[01T] Politix, fonctionnaire et Cie

Messagepar ruitos » 30 Juil 2015, 09:16

y'avait une marque à l'epoque...des espèces de 4x4, on en voyait en circulation....mais ça n'existe plus je pense...


mais l'important est que manu confirme la possibilité d'un affrontement intra-ethnique au sein de la communauté portugaise...




PS: la marque est UMM, les flics (GNR) et pompier utilisaient ces véhicules...
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ruitos
 
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Messagepar manulosc » 30 Juil 2015, 11:57

toujour d actualité apparament
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manulosc
 
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Messagepar rhazelle » 30 Juil 2015, 19:15

conflit inter ethnico portugais en france, ça fait quelques temps.
Manu confirmera, mais de fortes tensions subsistent par exemple au sein même de la métropole lilloise.. les portugais de roubaix et les portugais du vieux lille s'accrochent + que souvent ces derniers temps, désolé si j'ai jeté un parpaing dans la mare mais fallait le dire.
Et la photo de ta collection de godes que John Holmes a posté l'autre jour , ça vient du Journal de Mickey ?
rhazelle
 
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Messagepar W » 30 Juil 2015, 19:23

Tu n'as pas à t'excuser, il faut dénoncer ces problèmes pour avoir une chance de casser le mur de l'intolérance.
It's art. You don't need pants.
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W
 
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Messagepar fernando » 19 Août 2015, 21:36

Melinda Saint-Louis: «Le traité transatlantique ne profitera qu’aux 1%»

Melinda Saint-Louis est directrice des campagnes internationales de Public Citizen, une organisation américaine qui s’oppose à la signature du traité transatlantique de libre-échange. Interrogée par Infolibre, elle estime que ce traité ne profitera qu’aux « 1% », soit à la seule élite économique européo-américaine.

Melinda Saint-Louis est directrice des campagnes internationales de Public Citizen, une organisation américaine qui défend les consommateurs et s’oppose clairement à la signature du traité transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP dans le jargon bruxellois, ou TAFTA pour ses adversaires), entre l’Union européenne et les États-Unis. Elle a participé à des conférences organisées par le groupe Greens/EFA dans le cadre du Parlement européen. Infolibre, partenaire éditorial de Mediapart en Espagne, a eu l’opportunité de recueillir son point de vue sur un traité que l’experte n’annonce bénéfique qu’aux « 1% », soit à la seule élite économique européo-américaine.

Les États de l’Union européenne traitent très différemment le TTIP. Certains en ont fait un vrai débat public. D’autres, au contraire, ont presque essayé de cacher son existence à leur population. Aux États-Unis, quelle place occupe le TTIP dans le débat public ?

En ce moment, le pays est davantage en proie à un débat sur le TTP, partenariat dit transpacifique, que le gouvernement est en train de négocier avec le Japon, l’Australie, la Malaisie et le Viêtnam. Les Américains sont très préoccupés par la disparition de postes de travail sur le sol national qu’est susceptible d’entraîner la signature de l’accord. Les standards de travail sont, en effet, bien plus bas au Viêtnam qu’aux États-Unis. Je crois que cette préoccupation quant aux dangers du TTP nourrit en même temps la lutte contre le TTIP, dont la signature est encore plus proche quoiqu’il soit moins présent dans le débat public.

Le TTIP est donc quand même l’objet d’un débat aux États-Unis…

Oui, depuis plus de six mois déjà. Le débat se concentre notamment sur l’ISDS [tribunal d’arbitrage très conversé entre les investisseurs et les États] et les normes de protection des aliments. Une vaste campagne avait été lancée contre le mécanisme de législation « fast track », qu’a réussi à mettre en place le président Barack Obama. Par ce mécanisme, la signature de l’accord est facilitée, car le président n’aura plus qu’à le signer lui-même avant de le présenter au Congrès. La société civile s’est pourtant majoritairement opposée au « fast track », ainsi que les membres du Parti démocrate lui-même, pour qui le TTIP ne favorise que les grandes entreprises.

En Europe, les entreprises étant soumises à une régulation plus stricte qu’aux États-Unis, pensez-vous que le TTIP leur sera moins bénéfique qu’à leurs consœurs américaines ?

