[01T] Glorification de la région
par Giallo » 25 Mars 2015, 10:08
Une Nœuxoise, qui vit seule dans une maison de la rue Général-Leclerc, a été réveillée au milieu de la nuit, vers 2 h 45, dimanche, en entendant du bruit dans son salon. Elle a aussitôt pensé à un cambriolage et a appelé la police.
Dans son salon, elle a trouvé deux hommes, visiblement très alcoolisés, endormis dans son canapé. Même ses cris ne les ont pas réveillés…
Des équipages de police secours et de la brigade anti-criminalité sont rapidement intervenus et ont investi la maison avant d’interpeller les deux hommes qui n’avaient rien de voleurs. Juste deux fêtards qui, au commissariat, ont expliqué avoir « un trou noir ». Aucun souvenir jusqu’à ce que les deux Bruaysiens se réveillent « avec plein de flics au-dessus de nous… ». Un réveil qu’on imagine quelque peu perturbant… Autant peut-être que celui de la Nœuxoise qui a trouvé des inconnus chez elle… Les deux hommes, originaires de Bruay, se sont longuement excusés auprès de celle qui a vraiment eu peur.
Rappel à la loi pour violation de domicile
Les deux Bruaysiens ont raconté aux policiers qu’ils étaient venus chez un ami à Nœux dans l’après-midi et avaient vidé quelques verres. Le duo avait décidé de poursuivre la soirée dans un bar mais leur ami ne les a pas suivis. Comme ils n’étaient déjà plus en état de reprendre la voiture pour rentrer à Bruay, il leur a dit de passer la nuit chez lui et qu’il laisserait la porte d’entrée ouverte. N’ayant pas à se soucier du retour à la maison, le duo a passé la soirée à s’alcooliser. Et a visiblement chargé la mule… Le problème, c’est que toutes les maisons de la rue du Général-Leclerc se ressemblent un peu, des petites maisons en briques rouges avec un petit jardin. Et en voulant rentrer chez leur ami, les deux Bruaysiens se sont tout simplement trompés de maison. N’étant pas très frais, ils ont insisté sur la poignée de la porte d’une maison jusqu’à ce qu’elle s’ouvre. Ils se sont affalés dans le canapé, sans se rendre compte que le décor n’était pas celui qu’ils avaient vu l’après-midi…
Les deux Bruaysiens, qui se sont confondus en excuses, n’ont causé aucune dégradation et ne se sont pas rendus coupables de violences. Si la Nœuxoise a malgré tout porté plainte, le duo s'en sort avec un rappel à la loi devant le délégué du procureur pour violation de domicile.
Dans son salon, elle a trouvé deux hommes, visiblement très alcoolisés, endormis dans son canapé. Même ses cris ne les ont pas réveillés…
Des équipages de police secours et de la brigade anti-criminalité sont rapidement intervenus et ont investi la maison avant d’interpeller les deux hommes qui n’avaient rien de voleurs. Juste deux fêtards qui, au commissariat, ont expliqué avoir « un trou noir ». Aucun souvenir jusqu’à ce que les deux Bruaysiens se réveillent « avec plein de flics au-dessus de nous… ». Un réveil qu’on imagine quelque peu perturbant… Autant peut-être que celui de la Nœuxoise qui a trouvé des inconnus chez elle… Les deux hommes, originaires de Bruay, se sont longuement excusés auprès de celle qui a vraiment eu peur.
Rappel à la loi pour violation de domicile
Les deux Bruaysiens ont raconté aux policiers qu’ils étaient venus chez un ami à Nœux dans l’après-midi et avaient vidé quelques verres. Le duo avait décidé de poursuivre la soirée dans un bar mais leur ami ne les a pas suivis. Comme ils n’étaient déjà plus en état de reprendre la voiture pour rentrer à Bruay, il leur a dit de passer la nuit chez lui et qu’il laisserait la porte d’entrée ouverte. N’ayant pas à se soucier du retour à la maison, le duo a passé la soirée à s’alcooliser. Et a visiblement chargé la mule… Le problème, c’est que toutes les maisons de la rue du Général-Leclerc se ressemblent un peu, des petites maisons en briques rouges avec un petit jardin. Et en voulant rentrer chez leur ami, les deux Bruaysiens se sont tout simplement trompés de maison. N’étant pas très frais, ils ont insisté sur la poignée de la porte d’une maison jusqu’à ce qu’elle s’ouvre. Ils se sont affalés dans le canapé, sans se rendre compte que le décor n’était pas celui qu’ils avaient vu l’après-midi…
Les deux Bruaysiens, qui se sont confondus en excuses, n’ont causé aucune dégradation et ne se sont pas rendus coupables de violences. Si la Nœuxoise a malgré tout porté plainte, le duo s'en sort avec un rappel à la loi devant le délégué du procureur pour violation de domicile.
