[01T] Politix, fonctionnaire et Cie

Messagepar basmainforme » 18 Mai 2015, 11:41

yeah !

c'est pas moi, mais ca aurait pu !

putain de kapitaliss !
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basmainforme
 
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Messagepar Dageek » 18 Mai 2015, 11:51

C est tellement long que je viens de cramer mes 3 Go
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Messagepar fernando » 25 Mai 2015, 07:35

Les indignés qui vont rafler les mairies de Barcelone et de Madrid, c'est pas banal.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar King Kong » 25 Mai 2015, 08:53

le pedophile cohn bendit qui devient Français, mazel tov!
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
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Messagepar King Kong » 26 Mai 2015, 13:27

Defense Intelligence Agency : « Établir une principauté salafiste en Syrie », et faciliter la naissance d’un État islamique « pour isoler le régime syrien »

Analyse d’un document déclassifié de la DIA

Le lundi 18 mai 2015, le groupe conservateur de surveillance du gouvernement, Judicial Watch, a publié une sélection de documents déclassifiés obtenus après procès contre le Département américain de la Défense et le Département d’État américains.

Pendant que les médias grand public se focalisaient sur la gestion par la Maison-Blanche de l’attaque contre le consulat américain à Benghazi, un document circulant à la DIA en 2012 admettait l’existence d’un plan bien plus large (big picture), à savoir qu’un « État islamique » était le bienvenu dans l’est de la Syrie, afin d’influencer les politiques occidentales dans la région.

Voici ce que contient ce document stupéfiant :

« Pour les pays occidentaux, ceux du Golfe, et la Turquie [qui] tous soutiennent l’opposition [syrienne]… la possibilité existe d’établir de façon officielle ou pas une principauté salafiste dans l’est de la Syrie (Hasaka et Der Zor) , et c’est exactement ce que veulent les pouvoirs qui appuient l’opposition, de façon à isoler le régime syrien… »

Le rapport de la DIA, précédemment classifié « SECRET//NOFORN » et daté du 12 août 2012, était bien connu parmi les services de renseignement, dont le Centcom, la CIA, le FBI, la DHA, la NGA, le Département d’État, et bien d’autres encore.
Ce document prouve que dès l’année 2012, le renseignement US prévoyait la montée d’un État islamique en Irak et au Levant (ISIS, ou EIIL en français), mais au lieu de présenter ce groupe terroriste comme un ennemi, ce rapport le définissait comme un atout stratégique pour les USA
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Messagepar gblosc » 26 Mai 2015, 13:34

Kikia piraté le compte de King Kong ?
Son article ne parle pas d'Israël, du sionisme ou des juifs, il doit y avoir erreur.
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gblosc
 
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Messagepar Deub » 28 Mai 2015, 10:46

Marine, KK et La voix du nord présentent :

Lille : ces rodéos qui empoisonnent la vie des habitants

C’est une version chti de « Mad Max » qui ne prête pas vraiment à rire. Les rodéos ont marqué leur retour ce week-end dans les quartiers de la ville, pourrissant la vie de leurs habitants interloqués depuis des années par l’inertie des pouvoirs publics… En direct du chemin, si mal nommé, des Coccinelles…
Le retour des beaux jours marque celui des rodéos. Un festival ce dimanche.
« Ils roulent en toute impunité, sans casque, à contresens, fonçant sur les piétons, que ce soit sur la route, les trottoirs, les chemins réservés aux piétons (chemin des Coccinelles par exemple, derrière le CHR). Dimanche soir à 19 h 45, un motard sans casque est arrivé en sens interdit, et a foncé sur notre véhicule. Pour l’éviter, nous avons été dans l’obligation de monter sur le trottoir. L’individu a continué sa course fonçant ainsi sur les véhicules et les piétons ensuite. Ces actions sont récurrentes… » Et multiples.