Aux États-Unis, les entreprises ont davantage recours aux ISDS qu’ailleurs dans le monde. Des entreprises très litigieuses, notamment, ont l’habitude d’utiliser ce mécanisme juridique pour en tirer des bénéfices. L’Europe a donc de quoi se montrer inquiète : la signature du TTIP risque de donner beaucoup de pouvoir aux 47 000 entreprises américaines sur le territoire européen.

En même temps les grandes entreprises européennes ont autant soutenu ce projet que les américaines. Depuis les années 1990, d’un côté de l’Atlantique comme de l’autre, les grandes entreprises le promeuvent corps et âme ! Business Europe et la Chambre de commerce (les organisations patronales européennes et américaines) ont toutes les deux soutenu le TTIP.

L’Europe n’est pas la seule inquiète. Aux États-Unis, par exemple, nous craignons que les grandes banques européennes essaient d’utiliser le TTIP pour réduire le peu, trop peu, de réglementation financière que nous avons, difficilement, réussi à imposer suite à la crise économique. Je vois donc moins cet accord comme une lutte entre les sociétés américaines et européennes, que comme un traité qui ne bénéficiera, des deux côtés de l’Atlantique, qu’aux « 1% », soit à la seule élite économique. Un traité qui augmentera l’inégalité entre ceux qui ont tout et ceux qui n’ont rien.

Quels effets pourraient avoir le TTIP sur le consommateur américain ?

Les Américains ont très peur que le TTIP ne dérégule à nouveau, ou devrais-je dire, encore plus, le système financier. De nombreuses personnes ont perdu leur maison ou leur travail à cause de la crise financière et de la façon dont Wall Street et les banques ont jonglé avec la finance. Pour l’instant, nous n’avons pas encore obtenu la réglementation dont le pays a vraiment besoin. Et si le TTIP vient fixer des limites à ce que nous espérions pouvoir réaliser dans l’avenir… La stabilité financière est très précaire : cela pourrait conduire à une nouvelle crise.

La réglementation concernant la nourriture et les produits chimiques est bien meilleure en Europe qu’aux États-Unis, bien que plusieurs États américains se battent pour l’améliorer. Le gouvernement de Californie, par exemple, essaie de réglementer ces deux secteurs ; mais le TTIP risque de réduire sa capacité décisionnelle en la matière.

Faites-vous allusion au principe de « coopération réglementaire » inclus dans l’accord ?

La coopération alimentaire soulève de nombreuses inquiétudes. Il y a aussi d’autres préoccupations. Aux États-Unis, il y a une politique très populaire, à droite comme à gauche, qui est connue sous le nom de Buy America ou Buy Local. Cette politique vise à réinvestir les impôts des contribuables dans les emplois locaux grâce aux achats publics. Et ainsi à donner la préférence à certaines entreprises locales.

La Commission européenne juge cette politique discriminante et voudrait que les États-Unis ouvrent entièrement leurs portes aux entreprises étrangères. Alors qu’une des solutions pour sortir de la récession consiste à privilégier, protéger et investir dans l’emploi local, le TTIP risque de nous y remettre en plein dedans !

Vous assurez que l’argument clef qu’a trouvé Obama pour faire passer le TTIP, c’est qu’il serait utile à la sécurité nationale…

Oui, c’est en effet un argument purement rhétorique, mais je dois admettre qu’il a un certain impact sur la population. Le gouvernement sait très bien qu’il n’arrivera pas à vendre le TTIP avec des arguments économiques. Surtout quand on voit que dans le meilleur des cas, le TTIP se traduira par une croissance de 0,2 % au maximum.