ce message ne vient pas de moi
par karmelille » 25 Mars 2015, 16:27
j'avais vu l'info la semaine dernière. franchement ça me tente.
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
par karmelille » 25 Mars 2015, 17:28
j pense aussi.
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
par bitadmin » 26 Mars 2015, 19:08
La belle vie de Ruitos.....
Les faits remontent au 11 mars dernier, aux alentours de 20 heures, mais les investigations des enquêteurs de la sûreté urbaine de Roubaix ont permis l’interpellation d’un suspect en ce début de semaine. Ce mercredi là, un homme aborde une jeune fille âgée de 17 ans, dans une station de métro de Roubaix. Alors que celle-ci se dirige vers la rame pour « esquiver » ce qu’elle prend pour un dragueur un peu lourd, ce dernier s’approche d’elle et l’embrasse de force.
Elle le repousse à deux reprises
L’adolescente réussit à le repousser. L’homme insiste, tente de lui caresser la poitrine. Elle le repousse encore. L’agresseur abaisse alors son pantalon, exhibe son sexe tout en exigeant une fellation, dans des termes plus ou moins fleuris que la décence nous interdit de nommer ici. La victime réussit néanmoins à le faire fuir et récupére la rame du métro.
Interpellé grâce aux caméras vidéos
Dans la foulée, une plainte est déposée. Repéré sur les caméras de vidéosurveillance, un suspect a été interpellé puis placé en garde à vue. Rien n’a filtré de ses déclarations devant les policiers de la brigade des mœurs. Âgé de 25 ans, ce Roubaisien a été déféré devant les services du parquet de Lille. Il a été remis en liberté, avec en poche, un contrôle judiciaire et une convocation pour une prochaine audience devant le tribunal correctionnel.
Les faits remontent au 11 mars dernier, aux alentours de 20 heures, mais les investigations des enquêteurs de la sûreté urbaine de Roubaix ont permis l’interpellation d’un suspect en ce début de semaine. Ce mercredi là, un homme aborde une jeune fille âgée de 17 ans, dans une station de métro de Roubaix. Alors que celle-ci se dirige vers la rame pour « esquiver » ce qu’elle prend pour un dragueur un peu lourd, ce dernier s’approche d’elle et l’embrasse de force.
Elle le repousse à deux reprises
L’adolescente réussit à le repousser. L’homme insiste, tente de lui caresser la poitrine. Elle le repousse encore. L’agresseur abaisse alors son pantalon, exhibe son sexe tout en exigeant une fellation, dans des termes plus ou moins fleuris que la décence nous interdit de nommer ici. La victime réussit néanmoins à le faire fuir et récupére la rame du métro.
Interpellé grâce aux caméras vidéos
Dans la foulée, une plainte est déposée. Repéré sur les caméras de vidéosurveillance, un suspect a été interpellé puis placé en garde à vue. Rien n’a filtré de ses déclarations devant les policiers de la brigade des mœurs. Âgé de 25 ans, ce Roubaisien a été déféré devant les services du parquet de Lille. Il a été remis en liberté, avec en poche, un contrôle judiciaire et une convocation pour une prochaine audience devant le tribunal correctionnel.
par krouw2 » 26 Mars 2015, 20:45
bitadmin a écrit:. L’agresseur abaisse alors son pantalon, exhibe son sexe tout en exigeant une fellation, dans des termes plus ou moins fleuris que la décence nous interdit de nommer ici.
"chalope tou me chouche" aurait déclaré le malotru
Hollande 2027
par John Holmes » 26 Mars 2015, 21:08
Il est pas tourquennois not' Ruitos ?
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par John Holmes » 26 Mars 2015, 23:05
Epeule Street en effet, c'est assez select, très bon choix Ruitos.
J'ai pas mal fréquenté rue des arts non loin !
