisse Michaël Lauber. La décision de cette commission d’éthique, dont la composition laisse entendre que l’influence de Blatter y reste forte, peut empêcher la candidature de Platini, voire enclencher la suspension du président de l’UEFA (l’instance de direction du football européen).

Le trouble est grandissant autour de l’ancien capitaine des Bleus, au point qu’en France, le soutien jusqu’ici sans faille du gouvernement envers l’icône du football tricolore se fait désormais plus mesuré. Interrogé mercredi 30 septembre sur France Info, le ministre des sports Patrick Kanner se veut prudent. « Ce que je retiens, c'est qu'il a demandé de lui-même à être auditionné par la commission d'éthique de la FIFA, dit-il. J'espère que cela pourra lever tous les doutes. À lui de se défendre. »

Au cœur du “scandale Platini”, la réception d’un chèque, signé par Blatter, de 1,8 million d'euros en 2011. Pour sa défense, le président de l’UEFA explique qu’il s’agit du paiement différé de quatre ans de missions menées à la charnière des années 2000, comme “conseiller” d’un Blatter tout juste élu à la tête de la FIFA. Selon des proches de Platini, le Français travaillait à Paris et ne venait alors à Zurich, au siège de la FIFA, que de manière très irrégulière. Son contrat correspondrait à des voyages effectués pour accompagner le président de la FIFA, ainsi qu’à des missions demandées par Blatter, sur l’harmonisation des calendriers de compétitions internationales ou sur la possibilité d’une Coupe du monde tous les deux ans. À l’arrivée, les deux hommes n’auraient jamais réussi à se mettre d’accord sur la rémunération du Français.

S’il assure avoir « entièrement déclaré ces revenus aux autorités, conformément à la loi suisse » et explique avoir demandé à être entendu par la commission d’éthique, afin que « les incompréhensions disparaissent », Platini va devoir justifier du délai de 9 ans qui a séparé lesdites missions de leur paiement. S’il plaide la négligence et dit avoir transmis son contrat à la justice, il devra convaincre les enquêteurs suisses, qui nourrissent des soupçons sur la date du versement. Février 2011, soit trois mois après le vote de Platini en faveur du Qatar pour la Coupe du monde 2022 et trois mois avant la réélection de Blatter, avec le soutien d'un Platini qui se serait pourtant déjà bien vu prendre sa place.

Difficile aujourd'hui de ne pas voir dans la mise en cause de Platini le signe d’une vengeance de son ancien mentor déchu, choisissant d’entraîner dans sa chute celui avec qui les relations se sont peu à peu dégradées, au fil du temps et de l’exercice du pouvoir.

Quand le 28 mai dernier, à Zurich, Platini et Blatter se retrouvent en privé, la demande du président de l’UEFA est alors très claire : il invite le président de la FIFA à démissionner, à la suite des arrestations menées par le FBI, survenues la veille. Les deux hommes, si proches à la fin des années 1990, sont entrés dans un affrontement perpétuel. Dix-sept ans que Platini attend son tour.

Secrétaire général de la FIFA depuis 1981, Sepp Blatter a fini par accéder à la présidence le 8 juin 1998, à Paris, deux jours avant l’ouverture de la Coupe du monde en France. Il trouve à ses côtés, en soutien actif et décisif, Michel Platini, qui allait devenir son conseiller technique. Au fil des années, Blatter couve le Français, qu’il voit en héritier. En janvier 2012, dans France Football, il assure que « Michel Platini est prêt, s'il le veut. Bien sûr qu’il ferait un bon président. Il ne sera pas le même que moi, parce que chacun est différent, mais il fera un bon président ». Le 15 mai 2013, dans L’Équipe, il martèle : « Platini est mon candidat naturel. » Un plaidoyer ambigu. Car les sujets de désaccord sont nombreux. Surtout, plus problématique, et alors que sa fille unique aimerait qu’il se retire, Blatter va finalement se présenter une fois de plus à sa propre succession le 29 mai 2015. Platini finira par renoncer à la confrontation avec son ancien mentor, par crainte d'une défaite certaine. « Platini ne s’est pas présenté à la dernière élection car il savait qu’il n’avait aucune chance », nous confiait alors un observateur avisé des relations entre la FIFA et l’UEFA.

