[01T] Glorification de la région
par GilbertSedman » 19 Nov 2014, 13:55
manulosc a écrit:moi a Roubaix mais c est pas moi sur la photo
Manulosc -----> anagramme -----> Manuel Dos Santos...
Manu leader du nouveau gang de roubaix ?
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par wipoLEgonbou » 19 Nov 2014, 14:13
manulosc a écrit:moi a Roubaix mais c est pas moi sur la photo
Mouais...En même temps si c'était toi tu le dirais pas.
par ChevalierBlanc » 19 Nov 2014, 14:38
Je me disais bien qu'il était devenu bizarre le manu depuis qu'il s'était laissé pousser la barbe.
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
par bitadmin » 20 Nov 2014, 16:28
À peine le nouveau camp aménagé, que les passeurs ont repris la main sur l’organisation du trafic de clandestins.
Mercredi, vers 19 h, un ressortissant iranien domicilié en Grande-Bretagne a été « victime » d’un coup de feu. Sa présence dans le camp pose question, car il ne s’agit pas d’un étranger en situation irrégulière candidat au passage vers l’Angleterre. Il aurait été entraîné par un groupe vers une personne non identifiée qui a sorti une arme à feu, lui tirant dessus. Il n’a été que légèrement blessé.
Entendu en tant que victime par la police, il a profité d’une pause lors des auditions pour s’enfuir. Cela après avoir annoncé qu’il ne souhaitait pas porter plainte. La police le suspecte évidemment d’être à la solde d’un réseau de passeurs venu reprendre la main sur le nouveau camp de Téteghem. Une rivalité entre réseaux expliquerait ce règlement de compte à l’arme à feu.
Mardi, le camp a été réaménagé sous forme de conteneurs, afin de limiter l’afflux des clandestins tout en leur offrant des conditions d’accueil plus dignes. Les tentes et les cabanes éparpillées dans la nature ont été enlevées. Au final, c’est toute l’organisation du camp qui a été revue. Franck Dhersin, le marie de Téteghem, nous confiait avant-hier : « Aussitôt a été constatée la présence de grosses cylindrées venues de Grande-Bretagne, ce qui laisse supposer que les passeurs ont immédiatement voulu reprendre la main sur le camp ». Et faire régner la terreur, avec des armes à feu si nécessaire, comme nous l’avions écrit dans le journal de jeudi.
Mercredi, vers 19 h, un ressortissant iranien domicilié en Grande-Bretagne a été « victime » d’un coup de feu. Sa présence dans le camp pose question, car il ne s’agit pas d’un étranger en situation irrégulière candidat au passage vers l’Angleterre. Il aurait été entraîné par un groupe vers une personne non identifiée qui a sorti une arme à feu, lui tirant dessus. Il n’a été que légèrement blessé.
Entendu en tant que victime par la police, il a profité d’une pause lors des auditions pour s’enfuir. Cela après avoir annoncé qu’il ne souhaitait pas porter plainte. La police le suspecte évidemment d’être à la solde d’un réseau de passeurs venu reprendre la main sur le nouveau camp de Téteghem. Une rivalité entre réseaux expliquerait ce règlement de compte à l’arme à feu.
Mardi, le camp a été réaménagé sous forme de conteneurs, afin de limiter l’afflux des clandestins tout en leur offrant des conditions d’accueil plus dignes. Les tentes et les cabanes éparpillées dans la nature ont été enlevées. Au final, c’est toute l’organisation du camp qui a été revue. Franck Dhersin, le marie de Téteghem, nous confiait avant-hier : « Aussitôt a été constatée la présence de grosses cylindrées venues de Grande-Bretagne, ce qui laisse supposer que les passeurs ont immédiatement voulu reprendre la main sur le camp ». Et faire régner la terreur, avec des armes à feu si nécessaire, comme nous l’avions écrit dans le journal de jeudi.