J'ai pas mal fréquenté rue des arts non loin !
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par Victor » 27 Mars 2015, 10:46
Roubaix: Ils rapportaient 30.000 euros au réseau qui les forçait à mendier
Ils sont sept. Sept ressortissants bulgares que des gros bras forçaient, depuis plus d'un an, à mendier à Roubaix et alentours. Ces victimes ont été libérées de l'emprise d'un véritable réseau mafieux, le 24 mars, suite à l'intervention des forces de police la Sûreté départementale du Nord.
L'enquête a débuté en octobre 2014, lorsqu'un homme d'une soixantaine d'années s'est présenté à Paris, après avoir échappé au réseau basé à Roubaix. Pris en charge par un officier de liaison de l'ambassade de Bulgarie, l'homme a raconté un parcours édifiant.
La mère du chef de clan assurait l'intendance à Roubaix
A Sofia (capitale de la Bulgarie) il a été contacté par un «clan mafieux», selon les enquêteurs, qui se faisait passer pour une organisation de recrutement. On lui a fait miroiter la perspective d'un contrat de travail «bien rémunéré» dans le nord de la France. Cerise sur le gâteau: le voyage en avion, par Bruxelles, est payé par les recruteurs.
Mais une fois sur place, la réalité est toute autre, et malheureusement classique dans ce type d'affaire: l'homme est sommé de rembourser le billet d'avion en mendiant, et sa carte d'identité lui est confisquée. «Un gros bras assumait un rôle de lieutenant pour surveiller les mendiants, et la mère du chef de clan assurait l'intendance depuis Roubaix», rapporte une source proche de l'enquête. Selon les premiers éléments de l'enquête, des faits de violences régulières ont été rapportés par certaines victimes.
Jusqu'à 30.000 euros par mendiant
Les revenus dégagés par l'activité sont en tout cas impressionnants: chacune des sept victimes attirées à Roubaix rapportait 30.000 euros à ses chaperons, en comptant l'argent de la mendicité et les fraudes aux prestations sociales.
«On est dans une véritable organisation criminelle», commente les enquêteurs, appuyés par le Groupement d'intervention Régional (GIR), qui a retrouvé des preuves de transfert d'argent vers la Bulgarie.
Placée en garde à vue, la mère du chef de clan, âgée d'environ 60 ans, devrait être présentée vendredi à un juge d'instruction en vue d'une mise en examen. Depuis 2003, l'exploitation de réseaux de mendicité en bande organisée est punie de peines allant jusqu'à 10 ans de prison et 1.500.000 euros d'amende.
Ils sont sept. Sept ressortissants bulgares que des gros bras forçaient, depuis plus d'un an, à mendier à Roubaix et alentours. Ces victimes ont été libérées de l'emprise d'un véritable réseau mafieux, le 24 mars, suite à l'intervention des forces de police la Sûreté départementale du Nord.
L'enquête a débuté en octobre 2014, lorsqu'un homme d'une soixantaine d'années s'est présenté à Paris, après avoir échappé au réseau basé à Roubaix. Pris en charge par un officier de liaison de l'ambassade de Bulgarie, l'homme a raconté un parcours édifiant.
La mère du chef de clan assurait l'intendance à Roubaix
A Sofia (capitale de la Bulgarie) il a été contacté par un «clan mafieux», selon les enquêteurs, qui se faisait passer pour une organisation de recrutement. On lui a fait miroiter la perspective d'un contrat de travail «bien rémunéré» dans le nord de la France. Cerise sur le gâteau: le voyage en avion, par Bruxelles, est payé par les recruteurs.
Mais une fois sur place, la réalité est toute autre, et malheureusement classique dans ce type d'affaire: l'homme est sommé de rembourser le billet d'avion en mendiant, et sa carte d'identité lui est confisquée. «Un gros bras assumait un rôle de lieutenant pour surveiller les mendiants, et la mère du chef de clan assurait l'intendance depuis Roubaix», rapporte une source proche de l'enquête. Selon les premiers éléments de l'enquête, des faits de violences régulières ont été rapportés par certaines victimes.
Jusqu'à 30.000 euros par mendiant
Les revenus dégagés par l'activité sont en tout cas impressionnants: chacune des sept victimes attirées à Roubaix rapportait 30.000 euros à ses chaperons, en comptant l'argent de la mendicité et les fraudes aux prestations sociales.
