[O1T] Déprogression
par rhazelle » 16 Fév 2015, 23:02
bordel je ne l'avais absolument pas reconnu la catherine! le désastre!
on a des précurseurs en France :
mais le "must" c'est elle, une chamelle :
on a des précurseurs en France :
mais le "must" c'est elle, une chamelle :
Et la photo de ta collection de godes que John Holmes a posté l'autre jour , ça vient du Journal de Mickey ?
par fernando » 18 Fév 2015, 22:05
Encore 217 usines fermées en France en 2014
Le Monde | 18.02.2015 à 08h40 • Mis à jour le 18.02.2015 à 09h11 | Par Denis Cosnard
La désindustrialisation de la France n’est pas une chimère. Les données publiées, mercredi 18 février, par Trendeo le prouvent : malgré tous les efforts des pouvoirs publics, le pays continue à voir ses usines disparaître.
Quelque 217 fermetures de sites ont été annoncées en 2014, selon ce cabinet, qui recense toutes les informations de ce type. C’est un peu moins qu’en 2013, où 267 fermetures avaient été enregistrées.
Mais depuis la tempête économique de 2008-2009, entraînée par la chute de la banque américaine Lehman Brothers, la France ne parvient pas à enrayer durablement le mouvement, et plus de 200 sites, petits ou grands, sont rayés de la carte chaque année, notamment à la suite de liquidations judiciaires.
Le 10 février encore, le fabricant de portes américain Jeld-Wen a annoncé l’arrêt prochain de son activité à Argentré-du-Plessis près de Vitré (Ille-et-Vilaine), qui emploie 105 salariés et 25 intérimaires. Une mesure justifiée officiellement par la déprime du marché français de la construction.
Depuis 2009, 1 576 usines ont fermé et 1 000 ont ouvert
Ces suppressions ne seraient pas dramatiques si une floraison d’autres usines apparaissait dans le même temps. Ce n’est pas le cas. En 2014, Trendeo a certes identifié 163 annonces de créations d’usines ou d’ateliers, un nombre en progression par rapport aux 122 de l’année précédente.
Mais « si les créations d’usines sont en hausse et les suppressions se réduisent, le rythme de cette évolution est encore insuffisant pour que le solde net devienne positif », constate David Cousquer, le fondateur de Trendeo.
Au total, l’Hexagone compte 54 sites industriels de moins qu’un an auparavant. Depuis 2009, ce qui correspond au début de la crise, environ 1 576 usines ont ainsi fermé leurs portes, tandis que 1 000 ont ouvert les leurs. Soit 576 sites en moins en six ans.
Signe supplémentaire que la France est loin d’avoir retrouvé son tonus industriel, « les usines qui se créent sont de plus en plus petites en termes d’emplois », note David Cousquer. En moyenne, elles comptaient seulement 49 emplois par site en 2014, contre 84 emplois en 2012.
Ce déclin ne date pas de la faillite de Lehman Brothers. « La France est la grande perdante de l’industrie européenne depuis 1990 », soulignent les économistes Elie Cohen et Pierre-André Buigues dans leur livre Le Décrochage industriel (Fayard, 2014). Pour l’heure, aucun signe annonciateur d’un retournement de tendance n’est perceptible.
Le Monde | 18.02.2015 à 08h40 • Mis à jour le 18.02.2015 à 09h11 | Par Denis Cosnard
La désindustrialisation de la France n’est pas une chimère. Les données publiées, mercredi 18 février, par Trendeo le prouvent : malgré tous les efforts des pouvoirs publics, le pays continue à voir ses usines disparaître.
Quelque 217 fermetures de sites ont été annoncées en 2014, selon ce cabinet, qui recense toutes les informations de ce type. C’est un peu moins qu’en 2013, où 267 fermetures avaient été enregistrées.
