=)))
pour des lesions vaginales, rien de plus normal
[01T] Topic des FDP
par GilbertSedman » 24 Juil 2014, 16:46
I'm chocking venant d'un veggie :-)
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par fernando » 24 Juil 2014, 16:47
Il en rate pas une lui
Blatter : le Qatar est «très sérieux»
L'émir du Qatar, cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani, s'est entretenu mercredi avec Sepp Blatter, en visite à Doha à son invitation, à propos des préparatifs du Mondial 2022. Le président de la FIFA s'est montré très positif quant à la teneur de leur discussion : «Je ne peux que me féliciter de constater que l'émir et le Qatar sont bien décidés à faire de la Coupe du monde 2022 un outil de progrès social et de promotion pour le pays hôte et la région dans son ensemble. Le Qatar prend son rôle d'organisateur très au sérieux», explique-t-il sur le site de l'organisation. Les deux hommes ont évoqué les préparatifs et l'avancement des travaux, mais aussi des questions relatives aux réformes concernant le droit du travail afin de garantir le bien-être des migrants, employés sur des chantiers liés au Mondial.
Blatter : le Qatar est «très sérieux»
L'émir du Qatar, cheikh Tamim Ben Hamad Al-Thani, s'est entretenu mercredi avec Sepp Blatter, en visite à Doha à son invitation, à propos des préparatifs du Mondial 2022. Le président de la FIFA s'est montré très positif quant à la teneur de leur discussion : «Je ne peux que me féliciter de constater que l'émir et le Qatar sont bien décidés à faire de la Coupe du monde 2022 un outil de progrès social et de promotion pour le pays hôte et la région dans son ensemble. Le Qatar prend son rôle d'organisateur très au sérieux», explique-t-il sur le site de l'organisation. Les deux hommes ont évoqué les préparatifs et l'avancement des travaux, mais aussi des questions relatives aux réformes concernant le droit du travail afin de garantir le bien-être des migrants, employés sur des chantiers liés au Mondial.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par GilbertSedman » 24 Juil 2014, 16:52
Loul, quel bel outil de progrès social :
Allez hop, je nomme Sepp ministre de l'éco de mon gouvernement
Allez hop, je nomme Sepp ministre de l'éco de mon gouvernement
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par GilbertSedman » 25 Juil 2014, 11:04
ouch 29 K€ pour greffier (catégorie B pour la plupart)
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par GilbertSedman » 25 Juil 2014, 11:17
exact, mais 29K€ ouch quand même
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par ChevalierBlanc » 25 Juil 2014, 16:51
Des tweets qui n'ont pas été appréciés par Yossi Benayoun, son ancien coéquipier à QPR désormais au Maccabi Haïfa. «Des choses ne peuvent jamais changer, tu as été stupide et tu resteras stupide toute ta vie… embarrassant», a écrit l'international israélien à l'adresse de Barton.
La réponse de l'ancien Marseillais n’a pas tardé. Et elle est du genre musclée. «Premièrement, tu ne peux traiter quelqu'un de stupide avec une grammaire aussi mauvaise. Deuxièmement, vous ne pouvez pas et ne devriez pas tuer des enfants innocents (...) Troisièmement, vous ne pouvez pas expulser des gens de leurs terres car un livre de fiction datant de plusieurs milliers d'années dit que vous pouvez. (…) Enfin, j'espère que toi et ta famille êtes et resterez en sécurité par ces terribles moments».
Ouch !
La réponse de l'ancien Marseillais n’a pas tardé. Et elle est du genre musclée. «Premièrement, tu ne peux traiter quelqu'un de stupide avec une grammaire aussi mauvaise. Deuxièmement, vous ne pouvez pas et ne devriez pas tuer des enfants innocents (...) Troisièmement, vous ne pouvez pas expulser des gens de leurs terres car un livre de fiction datant de plusieurs milliers d'années dit que vous pouvez. (…) Enfin, j'espère que toi et ta famille êtes et resterez en sécurité par ces terribles moments».
Ouch !
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
par Gohan » 25 Juil 2014, 16:57
Les greffiers des tribunaux de commerce sont officiers publics et ministériels nommés par le Garde des Sceaux
Voilà voilà...
Voilà voilà...
