Il faut partir maintenant, Mr Bielsa

Messagepar ancien posteur » 16 Sep 2017, 21:50

roooh putain.....
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Messagepar boban » 16 Sep 2017, 22:29

Vous en faites pas ,dans pas longtemps il sera parti prétextant être incompris ou une merde dans le genre...
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boban
 
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Messagepar krouw2 » 16 Sep 2017, 23:46

un conseil lundi si votre boss vous dit que vous faites de la merde, prenez un accent sud amérloque et dites que vous êtes un technicien ou un poète dans votre job, ça devrait passer
Hollande 2027
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Messagepar rodolfo » 17 Sep 2017, 07:46

Ou mieux : que vous faites des colloques habituellement et que plein de monde y vient pour vous ecouter
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Messagepar krouw2 » 17 Sep 2017, 12:34

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Messagepar Xylophène » 18 Sep 2017, 10:35

Libération a écrit:Marcelo Bielsa, la folie du doute

L’entraîneur de Lille, qui a vu son équipe perdre à Guingamp (0-1) samedi, accumule les échecs à la tête d’un projet flou, où fonds vautour et paradis fiscaux ont toute leur place. Porteur de l’image pure d’esthète qui ne laisse rien se mêler au jeu, le degré de complicité de l’Argentin interroge.

C’est une vidéo mise en ligne en juin par le journaliste de l’Equipe TV Didier Roustan, un extrait qui a pris sur la Toile comme un feu de brousse. On y voit celui que Pep Guardiola, coach le plus bankable de la planète, a qualifié tant et plus de «meilleur entraîneur du monde» au fil des années : Marcelo Bielsa, alias «Bielsa le Fou», ex-sélectionneur de l’équipe d’Argentine (sans doute le poste le plus élevé pour un entraîneur au regard du poids culturel du foot là-bas, sans parler de l’intelligence que l’on prête dans ce pays à ceux qui savent lire les arcanes du jeu) entre 1998 et 2004, ex-sélectionneur du Chili, ex-coach d’un Olympique de Marseille qu’il fit respirer et exister comme personne lors de la saison 2014-2015.

Sur la vidéo, Bielsa participe à un débat sur une télé argentine et c’est un document précieux quand on sait la défiance de l’homme de Rosario pour les médias en général et la télévision en particulier.

«Qui veut travailler avec un connard ?»

La discussion portait sur l’initiative d’un défenseur de São Paulo, Rodrigo Caio, qui, lors d’un match, est intervenu auprès de l’arbitre… pour faire annuler un carton jaune que celui-ci avait adressé à un adversaire des Corinthians, Jô. Rodrigo Caio est tout bonnement allé expliquer au directeur de jeu que c’est lui qui avait mis un coup involontaire à son propre gardien et que Jô n’y était pour rien. L’attitude de Bielsa en plateau est difficile à décrire. Un mélange de fureur contenue, de didactisme, de honte, aussi. Son propos : «Quel entraîneur, et plus généralement quel homme, préfère passer quatre heures par jour à travailler avec un connard plutôt qu’avec quelqu’un d’honnête ?» Le détail : «Tout le monde se dit : "Ah, il faut analyser ce qu’a fait Rodrigo Caio." Vous l’analysez, je l’analyse, on est là, on en parle. Et lui, Rodrigo Caio, il nous regarde. Et il doit se dire : "S’ils font une analyse, c’est que j’ai peut-être raison ou que j’ai peut-être fait une erreur." On lui met le doute. On lui signifie que si un joueur n’est pas méchant, il est stupide. Voilà comment on transforme les joueurs en personnes immorales. Je repose ma question du début : qui a envie de passer quatre heures par jour avec des joueurs spéculatifs, tricheurs et peu portés sur l’autocritique ? Personne ? Mais alors, pourquoi crée-t-on ces joueurs-là ?»

