[Info Renault traffic] Route, travaux et baisons futés

Messagepar laurentlille1 » 20 Déc 2013, 11:16

Bah, dernière fois que je suis rentré (ya trois semaines), l'essence était moins chère en Belgique qu'en France (je sais pas pour le diesel). Genre 1,458€ contre 1,498€. Faudra que je vérifie ça avant de faire le plein.
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laurentlille1
 
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Messagepar manulosc » 28 Jan 2014, 14:01

augmentation des autoroutes en 2014 de + 0,8 %
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Messagepar matcheu » 28 Jan 2014, 14:10

Ça va être un peu plus long alors.
Heureusement qu'on est tous fous sinon on deviendrait tous dingues.
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Messagepar manulosc » 28 Jan 2014, 14:11

je parler des tarifs
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Messagepar manulosc » 01 Fév 2014, 10:47

Circulation : les solutions pour faire sauter les bouchons de la métropole lilloise

Rassemblez 1,19 million d’habitants dans une communauté urbaine, disposez autour de l’ensemble des bassins de population importants, implantez un tissu économique fort dans votre petit espace, reliez les bassins avec des autoroutes, disposez le tout au cœur d’un nœud européen des transports, vous obtiendrez un cas d’école en matière d’aménagement urbanistique : la métropole lilloise. Après une première réunion annuelle entre les services de l’État, les deux Départements, la métropole lilloise et la Région, quelles solutions pour éviter l’engorgement systématique des autoroutes ?

Quinze heures, un jeudi après-midi, un poids lourd s’est renversé sur l’A25 à une dizaine de kilomètres d’Hazebrouck. Le principal axe permettant de s’évader de Lille vers Dunkerque se transforme en gigantesque parking pour des centaines d’automobilistes attendant la réouverture totale des voies. L’accident n’est qu’une goutte d’eau parmi les milliers qui noient la vie du réseau autoroutier lillois, mais il illustre une situation devenue critique.


Toujours plus de trafic

Chaque jour, 350 000 voitures entrent et sortent de la métropole lilloise et le trafic s’accroît de 2 % par an. Sur le principal axe, l’autoroute A1 (Paris - Lille), les services de la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) ont constaté plus de 3 h de saturation chaque matin et autant le soir. Le cas des axes comme l’A25 et l’A22 (Lille- Gand) est tout aussi inquiétant.

Cette thrombose est principalement liée, selon les services de l’État, à des déplacements à 90 % directs, de particuliers, seuls dans leur voiture, 1,3 personne en moyenne, entre leur domicile et leur travail. Du côté des poids lourds, la situation est aussi insoluble : 79 % des camions fréquentent les axes lillois pour livrer ou rejoindre une base dans la métropole.

Le résultat est estimé par la chambre de commerce et d’industrie (CCI) Grand Lille à 50 heures annuelles perdues par les automobilistes dans les embouteillages.

Pour répondre à ces problèmes, la communauté urbaine de Lille (LMCU), les Départements du Nord et du Pas-de-Calais, les services de l’État et la Région Nord - Pas-de-Calais ont esquissé des solutions et des axes de travail pour l’année pendant deux heures à la mairie de La Bassée, jeudi soir. Cette conférence métropolitaine, qui se déroulera une fois par an, est une première. Enfin tous les acteurs institutionnels réunis se parlent pour dessiner une politique commune des transports. En attendant, les usagers de la route devront encore prendre leur mal en patience…


DES PETITES AVANCÉES À PAS COMPTÉS

Dans le monde des décideurs institutionnels, il y a ce qui se fait, ce qui va se faire et ce qui pourrait se faire si… Dans le domaine des transports, on ne compte plus les grands dossiers oubliés sur une aire de repos ces dix dernières années. Dernière victime en date, le grand contournement sud-est de Lille, une liaison pour relier l’A1 (Paris -Lille), à hauteur de Seclin, à l’A23 (Lille - Valenciennes), puis l’A27 (Lille - Tournai), au niveau de Péronne-en-Mélantois. Présenté comme une solution miracle pendant quelques années, il est aujourd’hui évoqué à l’horizon 2030-2050, autant dire une forme administrative du purgatoire. Des atermoiements à décourager les plus farouches bonnes volontés. « C’est terrible, ces revirements », regrette Philippe Hourdain, président de la CCI Grand Lille et bon connaisseur du dossier. « Il y a une lassitude qui s’installe. Qu’on lance ces projets ! Qu’on les fasse ! Dans cinq à six ans, il sera trop tard, les axes seront totalement engorgés. » L’affirmation est corroborée par une étude du ministère de l’Environnement qui conclut que la saturation de l’A1 entre Dourges et le sud de Lille deviendra chronique à l’horizon 2020.