La peur de représailles

Ce week-end, au moins quatre quartiers de Lille (Moulins, Faubourg-de-Béthune, Fives et Lille-Sud) ont eu à subir le grand retour des rodéos. Mad Max chez les Chtis. Excédés, quelques rares habitants tentent à nouveau, malgré la peur de représailles de sensibiliser les pouvoirs publics. Sans grand espoir. « Dix ans que cela dure, poursuit une quadra. La police municipale répond qu’elle ne peut pas intervenir par faute de moyens et la police nationale déplore grandement de tels actes mais ne peut également intervenir car elle n’a pas de possibilité de les suivre. Nous avons bien essayé de discuter avec ces individus mais nous ne recueillons que des insultes ou des menaces », poursuit la maman.« En termes de nuisances sonores, c’est insupportable. En termes de sécurité, c’est insoutenable et comme d’habitude ils ont gagné la partie, ils ont pris possession des quartiers… »

« Depuis dix ans », les habitants concernés s’estiment être des laissés pour compte. « Aucune action municipale significative, On sent que seul le FN est en embuscade sur cette question. » Pire, « les rodéomans narguent les forces de l’ordre… ». Au moment où se met en place une campagne de verbalisation des... piétons et vélos. « C’est fou de voir cela alors que depuis des années, des mois, des semaines, nous subissons nous, piétons, enfants, grands-parents, parents, vélos, automobilistes, les infractions incessantes et récurrentes des conducteurs de rodéos... »

« C’est normal que ces individus nous obligent à rester enfermés, cloîtrés chez nous ? À quand une solution réelle et sérieuse ? » Le témoignage d’une habitante du quartier qui a vécu en direct les événements de ce dimanche. « Nous avons un groupe de huit scooters, motos et quad en place chemin des Coccinelles depuis ce dimanche midi qui fait la loi, mettant en danger les piétons, automobilistes. Aucune intervention des forces de l’ordre, il est 16 h et toujours les mêmes nuisances, les mêmes problèmes d’insécurité. »

« Nous sommes obligés parfois de prendre un autre chemin pour ne pas être renversés ! »

Au fur et à mesure de la journée, l’exaspération va crescendo. « Ce quartier est-il devenu le nouveau terrain de jeu des rodéomans ? Le quartier doit-il être vidé de ses honnêtes habitants au profit de ces individus ?... Vous avez de nombreuses personnes qui travaillent toute la semaine, qui se sacrifient pour offrir une petite maison ou une maison proche d’un terrain vert pour leurs enfants, et personne ne peut en profiter. Les personnes dites seniors ne sortent même pas en ces beaux jours, car il faut laisser la place aux rodéomans… Comment se fait-il que le chemin des Coccinelles soit sous la loi des rodéos, nous sommes parfois suivis par ces quads et motos pour nous faire peur jusqu’à la station de métro CHR de Lille. Nous sommes obligés parfois de prendre un autre chemin pour ne pas être renversés ! Vous trouvez cela normal que nous soyons (que ce soit en appartement ou en maison ) obligés de rester fenêtres et portes fermées en raison du bruit insupportable ? »

L’abandon

Aux dires de cette maman, « certains quittent le quartier ». D’autres n’osent y mettre les pieds. « Des personnes ont visité samedi le quartier car ils recherchaient une maison à proximité du CHR (c’était une famille qui aurait pu apporter des impôts à l’État et à la ville). Elles sont parties en courant en étant très choquées de découvrir la zone de non-droit. Elles sont arrivées quand les huit rodéomans étaient en pleine action... Quelle belle image de notre ville... L’abandon, c’est vraiment l’impression des habitants. »
La sécurité avant tout

La préfecture souligne une mobilisation « en étroite collaboration avec les mairies, pour lutter contre les rodéos ». Pour autant le problème est ailleurs. « L’interception et la verbalisation des fauteurs de troubles interviennent dans la majorité des cas de manière différée pour des raisons de sécurité, après constatation de l’infraction. L’interception de ces engins sur le fait nécessite d’importantes mesures de sécurité, afin d’éviter de faire courir des risques aux conducteurs et aux forces de l’ordre, et de déclencher des troubles à l’ordre public. Le préfet a donné instruction au directeur de la sécurité publique de renforcer la lutte contre cette délinquance. À l’approche des congés scolaires, les actions seront développées. »

Techniquement, interpeller un pilote en flagrant délit sur un rodéo est très délicat. « Ils sont sans casque et prêts à tout pour échapper à la police, souligne un policier. On donne aux patrouilles la consigne d’être très vigilantes. On les interpelle à l’arrêt dès qu’on peut. » D’autres actions sont possibles en amont, comme la saisie des motos et quads volés ou non immatriculés : « On fouille régulièrement les caves des cités. » Enfin, la vidéosurveillance permet d’enregistrer et d’identifier les pilotes pendant un rodéo, puis d’aller les chercher chez eux, après. Mais Lille n’en est pas équipée.