par krouw2 » 21 Nov 2014, 12:10
bon désolé Manu, après avoir diffusé ta photo, balancé ton nom et donné toutes les infos sur ta famille , ce serait pas toi, sacré bluff de nos services de renseignements
tu l'avais dit en plus
manulosc a écrit:moi a Roubaix mais c est pas moi sur la photo
tu l'avais dit en plus
Hollande 2027
par Der » 27 Nov 2014, 14:31
Avesnes-le-Sec : ils versent du pétrole sur un handicapé, menacent d’y mettre le feu et repartent avec 50 euros
Les faits se sont déroulés début novembre, depuis les gendarmes enquêtent. Un homme de 64 ans, paraplégique, aurait été séquestré un début de soirée, à son domicile, par quatre hommes. Pour lui extorquer de l’argent. Pour l’intimider, les malfrats sont allés jusqu’à renverser du pétrole au sol et un peu sur la victime, en menaçant d’y mettre le feu.
Ce 3 novembre, les gendarmes de la brigade territoriale de Bouchain sont appelés vers 21 h 20 pour se rendre au domicile d’un Avesnois de 64 ans. L’homme vit seul, dans un ancien corps de ferme, au centre du village. Il est paraplégique et se déplace en fauteuil roulant, précise le parquet de Valenciennes.
Sur place, les militaires apprennent de la victime qu’entre 20 h 30 et 21 heures, quatre individus ont pénétré par effraction dans son domicile. L’un des auteurs étant passé par la petite fenêtre de la porte d’entrée.
Entravé avec du ruban adhésif, plusieurs coups légers à la tête
Selon le témoignage de la victime, à l’intérieur du domicile, les agresseurs lui auraient réclamé son argent et son coffre-fort, avant de l’entraver au niveau du ventre avec du ruban adhésif. Les quatre hommes ont des capuches ou écharpes qui dissimulent leur visage. Ils lui portent plusieurs coups légers à la tête.
Pour l’intimider, les assaillants seraient même allés jusqu’à renverser du pétrole au sol et un peu sur la victime, menaçant de mettre le feu. Des agresseurs qui finissent par découvrir 50 euros dans une sacoche et prennent la fuite.
Les faits se sont déroulés début novembre, depuis les gendarmes enquêtent. Un homme de 64 ans, paraplégique, aurait été séquestré un début de soirée, à son domicile, par quatre hommes. Pour lui extorquer de l’argent. Pour l’intimider, les malfrats sont allés jusqu’à renverser du pétrole au sol et un peu sur la victime, en menaçant d’y mettre le feu.
Ce 3 novembre, les gendarmes de la brigade territoriale de Bouchain sont appelés vers 21 h 20 pour se rendre au domicile d’un Avesnois de 64 ans. L’homme vit seul, dans un ancien corps de ferme, au centre du village. Il est paraplégique et se déplace en fauteuil roulant, précise le parquet de Valenciennes.
Sur place, les militaires apprennent de la victime qu’entre 20 h 30 et 21 heures, quatre individus ont pénétré par effraction dans son domicile. L’un des auteurs étant passé par la petite fenêtre de la porte d’entrée.
Entravé avec du ruban adhésif, plusieurs coups légers à la tête
Selon le témoignage de la victime, à l’intérieur du domicile, les agresseurs lui auraient réclamé son argent et son coffre-fort, avant de l’entraver au niveau du ventre avec du ruban adhésif. Les quatre hommes ont des capuches ou écharpes qui dissimulent leur visage. Ils lui portent plusieurs coups légers à la tête.
Pour l’intimider, les assaillants seraient même allés jusqu’à renverser du pétrole au sol et un peu sur la victime, menaçant de mettre le feu. Des agresseurs qui finissent par découvrir 50 euros dans une sacoche et prennent la fuite.
On se fait des bisous et on s'encule.
par krouw2 » 05 Déc 2014, 20:59
ils ont fermé Lanusse les paydays!!
Calais : l’entreprise Lanusse a fermé ses portes ce vendredi, 51 employés sur le carreau
Publié le 05/12/2014
L’entreprise de plâtrerie Lanusse a fermé ses portes ce vendredi, boulevard Victor-Hugo. Définitivement. Elle avait été placée en redressement judiciaire en mai.