Face à l’urgence, peu de projets approchent ou sont entrés dans une phase concrète de travaux. Études, expérimentations et commissions occupent encore le devant de la scène. Seul le dossier du doublement de la ligne 1 du métro lillois est réellement en chantier. Ce dernier devrait durer jusqu’en 2017, il consiste à permettre le doublement de la longueur des rames afin de répondre à l’augmentation constante du nombre de passagers. L’investissement engagé est colossal : 629 millions d’euros. Il est subventionné à hauteur de 29millions par l’État, la Région et le Département du Nord apportent 53,5 millions chacun, le reste est financé par la métropole lilloise (LMCU). Il était temps ! La fréquentation de la ligne 1 a augmenté de 55 % entre 2001 et 2010, 165 000 voyages par jour. Sachant qu’on peut atteindre jusqu’à 16 000 voyages par heure lors des pics d’affluence.

À une échéance un peu plus lointaine, le département du Nord travaille à développer la circulation des cars du réseau Arc-en-Ciel sur la bande d’arrêt d’urgence d’une partie de l’autoroute A23, entre Valenciennes et la métropole lilloise. Le dossier est pour l’instant à l’étude. Il devrait entrer en procédure d’adjudication entre mars et décembre 2015. Coût probable des travaux d’aménagement : 29,5 millions d’euros, une paille dans le monde du génie civil. Le gain de temps estimé pour les cars serait de 44 % par rapport aux trajets actuels.


Des projets révolutionnaires

Dans les cartons des cabinets d’études et experts, bonnes idées et projets révolutionnaires n’attendent qu’une étincelle et une énorme volonté politique de tous bords pour exister.

Dans l’air du temps, le concept du covoiturage continue de faire des émules, d’autant que les conducteurs se rendant à Lille, quotidiennement, pour y travailler, restent majoritairement seuls dans l’habitacle de leur automobile. « Il y a un intérêt autour de la question, remarque Olivier Decornet, à la direction commerciale de Transpole. En à peine un an, nous avons doublé le nombre d’inscrits sur le site de covoiturage de Transpole, covoiturezplus.fr. » En 2012, le site comptait 2500 inscrits pour 600 trajets actifs, dans et autour de la métropole lilloise. De l’aveu de Transpole, ce chiffre reste faible, mais la croissance du service laisse rêveur. La pratique rentre peu à peu dans les mœurs.

Au rayon, des révolutions à venir, le concept de désynchronisation des horaires devrait faire parler de lui dans les prochaines années. « Ce n’est pas forcément très compliqué, il suffit d’une amplitude sur les horaires des salariés de 30 à 45 minutes pour étaler le trafic routier vers les parcs d’activités », souligne Philippe Hourdain, président de la CCI Grande Lille. À Rennes, l’application du concept dans les universités a permis de réduire de 17 % le trafic dans le métro aux heures d’hyperpointe. Principal écueil à la mise en place de cette solution : une harmonisation obligatoire de l’ensemble des acteurs, employeurs, régies des transports, collectivités, afin que le système fonctionne. Pas évident.


Serpent de mer

Autre projet dans le vent, le serpent de mer dans la vie économique du Nord-Pas-de-Calais, le canal Seine-Nord continue de susciter tous les espoirs du monde économique. Il pourrait dans la pratique réduire le nombre de camions sur les routes de la région, notamment sur l’A1 et l’A2 grâce à un canal grand gabarit entre Compiègne et Douai. Jeudi encore, les députés européens Gilles Pargneaux et Jean-Louis Cottigny en appelaient à François Hollande pour que le projet se fasse. B. T.


La grande idée sur les rails ?

Après les premières études, le débat public ? Ce serait aller un peu vite – en voiture, en train, à vélo, comme vous voulez... – que d’annoncer le RER Lille - Hénin sur les rails, mais disons que le projet se faufile doucement. Sachant que s’il se fait, il ne sera pas en service avant... 2025.

Mercredi, la commission nationale du débat public devrait en toute logique accepter que soit lancé un débat public autour de ce grand projet censé participer non négligeamment au désengorgement des accès à Lille (50 000 voyageurs quotidiens attendus). Des réunions publiques devraient dès lors avoir lieu à l’automne.

Le projet ? Une liaison rapide et cadencée entre Lille et le terril de Sainte-Henriette à Hénin-Beaumont avec arrêts à Lesquin, Seclin et au Stade Pierre-Mauroy les soirs de match et de concert. Et, au-delà, une modernisation du réseau ferroviaire jusqu’à Armentières et Tourcoing au nord ; Arras et Cambrai au sud. Deux options envisagées : utiliser les voies existantes modernisées, ce qui est moins lourd (640 millions d’euros). « Mais ça ne règle pas le problème au-delà de 2030 », relève, peu enthousiaste sur cette option, Alain Wacheux, vice-président transports PS à la Région. Et un projet à 1,25 milliard avec nouveau tronçon, le long de l’A1. « Je pense qu’on sera plutôt aux alentours de deux milliards », estime Dominique Plancke, président EELV de la commission transports à la Région.