Ils sont fâchés avec Martine à la VDN ?
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Deub
 
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Messagepar ursulet » 28 Mai 2015, 11:27

le rodéo, c'est la vie!
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
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ursulet
 
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Messagepar karmelille » 28 Mai 2015, 11:53

c'est cette pute de zazie
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
karmelille
 
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Messagepar fernando » 28 Mai 2015, 16:11

Quand je vois un de ces connards sur un quad, je ne peux qu'espérer le voir finir dans un mur ou se retourner comme une merde.
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Messagepar fernando » 29 Mai 2015, 15:35

Pendant ce temps-là, au Parlement Européen, les députés s'en cognent de l'avis des citoyens, comme d'hab...

Traité transatlantique : feu vert partiel du Parlement européen

Une étape importante a été franchie, jeudi 28 mai en fin de matinée, dans le processus, long et hasardeux, des négociations sur le traité transatlantique, entre les Etats-Unis et l’Europe (TTIP). Le Parlement européen a envoyé une forme de feu vert à la poursuite des discussions, validant notamment, dans le cadre de ce traité de libre-échange, la présence des très controversés tribunaux d’arbitrage, censés régler les différends entre les multinationales et les Etats.

Les élus conservateurs – globalement « pro-TTIP » –, ont réussi à rallier à leur cause les sociaux-démocrates du Parlement pour voter un texte de compromis. Il s’agit d’une recommandation, n’ayant certes aucune valeur législative, et votée uniquement au sein d’une commission du Parlement (la commission INTA, en charge des questions commerciales). Cette recommandation devra encore être validée par un vote en plénière, probablement le 10 juin prochain, à Strasbourg.

Mais si les élus en INTA avaient rejeté la résolution, jeudi, cela aurait rendu encore plus complexes des discussions déjà très laborieuses entre la Commission européenne et les Américains. Le Parlement européen a tout de même un droit de veto sur le texte final du traité…

Très forte contestation populaire

Ces négociations ont débuté en juillet 2013, mais butent sur une très forte contestation populaire, notamment en Allemagne, et dans une moindre mesure en France, en Belgique ou en Autriche. Les Verts, l’extrême gauche et nombre de mouvements citoyens craignent qu’au prétexte de gagner quelques points de croissance, les Européens sacrifient leurs normes environnementales et sociales. Côté américain, le TTIP ne provoque pas non plus l’enthousiasme, la priorité de l’administration Obama allant clairement au bouclage des discussions sur l’accord de partenariat transpacifique (TPP).

Jeudi, le groupe des conservateurs européens (PPE) s’est défendu, avec cette recommandation, d’avoir « bradé » les valeurs sociales et environnementales européennes : « Nous avons soutenu ce texte qui rappelle que le TTIP ne sera pas négocié à n’importe quel prix : nos choix de société comme le niveau de protection de la santé, de l’environnement et des consommateurs ne pourront être revus à la baisse et cette condition n’est pas négociable », ont déclaré les élus Tokia Saïfi et Franck Proust à l’issue du vote.

Ils ont aussi souligné qu’ils seraient vigilants concernant la reconnaissance des indications géographiques dans les domaines agricoles et alimentaires, et l’accès des groupes européens aux marchés publics aux Etats-Unis.

« Reniement »

Concernant les tribunaux d’arbitrage, dénoncés comme pouvant devenir des menaces au droit souverain de légiférer des Etats, les conservateurs assurent qu’ils n’en accepteront le principe que si ces mécanismes de réglement des différends entre Etats et multinationales sont réformés. De manière à respecter « le droit des Etats à réguler, fonctionner de manière transparente, empêcher tout recours abusif ou encore intégrer un mécanisme d’appel. »

« Ce nouveau mécanisme s’inscrira dans l’objectif de créer à moyen terme une Cour permanente internationale chargée du règlement de ces différends. » La Commission européenne s’est déjà engagée à proposer une évolution des tribunaux d’arbitrage dans ce sens.

Yannick Jadot, élu Vert au Parlement et vice-président de la commission INTA, a déploré le « reniement » des sociaux-démocrates, notamment sur le sujet des mécanismes d’arbitrage. Un « arrangement » qui « prime une nouvelle fois sur la défense de la démocratie, des citoyens, des salariés et des consommateurs européens qui rejettent massivement ce mécanisme pensé par et pour les grandes firmes ». De fait, une consultation publique, initiée au printemps 2014 par la Commission européenne sur ce sujet des tribunaux d’arbitrage, avait reçu des dizaines de milliers de réponses, en très grande majorité négatives.