Question traités de libre-échange, les États-Unis tiennent sûrement le haut du panier, on en a une palanquée. Ils ont presque tous nui à la majorité de la population, pour favoriser une toute petite minorité. Les gens ne croient plus à ces grands projets. L’ALENA (accord de libre-échange signé en 1994 entre les États-Unis, le Canada et le Mexique) a fait disparaître 1 million d’emplois au lieu des 200 000 qu’il aurait dû créer. La population est donc sceptique, elle voudrait un autre argument : alors le gouvernement explique que le TTIP est un moyen de s’allier à l’Europe contre la Russie !
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar GilbertSedman » 20 Août 2015, 00:01

Melinda saint-Louis..... Quel grossier fake du gorafi
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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GilbertSedman
 
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Messagepar King Kong » 20 Août 2015, 09:58

rip Emmanuel Ratier
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
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Messagepar fernando » 20 Août 2015, 10:13

King Kong a écrit:rip Ratik


Ah! Enfin une bonne nouvelle
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Messagepar fernando » 20 Août 2015, 15:21

Iran: Netanyahou est démenti par ses principaux chefs militaires

20 août 2015 | Par René Backmann

Dans un rapport, le général Eizenkot, chef d’état-major de l’armée israélienne, détaille pourquoi l’Iran n'est pas une menace majeure pour Israël. Son diagnostic rejoint l'appel d'une quarantaine d’ex-généraux à ce que leur gouvernement accepte l’accord sur le nucléaire. Cela n'empêche nullement Benjamin Netanyahou de tout faire pour que le Congrès américain rejette l'accord, avec le soutien d'une large majorité des Israéliens.


L’Iran n’est pas, pour Israël, la menace principale. Ce jugement en contradiction totale avec les déclarations et la stratégie politique et diplomatique de Benjamin Netanyahou, surtout depuis l’accord du 14 juillet 2015 sur la démilitarisation du programme nucléaire iranien, n’émane pas d’un de ces « cœurs saignants » de l’extrême gauche israélienne que le Likoud et ses alliés méprisent. Il provient d’un document de 33 pages, en hébreu, portant la signature du général Gadi Eizenkot, chef d’état-major de l’armée israélienne. Sous un titre banal – « La stratégie des forces de défense d’Israël » – ce document expose en cinq chapitres la doctrine d’évolution et d’utilisation des forces du général Eizenkot, qui a succédé en février 2015 au général Benny Gantz, à la tête de l’armée israélienne.

Issu d’une famille marocaine – sa mère est originaire de Casablanca, son père de Marrakech –, ce fantassin de 55 ans, formé au sein de la brigade Golani, a gravi en 35 ans tous les échelons de la hiérarchie militaire, du commandement de la division de « Judée-Samarie » (Cisjordanie) à la tête de la Branche des opérations et au commandement de la région nord. Il passe pour un dur, réputé pour ses options opérationnelles implacables. Pendant la guerre du Liban, en 2006, il avait annoncé que chaque village libanais d’où partiraient des tirs du Hezbollah serait « rayé de la carte ». Mais il est aussi connu pour son franc-parler et sa méfiance face à l’aventurisme des politiques…

Le texte qu’il a rendu public la semaine dernière – initiative inédite en Israël – constitue la version abrégée et expurgée d’un document beaucoup plus riche en données opérationnelles et stratégiques, préparé par un groupe d’experts de la Branche des opérations, et communiqué il y a quelques semaines aux principaux responsables militaires. Dans le premier chapitre de la version destinée au public, consacré aux « Aspects militaires de la perception de la sécurité », le général Eizenkot, fidèle à sa réputation, rappelle que « l’ennemi ne peut être vaincu par un combat défensif et que seule l’offensive peut permettre d’obtenir des résultats militaires clairs ».

Mais c’est sur la définition de « l’ennemi » que le document révèle une vision stratégique sinon originale, du moins actualisée.

Alors que l’armée israélienne des années 1950 et 1960 avait été conçue pour affronter les assauts des pays arabes voisins sur ses frontières, les accords de paix avec l’Égypte puis la Jordanie, le changement de régime en Irak et la dislocation en cours de la Syrie imposent une définition renouvelée de la menace. Aujourd’hui, affirme le document, les principaux ennemis d’Israël ne sont plus ses voisins, mais les « organisations militaires » islamistes comme le Hezbollah et le Hamas, qui disposent du soutien de certains États de la région, et les organisations terroristes islamistes, engagées dans le djihad global comme Al-Qaïda, ou dans la conquête d’un espace géographique comme l’État islamique.