Il garde cependant une très bonne image auprès des supporters lillois lors de son passage au club, fervante popularité qu'il doit grâce à sa technique flamboyante et à sa classe naturelle.
par Dageek » 26 Juil 2014, 22:07
Big up pour un fdp de routier qui a fait un spare.
http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-di ... 7773437192
http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-di ... 7773437192
par fernando » 27 Juil 2014, 12:56
loul, il l'avait bien préparé son discours de candidature
Indignation après des propos racistes à l'encontre de Pogba
Favori au poste de président de la Fédération italienne (FIGC), Carlo Tavecchio est au centre d'une polémique après avoir tenu des propos racistes visant le Français Paul Pogba.
Carlo Tavecchio, favori au poste de président de la Fédération italienne (FIGC), est la cible de toutes les critiques ce week-end dans son pays pour avoir tenu des propos racistes. «Opti Poba est arrivé et mangeait des bananes, aujourd'hui il est titulaire en Serie A», a-t-il lancé vendredi lors d'un discours présentant sa candidature. Tavecchio (71 ans), actuel vice-président de la fédération, s'est ensuite excusé et défendu. «J'accepte toutes les critiques mais pas l'accusation de raciste parce que toute ma vie témoigne du contraire.»
Une ligne de conduite qui n'a pas apaisé les critiques. Graziano Delrio, sous-secrétaire à la présidence du Conseil en charge du sport, a fait part de sa «profonde irritation». «Les mots de Tavecchio sont la photographie de ce que nous ne pouvions plus nous permettre», a de son côté estimé Debora Serracchiani, vice-secrétaire du Parti démocrate (gauche, au pouvoir), dans un entretien dimanche avec le journal La Repubblica. Plusieurs responsables politiques, notamment du Parti démocrate ont pressé Carlo Tavecchio de retirer sa candidature.
Indignation après des propos racistes à l'encontre de Pogba
Favori au poste de président de la Fédération italienne (FIGC), Carlo Tavecchio est au centre d'une polémique après avoir tenu des propos racistes visant le Français Paul Pogba.
Carlo Tavecchio, favori au poste de président de la Fédération italienne (FIGC), est la cible de toutes les critiques ce week-end dans son pays pour avoir tenu des propos racistes. «Opti Poba est arrivé et mangeait des bananes, aujourd'hui il est titulaire en Serie A», a-t-il lancé vendredi lors d'un discours présentant sa candidature. Tavecchio (71 ans), actuel vice-président de la fédération, s'est ensuite excusé et défendu. «J'accepte toutes les critiques mais pas l'accusation de raciste parce que toute ma vie témoigne du contraire.»
Une ligne de conduite qui n'a pas apaisé les critiques. Graziano Delrio, sous-secrétaire à la présidence du Conseil en charge du sport, a fait part de sa «profonde irritation». «Les mots de Tavecchio sont la photographie de ce que nous ne pouvions plus nous permettre», a de son côté estimé Debora Serracchiani, vice-secrétaire du Parti démocrate (gauche, au pouvoir), dans un entretien dimanche avec le journal La Repubblica. Plusieurs responsables politiques, notamment du Parti démocrate ont pressé Carlo Tavecchio de retirer sa candidature.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par King Kong » 27 Juil 2014, 14:55
Addendum 27 juillet :Trois relaxes et une condamnation à du sursis : le tribunal correctionnel s’est heurté au manque de preuves samedi lors du procès de jeunes gens soupçonnés trois jours plus tôt d’avoir pris pour cible un restaurant casher dans le quartier du Marais à Paris au sortir d’une manifestation pro-palestinienne autorisée dans la capitale.
Ce devait être un procès pour l’exemple mais il n’a pas eu l’écho attendu.
A l’issue du rassemblement, plus d’une cinquantaine de personnes se sont déplacées jusque dans le Marais, connu comme le quartier juif de Paris. Quelques dizaines se trouvaient devant le restaurant casher lorsque les incidents ont éclaté.
Selon le récit fait à l’audience, le gérant a eu le temps de baisser la grille de fer de l’établissement, cible de nombreux coups de pied et poing, alors que des dizaines de clients se trouvaient à l’intérieur. Des insultes et menaces antisémites ont fusé : «bande de sales juifs, on va vous crever», «à mort les juifs», a lu la présidente du tribunal, à l’audience des comparutions immédiates.