Les prémices d'une rupture

Quelques années auparavant, l’ancien sélectionneur des Bleus avait déjà pourtant tenté sa chance. Dans Président Platini (éditions Grasset), les auteurs (dont celui de ces lignes) racontent que le champion d’Europe 1984 aurait bien aimé devenir le grand patron du football mondial dès 1998. « Fin 1997, le Français, fier co-président du comité d’organisation de la Coupe du monde en France, s’imagine déjà candidat à la présidence de la FIFA. Il ambitionne sérieusement de défier le Suédois Lennart Johansson, qui dirige l’UEFA, afin de prendre la suite du vieillissant brésilien Joao Havelange, au pouvoir depuis vingt-quatre ans et enfin décidé à prendre sa retraite. Fin janvier 1998, à l’abri des regards indiscrets, dans un hôtel de Singapour, il s’en ouvre à Sepp Blatter, secrétaire général de la FIFA et donc numéro deux. Mais le Suisse, qui lorgne aussi sur le poste, le prend de court et lâche avec une conviction qui ne laisse pas la place au doute : “Je veux devenir président de la FIFA et je veux que tu sois ma conscience footballistique.” Platini est piégé. Trop respectueux, il obtempère. “Tu es jeune, tu as le temps”, lui dit-il aussi en substance. »

L’alliance va se révéler efficace. Blatter remporte la mise et devient président de la FIFA. Même s’il oublie de citer Platini dans son discours de remerciement, il en fait son conseiller, fonction que Platini occupera un peu plus de trois ans, et dont la rémunération est aujourd’hui l’objet des soupçons. « À l’époque, Platini apparaissait très proche de Blatter et, quelque part, son dauphin, ou son filleul, note l’ancienne secrétaire nationale du PCF, Marie-George Buffet, ministre de la jeunesse et des sports entre 1997 et 2002. J’avais plutôt le sentiment qu’il y avait une certaine complicité entre eux. » Bref, du gagnant-gagnant. « Blatter a utilisé Platini pour son avènement à la FIFA mais Platini s'est aussi servi du Suisse afin d’asseoir son pouvoir à la tête de l'UEFA (en 2007) », ajoute Jean-François Lamour, ancien ministre des sports (2002-2007).

Au lieu de s’engager totalement dans la campagne du Français pour la présidence de l’UEFA au milieu des années 2000, le Suisse pratique un double jeu assez trouble. Six mois avant l’élection, Blatter reçoit le président sortant et adversaire du Français, Lennart Johansson, évoquant dans un communiqué quelques heures plus tard un besoin de stabilité au niveau des gouvernances. Mais le président de la FIFA va finalement « retourner sa veste » et faire la différence en faveur de son ancien protégé, lui accordant sa « sympathie » lors d'une conférence de presse à Paris dans les nouveaux locaux de la Fédération française de football, inaugurés la veille.


Le 28 janvier 2007 à Düsseldorf, Platini est élu président de l’UEFA et si Blatter s’en réjouit, il a une façon toute personnelle de lui tresser des louanges : « Il a de la chance d’accéder au pouvoir où le trésor est plein et où une pluie d’euros tombe sur l’UEFA. Moi, quand j’ai pris la présidence à la FIFA, les caisses étaient vides. » L'élection de 2007 est une première cassure entre les deux hommes, prémice d’une rupture douloureuse. Le soir même, Platini, qui n’a pas digéré le soutien tardif de Blatter, aurait critiqué le Suisse et même réfléchi à l’idée d’inviter des pays africains et sud-américains à l’Euro afin de réduire la mainmise de la FIFA et concurrencer la Coupe du monde. Blatter et ses proches, qui ont pourtant passé quelques coups de téléphone à des présidents de fédérations européennes pour qu’ils votent Platini, ne goûtent guère l'idée…

