Non mais y'a d'autres bon coachs portugais...
Le moins connu mais c'est un bon: Rui Almeida, coach actuel du Red Star
Il faut partir maintenant, Mr Antonetti.
par Baratte » 14 Sep 2016, 08:00
Du coup , Manu , ton oncle qui était pressenti pour le poste , il va faire quoi ? Préparateur physique ? Superviseur des futurs adversaires européens ?
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par fernando » 15 Sep 2016, 16:59
Antonetti : «Un signe de grande confiance
Frédéric Antonetti, qui a prolongé officiellement jusqu'en 2020 au LOSC, a remercié publiquement Manu, ses dirigeants et ses joueurs.
Frédéric Antonetti a fait tomber la cravate et la veste de costume enfilée le matin même pour la photo officielle. Chemise ouverte, détendu, l'entraîneur lillois est venu évoquer sa prolongation de contrat jusqu'en 2020 officialisée ce mardi.
«Je voulais remercier le président de la confiance qu'il m'accorde ainsi que ses deux principaux collaborateurs, Jean-Michel Vandamme (directeur général adjoint en charge du sportif) et Reynald Bergues (DGA en charge des finances). En plus, compte tenu du timing (Lille est 16e de L1), on est plutôt en période délicate, et cela n’a rien changé. C’est un signe de grande confiance. J’étais venu pour sept mois (en novembre) et seulement pour ce premier challenge. Après, il faut des résultats. Sans lesquels un entraîneur n’a pas d’avenir. Je remercie aussi les joueurs sans lesquels on n’est rien. Si j'ai prolongé, c'est aussi parce que les joueurs sont performants. Mais le foot est une perpétuelle adaptation. Dans un monde idéal, on aurait gardé l’équipe de l’année dernière et on l’aurait amélioré d’un ou deux éléments. Mais il faut faire avec la concurrence, interne (française) puis internationale. A 19, 20 ans, les joueurs s’en vont, parfois pour une réussite, souvent pour un échec. Sidibe, lui, est parti armé (à Monaco). Plus tôt, il n’aurait pas réussi aussi vite.»
Électrochoc attendu à Lorient
Le technicien corse, qui ne pourra toujours pas compter sur Obbadi pour son déplacement à Lorient (samedi, 20H00), a confirmé qu'il prenait sur lui la lourde défaite à domicile contre Monaco (1-4). «J’ai pris la mauvaise option, indique-t-il. Si j'avais pris une autre option, on aurait pu rivaliser plus longtemps. Je reconnais les choses telles que je le ressens. Si on avait été beaucoup plus solides, on aurait tenu le 0-0 plus longtemps.»
Le LOSC prépare son déplacement chez le dernier de la L1 avec une pression supplémentaire. Son début de saison est insuffisant à plus d'un titre et l'élimination en Ligue Europa début août n'a pas (encore?) crée l'électrochoc attendu. «On peut se dire qu'on n'a pas le droit de perdre mais je ne raisonne pas à court terme, explique Antonetti. Le premier bilan, on le fera au bout de dix matches de L1. Mais bien sûr qu’il faut prendre des points. On est en retard à ce niveau-là.»
Frédéric Antonetti, qui a prolongé officiellement jusqu'en 2020 au LOSC, a remercié publiquement Manu, ses dirigeants et ses joueurs.
Frédéric Antonetti a fait tomber la cravate et la veste de costume enfilée le matin même pour la photo officielle. Chemise ouverte, détendu, l'entraîneur lillois est venu évoquer sa prolongation de contrat jusqu'en 2020 officialisée ce mardi.
«Je voulais remercier le président de la confiance qu'il m'accorde ainsi que ses deux principaux collaborateurs, Jean-Michel Vandamme (directeur général adjoint en charge du sportif) et Reynald Bergues (DGA en charge des finances). En plus, compte tenu du timing (Lille est 16e de L1), on est plutôt en période délicate, et cela n’a rien changé. C’est un signe de grande confiance. J’étais venu pour sept mois (en novembre) et seulement pour ce premier challenge. Après, il faut des résultats. Sans lesquels un entraîneur n’a pas d’avenir. Je remercie aussi les joueurs sans lesquels on n’est rien. Si j'ai prolongé, c'est aussi parce que les joueurs sont performants. Mais le foot est une perpétuelle adaptation. Dans un monde idéal, on aurait gardé l’équipe de l’année dernière et on l’aurait amélioré d’un ou deux éléments. Mais il faut faire avec la concurrence, interne (française) puis internationale. A 19, 20 ans, les joueurs s’en vont, parfois pour une réussite, souvent pour un échec. Sidibe, lui, est parti armé (à Monaco). Plus tôt, il n’aurait pas réussi aussi vite.»
Électrochoc attendu à Lorient
Le technicien corse, qui ne pourra toujours pas compter sur Obbadi pour son déplacement à Lorient (samedi, 20H00), a confirmé qu'il prenait sur lui la lourde défaite à domicile contre Monaco (1-4). «J’ai pris la mauvaise option, indique-t-il. Si j'avais pris une autre option, on aurait pu rivaliser plus longtemps. Je reconnais les choses telles que je le ressens. Si on avait été beaucoup plus solides, on aurait tenu le 0-0 plus longtemps.»
Le LOSC prépare son déplacement chez le dernier de la L1 avec une pression supplémentaire. Son début de saison est insuffisant à plus d'un titre et l'élimination en Ligue Europa début août n'a pas (encore?) crée l'électrochoc attendu. «On peut se dire qu'on n'a pas le droit de perdre mais je ne raisonne pas à court terme, explique Antonetti. Le premier bilan, on le fera au bout de dix matches de L1. Mais bien sûr qu’il faut prendre des points. On est en retard à ce niveau-là.»
