Adieu l'acrobate de la finance ?
par Yusuf Akbar » 12 Oct 2024, 02:26
En France, on jalouse ceux qui réussissent.
Mes propos n’engagent que ceux qui en apportent une certaine crédibilité.
par fernando » 13 Nov 2024, 10:51
Gerardo "El Liquidator" Lopez
« Pas d’autre alternative », la crainte vivace d’une liquidation pour Boavista, club de Gérard Lopez (ex-LOSC)
Le Boavista FC, club dont Gérard Lopez est l’actionnaire majoritaire, a officialisé la soumission d’un Plan Spécial de Revitalisation (PER) ce mardi, « seule alternative » à la liquidation offerte par le Tribunal de Commerce de Porto.
« Le Conseil d’Administration (CA) du Boavista FC, Futebol SAD informe par la présente qu’il a été notifié, ce lundi 11 novembre, par le Tribunal de Commerce de Vila Nova de Gaia, de l’ordonnance d’acceptation du Processus Spécial de Revitalisation (PER), qui suivra désormais les procédures légales prévues et sera développé au cours des prochains mois », annonce la formation portugais au travers d’un communiqué publié ce mardi, dont les dirigeants définissent la soumission d’un PER comme étant la « seule alternative » avec pour but de « créer les conditions nécessaires à l’indispensable restructuration économique et financière de SAD, en vue de rétablir sa pérennité et sa position sur le marché. »
Qu’est-ce qu’un PER ? L’objectif d’un Plan Spécial de Revitalisation est d’offrir à une entreprise en difficulté financière ou presque insolvable, la chance de pouvoir relancer la machine au travers de négociations avec ses créanciers pour trouver un accord favorisant sa revitalisation (article 17.-A, n°1 du CIRE).
Le Boavista FC, détenu en majorité par l’ancien président du LOSC Gérard Lopez, entame cette procédure pour éviter la liquidation : « Sans l’adoption de mesures strictes et exceptionnelles, la seule alternative serait de déposer une demande d’insolvabilité, ce qui aboutirait à l’inévitable liquidation de SAD », ajoute le communiqué.
Malgré la situation économique dans laquelle le Boavista FC est empêtré, ses performances sportives restent honorables. À la lutte pour leur maintien dans l’élite du football portugais, les Panteras figurent à la quatorzième place du classement avec un point de plus que les premières formations présentes dans la zone rouge, synonyme de relégation en deuxième division.
« Pas d’autre alternative », la crainte vivace d’une liquidation pour Boavista, club de Gérard Lopez (ex-LOSC)
Le Boavista FC, club dont Gérard Lopez est l’actionnaire majoritaire, a officialisé la soumission d’un Plan Spécial de Revitalisation (PER) ce mardi, « seule alternative » à la liquidation offerte par le Tribunal de Commerce de Porto.
« Le Conseil d’Administration (CA) du Boavista FC, Futebol SAD informe par la présente qu’il a été notifié, ce lundi 11 novembre, par le Tribunal de Commerce de Vila Nova de Gaia, de l’ordonnance d’acceptation du Processus Spécial de Revitalisation (PER), qui suivra désormais les procédures légales prévues et sera développé au cours des prochains mois », annonce la formation portugais au travers d’un communiqué publié ce mardi, dont les dirigeants définissent la soumission d’un PER comme étant la « seule alternative » avec pour but de « créer les conditions nécessaires à l’indispensable restructuration économique et financière de SAD, en vue de rétablir sa pérennité et sa position sur le marché. »
Qu’est-ce qu’un PER ? L’objectif d’un Plan Spécial de Revitalisation est d’offrir à une entreprise en difficulté financière ou presque insolvable, la chance de pouvoir relancer la machine au travers de négociations avec ses créanciers pour trouver un accord favorisant sa revitalisation (article 17.-A, n°1 du CIRE).
Le Boavista FC, détenu en majorité par l’ancien président du LOSC Gérard Lopez, entame cette procédure pour éviter la liquidation : « Sans l’adoption de mesures strictes et exceptionnelles, la seule alternative serait de déposer une demande d’insolvabilité, ce qui aboutirait à l’inévitable liquidation de SAD », ajoute le communiqué.
Malgré la situation économique dans laquelle le Boavista FC est empêtré, ses performances sportives restent honorables. À la lutte pour leur maintien dans l’élite du football portugais, les Panteras figurent à la quatorzième place du classement avec un point de plus que les premières formations présentes dans la zone rouge, synonyme de relégation en deuxième division.
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