Au fil des mois, Platini gagne en assurance. Et en émancipation : « Nous sommes amis depuis le tirage au sort de la Coupe du monde 1990 mais nous n’avons pas toujours les mêmes idées, voilà tout. » Doux euphémisme. Agacé mais en y mettant les formes, le président de la FIFA estime que les positions de son ancien conseiller sont parfois trop naïves et romantiques. Par presse interposée, les deux hommes se rendent coup pour coup. En mars 2013, par exemple, dans le quotidien espagnol As, le Suisse critique la vision de Platini à propos de l’arbitrage, inexorablement opposé à la vidéo pour des raisons d’universalité du jeu de football. « Il n’en veut pas et il est le seul. Si Platini ne le souhaite pas, c’est parce qu’il en fait une affaire personnelle. Mais cela va changer », dit Blatter. « Je préfère être seul et fidèle à mes convictions plutôt que d’aller dans le sens du vent », réplique le Français.

Souvent, c’est le Suisse qui déclenche la première salve et reçoit immédiatement en retour. Concernant l'arbitrage vidéo, « c’est une méconnaissance totale du dossier, la preuve que le football n’appartient pas encore totalement aux footballeurs », tacle Platini. Et pourtant, en octobre 2013, sur Canal+, il affirme encore : « Sepp est mon ami. On s’entend sur 99 % des choses et après, il y a quelques points de divergence. »
Deux hommes « très voire trop proches »

Cette divergence va s’approfondir avec la Coupe du monde 2022 au Qatar. Alors que Platini a toujours reconnu avoir voté pour le petit pays du Golfe, Blatter a rapidement admis que la FIFA avait « peut-être commis une erreur » en optant pour Doha, avant d’émettre l’hypothèse d’influences politiques. Si Platini n’est pas cité, il est clairement visé avec une allusion au rendez-vous de l’Élysée fin 2010, quand Nicolas Sarkozy avait reçu le président de l’UEFA et le cheikh Hamad al-Thani, futur émir du Qatar, dans le but d’aider Doha à obtenir l’organisation de la compétition.

Les deux hommes s’affrontent sur un grand nombre de sujets – à peu près tous – et notamment sur la question d’un trophée très prestigieux. Créé en 1956, le « Ballon d'or France Football » a fusionné en 2010 avec le prix FIFA du joueur de l'année, devenant le « Ballon d'or FIFA France Football ». Mais Platini ne digère pas le choix du groupe Amaury de vendre l’appellation Ballon d’or à la FIFA plutôt qu’à l’UEFA. L’accord a été signé le 5 juillet à Johannesburg, pendant la Coupe du monde sud-africaine, entre Blatter et Marie-Odile Amaury, présidente d'Amaury Sport Organisation (ASO). « Si l'on veut grandir, on abandonne au passage quelque chose, mais le gagnant, c'est le football », jubile alors le Suisse. Platini encaisse en silence. Triple Ballon d’or (1983, 84 et 85), il aurait été légitime pour remettre chaque année le prix du meilleur joueur du monde, mais son lobbying n’y a pas suffi. Agacé, Platini crée dans la foulée un trophée concurrent, le « Prix UEFA du meilleur joueur d'Europe ».

La rivalité Blatter-Platini touche aussi de temps à autre à des sujets très symboliques. À l’été 2013, le Français et l’UEFA demandent une limite d’âge pour les dirigeants de la FIFA… Le Suisse répond avec humour « qu’il y a des septuagénaires qui sont jeunes dans leur tête ! » Il va plus loin en février 2014. La veille de la cérémonie d’ouverture des JO de Sotchi en Russie, le président de la FIFA, également membre du Comité international olympique, prend la parole en session plénière. Il appelle ses collègues à supprimer la règle de la limite d’âge, fixée à 70 ans pour les membres entrés après 1999, à 80 ans pour les autres. « Être membre du CIO ne devrait pas être une question d’âge, mais de compétence », explique-t-il aux durs d’oreille.