Mais depuis la tempête économique de 2008-2009, entraînée par la chute de la banque américaine Lehman Brothers, la France ne parvient pas à enrayer durablement le mouvement, et plus de 200 sites, petits ou grands, sont rayés de la carte chaque année, notamment à la suite de liquidations judiciaires.
Le 10 février encore, le fabricant de portes américain Jeld-Wen a annoncé l’arrêt prochain de son activité à Argentré-du-Plessis près de Vitré (Ille-et-Vilaine), qui emploie 105 salariés et 25 intérimaires. Une mesure justifiée officiellement par la déprime du marché français de la construction.
Depuis 2009, 1 576 usines ont fermé et 1 000 ont ouvert
Ces suppressions ne seraient pas dramatiques si une floraison d’autres usines apparaissait dans le même temps. Ce n’est pas le cas. En 2014, Trendeo a certes identifié 163 annonces de créations d’usines ou d’ateliers, un nombre en progression par rapport aux 122 de l’année précédente.
Mais « si les créations d’usines sont en hausse et les suppressions se réduisent, le rythme de cette évolution est encore insuffisant pour que le solde net devienne positif », constate David Cousquer, le fondateur de Trendeo.
Au total, l’Hexagone compte 54 sites industriels de moins qu’un an auparavant. Depuis 2009, ce qui correspond au début de la crise, environ 1 576 usines ont ainsi fermé leurs portes, tandis que 1 000 ont ouvert les leurs. Soit 576 sites en moins en six ans.
Signe supplémentaire que la France est loin d’avoir retrouvé son tonus industriel, « les usines qui se créent sont de plus en plus petites en termes d’emplois », note David Cousquer. En moyenne, elles comptaient seulement 49 emplois par site en 2014, contre 84 emplois en 2012.
Ce déclin ne date pas de la faillite de Lehman Brothers. « La France est la grande perdante de l’industrie européenne depuis 1990 », soulignent les économistes Elie Cohen et Pierre-André Buigues dans leur livre Le Décrochage industriel (Fayard, 2014). Pour l’heure, aucun signe annonciateur d’un retournement de tendance n’est perceptible.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 05 Mars 2015, 22:04
j'ai découvert l'existence de cet objet indispensable le we dernier... monde de merde
Etats-Unis: Les «perches à selfie» bannies des musées de Washington
SOCIETE - L'interdiction est mise en place «pour protéger les visiteurs et les objets, notamment quand il y a beaucoup de monde»...
Déjà interdites au Hirshborn Museum et Sculpture Garden depuis la mi-février, les «perches à selfie», sont désormais interditse dans tous les musées nationaux de Washington (Etats-Unis).
Une mesure courante dans les musées américains
«Nous encourageons les visiteurs à se prendre en photo et à partager leur visite, mais ils doivent laisser leurs bras à selfies dans leurs sacs», précise un communiqué du Smithsonian, l'institution chapeautant les musées de la Ville. «Mesure préventive», l'interdiction de ces bras télescopiques est mise en place «pour protéger les visiteurs et les objets, notamment quand il y a beaucoup de monde».
Loin d'être inédite, la mesure est de plus en plus courante dans les musées américains. La National Gallery de Washington, le MoMA (Museum of Modern Art) de New York, le musée des Beaux-arts de Boston ou le Getty Center de Los Angeles ont déjà, eux, interdit d'entrée ces fameuses «perches à selfie».
Etats-Unis: Les «perches à selfie» bannies des musées de Washington
SOCIETE - L'interdiction est mise en place «pour protéger les visiteurs et les objets, notamment quand il y a beaucoup de monde»...
Déjà interdites au Hirshborn Museum et Sculpture Garden depuis la mi-février, les «perches à selfie», sont désormais interditse dans tous les musées nationaux de Washington (Etats-Unis).
Une mesure courante dans les musées américains
«Nous encourageons les visiteurs à se prendre en photo et à partager leur visite, mais ils doivent laisser leurs bras à selfies dans leurs sacs», précise un communiqué du Smithsonian, l'institution chapeautant les musées de la Ville. «Mesure préventive», l'interdiction de ces bras télescopiques est mise en place «pour protéger les visiteurs et les objets, notamment quand il y a beaucoup de monde».