Les deux principaux mis en cause étaient poursuivis pour dégradations en réunion et menaces de mort à caractère antisémite, mais ils ont été relaxés. Le premier, 32 ans et 14 mentions à son casier judiciaire, contestait sa participation aux faits. Il a été reconnu sur photo par deux victimes, mais «tout s’est passé tellement vite» et «dans une telle confusion qu’on ne peut pas identifier les auteurs», a plaidé l’avocat des prévenus, Me Eric Mantrand. […]
Un troisième prévenu, reconnu par sa victime à son tee-shirt orange fluo, comparaissait pour violence aggravée en raison de la religion. En l’occurrence, une claque aux fesses d’une femme. Mais la procureure de la République a fait part de ses doutes sur le caractère antisémite du geste. Le jeune homme de 19 ans, originaire d’Aulnay-sous-Bois, a été relaxé.
Ce devait être un procès pour l’exemple mais il n’a pas eu l’écho attendu.
A l’issue du rassemblement, plus d’une cinquantaine de personnes se sont déplacées jusque dans le Marais, connu comme le quartier juif de Paris. Quelques dizaines se trouvaient devant le restaurant casher lorsque les incidents ont éclaté.
Selon le récit fait à l’audience, le gérant a eu le temps de baisser la grille de fer de l’établissement, cible de nombreux coups de pied et poing, alors que des dizaines de clients se trouvaient à l’intérieur. Des insultes et menaces antisémites ont fusé : «bande de sales juifs, on va vous crever», «à mort les juifs», a lu la présidente du tribunal, à l’audience des comparutions immédiates.
Les deux principaux mis en cause étaient poursuivis pour dégradations en réunion et menaces de mort à caractère antisémite, mais ils ont été relaxés. Le premier, 32 ans et 14 mentions à son casier judiciaire, contestait sa participation aux faits. Il a été reconnu sur photo par deux victimes, mais «tout s’est passé tellement vite» et «dans une telle confusion qu’on ne peut pas identifier les auteurs», a plaidé l’avocat des prévenus, Me Eric Mantrand. […]
Un troisième prévenu, reconnu par sa victime à son tee-shirt orange fluo, comparaissait pour violence aggravée en raison de la religion. En l’occurrence, une claque aux fesses d’une femme. Mais la procureure de la République a fait part de ses doutes sur le caractère antisémite du geste. Le jeune homme de 19 ans, originaire d’Aulnay-sous-Bois, a été relaxé.
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
par fernando » 30 Juil 2014, 11:20
L'« eau sale », arme antiémeute et punition collective en Israël
LE MONDE | 29.07.2014 à 10h05• Mis à jour le 30.07.2014 à 09h05 | Par Florence Beaugé (Jérusalem, envoyée spéciale)
Depuis trois semaines, les Palestiniens de Jérusalem-Est endurent une punition collective : la « dirty water », comme on l'appelle ici. Chaque fois qu'une manifestation a lieu – et il s'en produit presque chaque soir dans la partie orientale de la Ville sainte, depuis les événements de Gaza – un camion blanc passe ensuite sur les lieux et projette un mystérieux liquide pestilentiel. Tout s'en retrouve imprégné : les façades des maisons et des immeubles, les fenêtres, les trottoirs, la chaussée, les arbustes, les fleurs… Que contient ce produit ? Personne ne le sait, et la police israélienne reste très discrète sur ce sujet. L'odeur qui se dégage de la « dirty water » agresse les narines. Elle colle aux vêtements et à la peau, et il est impossible de s'en débarrasser pendant deux ou trois jours.
A Souwaneh, l'un des quartiers « chauds » de Jérusalem-Est, les habitants marchent en se couvrant le visage ou se pinçant le nez. Personne ne traîne dans les rues. Est-ce le but de cette sanction collective ? Sans aucun doute. En obligeant les gens à se cloîtrer chez eux, les forces de l'ordre espèrent empêcher toute nouvelle manifestation. L'ennui est que la « dirty water » ne se contente pas de maculer les façades. Elle pénètre dans les habitations, s'incruste dans les rideaux, les tapis, les coussins, et rend la vie des Palestiniens encore plus insupportable. Encore plus humiliante aussi. « Qui sommes-nous pour qu'on nous traite au moyen d'insecticides comme des rats ou des moustiques ? », s'interroge Mounir avec colère, inquiet pour ses enfants.