On s’est pointé samedi au Roudourou de Guingamp pour voir le Lille Olympique Sporting Club (Losc) désormais entraîné par Bielsa perdre pied (0-1) face aux Bretons, et c’est peu dire que de l’eau a coulé sous les ponts. Le club nordiste ne s’en sort plus : cinq points en six matchs et la 17e place, un but lors des quatre derniers matchs. Il y a autre chose, de plus sombre, de plus pesant : trois paradis fiscaux (Hongkong, le Luxembourg, les îles Vierges britanniques) dans la chaîne de propriété du Losc et des trucs limites en rafales, un attaché de presse viré à son retour de vacances ou un propriétaire (Gérard Lopez) qui explique avoir racheté le club avec son propre argent alors qu’il n’a pas mis un centime, au contraire d’un fonds vautour spéculant sur les dettes de certains Etats sud-américains.

Bielsa est le visage avenant d’un projet noir comme l’onyx. Avenant doit bien entendu être pris au sens métaphorique : profond, puisant aux racines d’un jeu de football qu’il place au-dessus de tout, honnête intellectuellement. Mais il y a le fonds vautour. Samedi, une grosse demi-heure après le match, Bielsa se présente devant la presse. Deux mastards ne le lâchent pas d’une semelle. Dehors, il pleut des seaux. Son visage est impressionnant : minéral, complètement fermé sur un monde que l’on devine contradictoire et violent. Bielsa parle dans sa langue, lentement et à voix basse, s’interrompant tous les six ou sept mots pour laisser le traducteur travailler : c’est ce dernier qui regarde l’auteur de la question, Bielsa fixant la table devant lui. Sur la défaite : «Les caractéristiques des joueurs [lillois] offrent beaucoup de variété. Certains attaquants prennent la profondeur [vers le but adverse], d’autres décrochent [dans le sens inverse, vers leur propre camp], certains joueurs de côté montent avec le ballon, d’autres montent par surprise… Je crois que l’équipe est à dominante créative. Mais il manque la dernière passe réussie pour mettre l’attaquant en situation de marquer, ainsi que des joueurs dans la surface adverse à la réception des centres. On a eu davantage de possibilités que l’adversaire. Et ces possibilités n’étaient consécutives ni à une erreur de l’adversaire ni à la chance. Je ne parle jamais de la chance ou du destin parce que je ne veux pas que vous croyiez que je cherche des explications tendant à éloigner mes propres responsabilités.»

Sur les conséquences : «A l’évidence, une défaite multiplie les explications que j’ai à vous fournir et transforme en justification ce qui devrait relever de l’explication. Comme le résultat n’est pas nul et que Guingamp a marqué à la dernière seconde du match, ces explications sont plus critiques. Ça vaut pour vous [les médias] et ça vaut pour moi. Pourtant, que le but ait été marqué ou non, c’est la même analyse.» Sur la nervosité de son équipe, la plus sanctionnée de France par les arbitres : «Dans le foot, les fautes ont deux origines. Ou la volonté de mettre un coup, ou l’excès d’intensité, c’est-à-dire d’ambition. On peut interpréter la même donnée de deux manières différentes. L’intensité gouvernée par l’ambition : c’est ça pour moi. Je rappelle que nous parlons de l’effectif le plus jeune du championnat. On pêche par précipitation, pas par nervosité. A l’évidence, ce n’est pas mon point de vue qui est forcément le bon. Simplement, je vous le livre.»