L’Iran est mentionné dans le document comme allié et soutien du Hezbollah et du Hamas, jamais comme une menace en soi – nucléaire ou non. Cette absence s’explique-t-elle, comme l’avancent les partisans de Netanyahou, par le caractère sensible de ce dossier et le secret qui protégerait la stratégie israélienne dans cette affaire ? Ou bien par le crédit que l’état-major accorderait au document signé le 14 juillet 2015 entre l’Iran et les « 5+1 » (États-Unis, Russie, Chine, Royaume-Uni, France, Allemagne) ?

Quelle que soit la réponse, le simple fait que le chef d’état-major israélien ait décidé, dans un document public, de tenir, sur l’Iran, un discours à l’opposé de celui du premier ministre révèle, au moins, une spectaculaire divergence sur la communication. Et peut-être davantage.

Alors que Netanyahou s’efforce de mobiliser, avec l’aide de ses riches partisans américains, les membres du Congrès des États-Unis pour qu’ils s’opposent à l’accord conclu avec Téhéran, au risque d’ouvrir une épreuve de force avec Barack Obama, le général Eizenkot rappelle dans son texte que parmi les principaux objectifs stratégiques de l’armée israélienne figure « le renforcement de l’alliance avec les États-Unis ». Il insiste aussi, à l’heure où les observateurs relèvent l’isolement diplomatique croissant auquel Israël est confronté en raison de l’attitude de Netanyahou, sur la nécessité de « renforcer la position d’Israël dans l’arène internationale ».

Il ne s’agit d’ailleurs pas du premier désaccord, sur ce point, entre les deux hommes. En 2010, Gadi Eizenkot, à l’époque vice-chef d’état-major, avait adressé une lettre au premier ministre pour exprimer son désaccord avec l’hypothèse d’une frappe aérienne sur des cibles nucléaires iraniennes que le gouvernement semblait envisager. Une telle attaque, relevait le général, pourrait entraîner Israël dans une guerre dangereuse et mettre en péril l’alliance avec les États-Unis. Alliance concrétisée notamment par une aide militaire annuelle de 3 milliards de dollars versée par Washington au gouvernement israélien.

47 % des Israéliens sont favorables à une frappe militaire contre l’Iran

Curieusement, alors que l’opposition de centre gauche, en plein naufrage moral et idéologique, soutient Netanyahou dans sa condamnation de l’accord du 14 juillet, c’est des milieux militaires et sécuritaires que viennent, en Israël, les prises de position les plus pragmatiques, voire les plus favorables à l’accord sur le nucléaire iranien.

Moins de deux semaines avant la publication du document du général Eizenkot, une soixantaine de personnalités, parmi lesquelles deux anciens chefs du Shin Bet (service de sécurité intérieur), un ancien directeur adjoint du Mossad, un ancien chef des renseignements militaires et une quarantaine de généraux, avaient publié dans la presse une pétition appelant Netanyahou à accepter l’accord. « L’accord conclu par les grandes puissances le 14 juillet avec l’Iran est un fait accompli », constatent les signataires. « C’est pourquoi nous appelons le gouvernement israélien à adopter une politique qui restaurera la confiance et renforcera la coopération sécuritaire et diplomatique avec l’administration américaine afin de se préparer à faire face aux nombreux défis qui vont découler de cet accord. »

Mobilisation vaine apparemment, face à l’alarmisme acharné du premier ministre et des médias qui le soutiennent. Deux sondages, réalisés par la chaîne de télévision Channel 10, au lendemain de la signature de l’accord, puis par le quotidien Ma’ariv, quelques jours plus tard, indiquent qu’une solide majorité d’Israéliens approuvent l’attitude de Netanyahou. Selon ces deux enquêtes, 69 % des Israéliens sont opposés à l’accord, 74 % pensent qu’il n’empêchera pas l’Iran d’obtenir une bombe nucléaire, 78 % estiment qu’il constitue une menace pour Israël, 51 % jugent que « tous les moyens » doivent être employés pour convaincre le Congrès américain de le rejeter et 47 % (contre 35 %) sont même favorables à une frappe militaire israélienne contre l’Iran pour l’empêcher de disposer d’une arme nucléaire.