«On est dans une véritable organisation criminelle», commente les enquêteurs, appuyés par le Groupement d'intervention Régional (GIR), qui a retrouvé des preuves de transfert d'argent vers la Bulgarie.
Placée en garde à vue, la mère du chef de clan, âgée d'environ 60 ans, devrait être présentée vendredi à un juge d'instruction en vue d'une mise en examen. Depuis 2003, l'exploitation de réseaux de mendicité en bande organisée est punie de peines allant jusqu'à 10 ans de prison et 1.500.000 euros d'amende.
par Xylophène » 27 Mars 2015, 11:20
Faut quand même être très con pour, parmi les 36 000 communes françaises, choisir de mendier dans l'une des plus pauvres par tête de pipe.
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
par SAV » 30 Mars 2015, 16:44
Roncq : elle fait sa demande de PACS en plein hypermarché
VDN
Imaginez un hypermarché en plein samedi après-midi. C’est dans la foule des clients qu’Emmanuelle a fait sa demande de PACS à Christophe avec la complicité des employés d’Auchan… qui ont mis la vidéo en ligne.
Lui. Il s’appelle Christophe, il a 42 ans et est surnommé « Chou ». Le Tourquennois a notamment une passion dans la vie : les promotions, les rabais et autres bonnes affaires. Il scrute, guette, épluche les prospectus et notamment ceux ornés d’un rouge-gorge. Car c’est là dans les rayons de l’hypermarché de Roncq, à deux pas de son domicile du Pont de Neuville, qu’il sévit. « Mon compagnon est le roi des bonnes affaires, pour tout et n’importe quoi, témoigne sa compagne Emmanuelle. Il va à Auchan dès qu’il a un achat à faire. » C’est-à-dire quatre à cinq fois par semaine. Les employés le reconnaissent. Alors quand il a reçu une lettre pour lui annoncer qu’il était le meilleur client de la semaine et qu’il devait venir chercher son cadeau le samedi après-midi, il ne s’est pas vraiment étonné.
Elle. Elle s’appelle Emmanuelle. Elle a 35 ans. Elle aime Christophe, elle sait qu’un jour ils se marieront. « Mais pour cela on met de l’argent de côté. Alors ce n’est pas pour tout de suite. » Pour l’instant, elle rénove le loft qu’ils habitent et imagine des idées de déco, mais pas seulement. « J’ai eu envie que l’on se pacse avant le mariage. Alors j’ai réfléchi au lieu qu’il aimait le plus et évidemment j’ai pensé à Auchan ! »
Un jour exceptionnel où elle est chargée de courses, elle glisse à la caissière qu’elle aimerait bien offrir à son compagnon la signature d’un PACS. « Je voulais juste faire une annonce au micro. » La caissière en parle à la direction (lire ci-dessous) et propose à Emmanuelle de faire ça dans le magasin. Ensemble ils décident d’envoyer une lettre à Christophe pour l’inciter à venir le 21 février dans le magasin.
Eux. Ce jour-là, Christophe est surpris : sa mère décide de l’accompagner à Auchan. « Je ne comprenais pas pourquoi elle voulait venir ». Chou arrive et est reçu par des employés d’Auchan qui le mènent au centre de l’hypermarché. Là, une Gopro lui est fixée sur la tête. « Je ne comprenais pas trop ce qui se passait. Surtout que mes amis et ma famille sont arrivés. En fait je cherchais surtout Emmanuelle, et je ne la voyais pas. » Emmanuelle est enfermée dans un paquet cadeau. Après quelques animations préparées par les employés, elle sort sous les regards surpris et amusés des clients. Fait sa demande avec une énorme bague préparée par le personnel. « Je ne pouvais qu’accepter », commente Christophe.
La direction de l’hypermarché offre le champagne, Auchan reprend sa vie normale d’un samedi après-midi. « C’est aujourd’hui un magnifique souvenir. C’est quelque chose qui nous ressemble même si certains peuvent trouver que ce n’est pas romantique. » Emmanuelle et Chou ont signé le PACS, trois semaines plus tard.
VDN
Imaginez un hypermarché en plein samedi après-midi. C’est dans la foule des clients qu’Emmanuelle a fait sa demande de PACS à Christophe avec la complicité des employés d’Auchan… qui ont mis la vidéo en ligne.