Altitudes conceptuelles

Tout est comme ça : les altitudes conceptuelles, les deux, trois, quatre temps du raisonnement basés sur une observation simple, pas mal de paracommunication (la communication sur la façon de communiquer) aussi, ce qui sous-tend une manière de conflit. Une difficulté : la dissociation du contenu et du ton, monocorde. Bielsa n’aime pas les micros et ceux qui les tiennent. Bien entendu, c’est son droit. Pendant qu’il parlait, une pièce étrange se jouait un étage plus bas : ses joueurs, une bande de gosses arrachés de partout (Burkina Faso, Mali, Argentine, Côte-d’Ivoire, Pays-Bas, Brésil, Portugal…) que Bielsa doit valoriser sportivement puis financièrement sur le marché des transferts, afin de permettre aux différents holdings possédant le Losc de tourner, filaient un par un par derrière, sans mot dire, créant un début de révolte vite tempérée - «Pour ce qu’ils auraient eu le droit de dire…» - chez les reporters attachés aux circonvolutions de l’équipe. Consigne de la direction technique, donc de Bielsa : on ne parle pas. Cet été, le club a vu arriver des gamins vivants comme tout, expansifs, conscients aussi de tenir la chance d’une vie - mettre un pied dans le prestigieux championnat de France, porte d’entrée vers la fortune, sous le haut patronage d’un entraîneur ayant la réputation justifiée de faire progresser ses joueurs dans des proportions stellaires. Deux mois plus tard, les mêmes se cachent sur ordre ou débitent des leçons aussi préparées qu’une partition de piano mécanique.

Interrogé jeudi sur la jeunesse d’une équipe qui se fait conséquemment rentrer dedans par des adversaires autrement retors, l’attaquant brésilien Luiz Araújo (22 ans) a cependant expliqué ceci : «Cette jeunesse dont vous parlez, c’est le projet du club. Et moi, je ne serais pas là sans ça.» La reconnaissance du ventre. Le reste lui passe au-dessus : les îles Vierges, les fonds vautours, la guerre larvée opposant Bielsa à Luis Campos, son directeur sportif de fait, grand architecte du recrutement, salarié non pas par le Losc, ce serait trop simple, mais par le holding luxembourgeois coiffant le club. Une guerre qui a déjà fait des victimes : deux hommes mis en place par Campos, le responsable de la cellule vidéo, João Sacramento, et le préparateur physique, Gabriel Macaya, ont été liquidés la semaine dernière par l’entraîneur de Lille, celui-ci se fendant d’un discours de sept minutes (!) chrono jeudi devant la presse pour expliquer sans rire que Sacramento était désormais trop qualifié pour ce qu’il avait à lui proposer. Un témoin : «Il s’est un peu foutu de notre gueule.»

Selon plusieurs sources, l’ambiance au domaine de Luchin, où l’équipe s’entraîne dans une atmosphère paranoïaque (huis clos systématiques depuis juillet, à l’exception de dix minutes de tennis-ballon récemment concédées au public), est à l’angoisse : placé par Campos pour surveiller Bielsa, le nouvel attaché de presse du club se sait à un pas de se faire déchirer à la moindre contrariété du maître. Et celui-ci est capable d’inventer cette contrariété de A à Z.

Valise à roulettes

Samedi, l’entraîneur guingampais, Antoine Kombouaré, a rendu hommage à son adversaire, «dans le combat», «costaud physiquement, mais surtout mentalement» : des profils de crève-la-dalle dont le seul talent est le don de soi, ce que le Kanak n’a pas dit. Ça fait peu. Il y a deux semaines, la direction du Losc, aux abois financièrement, a vendu son meilleur joueur (l’attaquant Nicolas de Préville) pour 10 millions d’euros : voilà la réalité et, rapportée à un discours du club promouvant le temps long et la progression, cette réalité a un âcre parfum d’escroquerie.

Pour le reste, tout le monde vit dans l’idée que Bielsa fait des tours de magie. Il explique que son équipe est «à dominante créative», qu’elle est la meilleure de France «dans la répétition des courses à haute intensité», que «l’ambition gouverne l’intensité», et on avance comme ça, tranquille, bien à l’abri de l’image phénoménale du démiurge. Ça va exploser. Personne ne sait quand. C’est un charme. Celui de Bielsa tient aussi en partie à ses brusques démissions, trois phrases et hop, le voilà à l’aéroport de Rosario avec sa valise à roulettes.

Peut-être qu’on s’est trompé sur lui, qu’il est complice de ce cirque. Ou qu’il n’en est plus capable. Ou que l’on ne comprend rien à ce qui se passe.