La perspective : une douzaine de liaisons aux heures de pointe, Lille - Hénin en 21 minutes, des rames lancées à 160 km/h. Et puis Lille - Lens en 33 minutes, 32 pour Douai, 36 pour Arras, 11 vers Armentières, 12 vers Tourcoing ou 46 minutes au lieu d’1 h 05 pour Cambrai. Mais l’objectif est moins le gain de temps que de régularité et de se libérer des contraintes liées aux réseaux actuelles. Lille-Flandres se verrait équipée d’une gare souterraine permettant des liaisons rapides sans changement de train. Et Lesquin soit d’une gare sous l’aérogare soit d’une utilisation de l’existante, avec des navettes vers l’aéroport.

Globalement, si ce n’est les écologistes, plutôt réservés, ce projet remporte l’adhésion. Mais les temps sont durs. Alain Wacheux ne cache pas que le financement nécessite soit une décentralisation vers la Région qui pourrait alors percevoir une taxe transports, soit un engagement direct de l’État, bien à la peine pour financer tout grand projet, d’autant qu’il comptait beaucoup sur l’écotaxe. Reste une question : il s’agit de la grande idée de Daniel Percheron, président de Région normalement bientôt sur le départ. Le RER peut-il lui survivre ? C’est d’autant plus une interrogation qu’il se dit que Martine Aubry ne serait pas la plus grande des avocates du projet.
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Messagepar Dageek » 01 Fév 2014, 11:15

Moi président, j'appliquerai une seule solution ferme et définitive : interdiction à tous les camions et basta. easy.

Le canal qui passerait en grand gabarit, on peut toujours attendre.
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Messagepar manulosc » 06 Fév 2014, 09:33

Opération escargot des Stora Enso ce jeudi matin sur l’A1 : attention bouchons!

Dans l’expression « potentiels repreneurs », comme ceux qui se pressent actuellement au chevet de l’usine Stora Enso de Corbehem, il y a « potentiel ». C’est le terme que retiennent avant tout les 350 salariés de la papeterie finlandaise dont la fermeture reste programmée avant l’été. Du coup, pas question de baisser le ton ni la pression. Et ce jeudi, c’est une nouvelle opération escargot que les Stora mèneront. Non plus entre leur usine et la préfecture d’Arras, avec une halte remarquée au péage de Fresnes, mais sur l’autoroute A1, dans le sens Paris-Lille, dès le petit matin. Attention, grosses perturbations en vue...

Parmi les « potentiels repreneurs » murmurés par le ministère du Redressement productif et Arnaud Montebourg, des émissaires du groupe thaïlandais Double A sont venus ces lundi et mardi à Corbehem. Sans que l’on sache pour le moment ce que le site leur a inspiré. Pas grand-chose n’a ainsi transpiré de l’assemblée générale des salariés qui se tenait ce mercredi après-midi. Si l’espoir est de mise, la méfiance est aussi de rigueur...

Alors, en attendant, pas question de relâcher la pression. Ce jeudi matin, dès 5 heures, quelques salariés de Stora iront sensibiliser les collègues de l’usine voisine de Renault Douai à leur sort. Puis, depuis le site de Corbehem, un long cortège, bien armé en ramettes de papiers, prendra la route aux alentours de 7 heures. Direction, d’abord, le rond-point de Fresnes-les-Montauban, habitué aux incursions de papetiers en colère depuis plusieurs semaines. Puis ce sera l’autoroute A1 qui sera investie, dans le sens Paris-Lille, pour une opération escargot qui risque fort d’occasionner des kilomètres d’embouteillages supplémentaires, sur un asphalte déjà saturé chaque matin.

D’autant que les Stora pourront prendre leur temps, leur rendez-vous au siège du conseil régional, à Lille, n’étant programmé qu’à 13 heures. Les reprensentants des salariés y formuleront une demande précise auprès de leurs interlocuteurs : que la Région préempte l’usine, en attendant qu’un « potentiel repreneur » fasse une offre concrète...

À l’issue de ce rendez-vous, les Stora prendront la tête du cortège de la manifestation interprofessionnelle régionale organisée dans la capitale des Flandres, au départ de la porte de Paris, à 14 h 30. Les Lillois sont avertis : les rues risquent fort d’être blanchies du papier des Stora.


