Grand Stade

Messagepar fernando » 20 Juil 2015, 09:45

Ca commence à bien faire ces histoires, je suis même pas pédé d'abord.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar ruitos » 20 Juil 2015, 09:52

excuse moi fernando, mais comme on m'a dit que tu dormais avec un homme, je pensais que...
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Messagepar W » 20 Juil 2015, 11:25

fernando a écrit:J'étais niveau 0 face à la scène (entrée E). On entendait clairement le son se réverbérer sur les tribunes, à mon avis car le niveau 2 était vide.
Sur le Boléro, on entendait l'écho de tous les coups de caisse claire une 1/2 seconde après. Je voyais bien que pas mal de gens dans le secteur où j'étais étaient gênés par ce "retour".
Désagrément acoustique donc, mais chouette concert, 200 choristes ça envoie du mourd, et les 3 solistes balèzes, mention spéciale à Jimmy Somerville qui a tout donné sur sa courte intervention. Et visuellement l'ensemble orchestre+public était impressionnant.

D'après une source bien placée dans l'administration Loxiste et ayant le rythme dans la peau, les gens de ton secteur étaient surtout gênés par la présence d'un sale bobochelvik.
Et en effet, impressionnant le Tiny Tim chauve, par contre les paroles, c'est du niveau du fils caché attardé sous LSD des Beatles et de Lorie.
It's art. You don't need pants.
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Messagepar DubbyDumb » 21 Juil 2015, 10:54

Soutien à Nando, j'étais dans le même secteur et on avait droit à une belle résonance métallique dans les angles.
Par contre, fallait pas lire la traduction des paroles de Carmina Burana, ça décrédibilisait tout le truc. Les mecs qui ont pondu ça étaient complètement ravagés ou en plein trip sous acide.
DubbyDumb
 
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Messagepar Der » 21 Juil 2015, 11:17

Y parait que c'est le même qui a fait les paroles de la League des Champions.
On se fait des bisous et on s'encule.
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Messagepar fernando » 21 Juil 2015, 11:37

DubbyDumb a écrit:Soutien à Nando, j'étais dans le même secteur et on avait droit à une belle résonance métallique dans les angles.
Par contre, fallait pas lire la traduction des paroles de Carmina Burana, ça décrédibilisait tout le truc. Les mecs qui ont pondu ça étaient complètement ravagés ou en plein trip sous acide.


Les paroles j'ai arrêté de les lire assez rapidement, ça cassait un peu le délire enéfé.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar matcheu » 22 Juil 2015, 10:30

Heureusement qu'on est tous fous sinon on deviendrait tous dingues.
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Messagepar matcheu » 22 Juil 2015, 11:41

matcheu a écrit:Perso j'ai pris pour les 3 matchs de poules et les quarts.


Vas bien niquer ta mère l'UEFA.
Heureusement qu'on est tous fous sinon on deviendrait tous dingues.
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Messagepar karmelille » 22 Juil 2015, 11:42

gné ??
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
karmelille
 
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Messagepar matcheu » 22 Juil 2015, 11:44

Votre demande de billets n’a pas été retenue.
Votre demande de billets n’a pas été retenue.
Votre demande de billets n’a pas été retenue.
Votre demande de billets n’a pas été retenue.
Votre demande de billets n’a pas été retenue.
Heureusement qu'on est tous fous sinon on deviendrait tous dingues.
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Messagepar karmelille » 22 Juil 2015, 11:45

ha :-(
Je cherche pas à vous faire peur. Vous avez déjà peur...
karmelille
 
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Messagepar gblosc » 22 Juil 2015, 12:17

Putain de batards, sur 15 places demandées pour 15 matches différents, (1 place à chaque fois), toutes les demandes ont été refusées.
Je ne passerai pas sous le bureau de Michel pour en avoir.
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gblosc
 
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Messagepar fernando » 22 Juil 2015, 12:32

Vous avez reçu un mail avec le résultat du TAS?
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Messagepar beowax » 22 Juil 2015, 13:01

"Votre demande de billets n’a pas été retenue."
"Votre demande de billets n’a pas été retenue."
"Votre demande de billets n’a pas été retenue."
"Votre demande de billets n’a pas été retenue."
"Votre demande de billets n’a pas été retenue."
"Votre demande de billets n’a pas été retenue."