DÉSESPOIR ET FATIGUE
Nahla, sa voisine d'en face, ne cache pas son désespoir et sa fatigue. « J'ai tout essayé pour faire partir cette odeur de ma maison, le savon liquide, le vinaigre, le chlore, rien à faire… », déplore-t-elle, avant de souligner la cruauté de la situation : en plein ramadan, elle qui jeûnait et ne buvait pas une goutte, a dû jeter des trombes d'eau sur son perron, ses marches d'escalier, son carrelage…
A quelques kilomètres de là, le quartier d'Issaouia subit, lui aussi régulièrement, cette punition collective. Faouzi, épicier et boulanger, a dû jeter ses stocks à plusieurs reprises. « Il y a trois semaines, j'engueulais les jeunes qui lançaient des pierres, renversaient les ordures et y mettaient le feu chaque nuit. Je leur disais : “Vous provoquez les soldats et vous nous attirez des ennuis. Allez ailleurs !” Maintenant, je ne leur dis plus rien. Au contraire. J'en ai tellement marre d'Israël que je dis à mes voisins : “Laissons-les faire…” »
LE MONDE | 29.07.2014 à 10h05• Mis à jour le 30.07.2014 à 09h05 | Par Florence Beaugé (Jérusalem, envoyée spéciale)
Depuis trois semaines, les Palestiniens de Jérusalem-Est endurent une punition collective : la « dirty water », comme on l'appelle ici. Chaque fois qu'une manifestation a lieu – et il s'en produit presque chaque soir dans la partie orientale de la Ville sainte, depuis les événements de Gaza – un camion blanc passe ensuite sur les lieux et projette un mystérieux liquide pestilentiel. Tout s'en retrouve imprégné : les façades des maisons et des immeubles, les fenêtres, les trottoirs, la chaussée, les arbustes, les fleurs… Que contient ce produit ? Personne ne le sait, et la police israélienne reste très discrète sur ce sujet. L'odeur qui se dégage de la « dirty water » agresse les narines. Elle colle aux vêtements et à la peau, et il est impossible de s'en débarrasser pendant deux ou trois jours.
A Souwaneh, l'un des quartiers « chauds » de Jérusalem-Est, les habitants marchent en se couvrant le visage ou se pinçant le nez. Personne ne traîne dans les rues. Est-ce le but de cette sanction collective ? Sans aucun doute. En obligeant les gens à se cloîtrer chez eux, les forces de l'ordre espèrent empêcher toute nouvelle manifestation. L'ennui est que la « dirty water » ne se contente pas de maculer les façades. Elle pénètre dans les habitations, s'incruste dans les rideaux, les tapis, les coussins, et rend la vie des Palestiniens encore plus insupportable. Encore plus humiliante aussi. « Qui sommes-nous pour qu'on nous traite au moyen d'insecticides comme des rats ou des moustiques ? », s'interroge Mounir avec colère, inquiet pour ses enfants.
DÉSESPOIR ET FATIGUE
Nahla, sa voisine d'en face, ne cache pas son désespoir et sa fatigue. « J'ai tout essayé pour faire partir cette odeur de ma maison, le savon liquide, le vinaigre, le chlore, rien à faire… », déplore-t-elle, avant de souligner la cruauté de la situation : en plein ramadan, elle qui jeûnait et ne buvait pas une goutte, a dû jeter des trombes d'eau sur son perron, ses marches d'escalier, son carrelage…
A quelques kilomètres de là, le quartier d'Issaouia subit, lui aussi régulièrement, cette punition collective. Faouzi, épicier et boulanger, a dû jeter ses stocks à plusieurs reprises. « Il y a trois semaines, j'engueulais les jeunes qui lançaient des pierres, renversaient les ordures et y mettaient le feu chaque nuit. Je leur disais : “Vous provoquez les soldats et vous nous attirez des ennuis. Allez ailleurs !” Maintenant, je ne leur dis plus rien. Au contraire. J'en ai tellement marre d'Israël que je dis à mes voisins : “Laissons-les faire…” »
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 14 Août 2014, 22:22
Un millionnaire français exilé en Suisse épinglé par le fisc local
Exilé fiscal en Suisse depuis 1997 et homme d'affaires controversé, Alain Duménil est visé par une enquête à Berne pour avoir dissimulé plus de 54 millions de francs suisses (44 M€) aux impôts locaux. Un coup de tonnerre dans le paysage médiatique suisse romand. Le Franco-Suisse est propriétaire de l'Agefi, fer de lance et principal défenseur de la place financière helvétique.
Exilé fiscal en Suisse depuis 1997 et homme d'affaires controversé, Alain Duménil est visé par une enquête à Berne pour avoir dissimulé plus de 54 millions de francs suisses (44 M€) aux impôts locaux. Un coup de tonnerre dans le paysage médiatique suisse romand. Le Franco-Suisse est propriétaire de l'Agefi, fer de lance et principal défenseur de la place financière helvétique.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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