Les salariés de Stora Enso avaient déjà mené une opération escargot sur l’A1 en octobre 2013.
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Messagepar bitadmin » 11 Fév 2014, 08:00

A1 coupée à Camphin en Carembault dans le sens Paris-Lille
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Messagepar Dageek » 11 Fév 2014, 09:22

Fdp de camions jparie
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Messagepar fernando » 11 Fév 2014, 15:16

Gros bourdel sur l'autoroute ajd'hui. Kékispasse?
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar King Kong » 11 Fév 2014, 15:29

Les taxis maghrébins?
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
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Messagepar manulosc » 22 Juil 2014, 17:42

Villeneuve-d’Ascq : restriction de circulation sur la RN 227 ces mardi et mercredi soirs

Dans le cadre des travaux de finitions du stade Pierre-Mauroy engagés par la DREAL (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement), des travaux de pose de glissières béton seront réalisés de nuit de 21 h à 06 h du matin sur la RN 227, au niveau de l’échangeur des 4 cantons, ces mardi et mercredi soirs dans le sens Gand-Lille.

Ces travaux font suite aux aménagements réalisés la semaine passée. La Direction interdépartementale des routes avait alors achevé les chantiers de rénovation des chaussées qui ont été abîmées lors de la construction du stade Pierre-Mauroy. Quelque 600 mètres de revêtement avaient été remplacés sur une épaisseur de 4 cm et le marquage au sol renouvelé.

Cette fois, la localisation du chantier entraînera la fermeture de la RN 227. Dans le sens Gand vers Lille, la circulation s’effectuera sur la voie rapide uniquement. La voie lente sera neutralisée au niveau du stade, et des bretelles seront fermées (lire les déviations ci-dessous). Il s’agit de la bretelle de sortie nº7 (4 cantons), et la bretelle de liaison nº8 vers A27 Bruxelles et A23 Valenciennes.

Déviations: par où passer?
Pour palier aux fermetures de bretelles, une déviation sera mise en place consistant à continuer en direction de Paris (A1), et emprunter la sortie n°20b en direction de Lesquin, et de serrer à droite dans la bretelle (pour emprunter la voie d’évitement du rond-point). Reprendre ensuite l’A1 à gauche au feu tricolore en direction de l’A22 Tourcoing-Gand et l’A27 Bruxelles. Pour les usagers souhaitant rejoindre la RD146, poursuivre sur la RN227 en direction de Villeneuve-d’Ascq puis emprunter la sortie n°1 Cité Scientifique. Pour les usagers souhaitant rejoindre l’A27 continuer en direction de Tournai, pour ceux souhaitant rejoindre l’A23 poursuivre en direction de Tournai puis en direction en direction de Valenciennes (A23).

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Messagepar manulosc » 06 Déc 2014, 22:42

Villeneuve-d’Ascq : restriction de circulation sur la RN 227 ces mardi et mercredi soirs

Dans le cadre des travaux de finitions du stade Pierre-Mauroy engagés par la DREAL (Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement), des travaux de pose de glissières béton seront réalisés de nuit de 21 h à 06 h du matin sur la RN 227, au niveau de l’échangeur des 4 cantons, ces mardi et mercredi soirs dans le sens Gand-Lille.

Ces travaux font suite aux aménagements réalisés la semaine passée. La Direction interdépartementale des routes avait alors achevé les chantiers de rénovation des chaussées qui ont été abîmées lors de la construction du stade Pierre-Mauroy. Quelque 600 mètres de revêtement avaient été remplacés sur une épaisseur de 4 cm et le marquage au sol renouvelé.

Cette fois, la localisation du chantier entraînera la fermeture de la RN 227. Dans le sens Gand vers Lille, la circulation s’effectuera sur la voie rapide uniquement. La voie lente sera neutralisée au niveau du stade, et des bretelles seront fermées (lire les déviations ci-dessous). Il s’agit de la bretelle de sortie nº7 (4 cantons), et la bretelle de liaison nº8 vers A27 Bruxelles et A23 Valenciennes.

Déviations: par où passer?
Pour palier aux fermetures de bretelles, une déviation sera mise en place consistant à continuer en direction de Paris (A1), et emprunter la sortie n°20b en direction de Lesquin, et de serrer à droite dans la bretelle (pour emprunter la voie d’évitement du rond-point). Reprendre ensuite l’A1 à gauche au feu tricolore en direction de l’A22 Tourcoing-Gand et l’A27 Bruxelles. Pour les usagers souhaitant rejoindre la RD146, poursuivre sur la RN227 en direction de Villeneuve-d’Ascq puis emprunter la sortie n°1 Cité Scientifique. Pour les usagers souhaitant rejoindre l’A27 continuer en direction de Tournai, pour ceux souhaitant rejoindre l’A23 poursuivre en direction de Tournai puis en direction en direction de Valenciennes (A23).

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Messagepar manulosc » 28 Déc 2014, 12:40

Des péages moins chers pour les voitures propres et plus chers pour les diesels ?



Le gouvernement, qu'un bras de fer oppose aux sociétés d'autoroutes sur les tarifs des péages, projetterait de faire payer moins les véhicules propres, selon le Journal du dimanche.

