C'est le bassiste Seth Siro Anton qui fait les artworks. Il fait des trucs sympa (toujours un peu glauque, mais moins sanguinolent que pour les pochettes du groupe), mais ça coûte un bras bordel ! Genre 300 ou 400€ pour une repro ! Je veux bien que se soit la crise en Grèce, m'enfin quand même...
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
J'avais fait le concert d'Envy au GM il y a quelques années. Un peu plus tard ils exposent des tofs de différents concerts et j'en voie une superbe du dit concert. Du coup je me rencarde dessus , on me donne le mail du photographe là j'apprends qu'une tof c'est pas donné non plus... Et le mec il a juste appuyé sur un bouton. Alors je peux comprendre que le "artwork" coute un peu aussi.
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
C'est clair qu'il y a du taf et qu'il faut un certain talent. Mais quand ils te sortent que des "séries limitées numérotées blablabla" ben voilà quoi. Ils feraient des repros en format affiche/poster, ça pourrait le faire quand même à moindre coût.
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
En cas de grosse colère, écouter du metal adoucit les mœurs
Si vous revenez tout juste du plus grand festival français de metal, le Hellfest, après trois jours intenses de headbanging, il est fort possible que vous soyez en rentrant chez vous doux comme un agneau et paisible comme la rivière. En bref, d'un calme olympien. En tout cas, si l'on en croit une étude menée par l'université du Queensland en Australie relayée, lundi 22 juin, par le Guardian.
L'écoute de musiques "extrêmes" – comprendre le heavy metal, le punk ou encore le hardcore – aurait ainsi des vertus apaisantes et aiderait à "traiter la colère". L'étude, réalisée sur une base de 39 personnes âgées de 18 à 34 ans écoutant régulièrement du metal, a montré que "la musique régulait la tristesse et engendrait des émotions positives".
Répondre à la colère par la colère
Le vieil adage selon lequel la musique adoucirait les mœurs serait donc vérifié. L'étude explique ainsi que, une fois les sujets soumis à un degré de colère important (le plus souvent après avoir évoqué leur travail, leur couple ou les questions d'argent), "les niveaux d'hostilité, d'irritabilité et de stress décroissent dès lors que la musique fait son apparition".
Quoi de mieux en effet pour se détendre que d'écouter un petit Cannibal Corpse ou le dernier Dying Fetus ? Les morceaux ayant pour thème la colère ou l'agression seraient à même de correspondre à l'émotion ressentie par le sujet et constitueraient ainsi la meilleure des réponses en situation de stress.
Vous savez donc ce qu'il vous reste à faire quand vous rentrerez chez vous ce soir après une journée harassante et irritante : "Keep calm and listen to heavy metal !" ("restez calme et écoutez du heavy metal !").
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
L'artiste faisait durer le plaisir. À 4 heures du matin, le 5 juillet, les organisateurs ont tenté de calmer ses ardeurs et de stopper le show qui n'en finissait pas. En concert au festival Roskilde au Danemark, Damon Albarn se sentait si bien sur scène qu'il a refusé de quitter l'endroit, offrant un concert jusqu'au bout de la nuit à ses fans. Accompagné du collectif African Express, le chanteur, musicien et compositeur a donné tout ce qu'il pouvait à son public.
Vers 4 heures du matin, il se lance dans une reprise de "The Clash", "Should I Stay Or Should I Go?" (Devrais-je rester ou devrais-je partir?). C'en est trop pour les organisateurs. Las d'un concert qui n'en finit pas, ils ont envoyé la sécurité sur scène. Un responsable de la sécurité, accompagné par un vigile, tente alors de déloger l'artiste à force de palabres. Le public hue, comprenant que cela mettrait fin au show.
Damon Albarn, pas du tout impressionné par l'agent de sécurité et les mots échangés, se tourne vers son public et lui demande de crier "More, more, more" ("Plus, plus, plus", en français). Le responsable de la sécurité, décidé, lui met alors son blouson sur les épaules et porte le chanteur jusqu'aux loges sous les applaudissements des fans.
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)