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par boban » 15 Sep 2016, 17:25
Mais qui est donc ce joueur lillois à l’origine du premier coup de gueule de Frédéric Antonetti au LOSC ? Le technicien corse, au tempérament sanguin, ne s’était jamais emporté depuis son arrivée à Lille il y a dix mois. Mais il a suffi d’une question sur son groupe pour que l’entraîneur lillois nous révèle un secret de vestiaire.
La semaine dernière, l’entraîneur lillois découvre le jour du match contre Monaco (1-4) la composition de son équipe dans L’Equipe. Or, le système en 4-2-3-1 n’avait été travaillé qu’au dernier moment dans le plus grand secret. Voir la compo exacte dans le journal a mis en colère Antonetti qui reproche à l’un de ses joueurs d’être une taupe.
« Il y a des joueurs trop bavards »
« Dans le journal, j’ai vu mes hésitations sur le système et comme ce n’est pas moi qui ai parlé, ça veut dire que des gens qui étaient sur la pelouse à l’entraînement ont parlé. Il y a des joueurs trop bavards. L’an dernier, quand on gagnait, les mêmes joueurs ne bavardaient pas et se taisaient. Aujourd’hui, vu qu’ils ne jouent pas et ne se remettent pas en question, ils remettent en question les choix de l’entraîneur ou les autres qui jouent à leur place et personne n’est gagnant. Et surtout pas eux car ils ne trouveront pas un contrat ailleurs, d’ailleurs ils ne l’ont pas trouvé » s’est énervé l’entraîneur lillois.
Et si le coach emploie d’abord le pluriel, il finit par viser un joueur en particulier, sans préciser son identité. « C’est un groupe très difficile. Au mercato, on n’a pas fait tout ce qu’on voulait faire. Le gars a cherché partout, a fouillé tous les clubs et personne ne l’a voulu. A un moment, il faut se poser la question : Pourquoi il n’y a personne qui te veut ? Il faut être performant. Quand on bavarde, on pose des problèmes. » Voilà pour ces quelques indices. On vous laisse trouver le joueur qui est dans le collimateur d’Antonetti. A priori, il faut plutôt aller chercher sur le banc des remplaçants…
La semaine dernière, l’entraîneur lillois découvre le jour du match contre Monaco (1-4) la composition de son équipe dans L’Equipe. Or, le système en 4-2-3-1 n’avait été travaillé qu’au dernier moment dans le plus grand secret. Voir la compo exacte dans le journal a mis en colère Antonetti qui reproche à l’un de ses joueurs d’être une taupe.
« Il y a des joueurs trop bavards »
« Dans le journal, j’ai vu mes hésitations sur le système et comme ce n’est pas moi qui ai parlé, ça veut dire que des gens qui étaient sur la pelouse à l’entraînement ont parlé. Il y a des joueurs trop bavards. L’an dernier, quand on gagnait, les mêmes joueurs ne bavardaient pas et se taisaient. Aujourd’hui, vu qu’ils ne jouent pas et ne se remettent pas en question, ils remettent en question les choix de l’entraîneur ou les autres qui jouent à leur place et personne n’est gagnant. Et surtout pas eux car ils ne trouveront pas un contrat ailleurs, d’ailleurs ils ne l’ont pas trouvé » s’est énervé l’entraîneur lillois.
Et si le coach emploie d’abord le pluriel, il finit par viser un joueur en particulier, sans préciser son identité. « C’est un groupe très difficile. Au mercato, on n’a pas fait tout ce qu’on voulait faire. Le gars a cherché partout, a fouillé tous les clubs et personne ne l’a voulu. A un moment, il faut se poser la question : Pourquoi il n’y a personne qui te veut ? Il faut être performant. Quand on bavarde, on pose des problèmes. » Voilà pour ces quelques indices. On vous laisse trouver le joueur qui est dans le collimateur d’Antonetti. A priori, il faut plutôt aller chercher sur le banc des remplaçants…
par Baratte » 15 Sep 2016, 18:36
fernando a écrit:C'est qui à votre avis?
Elle est sérieuse ta question ? Parce qu'un gazier qui voulait partir cet été , sachant qu'il n'aurait pas de temps de jeu ou très peu , qui n' pas trouvé preneur et qui est sur le banc , perso je vois 2 candidats ...
A l'époque de Vahid ou de Puel , le mec aurait sûrement pris un bon coup de tronche et enchainé les tours de terrain avec un gilet lesté et des fers aux pieds , là je pense que le lovely Fredo va lui inventer un supplice corse .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par ChevalierBlanc » 15 Sep 2016, 18:36
Ryan Mendes a le profil même l'équipe vétéran du Kpro n'en voulait pas.
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
par Baratte » 15 Sep 2016, 18:45
ChevalierBlanc a écrit:Ryan Mendes a le profil même l'équipe vétéran du Kpro n'en voulait pas.
Oué c'est le candidat le plus sûr avec Bauthéac à un degré moindre .
J'ai trouvé une photo de remparts à Bastia ...
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par Xylophène » 15 Sep 2016, 21:09
J'ai fait mes calculs pour dresser le portrait-robot de cette vilaine taupe :
50% Bauthéac
40% Mavuba
10% Mendès
50% Bauthéac
40% Mavuba
10% Mendès
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
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