Début novembre, le tribunal de commerce n’a pas laissé d’autre sursis et a mis la société en liquidation judiciaire avec cessation d’activité.
Début novembre, le tribunal de commerce n’a pas laissé d’autre sursis et a mis la société en liquidation judiciaire avec cessation d’activité. Cinquante et une personne se retrouvent aujourd’hui sans emploi. Ce vendredi, la direction n’a pas souhaité répondre à nos questions. Le représentant syndical n’a pas répondu à notre sollicitation. « N ous sommes dans une période de crise. Dans les appels d’offres, on subit une concurrence déloyale avec de la main-d’œuvre meilleur marché de l’Europe de l’Est », expliquait cependant Pascal Marquant, en novembre (délégué du personnel CFTC). La chute du nombre de permis de construire – entre 20 et 25 % – explique également la situation, précise-t-on chez Lanusse qui travaillait à 90-95 % pour des marchés publics. Créée en 1946 par Maurice Lanusse, la société appartenait toujours à la famille, qui en avait confié la gérance.
Calais : l’entreprise Lanusse a fermé ses portes ce vendredi, 51 employés sur le carreau
Publié le 05/12/2014
L’entreprise de plâtrerie Lanusse a fermé ses portes ce vendredi, boulevard Victor-Hugo. Définitivement. Elle avait été placée en redressement judiciaire en mai.
Début novembre, le tribunal de commerce n’a pas laissé d’autre sursis et a mis la société en liquidation judiciaire avec cessation d’activité.
Début novembre, le tribunal de commerce n’a pas laissé d’autre sursis et a mis la société en liquidation judiciaire avec cessation d’activité. Cinquante et une personne se retrouvent aujourd’hui sans emploi. Ce vendredi, la direction n’a pas souhaité répondre à nos questions. Le représentant syndical n’a pas répondu à notre sollicitation. « N ous sommes dans une période de crise. Dans les appels d’offres, on subit une concurrence déloyale avec de la main-d’œuvre meilleur marché de l’Europe de l’Est », expliquait cependant Pascal Marquant, en novembre (délégué du personnel CFTC). La chute du nombre de permis de construire – entre 20 et 25 % – explique également la situation, précise-t-on chez Lanusse qui travaillait à 90-95 % pour des marchés publics. Créée en 1946 par Maurice Lanusse, la société appartenait toujours à la famille, qui en avait confié la gérance.
Hollande 2027
par John Holmes » 11 Déc 2014, 17:21
dickadmin a écrit:FDP de kamini
Toi t'aimes pas la bagarre !
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par krouw2 » 11 Déc 2014, 18:16
même pas une photo de sa reutch
Arras : une femme condamnée pour agression sexuelle sur deux plombiers
Publié le 11/12/2014
Dans plus de 90 % des cas au tribunal d’Arras, les prévenus dans les affaires d’agression sexuelle sont des hommes. Mardi, c’est pourtant une femme d’une cinquantaine d’années qui était à la barre.
Les faits d’agression sexuelle d’une femme sur deux hommes remontent à octobre 2013 rue Dambrine à Arras.
Le cas est peu courant au tribunal correctionnel d’Arras. Une femme était poursuivie notamment pour agression sexuelle sur deux hommes.
Les faits remontent à octobre 2013. Des travaux de plomberie ont lieu dans l’immeuble, rue Dambrine, à Arras, de I. D., bientôt la cinquantaine. Après des travaux dans les parties communes, les ouvriers doivent aller dans son appartement. Et ils ne s’attendaient pas du tout à ce qui va allait arriver.
Ils sentent de suite une odeur d’alcool et voient que la femme n’est pas dans un état normal. « Je suis alcoolique depuis quinze ans. Un alcoolisme intime et solitaire », confie-t-elle devant le tribunal.