Ces péages différenciés avantageraient les véhicules électriques et hybrides ainsi que ceux faisant du covoiturage, affirme le JDD. A contrario, les plus polluants comme les diesels seraient davantage mis à contribution.

Le journal cite une source proche du gouvernement qui explique que ce projet de "tarification écologique" serait "cohérent avec la politique publique de développement durable et d'essor des véhicules électriques".

Le gouvernement s'oppose aux sociétés concessionnaires d'autoroute (SCA) au sujet de la hausse de 0,57% prévue au 1er février 2015 dans le cadre des augmentations annuelles programmées dans les contrats de concession. La ministre de l'Ecologie Ségolène Royal a souhaité un gel des péages en 2015.

Les relations entre les SCA et le gouvernement se sont tendues surtout après la publication mi-septembre par l'Autorité de la concurrence d'un rapport dénonçant la "rente" de ces entreprises depuis la privatisation de 2006, sur fond de péages augmentant plus vite que l'inflation.

Le député PS Jean-Paul Chanteguet, rapporteur d'une mission d'information sur les autoroutes, a préconisé une "résiliation des contrats en cours" avec les SCA, évaluant le montant de l'indemnité de résiliation à "25 à 30 milliards d'euros".

La source citée dimanche par le JDD évoque des discussions "devenues plus constructives même si nous travaillons à une remise à plat profonde des contrats".

Le nouveau projet de tarification écologique se révèle toutefois complexe à mettre en oeuvre, souligne le journal. "L'identification des voitures aux péages pourrait passer par une vignette qui les classerait par niveau de pollution", écrit le JDD qui précise que le dispositif doit encore être finalisé la semaine prochaine.

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Messagepar manulosc » 17 Jan 2015, 18:50

Les routiers lancent une grève reconductible dès dimanche soir
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Messagepar guinness » 17 Jan 2015, 18:51

et pourquoi, manu ?
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Messagepar manulosc » 17 Jan 2015, 18:56

La grève des routiers est-elle partie pour durer? Les syndicats ont prévenu qu'ils ne cesseront pas leur mouvement avant d'avoir obtenu satisfaction, notamment sur leurs revendications salariales

Les routiers entameront dimanche soir une grève reconductible pour tenter de peser sur les négociations salariales avec le patronat prévues mardi et jeudi. Ils prévoient de bloquer des routes, des dépôts pétroliers, des centrales d'achats et des sites industriels. L'intersyndicale CGT, FO, CFTC et CFE-CGC donnera le coup d'envoi de ces actions dès 22 heures dimanche. Elles "dureront au moins jusqu'à mardi", date de la prochaine séance de négociation annuelle obligatoire (NAO) dans le transport routier de marchandises

Une seconde réunion est d'ores et déjà programmée jeudi 22 janvier. Mais la grève pourrait chambouler le calendrier établi.

Une cinquantaine de points de blocage partout en France
Une "cinquantaine de points d'action" sont programmés dans la nuit de dimanche à lundi sur l'ensemble du territoire national, a indiqué à l'AFP Patrice Clos, secrétaire général de la fédération FO/UNCP Transports et Logistique.

En région parisienne, les blocages concerneront notamment "le port de Gennevilliers, la plateforme aéroportuaire de Roissy et des zones industrielles au nord de Paris", a-t-il précisé.

Contactés, divers responsables syndicaux citent, parmi les régions les plus mobilisées, le Nord, la Bretagne, la Normandie, l'Aquitaine, le Rhône-Alpes ou encore la Lorraine. Bordeaux, Nantes et Marseille devraient notamment être touchées. En cas de blocages d'axes routiers, aux péages d'autoroute par exemple, seuls les poids-lourds seront stoppés par les grévistes, qui laisseront passer les véhicules légers.

Revendications salariales dont un 13e mois pour tous
Les chauffeurs de car et les salariés du secteur logistique (stockage, magasinage, traitement des commandes, etc.) sont également appelés à cesser le travail pour "refuser la paupérisation et la Smicardisation rampante" de la profession.

Les syndicats réclament "une augmentation du pouvoir d'achat minimum de 100 euros", notamment en portant à 10 euros le taux horaire minimum pour les coefficients les plus bas à l'embauche. En 2014, un seul des quatre coefficients en vigueur dans le transport routier - celui des salariés les plus qualifiés - dépassait le Smic (9,53 euros bruts par heure en 2014), relevé à 9,61 euros pour 2015. "On peut se demander à quoi sert l'argent public dans ces conditions", s'interroge la CGT, évoquant les aides accordées par l'Etat aux entreprises via le pacte de responsabilité et, notamment, le Crédit d'impôt compétitivité emploi (CICE).

Les organisations syndicales exigent en outre "la mise en place d'un 13e mois pour tous", "la suppression de la carence maladie" et l'ouverture de négociations sur "la gestion des fins de carrière" et "pour une protection sociale plus forte (mutuelle, prévoyance, dépendance)".