Grégory Schneider Envoyé spécial à Guingamp


http://www.liberation.fr/sports/2017/09 ... te_1597057


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Messagepar fernando » 18 Sep 2017, 11:06

Visiblement, ce journaliste n'a rien compris au projet #unlimited.
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Messagepar gblosc » 18 Sep 2017, 11:09

Komdéradégoukonné
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Messagepar fernando » 18 Sep 2017, 11:13

Quelqu'un a un accès #unlimited à la prose de Dodo la râclure?

https://www.lequipe.fr/Football/Article/Bielsa-ses-choix-tactiques-ne-thinsp-paient-pas/835232
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Messagepar Der » 18 Sep 2017, 11:13

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On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar gblosc » 18 Sep 2017, 22:39

On l'a trouvé not' Goleador qu'on revendra 20 plaques dans 1 an !
Noirouf, jeune, bref dans le projet #Unlimited
Le seul truc, c'est qu'il faudrait lui greffer une paire de youk : c'est Ouleye Sarr, qui a l'air d'être une bonne recrue pour les grognasses ...
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Messagepar Xylophène » 19 Sep 2017, 11:38

L'ermite de Luchin doit commencer à avoir les oreilles qui sifflent :

RMC a écrit:Au LOSC, Marcelo Bielsa commence à agacer

Après un mois et demi de compétition, le LOSC de Marcelo Bielsa végète dans le bas de tableau en Ligue 1. Avec une seule victoire en six matchs. Et le comportement de l’entraîneur argentin énerve de plus en plus au sein du club nordiste.

Après six journées de Ligue 1, le LOSC occupe une triste 17e place au classement. Et Marcelo Bielsa n’arrive pas à faire décoller son équipe. L’entraîneur argentin a pourtant obtenu tout ce qu’il voulait en arrivant dans le Nord: la construction de bungalows, une cantine ou encore une salle de jeux. Le tout pour un montant compris entre 6 et 7 millions d’euros.

Son recrutement estival a également coûté près de 70 millions d’euros. Mais pour l’instant, la mayonnaise ne prend pas. La victoire contre Nantes lors de la première journée (3-0) laissait présager de belles perspectives. Sauf que derrière, il n’y a eu aucune confirmation dans le jeu. Plus grave, Lille n’arrive plus à marquer (aucun but lors des quatre dernières journées).

Au début du projet, beaucoup étaient sceptiques concernant la collaboration entre Marcelo Bielsa et Luis Campos. Les deux hommes ont expliqué durant deux mois que tout allait bien au niveau du recrutement. Campos proposait des jeunes joueurs (120 au total) et Bielsa choisissait.

Le problème, c’est que certains choix d’El Loco demeurent incompris, comme le fait d’aligner Thiago Maïa, la recrue la plus chère de l’histoire du club (15 millions), au poste de latéral gauche alors que c’est un milieu de terrain de formation. Un replacement qui a en partie coûté au Brésilien son expulsion contre Bordeaux.

Le départ incompris de De Préville

Le cas de Joao Sacramento, le responsable de la cellule vidéo écarté par Bielsa il y a quelques jours, a tendu les relations avec Campos. Le fait que Bielsa donne régulièrement sa composition d’équipe deux jours avant les matchs facilite également le travail de ses adversaires. Et ses joueurs sont coupés du monde au domaine de Luchin.

Ils vivent uniquement dans les nouvelles installations et ne côtoient pas les autres salariés du club. Le LOSC tient aussi ses distances avec ses supporters puisqu’un seul entraînement a été ouvert au public depuis le début de la saison. Une séance programmée seulement la veille, à la dernière minute, afin que la question ne revienne plus en conférence de presse.

Au LOSC, il y a la peur de froisser Bielsa, donc tout lui est permis. Sauf qu’en l’absence de résultats, la situation commence à agacer en interne. Certains au club n’ont pas compris le départ de Nicolas De Préville à Bordeaux en fin de mercato. Une surprise partagée par l’ensemble des supporters.