Un des hommes répare son chauffage. I. D. a une vue sur son postérieur. Elle décide de lui caresser le dos. Mais pas que ça. Et joint les gestes à la parole. « Après avoir décroché les radiateurs, viens dans mon lit ! », clame-t-elle notamment. La présidente du tribunal Hibon : « Lui n’était pas trop d’accord. Il vous l’a pourtant dit ! »
Après ce refus, la locataire se tourne vers le second ouvrier, et lui demande pourquoi son collègue refuse ses avances. Elle décide alors de fermer les volets de l’appartement. Et de reprendre le bal de ses propositions malsaines. au gré de formules toujours plus évocatrices et vulgaires. Devant le refus combiné des deux ouvriers, elle frappe l’un d’eux à l’oreille. Elle s’enferme dans son appartement et garde le matériel des artisans.
Le lendemain, après l’intervention de la police pour récupérer le matériel et l’interpeller, elle donnera une nouvelle claque, au concierge cette fois-ci. « Après cette affaire, j’ai sombré encore plus dans l’alcool. À un niveau vraiment morbide. Je ne me lavais plus et je ne sortais plus de chez moi. J’ai fait un coma éthylique. Un matin de mars, c’est mon chat qui m’a réveillé. Depuis ce jour, j’ai décidé de me prendre en main. Je ne bois plus depuis huit mois et j’ai entamé une formation pour être assistante de vie. » À la barre du tribunal, I. D. s’excuse. « Je n’ai pas eu un comportement normal ce jour-là avec les ouvriers. J’ai fait un burn out. »
Elle a été condamnée à douze mois de prison avec sursis avec mise à l’épreuve pendant deux ans. Elle devra suivre une obligation de soins pour son alcoolisme et verser 1 000 € de dommages et intérêts.
Arras : une femme condamnée pour agression sexuelle sur deux plombiers
Publié le 11/12/2014
Dans plus de 90 % des cas au tribunal d’Arras, les prévenus dans les affaires d’agression sexuelle sont des hommes. Mardi, c’est pourtant une femme d’une cinquantaine d’années qui était à la barre.
Les faits d’agression sexuelle d’une femme sur deux hommes remontent à octobre 2013 rue Dambrine à Arras.
Le cas est peu courant au tribunal correctionnel d’Arras. Une femme était poursuivie notamment pour agression sexuelle sur deux hommes.
Les faits remontent à octobre 2013. Des travaux de plomberie ont lieu dans l’immeuble, rue Dambrine, à Arras, de I. D., bientôt la cinquantaine. Après des travaux dans les parties communes, les ouvriers doivent aller dans son appartement. Et ils ne s’attendaient pas du tout à ce qui va allait arriver.
Ils sentent de suite une odeur d’alcool et voient que la femme n’est pas dans un état normal. « Je suis alcoolique depuis quinze ans. Un alcoolisme intime et solitaire », confie-t-elle devant le tribunal.
Un des hommes répare son chauffage. I. D. a une vue sur son postérieur. Elle décide de lui caresser le dos. Mais pas que ça. Et joint les gestes à la parole. « Après avoir décroché les radiateurs, viens dans mon lit ! », clame-t-elle notamment. La présidente du tribunal Hibon : « Lui n’était pas trop d’accord. Il vous l’a pourtant dit ! »
Après ce refus, la locataire se tourne vers le second ouvrier, et lui demande pourquoi son collègue refuse ses avances. Elle décide alors de fermer les volets de l’appartement. Et de reprendre le bal de ses propositions malsaines. au gré de formules toujours plus évocatrices et vulgaires. Devant le refus combiné des deux ouvriers, elle frappe l’un d’eux à l’oreille. Elle s’enferme dans son appartement et garde le matériel des artisans.