Lui. Il s’appelle Christophe, il a 42 ans et est surnommé « Chou ». Le Tourquennois a notamment une passion dans la vie : les promotions, les rabais et autres bonnes affaires. Il scrute, guette, épluche les prospectus et notamment ceux ornés d’un rouge-gorge. Car c’est là dans les rayons de l’hypermarché de Roncq, à deux pas de son domicile du Pont de Neuville, qu’il sévit. « Mon compagnon est le roi des bonnes affaires, pour tout et n’importe quoi, témoigne sa compagne Emmanuelle. Il va à Auchan dès qu’il a un achat à faire. » C’est-à-dire quatre à cinq fois par semaine. Les employés le reconnaissent. Alors quand il a reçu une lettre pour lui annoncer qu’il était le meilleur client de la semaine et qu’il devait venir chercher son cadeau le samedi après-midi, il ne s’est pas vraiment étonné.
Elle. Elle s’appelle Emmanuelle. Elle a 35 ans. Elle aime Christophe, elle sait qu’un jour ils se marieront. « Mais pour cela on met de l’argent de côté. Alors ce n’est pas pour tout de suite. » Pour l’instant, elle rénove le loft qu’ils habitent et imagine des idées de déco, mais pas seulement. « J’ai eu envie que l’on se pacse avant le mariage. Alors j’ai réfléchi au lieu qu’il aimait le plus et évidemment j’ai pensé à Auchan ! »
Un jour exceptionnel où elle est chargée de courses, elle glisse à la caissière qu’elle aimerait bien offrir à son compagnon la signature d’un PACS. « Je voulais juste faire une annonce au micro. » La caissière en parle à la direction (lire ci-dessous) et propose à Emmanuelle de faire ça dans le magasin. Ensemble ils décident d’envoyer une lettre à Christophe pour l’inciter à venir le 21 février dans le magasin.
Eux. Ce jour-là, Christophe est surpris : sa mère décide de l’accompagner à Auchan. « Je ne comprenais pas pourquoi elle voulait venir ». Chou arrive et est reçu par des employés d’Auchan qui le mènent au centre de l’hypermarché. Là, une Gopro lui est fixée sur la tête. « Je ne comprenais pas trop ce qui se passait. Surtout que mes amis et ma famille sont arrivés. En fait je cherchais surtout Emmanuelle, et je ne la voyais pas. » Emmanuelle est enfermée dans un paquet cadeau. Après quelques animations préparées par les employés, elle sort sous les regards surpris et amusés des clients. Fait sa demande avec une énorme bague préparée par le personnel. « Je ne pouvais qu’accepter », commente Christophe.
La direction de l’hypermarché offre le champagne, Auchan reprend sa vie normale d’un samedi après-midi. « C’est aujourd’hui un magnifique souvenir. C’est quelque chose qui nous ressemble même si certains peuvent trouver que ce n’est pas romantique. » Emmanuelle et Chou ont signé le PACS, trois semaines plus tard.
Brigitte Macron 2027.
par kaptn_kvern » 30 Mars 2015, 17:30
« J’ai eu envie que l’on se pacse avant le mariage. Alors j’ai réfléchi au lieu qu’il aimait le plus et évidemment j’ai pensé à Auchan ! »
Putain de merdre !!
Putain de merdre !!
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par kaptn_kvern » 30 Mars 2015, 18:54
C'était justement le but de ma remarque. Y en a que les les Mullièzezzzzzzfzdp !
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par laurentlille1 » 30 Mars 2015, 20:58
Dans le même genre, dans ma ville de cassoces d'origine, j'ai nommé Armentières (pauvre mais fière) ce week-end. Je faisais des courses à Carrefour et croise une grognasse qui hurle au téléphone, elle raconte qu'elle touche trop avec le RSA et du coup la CAF ("ces batterrrrds") a baissé ses allocs... Quand on arrive à ce point là, je crois qu'on est perdu.
par fernando » 30 Mars 2015, 22:49
kaptn_kvern a écrit:« J’ai eu envie que l’on se pacse avant le mariage. Alors j’ai réfléchi au lieu qu’il aimait le plus et évidemment j’ai pensé à Auchan ! »
Putain de merdre !!
On dirait la famille de débiles des pubs Leclerc à la radio, mais en vrai...
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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