Ca me fout les boules, je suis sur de les voir réapparaître à 5 fois leur prix dans deux jours. FDP de spéculateurs...

@fernando : Connecte toi au site de la billeterie pour voir les statuts de tes demandes.
beowax
 
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Messagepar ruitos » 22 Juil 2015, 13:04

comme on commande de Fransse on est pas prioritaire...les étrangers (encore eux!) doivent passer avant...
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Messagepar matcheu » 23 Juil 2015, 20:46

Vas bien niquer ta mère l'UEFA.

Je l'ai déjà dit ? Et ben tant mieux.
Heureusement qu'on est tous fous sinon on deviendrait tous dingues.
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Messagepar fernando » 29 Juil 2015, 10:58

On retrouve des points communs avec le stade Gros Quinquin...

Le stade de Nice, une farce coûteuse aux dépens de la Ville


Le lancement de la construction des nouveaux stades de l'Euro 2016 a tenu du conte de fées. Le football français allait rattraper son "retard" grâce à des infrastructures modernes dont le financement, par la magie des partenariats public-privé, devait être quasiment indolore pour les collectivités. Les voix des Cassandre prédisant des lendemains qui déchanteraient avaient été mises en sourdine. Hélas, on l'oublie souvent : dans la mythologie, Cassandre avait raison.

Deuxième enceinte inaugurée parmi les quatre entièrement nouvelles programmées (dans l'ordre, Lille, Bordeaux et Lyon), l'Allianz Riviera de Nice en livre une confirmation saisissante. Un rapport de la Chambre régionale des comptes PACA, présenté le 25 juin dernier au conseil municipal, relève un nombre considérable de dérives dans l'appel d'offres et le contrat de partenariat, qui ont suscité dès le mois de mars l'ouverture d’une enquête préliminaire par le parquet national financier et, le 23 juin, une série de perquisitions dans divers locaux municipaux.

400 MILLIONS AU LIEU DE 225 POUR LA VILLE

Parmi les anomalies, Bouygues, dont l'offre initiale était la moins chère, a proposé une offre finale dont le montant avait considérablement augmenté, alors que celles de ses deux concurrents étaient abaissées de sorte que toutes ne présentent que de faibles écarts, malgré de fortes variations "difficilement compréhensibles" sur les différents postes. De quoi faire suspecter un délit d'entente. Touche d'humour : au cours de l'instruction, la municipalité a argué que Bouygues s'était… trompé dans son prix. Les critères définis par la municipalité et leurs notations, qui ont conduit à désigner comme lauréat le consortium Nice Eco Stadium (NES) mené par Vinci, sont eux-mêmes jugés obscurs.

Mais les conclusions les plus accablantes concernent le coût du stade pour la commune, dont la Chambre estime qu'il s'élèvera à 400 millions d'euros nets au terme des trente ans du contrat. Lors du conseil municipal du 17 décembre 2010, le maire Christian Estrosi assurait avec véhémence que ce coût serait au maximum de 225 millions ("au plus 8,3 millions d'euros par an pendant 27 ans").

Le rapport relève notamment que la Ville a généreusement renoncé, sans le justifier de façon satisfaisante, à 3 millions de pénalités dues par le constructeur en raison du retard de livraison. Et que la redevance annuelle versée par le club, seule ressource prévue pour elle à hauteur, a été considérablement réduite (voir plus bas).

LE STADE D'UN CLUB PROFESSIONNEL N'EST PAS UN SERVICE PUBLIC

Sur le fond, le rapport conteste la légitimité même d'un PPP pour un tel équipement, "ce recours ne répondant pas aux critères légaux" : "Ce stade, destiné prioritairement aux matchs de l’équipe professionnelle de l’OGC Nice et pouvant accueillir le reste du temps des concerts ou des activités de séminaires purement concurrentielles, ne constitue pas un équipement nécessaire à un service public relevant de la responsabilité́ de la commune." Cette dernière "n’a pas démontré́ se trouver dans l’impossibilité́ de définir ses besoins et de pouvoir conduire elle-même ce projet à la complexité́ alléguée par elle, laquelle résulte pour une grande partie du contrat lui-même" [1]. Pour les magistrats, la collectivité aurait très bien pu réaliser le stade en maîtrise d'ouvrage public.