Les syndicats se disent résolus à obtenir des engagements de la part des fédérations patronales, quitte à faire durer les négociations. "Il n'est pas question qu'on laisse partir le patronat sans qu'il y ait d'accord", prévient Jérôme Vérité, patron de la CGT Transports. "Ca durera le temps que ça durera. On ne sortira pas de là sans qu'il y ait des choses sur la table", avertit le syndicaliste.

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Messagepar manulosc » 20 Jan 2015, 18:35

Dourges: les routiers en grève envisagent de bloquer l’A1 ce mercredi

Les chauffeurs-routiers en grève étaient de nouveau mobilisés ce mardi sur la plateforme multimodale de Dourges. Le but : paralyser ce lieu stratégique de la logistique régional en ne laissant sortir aucun camion pour faire entendre leurs revendications. Leur action sera reconduite ce mercredi et pourrait bien se durcir.


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Messagepar Dageek » 20 Jan 2015, 18:58

FDPs!!
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Messagepar Der » 20 Jan 2015, 21:42

manulosc a écrit:Dourges: les routiers en grève envisagent de bloquer l’A1 ce mercredi

Les chauffeurs-routiers en grève étaient de nouveau mobilisés ce mardi sur la plateforme multimodale de Dourges. Le but : paralyser ce lieu stratégique de la logistique régional en ne laissant sortir aucun camion pour faire entendre leurs revendications. Leur action sera reconduite ce mercredi et pourrait bien se durcir.


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Didn't drive, lol!
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar manulosc » 27 Jan 2015, 16:29

Péages d'autoroutes: les hostilités sont ouvertes


Le gouvernement a annoncé mardi que la hausse prévue le 1er février était suspendue, dans l'attente des conclusions d'un groupe de travail. Les sociétés d'autoroutes, elles, menacent de lancer une procédure contre l'Etat.

Ségolène Royal pourrait bien avoir obtenu gain de cause. Le gouvernement a en effet annoncé mardi qu'il suspendait la hausse prévue le 1er février 2015, comme l’avait souhaité la ministre de l’Ecologie en décembre dernier.

Matignon a ainsi indiqué qu'il gelait les tarifs des péages dans l'attente des conclusions d'un groupe de travail parlementaire, qui examinera deux scénarios: la renégociation des contrats de concession et la résiliation de ces contrats. Un point d'étape sera effectué "d'ici à fin février", ont assuré les services de Manuel Valls.
Le Premier ministre a également répété que le gouvernement était déterminé à remettre à plat les
concessions pour rééquilibrer les relations entre l'Etat et les sociétés concessionnaires.


Les sociétés d'autoroutes en colère

Les sociétés concessionnaires, elles, n'ont pas vraiment goûté ce qu'elles considèrent comme une "décision unilatérale" du gouvernement. Et ont annoncé le lancement imminent d'une "procédure contentieuse" contre l'Etat.


Les péages devaient augmenter de 1,07% au 1er février en répercussion de l'inflation, des investissements (pour 0,57%) et de l'augmentation de la redevance domaniale (0,50%). Les concessionnaires autoroutiers ne sont pas hostiles à un gel, mais à condition qu'ils puissent lisser dans le temps les hausses prévues par contrat et que cette annonce s'inscrive dans le cadre d'un accord global sur les relations entre l'Etat et les sociétés d'autoroutes.


Conséquence de ces annonces: en Bourse, les titres des sociétés concessionnaires Eiffage, Vinci et Abertis cèdaient du terrain.

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Messagepar manulosc » 13 Fév 2015, 09:29

La révolte des usagers contre les sociétés d'autoroutes

L'ancienne ministre Corinne Lepage annonce qu'une action collective a été engagée pour contester le montant des péages sur cinq portions d'autoroutes. Elle affirme au Parisien que ces tarifs sont 20% trop élevés.

Les automobilistes font part de leurs doléances. Une action collective d'usagers a ainsi été engagée contre les sociétés d'autoroutes afin de contester les tarifs élevés des péages sur cinq portions construites depuis des décennies.

C'est ce qu'annonce ce vendredi 13 février l'avocate et ex-ministre de l'Environnement Corinne Lepage dans Le Parisien. "Nous nous basons notamment sur un rapport de la Cour des comptes de juillet 2013 qui déplorait des hausses de tarifs nettement supérieures à l'inflation et évoquait un rapport de force plus favorable aux concessionnaires qu'aux pouvoirs publics", explique Corinne Lepage, qui coordonne cette action.

"Mais ces sociétés n'en tiennent pas compte. Ces pratiques sont toujours à l'oeuvre, cela engendre une surfacturation pour l'usager. L'automobiliste se fait plumer !" "Je me suis rapprochée d'un site de juristes, Actioncivile.com, pour monter une action collective", déclare-t-elle.