Généreux ami de Netanyahou et propriétaire du quotidien gratuit Israël Hayom, premier tirage de la presse israélienne, le magnat américain des casinos, Sheldon Adelson, 13e fortune des États-Unis, est disposé à dépenser des dizaines de millions de dollars pour convaincre les membres du Congrès de faire échouer l’accord avec l’Iran. L’American Israël Public Affairs Committee (Aipac), incontournable organisation américaine de soutien à Israël, s’apprête à dépenser entre 20 et 40 millions de dollars de clips de publicité contre l’accord. En ciblant en priorité les démocrates – les républicains étant d’ores et déjà résolus à voter, par principe, contre le texte. Ce pilonnage a déjà commencé à payer.

D’ordinaire très réceptifs aux discours des militaires israéliens, les parlementaires américains – y compris certains démocrates – semblent cette fois sourds aux arguments des généraux, même aux mises en garde d’Eizenkot, qu’il serait pourtant difficile de faire passer pour une colombe. Il y a deux semaines, le sénateur démocrate de New York, Chuck Schumer, très influente voix juive au Congrès, a annoncé qu’il voterait avec les républicains et rejetterait l’accord avec l’Iran. Ce mardi, un autre sénateur démocrate, Robert Menendez, du New Jersey, ancien président de la commission des affaires étrangères du Sénat, a annoncé à son tour qu’il s’opposerait à la validation du texte.

Soumis au démarchage intensif des groupes de soutien à Israël, d’autres démocrates hésitent encore. Au point que l’administration Obama n’est pas assurée de voir le texte franchir l’obstacle du Congrès. Un rejet contraindrait Barack Obama à faire usage de son droit de veto, pour appliquer, malgré tout, les dispositions de l’accord. Et seule la mobilisation des deux tiers des sénateurs et des représentants permettrait alors de « casser » le veto présidentiel. Ce qui serait pour Barack Obama une défaite historique. Et pour Benjamin Netanyahou une victoire grisante, prélude possible à n’importe quelle aventure. Perspectives désastreuses dont le Moyen-Orient en plein chaos se passerait aisément.
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fernando
 
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Messagepar fernando » 20 Août 2015, 20:02

Ce fut brillant cette 1ère expérience de gouvernement de "gauche radicale" en europe. Vamos Podemos!

Alexis Tsipras annonce sa démission, vers des élections anticipées en Grèce

Le Monde.fr avec AFP | 20.08.2015 à 19h43 • Mis à jour le 20.08.2015 à 19h55


Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a remis, jeudi 20 août, sa démission au chef de l’Etat afin d’ouvrir la voie à la tenue d’élections législatives anticipées le 20 septembre. Cette décision était attendue depuis que le premier ministre arrivé au pouvoir en janvier a perdu sa majorité lors de l’adoption dans des conditions houleuses du troisième plan d’aide conditionné à une liste de nouvelles mesures d’austérité prioritaires à appliquer dès cet été.

« Le mandat que j’ai reçu le 25 janvier a atteint ses limites », a-t-il déclaré lors de son intervention à la télévision jeudi 20 août ouvrant la voie à de nouvelles élections. « Vous déciderez avec votre vote si vous approuvez l’accord ou non, et qui peut mener les réformes nécessaires », a déclaré Alexis Tsipras avant de solliciter à nouveau la confiance des électeurs pour mettre en œuvre son programme.

Selon les règles politiques grecques, un gouvernement minoritaire doit en effet toujours s’assurer au moins 120 voix au sein de sa coalition. Or, seuls 118 députés de Syriza et d’Anel, la formation de droite souverainiste associée à Syriza dans la coalition gouvernementale, ont voté en faveur du plan. Une trentaine de membres de Syriza, y compris l’ex-ministre des finances Yannis Varoufakis, se sont prononcés contre et le texte a été validé à la majorité grâce au soutien des trois grands partis d’opposition, Nouvelle Démocratie (conservateur), le Pasok (socialiste) et To Potami (centre gauche).



L’ampleur de la fronde de l’aile gauche de Syriza contre le premier ministre Alexis Tspiras, qui bénéficie encore d’une solide popularité auprès des Grecs, a surpris par son ampleur. Après le vote d’une première salve de réformes les 15 et 22 juillet lors desquels des oppositions au sein de son parti s’étaient déjà exprimées, le parti est désormais au bord de l’implosion.

