Nougets a écrit:C'est con, je voulais vraiment voir, une fois dans ma vie, une manif' d'huissier et de notaire.
ils auraient envoyé leurs secrétaires pour manifester pour eux non ?
[01T] Politix, fonctionnaire et Cie
par ChevalierBlanc » 26 Août 2014, 09:30
fernando a écrit:ChevalierBlanc a écrit:- Montebourg à Bercy - Arnaud Montebourg, ministre de l'Economie. loul ! (02/04/14)
Prince PD, tjs la prédiction just
Merci Nando mais il ne fallait pas être visionnaire pour comprendre qu'il s'agissait là d'une énorme bourde (une de plus).
Sinon il y a un reportrge sur Montebourg dans envoyé spécial ce jeudi pour redécouvrir ce génie de la politique adepte des bons mots.
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
par GilbertSedman » 26 Août 2014, 09:39
J'avoue avoir un petit faible pour la carrière ministérielle d'Hammon.
Le jour de rentrée décalé pour les profs était une brillante idée démagogique
Le jour de rentrée décalé pour les profs était une brillante idée démagogique
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par fernando » 26 Août 2014, 09:46
C'était pour éviter aux enseignants le "choc psychologique" d'une pré-rentrée en août. Ca restera à peu près sa seule décision notable.
Classe le ministre de l'EN qui se casse une semaine avant la rentrée et le carnage annoncé pour le démarrage de la réforme des rythmes scolaires (il est où au fait Peillon, qui voulait refonder l'école?).
Ca fait sérieux pour un président qui voulait faire de la jeunesse et de l'éducation une des grandes priorités de son mandat.
Classe le ministre de l'EN qui se casse une semaine avant la rentrée et le carnage annoncé pour le démarrage de la réforme des rythmes scolaires (il est où au fait Peillon, qui voulait refonder l'école?).
Ca fait sérieux pour un président qui voulait faire de la jeunesse et de l'éducation une des grandes priorités de son mandat.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par GilbertSedman » 26 Août 2014, 09:51
Je crois même que c'était LA priorité de son mandat loul
A la limite, Peillon à ce poste avait un projet (contestable certes, mais au moins un projet), Hammon.... wallou, il était là pour récupérer les voix des profs qui ne votaient plus PS
A la limite, Peillon à ce poste avait un projet (contestable certes, mais au moins un projet), Hammon.... wallou, il était là pour récupérer les voix des profs qui ne votaient plus PS
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par laurentlille1 » 26 Août 2014, 10:17
fernando a écrit:Et bon courage au prochain qui va se coltiner la réforme des rythmes sans avoir rien préparé.
Ça fait bien longtemps qu'on ne choisit plus un ministre pour ses compétences dans un domaine donc ça ne changera pas grand chose.
par fernando » 26 Août 2014, 10:58
laurentlille1 a écrit:fernando a écrit:Et bon courage au prochain qui va se coltiner la réforme des rythmes sans avoir rien préparé.
Ça fait bien longtemps qu'on ne choisit plus un ministre pour ses compétences dans un domaine donc ça ne changera pas grand chose.
Certes, mais gérer un tel dossier sans y avoir travaillé auparavant, ça va être folklo.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par GilbertSedman » 26 Août 2014, 14:22
Loul la manchette du Figaro : "Benoît Hamon restera comme le seul ministre de l'Education nationale qui n'aura effectué aucune rentrée scolaire. "
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par GilbertSedman » 26 Août 2014, 14:39
non mais droit au chômage (enfin une indemnité)
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par ChevalierBlanc » 26 Août 2014, 15:49
GilbertSedman a écrit:non mais droit au chômage (enfin une indemnité)
Pierre Berregovoy aime ça !
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
par otto » 26 Août 2014, 18:07
http://www.france2.fr/emission/4fc73882bb94783f8f000dcb/53e35d507067654b20823503
(un lien, pas de vidéo, mais toute ressemblance avec...blabla...).
(un lien, pas de vidéo, mais toute ressemblance avec...blabla...).
par fernando » 27 Août 2014, 11:20
Christine Lagarde mise en examen
27 août 2014 | Par Michel Deléan
L’ancienne ministre de l’économie Christine Lagarde a été mise en examen par la commission d’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) dans le cadre de l’affaire Tapie, selon des informations obtenues par Mediapart.
L’ex-ministre de l’économie, Christine Lagarde, a été mise en examen par la commission d’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) dans le cadre de l’affaire Tapie, selon des informations obtenues ce mercredi matin par Mediapart. L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy, qui a été longuement interrogée mardi, de 9 heures du matin jusqu’à minuit, a été mise en examen pour « négligence d’une personne dépositaire de l’autorité publique » en relation avec le détournement de fonds publics, en l’occurrence l’arbitrage litigieux rendu en faveur de Bernard Tapie (article 432-16 du Code pénal 3). Un délit passible d’une peine d’un an de prison et 15 000 euros d’amende.