L’arrivée de Bielsa, qui est le seul à pouvoir accéder au vestiaire des joueurs avec ses adjoints, n’a pas eu d’effet sur les abonnements. Lille en compte aujourd’hui 23 000, soit une petite centaine de plus que l’an passé. Le projet "LOSC Unlimited" incarné par Bielsa a pour but de viser les cinq premières places du classement. Pour l’instant, les Dogues, aux portes de la zone rouge, en sont très loin. Même si la saison est encore longue.

http://rmcsport.bfmtv.com/football/au-l ... 59034.html
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Messagepar ancien posteur » 19 Sep 2017, 11:45

L’arrivée de Bielsa, qui est le seul à pouvoir accéder au vestiaire des joueurs avec ses adjoints, n’a pas eu d’effet sur les abonnements. Lille en compte aujourd’hui 23 000, soit une petite centaine de plus que l’an passé.

Mouais; article putaclic. L arrivée de Bielsa a surement stabilise les abonnements.
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Messagepar fernando » 19 Sep 2017, 11:55

C'est sans doute vrai que son comportement de diva doit agacer certains en interne, vu que les résultats ne suivent pas (pour le moment).
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Messagepar ruitos » 19 Sep 2017, 12:09

virer João Sacramento oui ça a dû énerver la communauté portugaise, après Eder et Xeca....faut qu'il fasse gaffe Marcelo...
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Messagepar fernando » 19 Sep 2017, 12:13

Ouais, il risque de finir emmuré vivant dans une salle de bains, derrière des azulejos...
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Messagepar Dogue-son » 19 Sep 2017, 12:32

Certains au club n’ont pas compris le départ de Nicolas De Préville à Bordeaux en fin de mercato


En quoi cela relève-t-il d'une décision de Bielsa ?
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Messagepar Baratte » 19 Sep 2017, 12:50

De la branlette de scribouillard - pute à clic comme dit pfff ...
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
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Messagepar Xylophène » 19 Sep 2017, 14:12

Dogue-son a écrit:En quoi cela relève-t-il d'une décision de Bielsa ?


Il me semble qu'Eul Loco n'a pas forcément voulu retenir NDP. Il a aussi dit qu'il avait suffisamment de joueurs en magasin pour marquer des buts.

Sinon, je ne vois pas trop en quoi cet article est scandaleux. Pour l'instant, alors que le calendrier était favorable, les résultats sont plutôt mauvais. Il est normal que beaucoup (au club, dans la presse, parmi les supporters) se posent des questions sur la méthode Bielsa. Pas la peine de crier à la félonie antilosciste si l'on ose s'inquiéter ou s'interroger sur certains choix ou orientations. Ce sont après tout les dirigeants eux-mêmes qui ont développé une dialectique ambitieuse (qui a dit prétentieuse ?), normal que cela commence à se retourner contre eux alors que les résultats sont plutôt médiocres.
Pour l'instant, on a une équipe avec du potentiel, encore faut-il que ce potentiel se concrétise. [/PO]
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Messagepar fernando » 19 Sep 2017, 14:25

Je vois que t'as pas un vré supporter à 100% de 100%.

Ceusstent qui émettent des réserves sur le projet #unlimited powered by hedge funds ce sont rien que des rageux.
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Messagepar Xylophène » 19 Sep 2017, 17:54

Tiens, apparemment, le traducteur d'Eul Loco, ce serait lui :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Salim_Lamrani


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Messagepar Dogue-son » 19 Sep 2017, 19:50

Xylophène a écrit:Sinon, je ne vois pas trop en quoi cet article est scandaleux.


ce que je trouve très discutable, d'un point de vue journalistique, c'est de mettre en titre "Au LOSC, Marcelo Bielsa commence à agacer" et de n'avoir dans le corps de l'article que trois points en rapport: "Le cas de Joao Sacramento, le responsable de la cellule vidéo écarté par Bielsa il y a quelques jours, a tendu les relations avec Campos", "Ils vivent uniquement dans les nouvelles installations et ne côtoient pas les autres salariés du club" et "Certains au club n’ont pas compris le départ de Nicolas De Préville à Bordeaux en fin de mercato". Tout le reste, c'est une compilation des avis sur le jeu ou les choix de Bielsa et n'a rien à voir avec le sujet.