"Le but est d'exiger des sociétés d'autoroutes le juste prix du ticket de péage"."Selon nos estimations, le tarif actuel est d'au moins 20 % supérieur à ce qu'il devrait être." Concrètement, les personnes qui empruntent les autoroutes concernées peuvent, à partir de vendredi 13 février et jusqu'en juin prochain, remplir un formulaire sur le site et demander un remboursement de 20 %.

"L'usager doit payer le juste prix"


La seule condition est d'avoir emprunté les autoroutes A 1, A 6, A 7, et l'A 9 ou A 13 lors des cinq dernières années et de pouvoir le justifier avec un ticket de péage. L'ancienne ministre souligne que ces autoroutes ont été choisi car ce sont les plus anciennes: "elles ont été construites sous le général de Gaulle dans les années 1960-1970, et leur coût de construction est amorti depuis longtemps, dit-elle, espérant rassembler plusieurs dizaines de milliers de demandes, peut-être jusqu'à 50. 000. Les initiateurs de cette action prévoit de faire une demande de médiation avec les sociétés. Mais si elle n'aboutit pas dans un délai d'un mois, des recours seront déposés auprès des tribunaux d'instance.

"L'usager doit payer le juste prix", martèle Corinne Lepage, relevant notamment que lorsque les sociétés d'autoroutes licencient massivement les employés des péages pour les remplacer par des caisses et barrières automatiques, cela ne fait pas baisser le prix du ticket pour l'usager. Cette action collective ouvre un nouveau front pour les sociétés d'autoroutes qui sont déjà engagées dans un bras de fer avec l'Etat depuis plusieurs mois.

Ces sociétés ont déposé un recours devant le Conseil d'Etat après la décision du gouvernement de suspendre la hausse des tarifs des péages. Le gouvernement a également mis en place un groupe de travail sur l'avenir des concessions d'autoroutes. Les sociétés concessionnaires - pour la plupart des filiales des géants français du BTP Eiffage et Vinci et de l'Espagnol Abertis - exploitent 9.048 kilomètres d'autoroutes françaises, sur les 11.882 existants.
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Messagepar Dageek » 13 Fév 2015, 09:35

Au final on l aura dans l oignon dans ce conflit avec ces FDP de sociétés d autoroute
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Messagepar ruitos » 13 Fév 2015, 09:42

je prends régulièrement l'A1, à différentes heures en semaine ou week-end....bah je tombe toujours sur le tarif "rouge".....bizarre.
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Messagepar laurentlille1 » 13 Fév 2015, 10:15

T'as qu'à la prendre les dimanches soir entre 20h30 et 23h30 après la sortie 11 et en direction de Paris.

C'est pourtant facile!
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Messagepar ruitos » 13 Fév 2015, 10:37

Vers Ressons?!
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Messagepar manulosc » 13 Fév 2015, 11:30

Nouvel échangeur sur l’A 25 près d’Armentières: premiers travaux d’ici à 2020?

C’est un projet global dont on parle depuis des lustres : la mise à deux fois trois voies de l’A 25 entre La Chapelle-d’Armentières et Englos d’un côté ; la création d’un échangeur à hauteur d’Armentières de l’autre. L’État a décidé de débloquer 10 M € pour ce projet. Oui mais lequel ? Les élus du secteur pensent évidemment à l’échangeur

C’est, pour l’heure, une ligne dans un tableau figurant dans une annexe d’un document administratif. On peut y lire que l’État, dans le cadre du contrat de plan Etat-Région 2015-2020, financera à hauteur de 10 M €, la « mise à deux fois trois voies (de l’A 25) entre La Chapelle et Englos et l’échangeur d’Armentières ».

La nouvelle, tombée cet automne, a de quoi réjouir les usagers de l’A 25 et les acteurs politiques et économiques du secteur. « Cela signifie que l’État reconnaît que ce dossier est d’intérêt général », commente Bernard Haesebroeck. Et plus concrètement que l’État s’engage, au-delà des déclarations d’intentions, sur une enveloppe financière.


Jugé prioritaire ?

Mais le maire d’Armentières n’en est pas encore à crier victoire. Car des interrogations demeurent. Sur le plan comptable, surtout. Le projet global devrait coûter la bagatelle de 83 M €. L’engagement de l’État est, pour le moment, de 10 M €. Pour financer les « premiers travaux ». Oui, mais lesquels ? Cette enveloppe servira-t-elle à avancer le projet de mise à deux fois trois voies, sachant que ce chantier est le plus coûteux des deux ? Ou sera-t-elle dédiée au lancement des travaux de construction de l’échangeur d’Armentières ?

Bernard Haesebroeck attend des réponses. Pour l’heure, il a surtout des espoirs. Le montant total des travaux financés, pour la période 2015-2020, est de 17 M €, dont les 10 M € de l’État. « Ça correspond au coût de l’échangeur », glisse Bernard Haesebroeck.