Un dixième round de négociations entre Washington et Bruxelles est déjà programmé, à Bruxelles, dans le courant du mois de juillet prochain.
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Messagepar ChevalierBlanc » 29 Mai 2015, 15:48

Welcome ! ça fait chaud au coeur!

Bruxelles invite la France à accueillir 9000 migrants

La Commission européenne a demandé mercredi aux États membres de l'UE de prendre en charge 40.000 demandeurs d'asile.

«Responsabilité et solidarité.» C'est le mot d'ordre de la Commission européenne, qui a proposé, ce mercredi, aux États de l'Union d'accueillir sur deux ans 40.000 demandeurs d'asile syriens et érythréens, arrivés en Italie et en Grèce. Les gouvernements européens sont également invités à accueillir, sur une base volontaire et durant la même période, 20.000 réfugiés syriens situés dans des pays tiers.

«La solidarité doit devenir une politique concrète», a insisté Dimitris Avramopoulos, le commissaire en charge de ce dossier sensible depuis que la Commission Juncker a pris ses fonctions, en novembre dernier. Et de lancer: «La Commission européenne a été jugée d'un œil négatif par le passé car elle ne faisait rien.» L'objectif premier est de soulager Rome, qui fait face à des afflux massifs de migrants. Or, c'est l'État dans lequel un individu arrive qui doit traiter la demande d'asile, selon la règle européenne en vigueur qui pose problème de longue date.

«Répartition équitable»

Avec ce dispositif d'urgence et provisoire, qui doit passer sur la table des gouvernements européens pour adoption, 40.000 demandeurs d'asile arrivés sur les côtes grecques et italiennes seraient ainsi transférés dans d'autres États européens durant deux années. Ce qui correspond, selon Bruxelles, «à environ 40 % du nombre total de demandeurs ayant un besoin manifeste de protection internationale qui sont entrés illégalement dans ces deux pays en 2014».

L'institution européenne ne s'est évidemment pas risquée à parler de «quotas», un terme qui a suscité de vives réactions chez certains États, dont la France. Et elle s'en défend. L'imposition de «quotas» limiterait le nombre de personnes auxquelles un pays pourrait donner la protection internationale. Or, «le dispositif d'urgence» prévoit de répartir entre les pays européens un nombre minimum de demandeurs d'asile selon une «clé de répartition», principalement en fonction de la taille de leur population et de leur PIB. «Ce qui met une charge importante sur les pays les plus grands et les plus riches», souligne une source européenne. M. Avramopoulos insiste: c'est une «répartition de la charge équitable», tant pour Rome et Athènes que pour les autres États.

Empreintes

Si ce mécanisme est accepté tel quel par les gouvernements européens, la France serait ainsi appelée à prendre en charge au moins 6 752 demandeurs d'asile, l'Allemagne 8 763, l'Espagne 4 288. Cette clé de répartition pourrait toutefois changer si le Royaume-Uni, le Danemark et l'Irlande acceptent d'y participer, ainsi que les États tiers associés à l'Union, indique-t-on. Si l'on ajoute la part des 20 000 autres réfugiés syriens que pourrait recevoir la France, soit 2 375 personnes, ce sont quelque 9 000 migrants que Paris est invité à accueillir.

Globalement, avec ce dispositif, Athènes et Rome relèveront les empreintes digitales des personnes qui demandent l'asile et pourront proposer de les transférer dans un autre pays de l'Union, qui décidera - souverainement - de leur accorder la protection internationale. La Grèce et l'Italie devront toutefois rendre des comptes en fournissant, chaque mois, un rapport comportant les mesures prises en matière de droit d'asile dont l'application du système Eurodac, cette base de données européenne pour les empreintes digitales des demandeurs d'asile. Et, si nécessaire, la Commission pourra toujours suspendre le dispositif provisoire.