Le calendrier a dû être précipité

La Constitution grecque prévoit une procédure relativement complexe pour l’organisation d’élections anticipées lorsque celles-ci doivent se tenir moins de douze mois après le scrutin précédent. Une fois que le premier ministre remet sa démission, le chef de l’Etat, Prokopis Pavlopoulos, ne peut pas convoquer immédiatement un nouveau scrutin mais doit d’abord consulter les dirigeants des autres partis pour voir s’ils sont en mesure de former un gouvernement. Ce n’est qu’en cas d’échec de ces consultations - plus que probable compte tenu de la composition du Parlement - que des élections seront annoncées et organisées.

La perspective d’élections anticipées à l’automne, les cinquièmes en Grèce depuis octobre 2009, était connue depuis plusieurs semaines mais Tsipras a dû précipiter son calendrier après la perte de sa majorité au parlement. Cette accélération s’explique également par la volonté de Tsipras de retourner devant les électeurs avant que se fassent sentir les effets des nouvelles mesures d’austérité.

Dans la foulée de l’annonce de futures élections, Martin Selmayr, chef de cabinet du président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a indiqué que des élections anticipées en Grèce, « pourraient conduire à un soutien élargi au programme du MES (mécanisme européen de stabilité), qu’Alexis Tsipras a récemment signé ».
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Messagepar Dageek » 20 Août 2015, 20:17

on peut pas vrament lui jeter la pierre non plus.. le truc est verrouillé de partout, il était " obligé " de donner son cul.
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Messagepar King Kong » 20 Août 2015, 21:18

Trahison accomplie, retour à Langlay!
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Messagepar fernando » 21 Août 2015, 09:19

Dageek a écrit:on peut pas vrament lui jeter la pierre non plus.. le truc est verrouillé de partout, il était " obligé " de donner son cul.


Ca aura au moins prouvé qu'il n'y a aucune alternative politique possible dans le cadre institutionnel européen. Ils l'ont tué politiquement.

La zone euro, tu l'aimes ou tu la quittes.
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Messagepar rodolfo » 21 Août 2015, 10:23

Hollande promet une baisse des impôts dès 2016, si la croissance continue de s'amplifier



MOUHHAAAHAAAHAAAA!!!! HHAAA!!!!!! HAHA!!!!






Mais putain, quel humour !!!
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rodolfo
 
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Messagepar Giallo » 21 Août 2015, 10:26

à mon avis si ça baisse ce sera surtout pour préparer la campagne de 2017
ce message ne vient pas de moi
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Giallo
 
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Messagepar ancien posteur » 21 Août 2015, 10:49

fernando a écrit:
Dageek a écrit:on peut pas vrament lui jeter la pierre non plus.. le truc est verrouillé de partout, il était " obligé " de donner son cul.


Ca aura au moins prouvé qu'il n'y a aucune alternative politique possible dans le cadre institutionnel européen. Ils l'ont tué politiquement.

La zone euro, tu l'aimes ou tu la quittes.


Euh encore une fois, quand tárrives a un meeting et que t attends la date butoir en jouant le chantage et en donnant du mepris, faut pas t etonner si tu te fais fouetter par Angela.
Son programme etait: "ïls n ont pas le choix, si on sort de la zone euro cést mort pour toute l europe." L a du leur faire ytout drole quand le pere Wolgang a sorti ses insinuations style (ön s accomodera tres d une sortie de lÉuro des grecs...")
ancien posteur
 
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Messagepar fernando » 21 Août 2015, 11:15

Dès le 1er eurogroupe on lui a dit clairement : "tu signes comme tous les autres où on te coupe les vivres". C'est ce qui s'est passé et il fini par signer un mémorandum pire que les précédents, le couteau sous la gorge (plus de liquidités dans le pays). Sa stratégie de dramatiser jusqu'au bout une éventuelle sortie de la zone euro n'a pas fonctionné, le reste de l'europe est resté inflexible, ils ont même failli se faire foutre dehors de manière brutale et non préparée.