L’autre interrogation, et elle est de taille, a trait justement à ces 17 M €. Quid des 7 M € restants ? Qui les financera ? Le document que nous nous sommes procuré ne mentionne pas de participation de la Région, l’autre cosignataire du contrat de plan. « Mais il implique aussi la Métropole européenne de Lille (MEL) », coupe Alain Bézirard, le maire d’Erquinghem-Lys, lui aussi très engagé sur ce dossier.

L’été dernier, le vice-président de la MEL en charge de la voirie, interrogé sur le sujet, ne s’était pas montré optimiste. « Les financements ne sont pas acquis », avait tempéré l’élu. Mais il était alors question d’hypothèses, de scénarios. L’enveloppe financière que l’État pourrait débloquer change la donne. Et pousser la MEL à prendre ses responsabilités... si elle en a les moyens financiers.

Bernard Haesebroeck et Alain Bézirard devraient profiter du conseil de communauté de la MEL, ce vendredi soir, pour demander des réponses. Le maire d’Armentières se dit confiant. « La MEL va mettre la main à la poche », croit-il savoir. Espoir ou auto-persuasion ? Réponse au prochain épisode.



Ce que changerait l’équipement

Dans les faits, il ne s’agirait pas d’un échangeur, mais d’un diffuseur. Ou plutôt de diffuseurs. Le projet prévoit la création de deux nouvelles bretelles d’accès-sorties, entre les deux qui desservent aujourd’hui l’Armentiérois (les sorties de La Chapelle et de Nieppe), dans les sens Lille-Dunkerque et Dunkerque-Lille.

Cet échangeur serait connecté à l’avenue Paul-Harris, à Armentières. Dans le sens Dunkerque-Lille, un pont serait aménagé au-dessus de l’autoroute.

Ce projet, dont on parle depuis quarante ans, est bien avancé sur le plan technique. Le tracé est acté. Les études d’impacts ont été réalisées dans le cadre de la zone économique de la Porte des Anglais.


Un atout économique

Pour les usagers de l’A 25 qui se rendent dans le centre-ville d’Armentières, le gain de temps ne serait pas négligeable. On évoque une liaison A 25 – centre-ville en cinq minutes, contre une quinzaine, selon le trafic automobile, aujourd’hui.

Cet échangeur est également perçu, par les élus de l’Armentiérois, comme un atout pour le développement économique.

Sur le papier, ces deux « diffuseurs » doivent aussi favoriser le désengorgement de l’A 25. « Si l’on veut soulager l’A 25, il faut favoriser l’accès au pôle d’échange d’Armentières », déclarait en août Bernard Haesebroeck, le maire d’Armentières.

Alain Bézirard, son homologue d’Erquinghem-Lys, tout comme Bernard Coisne (La Chapelle) attendent par ailleurs de ces échangeurs une diminution de la circulation dans leurs villes. Non, les atouts ne manquent pas…
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Messagepar manulosc » 14 Fév 2015, 08:43

Trois camions et un car se percutent sur l’A1: deux morts

Trois poids lourds et un car britannique ont pris feu vendredi soir dans une collision sur l’autoroute A1 à hauteur du viaduc de Roberval (Oise), faisant deux morts et quatre blessés légers.

Les passagers du car britannique, des parents et des enfants qui se rendaient à Eurodisney, ont pu descendre du véhicule avant que celui-ci ne prenne feu, après une collision impliquant trois poids lourds qui s’est produite vers 19 h 30 dans le sens Lille-Paris.


Le conducteur de l’un des camions ainsi que le passager d’un autre camion sont morts dans l’accident et quatre personnes ont été légèrement blessées, sans être hospitalisées, a indiqué le directeur de cabinet du préfet de l’Oise Jean-Michel Delvert.

Les passagers du car ont, dans un premier temps, été mis en sécurité sur une aire de repos avant d’être conduits dans une salle polyvalente à Roberval. « Ils vont pouvoir repartir et rallier leur destination finale », a précisé M. Delvert joint par téléphone vers 23 h 30.

Le violent incendie qui s’est déclaré a entraîné la fermeture de l’A1 dans les deux sens durant une grande partie de la soirée. L’autoroute a été rouverte sur une voie vers 22 h 45 dans le sens Paris-Lille. Elle restait fermée dans le sens Lille-Paris, une déviation étant mise en place pour les voitures de tourisme. Une cinquantaine de poids lourds étaient immobilisés sur place

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Messagepar Dageek » 14 Fév 2015, 11:16

Fdp de camions
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Messagepar dickadmin » 14 Fév 2015, 12:34

manulosc a écrit:« Ils vont pouvoir repartir et rallier leur destination finale »

Ils été placés comment dans le bus ? L'ordre est très important.
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