La Chambre s'est aussi intéressée de près au centre commercial Nice One, intégré au projet et "de facto payé en partie par la commune". Elle estime "qu'au regard du centre commercial, le stade n’est qu’un volet de l’opération et, sous l’angle économique, semble accessoire", et note que "Nice One est l’un des principaux bénéficiaires finaux du contrat de partenariat". Alors qu'il ne rentre absolument pas dans les attributions d'un PPP de financer une telle opération. Cerise sur le gâteau : l'un des deux propriétaires gérants du centre commercial n'est autre que Jean Bessis, actionnaire de l'OGC Nice, qui a pu en racheter les droits auprès de Vinci – sans mise en concurrence.

À l'arrivée, le stade de Nice présente un coût à la place parmi les plus élevés des nouveaux équipements construits en France : 6.110 euros contre 4.350 à Bordeaux, 4160 au Mans, 3.200 au Havre et 3.000 à Valenciennes. Seul le grand stade de Lyon le devance avec 6.980 euros prévus.

TOUS LES RISQUES POUR LA VILLE, Y COMPRIS SPORTIFS

À tous les niveaux de l'opération, c'est la collectivité qui assume les risques et l'essentiel des coûts, les bénéfices étant, eux, diligemment garantis aux "partenaires" privés. "La commune assume une part majeure des risques. Les clauses du contrat ont par ailleurs déjà̀ été́ déformées pour reporter sur la collectivité́ des risques qui devaient être supportés par le partenaire [Vinci]".

La CRC déplore aussi que "le contrat de partenariat prévoie que l’aléa sportif est intégralement supporté par la commune" : relégation en Ligue 2 (le contrat ne prévoit même rien en cas de descente en National), faillite du club (malgré le précédent édifiant du Mans) ou réduction de la Ligue 1 à dix-huit clubs, que l'évaluation préalable jugeait "très incertaine" alors qu'elle est dans l'air depuis plusieurs années.

La bienveillance de la Ville à l'égard de l'OGC Nice est remarquable. La redevance due par le club, originellement évaluée entre 3 et 4 millions d'euros annuels, s'est avérée complètement surévaluée, en même temps que l'augmentation des recettes de billetterie attendue du nouveau stade. En conséquence, la part variable liée à celles-ci a peu de chances d'être déclenchée : la Ville devra se contenter de 1,87 million, c'est-à-dire la part fixe… Ceci alors qu'elle fait par ailleurs cadeau d'un certain nombre de prestations [2]. À Lille et Bordeaux, l'investissement des communes est beaucoup mieux sécurisé, affirme le rapport.

Image

Les chiffres de fréquentation du nouveau stade pour ses deux premières saisons confirment déjà son surdimensionnement. Remplie aux deux-tiers lors de la première (le club avait fini 17e du championnat), l'enceinte ne l'a plus été qu'à moitié lors de la seconde, qui a vu le taux de remplissage revenir à hauteur de celui du Stade du Ray (pour un classement final à la 11e place).
Autre signe alarmant : le stade a été très loin de faire le plein pour la plus forte affluence de la saison dernière, avec 25.407 spectateurs lors de la réception de Marseille (contre 35.030 lors de celle du PSG, en 2013/14).

AU PRIX FORT POUR LA COLLECTIVITÉ

Le montant des redevances versées par la Ville reste dans le flou, en raison d'une indexation obscure. Mais les rapporteurs ont calculé que "la commune devra s’acquitter de 10 à 15 millions d'euros par an, pour un équipement dont elle sera propriétaire dans vingt-six ans, mais dont elle n’a en réalité, durant cette période, pas véritablement la jouissance, ou de manière extrêmement marginale".