Pour le journaliste égyptien Osama Escheikh, qui couvre les congrès de la FIFA depuis dix ans, les deux hommes étaient « très, voire trop proches ». « Mais, au fond, l’amitié entre eux n’existe pas, estime-t-il. Platini avait tâté le terrain en juin 2013 à l’île Maurice, pour voir s’il avait une chance de devenir président [de la FIFA]. L’atmosphère était particulière, avec une ambiance pro-Blatter. Le Suisse n’a aucune pitié pour personne. » En privé et d’après des proches de Blatter, le président de la FIFA ne serait pas toujours très tendre quand il s’agit d’évoquer le Français. Interrogés, d’anciens membres du comité exécutif de la FIFA « n’ont rien à dire et ne savent rien ».


En revanche, un ancien président d’une grande fédération révèle que « malheureusement, les rapports se sont dramatiquement détériorés entre eux. Blatter considère que l’UEFA ne veut pas porter la responsabilité dans l’affaire de l’attribution de la Coupe du monde au Qatar. Je crois que Platini a déçu Blatter, pour ce qui touche aux relations entre les deux institutions ». Un fin connaisseur des codes footballistiques, le Brésilien Guido Tognoni, va plus loin dans Le Monde : « Depuis que Blatter gouverne la FIFA, il dit aux petites fédérations : je suis le seul qui vous protège de l’ambition de l’UEFA de gouverner la FIFA. »

La partie a semblé se terminer lors du dernier congrès de la FIFA, en mai 2015 à Zurich, sur fond d'arrestations, de perquisitions et de corruption. Dans un premier temps, devant la déferlante de polémiques, l’UEFA avait demandé un report de l’élection du président, Platini hésitant à jouer le rapport de force avec Blatter et à s’engouffrer dans la brèche ouverte par la justice américaine. Son entourage le lui aurait déconseillé et le prince Ali, soutenu par l’UEFA, a finalement abandonné pendant l’entre-deux-tours. Blatter est ainsi réélu une cinquième fois, avec le soutien d’une grande partie du football mondial… Platini semble décidé à jouer le coup d’après, en 2019. 72 heures plus tard, coup de théâtre: le Suisse démissionne. De nouvelles révélations mettent en cause ses proches, mais la décision de Blatter est aussi la conséquence de rendez-vous secrets.

Selon SKY News Arabia qui a dévoilé l’information le 5 juin 2015, la veille de sa démission, Blatter a rencontré Platini, Jérôme Valcke, secrétaire général de la FIFA, et le cheikh Ahmad du Koweït, membre du comité exécutif. Une réunion lors de laquelle Platini a une nouvelle fois demandé à Blatter de démissionner. Pas de démenti ni de confirmation des intéressés. Mais selon nos informations, une autre réunion s’est tenue le matin de sa démission, entre Blatter, sa fille Corinne, Valcke et Nicolas Maingot, porte-parole de l’institution.

Pressé par sa fille, très influente et inquiète pour la santé de son père, Blatter estime qu’il lui faut prendre le temps d’organiser sa défense, et se convainc de démissionner. Et de coopérer avec la justice. Un congrès extraordinaire sera organisé le 26 février 2016, avec au programme l’élection d’un nouveau président. Le « roi » Blatter a officiellement abdiqué, mais il ne s'effacera définitivement qu’au moment de transmettre le témoin à son successeur.

Le soir de la démission du Suisse, Platini est resté en famille. Mais aujourd’hui, il risque de se retrouver une nouvelle fois aux côtés de son vieil allié, cette fois-ci comme compagnon d'infortune.
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Messagepar bijams » 02 Oct 2015, 15:20

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Messagepar fernando » 02 Oct 2015, 15:27

Là c'est Fernando qui aurait mangé Ursulet.
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Messagepar GilbertSedman » 02 Oct 2015, 15:31

fernando a écrit:Là c'est Fernando qui aurait mangé Ursulet.

.... et qui fait une réaction cutanée... ursulet serait-il périmé ?
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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Messagepar fernando » 02 Oct 2015, 15:35

Je te laisse la responsabilité de tes propos.
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