Selon les règles en vigueur, les États doivent relever les empreintes de tout demandeur d'asile et les enregistrer dans la base de données Eurodac. Or, plusieurs États - l'Italie en particulier - sont pointés du doigt pour ne pas le faire pour toutes les personnes.
"les gens du nord ont dans leurs cœur le soleil qui non pas dehors" Manu le 4 avril 2016
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Messagepar gblosc » 29 Mai 2015, 15:55

Pour les migrants, on peut choisir ?
9000 blondasses de Scandinavie et d'Europe de l'Est, je signe de suite.
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gblosc
 
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Messagepar King Kong » 29 Mai 2015, 16:44

C'est une chance pour la France, immigration ,tafta,monsanto, c'est génial!
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
King Kong
 
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Messagepar Dageek » 29 Mai 2015, 17:15

KK l indigné
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Messagepar Xylophène » 29 Mai 2015, 17:56

King Kong a écrit:C'est une chance pour la France, immigration ,tafta,monsanto, c'est génial!



Ca t'empêche pourtant pas d'avoir un maître à penser à moitié camerounais.
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."

Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
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Xylophène
 
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Messagepar stikky » 29 Mai 2015, 19:24

kk quand il parle c'est James qui lèverait le bras. Ca ne veut rien dire mais ça sent pas bon
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
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Messagepar krouw2 » 29 Mai 2015, 22:28

Image
Hollande 2027
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Messagepar King Kong » 31 Mai 2015, 09:00

Respect Vladimir... dageek vas-y, tu peux vomir!
http://www.bfmtv.com/international/bhl- ... 91079.html
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
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Messagepar kaptn_kvern » 31 Mai 2015, 10:11

Yvon Le Roux sur la liste des mecs interdits de territoire, c'est pas bien. Respect aux anciens, merde !
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
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kaptn_kvern
 
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Messagepar krouw2 » 31 Mai 2015, 11:38

et y a tout les paydays aussi
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Messagepar krouw2 » 07 Juin 2015, 22:38

nono lanalyz just

La tribune de Montebourg et Pigasse : "Hébétés, nous marchons vers le désastre…"

TRIBUNE - L'ancien ministre Arnaud Montebourg se rappelle au bon souvenir de François Hollande et Manuel Valls. Avec le banquier d'affaires Matthieu Pigasse, il publie dans le JDD une tribune au vitriol contre la politique du gouvernement. La voici en intégralité.

"Hébétés, nous marchons droit vers le désastre. C'est la démocratie qui est cette fois menacée, car les progrès du Front national dans le pays sont aussi graves que spectaculaires et son accession possible au pouvoir est désormais dans toutes les têtes. Prenant la mesure de la gravité de la situation, peut-être serait-il nécessaire que nos dirigeants cessent de commenter ce que fait ou dit le FN ou que cesse encore cette culpabilisation inutile des électeurs dans cette "lutte" purement verbale et artificielle "contre" le Front national. Faire semblant de combattre le FN pour se donner bonne conscience n'a aucun effet. On serait, au contraire, bien avisé d'agir sur les causes réelles et profondes qui jettent des millions de Français dans ses bras : l'explosion du chômage, la hausse de la pauvreté et la montée du sentiment de vulnérabilité dans presque toutes les couches de la société française.

L'absence de croissance est désormais considérée par les Français comme un sous-produit politique – dont ils sont les victimes directes – de cette austérité idéologique et fiscale sans précédent décrétée par l'Union européenne et docilement exécutée par le gouvernement actuel de notre pays. Les pertes de pouvoir d'achat pour les classes moyennes, par hausse des prélèvements sur les ménages, sont considérables (1.650 euros en moyenne par foyer en trois ans selon l'OFCE). Il suffit d'écouter les témoignages des Français aux revenus modestes : ici, des familles ouvrières contraintes de limiter encore leurs dépenses pour faire face à leurs impôts augmentés ; là, un petit retraité devenu imposable incapable de retenir ses larmes devant le fonctionnaire de la trésorerie ne pouvant lui accorder assez de délai.

Ceux qui nient l'existence de l'austérité en prétendant que les salaires n'ont pas baissé (heureusement!) doivent ouvrir les yeux sur les pertes réelles et sérieuses de revenus pour les Français moyens : cette politique répand la colère, le dépit, la violence chez des millions de nos concitoyens qui s'estiment bernés, trahis et abandonnés. Cette situation explique aussi pourquoi l'économie française ne repart pas, plus de sept ans après la faillite de Lehman Brothers, alors que les économies du monde entier ont redémarré fortement depuis déjà deux ans. On comprend aussi pourquoi les faillites d'entreprises en France (plus de 60.000 par an) ne diminuent toujours pas. La montée exponentielle du chômage qui en résulte – plus de 600.000 chômeurs de plus en trois ans! – est directement corrélée à la montée exponentielle du Front national (+10 points). L'absurde conformisme bruxellois de la politique économique de la France actuelle est devenue une gigantesque fabrique à suffrages du Front national.