Ca aura montré qu'il n'y a aucune place pour une alternative majeure aux politique suivies dans le cadre des traités européens.
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Messagepar Dageek » 21 Août 2015, 12:22

Il lui ont surtout assuré quelques millions pour sa retraite ouais ! Histoire qu' il publie ses principes..
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Messagepar GilbertSedman » 22 Août 2015, 07:44

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Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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Messagepar King Kong » 30 Août 2015, 08:17

Encore un cerveau malade complotiste
Daniel Keller : "La République est fondamentalement maçonnique

Le Grand Maître du GODF Daniel Keller a obtenu un très franc succès lors du vote sur le rapport d’activité du Conseil de l’Ordre avec un score de 97,8% (1130 voix contre 26). Quasi le même résultat que l’an dernier – 98,07% – que j’avais qualifié d’aussi soviétique qu’africain.

La veille de l’ouverture du Convent de ce 27 août, il y a eu une cérémonie au Mémorial des martyres de la Seconde Guerre mondiale, où Daniel Keller s’est exprimé aux côtés du député-maire de Reims, Arnaud Robinet (Les Républicains), et du ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, Patrick Kanner (PS).

Extrait du discours de Daniel Keller :


« Dans un moment où la société cherche des boucs émissaires, le GODF se doit d’être présent pour rappeler inlassablement les valeurs fondamentales de la République. Le GODF est une institution DE la République et aussi DANS la République.

De la république : la FM a fortement contribué à la naissance et à l’implantation de la République. Que l’on pense simplement à quelques Grands Hommes tels que Léon Bourgeois, Jean Zay, Mendes-France, Gambetta, Jules Ferry, tous maçons. La République est fondamentalement maçonnique à travers l’affirmation laïque de la liberté de conscience et du refus des pressions dogmatiques, permettant l’affirmation de l’intérêt général au service des plus faibles.

Dans la République, aussi… La FM n’est ni censeur, ni Cassandre, mais un bouclier dans les moments tourmentés. Une position singulière dans le paysage politico-social par un rappel constant des principes et des valeurs fondamentales : les bras du GODF sont toujours grands ouverts à tous les défenseurs et promoteurs du triptyque républicain Liberté-Égalité-Fraternité (notamment, dans le terrible contexte actuel, aux migrants qui fuient la misère mais surtout les dangers de la guerre). »
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Messagepar SAV » 05 Sep 2015, 13:41

Ah ah ah mais cheuuuurrrr Béhachèl =)

Brigitte Macron 2027.
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Messagepar bijams » 05 Sep 2015, 13:50

Les photos de BHL sur les zones de guerres, c'est priceless.
Y a une rétro sur le site du Point.
Il est ridicule ce type.

Y a plein de Toshop à faire en plus.
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Messagepar rhazelle » 05 Sep 2015, 14:24

Ce qui est encore + ridicule, c'est de lui ouvrir les portes de l'Elysée, de l'écouter et de faire ce qu'il attend.
ON voit effectivement le résultat aujourd'hui. Un visionnaire.
Et la photo de ta collection de godes que John Holmes a posté l'autre jour , ça vient du Journal de Mickey ?
rhazelle
 
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Messagepar fernando » 05 Sep 2015, 15:46

BHL, le maître à penser de tous les cuistres.
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Messagepar GilbertSedman » 05 Sep 2015, 15:51

Bhl 1 bouquin, 40 ans de carrière... Showbiz
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Messagepar ruitos » 05 Sep 2015, 16:19

vous êtes antisémites là les mecs, attention...
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Messagepar laurentlille1 » 05 Sep 2015, 16:27

+1, surtout qu'il est à fond dans le projet du forum les mecs!

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Messagepar rodolfo » 05 Sep 2015, 19:28

BHL le tocard qui citait Jean botul, le philosophe paraguayun créé de toutes pièces par le canard enchaîné.

Tout aussi priceless :

http://rue89.nouvelobs.com/2010/02/08/bhl-piege-les-amis-de-botul-consternes-et-allegres-137436

Après cette bouffonerie, il a quand même convaincu Sarkozy d'aller foutre la merde en Lybie.....
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rodolfo
 
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Messagepar Dageek » 06 Sep 2015, 13:17

ce type vit sa vie de fake, mais en vrai.
Les plus cons sont tous les baltringues qui lui ouvrent leurs micros.
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