Le premier point cité ne concerne que Campos (qui d'ailleurs ne fait pas stricto sensu partie du club) et suppose que cette décision a été imposée par Bielsa contre l'avis des autres, ce qui est douteux, Lopez ayant maintes fois répété que toutes les décisions étaient prises à 4.
Le second point est risible. Que Monique à la compta ne voit pas les joueurs, franchement, on s'en tape le coquillard à un point...
Quant au troisième point, à partir du moment où Lopez et Ingla ont manifestement été les décisionnaires de cette vente, pourquoi charger Bielsa ? Quand bien même il n'aurait pas poussé à retenir le joueur (chose sportivement parfaitement justifiable au demeurant).

Que l'on critique le jeu, la tactique, les joueurs, l'entraineur, les adjoints, la pelouse, pas de souci, mais par pitié, qu'on nous épargne ces articles de bas étage façon presse people
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Messagepar krouw2 » 19 Sep 2017, 20:52

Lopez le garde jusqu'à la trêve, le temps que la Loi Macron sur le plafonnements des indemnités Prudhomme soit passé, pas folle la guêpe
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Messagepar fernando » 19 Sep 2017, 21:17

Passi se tient prêt pour prendre la relève et assurer le maintien en fin de saison.
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Messagepar ruitos » 19 Sep 2017, 21:20

le projet c'est Lopez-Bielsa donc ça restera comme ça
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Messagepar gblosc » 19 Sep 2017, 22:35

Merci Manu pour la précision.
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Messagepar Giallo » 20 Sep 2017, 07:41

Dans le dur, le Lille de Marcelo Bielsa reste sur cinq matchs sans victoire en championnat. Ironie du sort, alors qu’El Loco est loué pour son style offensif, l’attaque des Dogues n’a marqué qu’un but durant cette période ! Alignée comme avant-centre, la recrue Nicolas Pépé (21 ans, 4 matchs en L1 cette saison), plutôt utilisée comme ailier à Angers, a notamment du mal à convaincre et le technicien argentin admet que l’Ivoirien n’est peut-être pas fait pour ce poste.

"Quand j'ai vu Pépé au sein de son (ancienne) équipe, j'ai remarqué qu'il était toujours très proche du but et frappait souvent. J'en ai déduit que c'était un attaquant axial. Peut-être que cette évaluation est difficile à défendre aujourd'hui, a reconnu l’ancien coach de l’Olympique de Marseille en conférence de presse. Mais, au sein de l'équipe, il y a des ressources pour trouver des variantes qui nous offrent d'autres chemins pour marquer."
Problème : après les départs de Nicolas De Préville, Eder et Baptiste Guillaume, la seule alternative à ce poste s’appelle Ezequiel Ponce, utilisé seulement 92 minutes depuis le début de la saison...
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar ancien posteur » 20 Sep 2017, 10:07

Peut-être que cette évaluation est difficile à défendre aujourd'hui, a reconnu l’ancien coach de l’Olympique de Marseille en conférence de presse.

Euphémisme pour dire "putain j'ai analyse en long et en large son jeu car je suis le sur dieu de l'analyse footballistique et me suis vautre comme une merde".
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Messagepar Giallo » 20 Sep 2017, 10:09

du coup on pourrait avoir Ponce en pointe au prochain match
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar fernando » 20 Sep 2017, 10:24

pfff... a écrit:Peut-être que cette évaluation est difficile à défendre aujourd'hui, a reconnu l’ancien coach de l’Olympique de Marseille en conférence de presse.

Euphémisme pour dire "putain j'ai analyse en long et en large son jeu car je suis le sur dieu de l'analyse footballistique et me suis vautre comme une merde".


Il a un style impressionnant. Il y a du Pape Diouf en lui.
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