Arnaud Montebourg et Matthieu Pigasse (Abaca Press et Bernard Bisson pour le JDD)

Ainsi, le conformisme politique est désormais devenu le principal adversaire du renouveau économique du pays. C'est lui qui nous paralyse et chaque mois qui passe le rend plus insupportable. Au fil des alternances, les Français votent en conscience pour la "rupture" ou le "changement" mais s'aperçoivent que la politique économique – donc européenne – qui s'ensuit est toujours la même. Tout président élu commence par aller faire ses génuflexions à Berlin puis à Bruxelles, enterrant en 72 heures ses engagements de campagne. Et voici des années que cette comédie de l'impuissance publique dure, pour bientôt finir par engloutir la démocratie dans notre pays.

Pour éviter le désastre de nouvelles progressions du Front national, il est indispensable d'agir sur ses causes. Agir, cela veut dire lui retirer des arguments qui font de lui une utilité pour des Français – y compris de gauche – qui se tournent vers lui pour obtenir le changement qu'ils désespèrent d'obtenir des alternances successives. Agir, cela veut dire ne pas faire payer la facture des déficits publics créés par les errements de la finance privée dans la crise, par les classes moyennes. Cela veut dire se battre pour la croissance en interrompant les politiques absurdes, inefficaces et anti-économiques de Bruxelles, et rendre sous forme de baisses d'impôts ce qui a été lourdement prélevé sur les ménages (plusieurs dizaines de milliards d'euros). Cela veut dire ne plus se laisser faire par Berlin et Bruxelles et changer la politique économique nationale et européenne.

Ce sont là des propositions de bon sens qui ont été portées par de nombreux économistes dont plusieurs Prix Nobel d'économie et soutenues par les plus grandes institutions économiques mondiales, comme le FMI et l'OCDE, certains des plus grands gouvernements du monde comme le gouvernement américain, contre l'avis des forcenés du même dogme. Tous ces observateurs et acteurs – dont nous sommes – qui se sont battus pour cette politique alternative, là où ils étaient, attendaient le réveil de la France. Nous l'attendons toujours.

Est-il encore possible de sauver ce quinquennat et de le rendre enfin utile à notre pays? Est-il encore possible d'éviter le désastre politique et moral pour cette gauche de gouvernement qui semble avoir abandonné la France? Oui, nous croyons qu'il n'est pas trop tard pour encore agir et engager enfin une politique différente et innovante. Il suffirait que nos dirigeants ouvrent leurs yeux sur le précipice qu'ils ont ouvert sous nos pieds (et les leurs). Élue pour faire baisser massivement le chômage, la gauche de gouvernement a rallié en deux mois de pouvoir les exigences destructrices de l'austérité, lesquelles ont fait… augmenter massivement le chômage.

Il faut refuser de se contenter d'attendre que la croissance revienne, comme s'il s'agissait d'un phénomène météorologique ou du cycle des saisons. Il faut refuser de se féliciter quand est annoncée, pour 2015, une progression du PIB de 1% environ, après trois années de croissance zéro. Ce n'est pas suffisant pour faire baisser le chômage et c'est surtout un "effet d'aubaine", engendré par trois facteurs indépendants de la volonté du gouvernement : la chute du prix du pétrole, la baisse de l'euro par rapport au dollar, la faiblesse historique des taux d'intérêts, trois phénomènes par ailleurs non durables.

Nous proposons de construire, dans le peu de temps qui reste, une coalition des pays européens favorables à une stratégie européenne de baisse d'impôts en faveur des ménages dans tous les pays, acceptant que les déficits soient résorbés par la croissance mais non pas par l'austérité, laquelle empêche précisément de réduire les déficits.

La difficulté n'exclut pas le courage. Il existe une fierté d'être français, une volonté de réussir ensemble. Notre peuple est beaucoup plus conscient des difficultés que ne le pensent ses dirigeants. Il est prêt à faire des sacrifices mais il lui faut un dessein collectif, partager un projet ambitieux, retrouver une part de rêves et toujours chercher à les réaliser. Il est prêt à entendre la vérité et à faire mouvement. Il l'a réclamé. Il est las de s'être menti à lui-même, à travers ses représentants qu'il a désignés.