Loin d'être inédite, la mesure est de plus en plus courante dans les musées américains. La National Gallery de Washington, le MoMA (Museum of Modern Art) de New York, le musée des Beaux-arts de Boston ou le Getty Center de Los Angeles ont déjà, eux, interdit d'entrée ces fameuses «perches à selfie».
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par triple5 » 06 Mars 2015, 12:30
putain quand j'était étudiant j'ai fait un stage dans une agence réceptive sur Lille...j'ai passer 2 mois à accompagner des groupes de touristes dans la région...
les Japs ils sont relativement cool à gérer...faut juste faire attention à pas les mélanger avec un autre groupe de Japs...
Par contre les Noiches stune horreur...des grands malades...
les Japs ils sont relativement cool à gérer...faut juste faire attention à pas les mélanger avec un autre groupe de Japs...
Par contre les Noiches stune horreur...des grands malades...
par triple5 » 06 Mars 2015, 16:13
ouép y'en a ...pas des masses mais y'en a.
Les japs du fait du peu de temps de vacances qu'ils ont font des combos...la plupart des groupes de tchongs que j'avait faisaient Paris-Londres et passaient donc une nuit sur lille
Sinon la plupart des groupes que j'avais ct des britons...j'ai eu aussi des Néo Zed, des Aussies, des Ricains, des Canadiens etc... souvent des groupes qui font les cimetières de la WW1 et qui font une journée sur Lille.
Mais on en croise pas beaucoup dans les rues parce qu'ils font tour de la ville en bus puis arrêt shopping au Printemps c'est tout...puis ce sont des petits groupes...15-20 personnes maxi
Les japs du fait du peu de temps de vacances qu'ils ont font des combos...la plupart des groupes de tchongs que j'avait faisaient Paris-Londres et passaient donc une nuit sur lille
Sinon la plupart des groupes que j'avais ct des britons...j'ai eu aussi des Néo Zed, des Aussies, des Ricains, des Canadiens etc... souvent des groupes qui font les cimetières de la WW1 et qui font une journée sur Lille.
Mais on en croise pas beaucoup dans les rues parce qu'ils font tour de la ville en bus puis arrêt shopping au Printemps c'est tout...puis ce sont des petits groupes...15-20 personnes maxi
par triple5 » 06 Mars 2015, 16:39
Dageek a écrit:T en a trop dit ou pas assez
Les noiches c'est des grands grands malades, il faut vraiment espérer qu'il ne gouverneront pas le monde un jour!
j'ai eu seulement 3 groupes de noiches ... mais j'ai tellement de choses à raconter que s'en est pas crédible.
Du genre :-
- j'arrive le matin à l'hôtel avec leur guide-traducteur, rdv prévu à 9h...à 10h il manque encore la moitié du groupe, les chambres sont vides. personne ne sait ou ils sont. en fait ils n'aimaient pas trop l'hôtel ( Crowne Plaza Lille Europe) et ils ont pris un taxi pour chercher un autre hotel...c'est la réception de cet hotel qui nous a appelé à 10h30 pour nous dire qu'ils nous attendaient.
- aller au toilette du resto et chopper 2 mecs qui s'éclatent à pisser dans l'urinoir le plus loin possible...
- un autre coup un réceptionniste noir se fait cracher dessus.
- les mecs qui te demande de leur trouver de la coke, de manière très insistante. en me tenant le bras et qui ne veulent pas me lâcher
- un autre coup des mecs qui achètent des bouteilles de pinard à emporter au resto et qui les boivent à la bouteille sur les fauteuils à coté des chiottes du printemps pendant que les dames font leur shopping.
etc..
je sais pas si j'ai pas eu de chance ou quoi mais c'était les seuls avec qui j'ai eu des problèmes!
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