Le lendemain, après l’intervention de la police pour récupérer le matériel et l’interpeller, elle donnera une nouvelle claque, au concierge cette fois-ci. « Après cette affaire, j’ai sombré encore plus dans l’alcool. À un niveau vraiment morbide. Je ne me lavais plus et je ne sortais plus de chez moi. J’ai fait un coma éthylique. Un matin de mars, c’est mon chat qui m’a réveillé. Depuis ce jour, j’ai décidé de me prendre en main. Je ne bois plus depuis huit mois et j’ai entamé une formation pour être assistante de vie. » À la barre du tribunal, I. D. s’excuse. « Je n’ai pas eu un comportement normal ce jour-là avec les ouvriers. J’ai fait un burn out. »
Elle a été condamnée à douze mois de prison avec sursis avec mise à l’épreuve pendant deux ans. Elle devra suivre une obligation de soins pour son alcoolisme et verser 1 000 € de dommages et intérêts.
Hollande 2027
par SAV » 19 Déc 2014, 22:50
Auchel : un commerçant ivre, en lingerie, dans la vitrine de son magasin…
Publié le 18/12/2014
Ceux qui sont passés devant ce magasin du centre-ville d’Auchel ont littéralement halluciné, mardi après-midi…
Le commerçant auchellois se serait bien passé de cette publicité.
Dans la vitrine de ce magasin du centre-ville d’Auchel, pas de père Noël mais le commerçant affublé d’une perruque blonde, portant lingerie et porte-jarretelles qui laissaient apparaître ses attributs… En apercevant la scène, vers 15 h 30 mardi, une passante a alerté les policiers qui ont interpellé cet exhibitionniste. Ivre (avec un taux de 1,5 gramme), le commerçant quadragénaire a été placé en dégrisement. L’homme, pas fier de son comportement, a quitté le commissariat avec une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité au tribunal.
Publié le 18/12/2014
Ceux qui sont passés devant ce magasin du centre-ville d’Auchel ont littéralement halluciné, mardi après-midi…
Le commerçant auchellois se serait bien passé de cette publicité.
Dans la vitrine de ce magasin du centre-ville d’Auchel, pas de père Noël mais le commerçant affublé d’une perruque blonde, portant lingerie et porte-jarretelles qui laissaient apparaître ses attributs… En apercevant la scène, vers 15 h 30 mardi, une passante a alerté les policiers qui ont interpellé cet exhibitionniste. Ivre (avec un taux de 1,5 gramme), le commerçant quadragénaire a été placé en dégrisement. L’homme, pas fier de son comportement, a quitté le commissariat avec une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité au tribunal.
Brigitte Macron 2027.
par Xylophène » 19 Déc 2014, 23:25
Si on peut plus montrer ses boules à Noël...
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
par boban » 20 Déc 2014, 16:47
La descente du père Noël sur le fronton de l’hôtel de ville de Roubaix était censée être un moment plutôt bon enfant. Ce vendredi soir, on se serait pourtant cru à un lâcher de fauves autour de leur proie.
Sans barrière pour le protéger, le gros bonhomme rouge avait à peine posé un pied à terre que les centaines d’enfants se sont ruées sur lui et son panier de bonbons. Certains bambins ont désespérément tenté de l’approcher pour lui donner une liste de cadeaux. Peine perdue.
La perruque et le costume rouge du pauvre homme en ont pris un coup et son sourire n’était plus vraiment le même pour les photos qui devaient être prises après dans l’enceinte de la mairie. Blague à part, on compte tout de même deux blessés légers dans la mêlée. Ah, la magie de Noël…
L’entreprise Quali-Corde, qui assurait la descente, a posté cette vidéo sur internet ce samedi :
Sans barrière pour le protéger, le gros bonhomme rouge avait à peine posé un pied à terre que les centaines d’enfants se sont ruées sur lui et son panier de bonbons. Certains bambins ont désespérément tenté de l’approcher pour lui donner une liste de cadeaux. Peine perdue.
La perruque et le costume rouge du pauvre homme en ont pris un coup et son sourire n’était plus vraiment le même pour les photos qui devaient être prises après dans l’enceinte de la mairie. Blague à part, on compte tout de même deux blessés légers dans la mêlée. Ah, la magie de Noël…
L’entreprise Quali-Corde, qui assurait la descente, a posté cette vidéo sur internet ce samedi :
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