Chacun a bien compris qu'il est désormais impensable qu'il se laisse prendre en otage par des professionnels des appareils politiques et que rien d'innovant, rien de différent de la sempiternelle répétition de la même erreur, ne se produise dans une grande nation politique comme la nôtre. Les Français, qui composent un grand peuple, ne l'accepteront pas, et c'est déjà sur cette base-là qu'ils chercheront à se rassembler et à surprendre comme ils savent si bien le faire."

Par Arnaud Montebourg et Matthieu Pigasse - Le Journal du Dimanche
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Messagepar ancien posteur » 07 Juin 2015, 23:19

Montebourg, c est le roi du humping.

https://youtube/fvhs1TJDVbY
ancien posteur
 
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Messagepar fernando » 09 Juin 2015, 10:42

[appeau à KK]



Cisjordanie: Orange, la colonisation, Netanyahou et Fabius

08 juin 2015 | Par René Backmann

Orange est associé à la compagnie israélienne de télécommunications Partner, qui opère dans les Territoires palestiniens occupés. Se disant « prêt à abandonner » ces liens, le PDG du groupe français a dû faire marche arrière sous les pressions du gouvernement israélien et de Laurent Fabius, qui oublie les engagements constants de la France.

« Les liaisons dangereuses d’Orange dans le Territoire palestinien occupé » : c’est le titre d’un rapport publié au début du mois dernier par cinq ONG et deux syndicats (il est à lire ici)3. Dans ce document de cinquante pages, ces organisations (1) révélaient que le groupe de télécommunications français Orange, dont l’État détient 25,05 % des parts, était lié avec l’entreprise israélienne Partner qui possède 208 antennes et installations diverses dans des colonies israéliennes de Cisjordanie, illégales au regard du droit international.

Partner a construit des antennes sur des terres palestiniennes confisquées, expliquaient les auteurs du rapport, offre ses services aux colons et à l’armée et contribue à assurer la viabilité économique et le maintien des colonies au détriment des Palestiniens. Par sa présence, constatait le document, Partner contribue aussi à perpétuer une situation considérée comme illégale par la communauté internationale. Le tout en violation du droit international et des droits humains.

En conclusion de leur document, les organisations signataires recommandaient donc à Orange d’« exiger de Partner de ne pas opérer dans les colonies israéliennes dans le territoire palestinien occupé pour éviter de contribuer au maintien d’une situation jugée illégale par la communauté internationale » et, en cas d’échec, d’« interrompre sa relation d’affaires avec Partner et d’émettre une déclaration publique par laquelle l’entreprise marque clairement sa volonté d’éviter de contribuer à la viabilité économique et au maintien des colonies israéliennes ».

Orange avait d’abord répondu en assurant qu’il n’était pas « opérateur en Israël », et qu’il ne détenait aucune action ou droit de vote de Partner. Le contrat existant permettant à Partner d’utiliser « la marque et l’image d’Orange en échange d’une redevance », avait expliqué l’entreprise française, avait été « signé par le propriétaire de l’époque et transmis à France Télécom en 2000 lors de l’acquisition de la marque ». Ce qui ressemblait fort à un dégagement en touche.

Mercredi dernier, changement de stratégie d’Orange. En visite au Caire, le PDG Stéphane Richard indique être « prêt à abandonner demain matin » les liens avec Partner « sans exposer Orange à des risques énormes » sur le plan légal ou financier. Le lendemain, confirmation : Orange annonce par un communiqué sa décision de cesser « à terme » sa relation avec Partner, tout en précisant que cette décision « n’a aucune motivation politique et relève d’une volonté d’avoir la maîtrise totale de sa marque ». Rappelant qu’il est lié à Partner par un accord expirant en 2025, Orange ajoute qu’il respectera « strictement les accords existants ».

En Israël, où la campagne internationale « boycott, désinvestissement, sanctions » (BDS) est considérée comme une menace diplomatique majeure, la décision d’Orange est reçue – et traitée – comme une agression.