Jusqu’ici, Christine Lagarde était témoin assisté dans cette procédure. L'actuelle patronne du FMI a réagi à sa mise en examen ce mercredi matin en indiquant qu'elle ne quitterait pas son poste.
En 2008, Bernard Tapie avait reçu quelque 403 millions d’euros au terme de cet arbitrage arrangé, dont 45 millions au titre du « préjudice moral ».
Cinq autres personnes ont été mises en examen dans le volet non-ministériel de cette affaire, dont Bernard Tapie et l’ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde, Stéphane Richard. Impliqué pour « escroquerie en bande organisée », l'actuel patron d’Orange s’est agacé, critiquant la différence de traitement entre lui et l’ancienne ministre. Une confrontation entre Stéphane Richard et son ancienne patronne avait été organisée en mars dernier.
La Cour de justice de la République (CJR, seule juridiction compétente pour instruire et juger les délits commis par des ministres dans l'exercice de leurs fonctions) avait été saisie du cas Lagarde le 10 mai 2011 par l'alors procureur général de la Cour de cassation, Jean-Louis Nadal, dont Mediapart avait révélé le rapport le 26 mai (lire notre article ici). Par la suite, la commission des requêtes de la CJR avait décidé d'instruire ce dossier le 4 août 2011, dan un avis motivé révélé par Mediapart le 17 août (lire notre article ici).
27 août 2014 | Par Michel Deléan
L’ancienne ministre de l’économie Christine Lagarde a été mise en examen par la commission d’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) dans le cadre de l’affaire Tapie, selon des informations obtenues par Mediapart.
L’ex-ministre de l’économie, Christine Lagarde, a été mise en examen par la commission d’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) dans le cadre de l’affaire Tapie, selon des informations obtenues ce mercredi matin par Mediapart. L’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy, qui a été longuement interrogée mardi, de 9 heures du matin jusqu’à minuit, a été mise en examen pour « négligence d’une personne dépositaire de l’autorité publique » en relation avec le détournement de fonds publics, en l’occurrence l’arbitrage litigieux rendu en faveur de Bernard Tapie (article 432-16 du Code pénal 3). Un délit passible d’une peine d’un an de prison et 15 000 euros d’amende.
Jusqu’ici, Christine Lagarde était témoin assisté dans cette procédure. L'actuelle patronne du FMI a réagi à sa mise en examen ce mercredi matin en indiquant qu'elle ne quitterait pas son poste.
En 2008, Bernard Tapie avait reçu quelque 403 millions d’euros au terme de cet arbitrage arrangé, dont 45 millions au titre du « préjudice moral ».
Cinq autres personnes ont été mises en examen dans le volet non-ministériel de cette affaire, dont Bernard Tapie et l’ancien directeur de cabinet de Christine Lagarde, Stéphane Richard. Impliqué pour « escroquerie en bande organisée », l'actuel patron d’Orange s’est agacé, critiquant la différence de traitement entre lui et l’ancienne ministre. Une confrontation entre Stéphane Richard et son ancienne patronne avait été organisée en mars dernier.
La Cour de justice de la République (CJR, seule juridiction compétente pour instruire et juger les délits commis par des ministres dans l'exercice de leurs fonctions) avait été saisie du cas Lagarde le 10 mai 2011 par l'alors procureur général de la Cour de cassation, Jean-Louis Nadal, dont Mediapart avait révélé le rapport le 26 mai (lire notre article ici). Par la suite, la commission des requêtes de la CJR avait décidé d'instruire ce dossier le 4 août 2011, dan un avis motivé révélé par Mediapart le 17 août (lire notre article ici).
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 27 Août 2014, 13:20
à propos d'Emmanuel Macron
Il a épousé sa professeure de français de première
Emmanuel Macron s'est marié avec Brigitte Trogneux, de vingt ans son aînée, rencontrée alors qu'elle était sa professeure de français en première, au lycée Henri-IV. D'une précédente union, Brigitte Trogneux, qui enseigne aujourd'hui dans « une institution religieuse réputée de la capitale », selon l'Express, a eu trois enfants, parents à leur tour, faisant d'Emmanuel Macron un grand-père de 36 ans.
Il est riche
Quelques mois avant la présidentielle de 2012, Emmanuel Macron travaillait toujours pour la banque Rothschild. A ce titre, il a piloté le rachat par Nestlé d'une filiale de Pfizer, une transaction de plus de 9 milliards d'euros, qui a fait de lui un millionnaire. « L'argent ne doit pas être identitaire. C'est un instrument de liberté, sans plus », avait-il expliqué au Nouvel Observateur.