Plus grave, ces redevances constituent, pour une large part, en exonérations fiscales diverses : ainsi, la cotisation économique territoriale, la taxe d’enlèvement des ordures ménagères et la taxe foncière sont-elles refacturées à la Ville, tandis que "la plupart des impositions dues à raison du stade sont payées par la commune" (dont, entre autres, l'impôt sur les sociétés ou la cotisation économique territoriale). La CRC établit à 22 millions d'euros la perte de fiscalité et à 50 millions le remboursement des impositions dues à la métropole et au département. Soit 72 millions de "subventions" au partenaire sur la durée du contrat.

Comme on l'a observé pour d'autres projets de stades, le volume de l'activité hors-football a été considérablement surévalué. Ainsi, aucun concert n'a eu lieu à l'Arena de Nice, et les événements d'entreprise ou privés sont très loin d'atteindre les deux-cents dates annuelles envisagées. Au point que la Chambre reste perplexe sur le modèle économique du partenaire : "La commune n’a obtenu de NES ni le plan d’activité et le modèle économique de l’exploitation du stade, ni le contrat de nommage avec Allianz. Ces recettes demeurent donc inexpliquées." Mais l'explication n'est pas loin : "(…) les profits de NES résultent moins de l’exploitation du stade que de la rémunération des capitaux propres investis dans le projet pendant une dizaine d’années."

LES PPP, DÉSASTRE PROGRAMMÉ

Les contribuables niçois héritent d'un stade surdimensionné, qui va leur coûter très cher durant trois décennies, encore plus cher si l'OGC Nice connaît des déboires : engager les finances publiques d'un stade envers les résultats sportifs d'un club de football est probablement la plus grande aberration du financement des stades.

Le contrat du stade de Nice illustre de façon presque caricaturale la "bombe à retardement" des partenariats publics-privés, selon l'expression d'un rapport parlementaire de l'an passé. On peut retenir ce verdict de la Chambre régionale des comptes PACA : "Les subventions publiques et les redevances versées par la commune au partenaire privé financent la quasi-totalité de la construction et de l’exploitation du stade." Socialisation des coûts, privatisation des bénéfices, telle est la formule de ce système pourtant présenté comme gagnant-gagnant. Ses pièges étaient faciles à démontrer, mais l'apologie nationale du PPP comme une panacée et l'élan national nécessaire à la candidature à l'Euro 2016 ont coupé court au débat.

Pour rendre possible cette mystification, pas seulement à Nice, il aura fallu une base idéologique – le dogme de la réduction des dépenses publiques et de l'endettement des collectivités, qui a conduit à des solutions encore plus dispendieuses. Mais aussi un mélange, à déterminer, entre la négligence des élus envers leurs responsabilités et leur complaisance à l'égard des intérêts privés. La municipalité de Christian Estrosi aura versé une édifiante contribution à ce dossier.

[1] Le rapport précise : "Consciente de cette faiblesse, la commune a d’ailleurs tenté, sans succès, de faire modifier la loi afin que soit supprimée l’exigence d’une affectation au service public des stades, objets d’un contrat de partenariat."
[2] La fourniture des fluides (85.000 euros annuels), l'entretien de la pelouse et le transport des spectateurs en bus-navettes – "une aide économique irrégulière au club, entreprise privée à laquelle la commune ne peut accorder des prestations de service gratuites".
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Messagepar Dogue-son » 29 Juil 2015, 12:23

Le PPP c'est un outil intéressant mais complexe. Les collectivités locales, d'une part ont une gestion de ces marchés qui oscille entre le n'importe quoi et le délictueux (mais c'est aussi le cas avec les marchés classiques), et d'autre part, et surtout, absolument pas les compétences pour les gérer au quotidien.
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Messagepar fernando » 29 Juil 2015, 12:31

C'est pas bien maîtrisé pour le moment, c'est le moins qu'on puisse dire.
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Messagepar Dogue-son » 29 Juil 2015, 12:41

Comment tu veux maîtriser un truc sans avoir les gens compétents pour le faire ?
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Messagepar laurentlille1 » 29 Juil 2015, 13:11

Pourtant on a plein de gens compétents pour y arriver. Suffit de réutiliser les personnes chargées de trouver le sponsor pour le naming du stade.
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Messagepar fernando » 29 Juil 2015, 13:49

Dogue-son a écrit:Comment tu veux maîtriser un truc sans avoir les gens compétents pour le faire ?