« Je dois avouer avoir été surprise par ces informations, qui ne me semblent pas raisonnables pour une entreprise de la taille d’Orange, réplique dans une lettre à Stéphane Richard la ministre israélienne des affaires étrangères, Tzipi Hotovely. Je suis confiante dans le fait que ces informations ne reflètent pas les intentions de votre compagnie. Et vous prie donc de clarifier cette question le plus vite possible. » « J’appelle le gouvernement français à rejeter publiquement les déclarations et les agissements malheureux d’une compagnie dont il est en partie propriétaire », exige de son côté le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, manifestement furieux. Il accuse Orange de participer à un « drame absurde », celui dans lequel une démocratie « respectueuse des droits de l’homme », exposée aux « menaces sécuritaires », est confrontée « aux condamnations systématiques et aux tentatives de boycott. On ne pardonnera pas ce drame absurde… ».

Est-ce le poids de cette menace ? Le lendemain, Laurent Fabius déclare que la France est « fermement opposée au boycott d’Israël ». Puis l’entourage de François Hollande affirme à l’AFP que « la France n’est pas dans une action sur le boycott qui puisse avoir la moindre ambiguïté. Un industriel a le droit de choisir ses partenaires en Israël. Orange veut continuer à travailler. C’est à Orange et à Orange seul de déterminer avec qui ». Comprenne qui pourra.

Entretemps, Stéphane Richard a rectifié sa stratégie. Ou son discours. « Orange est présent en Israël pour y rester », déclare le PDG, qui affirme « regretter sincèrement » la « controverse » née de ses propos et proclame : « Nous aimons Israël. »

En d’autres termes, une fois de plus, le gouvernement israélien a réussi l'un de ses tours de passe-passe diplomatiques favoris : transformer une mesure étrangère – en l’occurrence un projet de mesure – parfaitement licite, contre sa politique de colonisation illégale, en une agression contre Israël. C’est-à-dire faire surgir le mot boycott lorsqu’il s’agit, comme ici, d’agir conformément au droit international en cessant de soutenir l’occupation. Qu’il ait été assisté dans cette besogne par le ministre français des affaires étrangères est consternant.

Peut-être faut-il rappeler que sur l’occupation des territoires palestiniens par Israël, la position officielle de la France est pourtant assez claire. Comme l’ONU et l’Union européenne, elle ne « reconnaît pas la souveraineté d’Israël » sur ces territoires et « ne les considère pas comme faisant partie intégrante du territoire d’Israël ». Au cours de sa première visite présidentielle dans les territoires occupés en novembre 2013, François Hollande avait d’ailleurs rappelé « l’illégalité de la colonisation » et demandé son « arrêt total et définitif ».

Quant au ministre des affaires étrangères Laurent Fabius, sa signature figure, avec celles de quinze autres ministres des affaires étrangères européens, au bas d’une lettre adressée le 13 avril 2015 à Federica Mogherini, haute représentante de l’Union européenne pour les affaires étrangères. Dans cette lettre, il est rappelé que « l’expansion des colonies israéliennes illégales dans les Territoires palestiniens occupés, et autres territoires occupés depuis 1967, menace la perspective d’un accord de paix juste et définitif ». Cette lettre avait pour but de rappeler à Mme Mogherini que les directives de juillet 2013 sur l’identification des produits des colonies « doivent être appliquées, conformément à la politique constante de l’UE qui vise à la préservation de la solution à deux États ».

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(1) Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD-Terre solidaire), Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH), Ligue des droits de l’homme (LDH), Al-Haq (défense des droits de l’homme en Palestine), Association France-Palestine Solidarité (AFPS), CGT, Union syndicale « Solidaires ».

[/appeau à KK]
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fernando
 
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Messagepar SAV » 09 Juin 2015, 11:03

Parce que tu crois que KK va read loler tout ça ?...
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar fernando » 09 Juin 2015, 11:12

On parie?
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Messagepar Dageek » 09 Juin 2015, 11:17

Orange antisémite !
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Messagepar fernando » 09 Juin 2015, 11:31

Boycott des colonies israéliennes = nazisme rampant

Le lobby pro-israélien tu peux pas test
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Messagepar ruitos » 09 Juin 2015, 11:49

y'a que Daech qui les aide dans la région
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Messagepar King Kong » 09 Juin 2015, 13:06

fernando a écrit:Boycott des colonies israéliennes = nazisme rampant

Le lobby pro-israélien tu peux pas test

inversion des valeurs, les nazis ce sont les sionistes!
lobby israelien? ça n' existe pas..
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
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