Il était proche de Jérôme Cahuzac
En mars 2013, le ministre du budget Jérôme Cahuzac est contraint à la démission pour avoir dissimulé l'existence d'un compte en Suisse. Il est depuis sous le coup d'une procédure judiciaire pour blanchiment d'argent provenant de fraude fiscale. Emmanuel Macron était un proche de Jérôme Cahuzac depuis 2008. C'est même le jeune énarque qui avait « réconcilié le député de Lot-et-Garonne avec le candidat Hollande », note l'Express dans son portrait de mai 2013. « Pourtant Cahuzac se sentait mal-aimé de l'Elysée, Macron y était sa seule attache », expliquait un ministre à l'hebdomadaire. Après les premières révélations du site d'information Mediapart et les premiers démentis de Jérôme Cahuzac, Emmanuel Macron avait d'ailleurs soutenu le ministre du budget.
Il a épousé sa professeure de français de première
Emmanuel Macron s'est marié avec Brigitte Trogneux, de vingt ans son aînée, rencontrée alors qu'elle était sa professeure de français en première, au lycée Henri-IV. D'une précédente union, Brigitte Trogneux, qui enseigne aujourd'hui dans « une institution religieuse réputée de la capitale », selon l'Express, a eu trois enfants, parents à leur tour, faisant d'Emmanuel Macron un grand-père de 36 ans.
Il est riche
Quelques mois avant la présidentielle de 2012, Emmanuel Macron travaillait toujours pour la banque Rothschild. A ce titre, il a piloté le rachat par Nestlé d'une filiale de Pfizer, une transaction de plus de 9 milliards d'euros, qui a fait de lui un millionnaire. « L'argent ne doit pas être identitaire. C'est un instrument de liberté, sans plus », avait-il expliqué au Nouvel Observateur.
Il était proche de Jérôme Cahuzac
En mars 2013, le ministre du budget Jérôme Cahuzac est contraint à la démission pour avoir dissimulé l'existence d'un compte en Suisse. Il est depuis sous le coup d'une procédure judiciaire pour blanchiment d'argent provenant de fraude fiscale. Emmanuel Macron était un proche de Jérôme Cahuzac depuis 2008. C'est même le jeune énarque qui avait « réconcilié le député de Lot-et-Garonne avec le candidat Hollande », note l'Express dans son portrait de mai 2013. « Pourtant Cahuzac se sentait mal-aimé de l'Elysée, Macron y était sa seule attache », expliquait un ministre à l'hebdomadaire. Après les premières révélations du site d'information Mediapart et les premiers démentis de Jérôme Cahuzac, Emmanuel Macron avait d'ailleurs soutenu le ministre du budget.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par ChevalierBlanc » 27 Août 2014, 13:27
Parle nous plutôt de l'éducation nationale et de Najat. Hum !
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
par ChevalierBlanc » 27 Août 2014, 13:34
fernando a écrit:T'as jamais eu envie de te marier avec une de tes profs toi?
Si mais une nana de 20 ans de plus quand tu as 16 ans c'est exitant. Quand tu attrapes 40 piges ça l'est déjà beaucoup moins. Tu fais comment tu l'appelles mémé ?
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
par basmainforme » 27 Août 2014, 13:35
fernando a écrit:T'as jamais eu envie de te marier avec une de tes profs toi?
T'as pas connu madame Porras-chevalier à Marcel Pagnol toi !
par fernando » 27 Août 2014, 16:49
« Standing ovation » pour Valls à l'université d'été du Medef
Le Monde.fr avec AFP | 27.08.2014 à 15h14• Mis à jour le 27.08.2014 à 16h40
Au lendemain de la nomination du nouveau gouvernement, le premier ministre, Manuel Valls, s'est livré à une véritable déclaration d'amour à l'entreprise à l'ouverture de l'université du Medef.
Rebondissant aux déclarations du patron du Medef, Pierre Gattaz, qui demandait au nouveau gouvernement d'« oser les réformes », le premier ministre a martelé qu'il est « absurde » de qualifier le pacte de responsabilité de l'exécutif « de cadeaux aux patrons ».
« Cessons d'opposer systématiquement Etat et entreprises, d'opposer chefs d'entreprise et salariés, organisations patronales et syndicats (…). Notre pays crève de ces postures. »
« La France a besoin de ses entreprises, de toutes ses entreprises (...), car ce sont les entreprises qui, en innovant, en risquant les capitaux de leurs actionnaires, en mobilisant leurs salariés, en répondant aux attentes de leurs clients, créent de la valeur, génèrent de la richesse qui doit pofiter à tous. Et moi, j'aime l'entreprise ! »
CODE DU TRAVAIL, SEUILS SOCIAUX, TRAVAIL DU DIMANCHE
Parmi les pistes que M. Valls a évoquées devant le Medef, une possible réforme des seuils sociaux, qu'il a qualifiée de « légitime ». Ces seuils soumettent les entreprises à des obligations au-delà d'un certain nombre de salariés. Le patronat y voit un frein à la croissance et à l'embauche.