Dans une boutique comme la MEL, t'as forcément des gens suffisamment compétents pour gérer ça. Mais y'a un défaut d'expertise, de recul et de formation.
Ca reste quelque chose de récent et complexe le PPP, c'est devenu à la mode pour certains types de projets, tout le monde s'y est mis sans forcément savoir comment s'y prendre.
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Messagepar Dogue-son » 29 Juil 2015, 14:09

mouais, ça fait 20 ans que je fais du marché public dans la construction, et les bons chez les maîtres d'ouvrage publics, sont, au fil du temps et pour la plupart, soit partis chez les gros œuvres où ils gagnent bien plus, soit à la retraite.
Je vois de plus en plus de personnels qui ne savent plus rien faire seuls sans le secours des architectes et des bureaux d'études, qui sont devenus de facto les patrons des chantiers. Et parfois agissent au détriment du maître d'ouvrage.
Alors qu'en face, les gros œuvres, c'est les rois de la gestion de contrat, pire que des avocats.
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Messagepar fernando » 29 Juil 2015, 16:18

Je ne traite pas de marchés public de construction, mais vu les montants et la complexité c'est fatalement là qu'il y a le plus d'abus et de dérives (HLM de Paris crew).
Ne baignant pas là-dedans, je ne saurais me prononcer sur tes attaques abjectes.
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Messagepar John Holmes » 29 Juil 2015, 16:31

fernando a écrit:
Dogue-son a écrit:Comment tu veux maîtriser un truc sans avoir les gens compétents pour le faire ?


Dans une boutique comme la MEL, t'as forcément des gens suffisamment compétents pour gérer ça. Mais y'a un défaut d'expertise, de recul et de formation.
Ca reste quelque chose de récent et complexe le PPP, c'est devenu à la mode pour certains types de projets, tout le monde s'y est mis sans forcément savoir comment s'y prendre.


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John Holmes
 
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Messagepar GilbertSedman » 29 Juil 2015, 16:34

John Holmes a écrit:
fernando a écrit:
Dogue-son a écrit:Comment tu veux maîtriser un truc sans avoir les gens compétents pour le faire ?


Dans une boutique comme la MEL, t'as forcément des gens suffisamment compétents pour gérer ça. Mais y'a un défaut d'expertise, de recul et de formation.
Ca reste quelque chose de récent et complexe le PPP, c'est devenu à la mode pour certains types de projets, tout le monde s'y est mis sans forcément savoir comment s'y prendre.


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Je plussoie et je rajouterai le passé :

fernando a écrit: C'était devenu à la mode pour certains types de projets, tout le monde s'y était mis sans forcément savoir comment s'y prendre.


Plus aucun projet n'est signé en PPP
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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Messagepar fernando » 29 Juil 2015, 17:16

Vous êtes pas très corporates les gars. C'est pas bien.
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Messagepar SAV » 29 Juil 2015, 17:48

Eric Darques et A.D de Lille aiment ça.
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar GilbertSedman » 29 Juil 2015, 19:22

fernando a écrit:Vous êtes pas très corporates les gars. C'est pas bien.

Disons que l'anus de la MEL n'ayant pas encore cicatrisé du ppp big mauroy, on évite de se faire réinsérer un concombre (bij' touch)
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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Messagepar Xylophène » 29 Juil 2015, 19:52

GilbertSedman a écrit:Disons que l'anus de la MEL n'ayant pas encore cicatrisé du ppp big mauroy, on évite de se faire réinsérer un concombre (bij' touch)


J'imagine les bobines des employés de la MEL le jour du vote du Grand Stade : la même tête que lorsque tu rends visite à ta vieille tante et que, pour lui faire plaisir, tu t'empiffres de Quality Street (périmés) alors que tu détestes ça.
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."

Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
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