Le premier ministre a également souhaité une « simplification active dans tous les domaines » y compris « le code du travail » et a laissé entendre que les règles « relatives au travail du dimanche » vont être allégées.
Pour le plus grand plaisir des participants, il s'est aussi félicité que « la filière nucléaire [soit] plus que jamais une grande filière d'avenir ». A peine avait-il terminé son discours que le parterre d'entrepreneurs s'est levé pour applaudir le premier ministre, comme l'a constaté notre envoyé spécial.
Le président du Medef a d'ailleurs aussitôt salué un « discours d'une grande clairvoyance ».
GATTAZ « NOUS VOULONS LA RÉUSSITE DE CE PACTE »
Auparavant, Pierre Gattaz, qui n'a pas caché sa satisfaction de voir Emmanuel Macron arriver à Bercy, avait aussi évoqué le pacte de responsabilité cher à François Hollande :
« Bien sûr que nous sommes mobilisés, et que nous voulons la réussite de ce pacte, qui, pour nous, est avant tout un pacte de confiance et que nous avons appelé de nos vœux. Alors cessons de toujours raisonner en termes de donnant-donnant. »
Il avait aussi reconnu à Emmanuel Macron « trois atouts : il connaît l'entreprise, il connaît l'économie de marché et il connaît la mondialisation ». Et d'ajouter :
« Je veux voir les faits et les mesures, parce qu'on a trop souvent eu tendance dans notre pays à entendre des discours politiques merveilleux, et derrière c'était n'importe quoi au niveau des actes. »
Le Monde.fr avec AFP | 27.08.2014 à 15h14• Mis à jour le 27.08.2014 à 16h40
Au lendemain de la nomination du nouveau gouvernement, le premier ministre, Manuel Valls, s'est livré à une véritable déclaration d'amour à l'entreprise à l'ouverture de l'université du Medef.
Rebondissant aux déclarations du patron du Medef, Pierre Gattaz, qui demandait au nouveau gouvernement d'« oser les réformes », le premier ministre a martelé qu'il est « absurde » de qualifier le pacte de responsabilité de l'exécutif « de cadeaux aux patrons ».
« Cessons d'opposer systématiquement Etat et entreprises, d'opposer chefs d'entreprise et salariés, organisations patronales et syndicats (…). Notre pays crève de ces postures. »
« La France a besoin de ses entreprises, de toutes ses entreprises (...), car ce sont les entreprises qui, en innovant, en risquant les capitaux de leurs actionnaires, en mobilisant leurs salariés, en répondant aux attentes de leurs clients, créent de la valeur, génèrent de la richesse qui doit pofiter à tous. Et moi, j'aime l'entreprise ! »
CODE DU TRAVAIL, SEUILS SOCIAUX, TRAVAIL DU DIMANCHE
Parmi les pistes que M. Valls a évoquées devant le Medef, une possible réforme des seuils sociaux, qu'il a qualifiée de « légitime ». Ces seuils soumettent les entreprises à des obligations au-delà d'un certain nombre de salariés. Le patronat y voit un frein à la croissance et à l'embauche.
Le premier ministre a également souhaité une « simplification active dans tous les domaines » y compris « le code du travail » et a laissé entendre que les règles « relatives au travail du dimanche » vont être allégées.
Pour le plus grand plaisir des participants, il s'est aussi félicité que « la filière nucléaire [soit] plus que jamais une grande filière d'avenir ». A peine avait-il terminé son discours que le parterre d'entrepreneurs s'est levé pour applaudir le premier ministre, comme l'a constaté notre envoyé spécial.
Le président du Medef a d'ailleurs aussitôt salué un « discours d'une grande clairvoyance ».
GATTAZ « NOUS VOULONS LA RÉUSSITE DE CE PACTE »
Auparavant, Pierre Gattaz, qui n'a pas caché sa satisfaction de voir Emmanuel Macron arriver à Bercy, avait aussi évoqué le pacte de responsabilité cher à François Hollande :
« Bien sûr que nous sommes mobilisés, et que nous voulons la réussite de ce pacte, qui, pour nous, est avant tout un pacte de confiance et que nous avons appelé de nos vœux. Alors cessons de toujours raisonner en termes de donnant-donnant. »
Il avait aussi reconnu à Emmanuel Macron « trois atouts : il connaît l'entreprise, il connaît l'économie de marché et il connaît la mondialisation ». Et d'ajouter :
« Je veux voir les faits et les mesures, parce qu'on a trop souvent eu tendance dans notre pays à entendre des discours politiques merveilleux, et derrière c'était n'importe quoi au niveau des actes. »
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