[01T] Politix, fonctionnaire et Cie

Messagepar fernando » 27 Jan 2016, 18:22

SAV a écrit:Tain, au risque de m'auto-goder


C'est un choix de vie, chacun ses distractions.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
Avatar de l’utilisateur

fernando
 
Retour

Messagepar krouw2 » 27 Jan 2016, 18:57

ça va on leur demande pas de mettre un signe distinctif
Hollande 2027
Avatar de l’utilisateur

krouw2
 
Retour

Messagepar stikky » 27 Jan 2016, 19:15

fernando a écrit:
rodolfo a écrit:Faut bien admettre qu'elle est nullisime quand même, non?


Elle est davantage là pour ce qu'elle représente que pour sa compétence, comme Rama Yade avant elle.


tu oublies la bonnassitude aussi
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
Avatar de l’utilisateur

stikky
 
Retour

Messagepar King Kong » 27 Jan 2016, 19:40

guinness a écrit:j'ai vaguement entendu que la prolongation de l'etat d'urgence en France ne serait pas légale selon "la communauté européenne" !!!

Le Conseil d’État refuse de suspendre l’état d’urgence

Tous les feux au vert pour Manuel Valls

Le Conseil d’État ne juge pas nécessaire de suspendre tout ou partie de l’état d’urgence, comme le lui demandait la Ligue des droits de l’homme.

Le Conseil d’État a annoncé mercredi qu’il refusait de suspendre l’état d’urgence instauré après les attentats de novembre, comme le lui demandait la Ligue des droits de l’homme (LDH). Le juge des référés a notamment estimé que « le péril imminent justifiant l’état d’urgence n’a pas disparu compte tenu du maintien de la menace terroriste et du risque d’attentats », selon un communiqué publié par la plus haute juridiction administrative.

Mardi, à l’audience, la LDH avait demandé au Conseil d’État de « suspendre tout ou partie » de ce régime d’exception et, à défaut, d’« enjoindre au président de la République de procéder à un réexamen des circonstances de fait et de droit » qui ont conduit à sa mise en œuvre. Dans sa décision, le juge a rappelé que l’état d’urgence avait été prolongé par la loi et a souligné qu’il n’appartenait pas au Conseil d’État de suspendre son application
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
King Kong
 
Retour

Messagepar krouw2 » 27 Jan 2016, 21:16

Bon vent Christiane merci pour ta carrière au Lox
Hollande 2027
Avatar de l’utilisateur

krouw2
 
Retour

Messagepar W » 28 Jan 2016, 01:51

SAV a écrit:
fernando a écrit:classe
Danemark, Suisse, Allemagne : la confiscation des biens des migrants s’étend en Europe

Tain, au risque de m'auto-godwiner, ça fait comme même Waffen SS comme mesure.
Autant les inciter à ne pas venir, ce serait plus humain.

Tu penses que c'est quoi le but de la manoeuvre ??
It's art. You don't need pants.
Avatar de l’utilisateur

W
 
Retour

Messagepar fernando » 02 Fév 2016, 11:54

tain mais sérieusement! On dirait le Gorafi



Clinton et Sanders départagés à pile ou face

Le Monde.fr | 02.02.2016 à 09h22 • Mis à jour le 02.02.2016 à 09h39


Les candidats aux primaires en vue de la présidentielle américaine se sont soumis, lundi 1er février, au verdict des électeurs de l’Iowa, les premiers à voter dans le pays. Si le sénateur Ted Cruz a remporté nettement le scrutin côté républicain en recueillant 27,65 % des suffrages, devançant Donald Trump (24,3 %), il n’en va pas de même côté démocrate, où le décompte des voix fait apparaître une quasi-égalité entre Hillary Clinton et le sénateur du Vermont Bernie Sanders.

A plusieurs reprises, les deux candidats ont obtenu un nombre de voix identiques. Afin de les départager, les militants du Parti démocrate ont donc été contraints de… tirer à pile ou face, une règle écrite dans le guide des circonscriptions du Parti démocrate.

L’ancienne secrétaire d’Etat et le sénateur du Vermont ont donc été départagés six fois par le hasard. Un coup du sort qui semble profiter largement à Hillary Clinton, puisqu’elle a remporté chacun des tirages.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
Avatar de l’utilisateur

fernando
 
Retour

Messagepar krouw2 » 02 Fév 2016, 20:53

y avait qu'à la prendre au beer pongs la vieille
Hollande 2027
Avatar de l’utilisateur

krouw2
 
Retour

Messagepar fernando » 03 Fév 2016, 11:57

un député LR qui dit des choses intéressantes sur ce sujet, c'est pas banal (et donc c'est ni Jacob ni Estrosi)


Constitution: «Hollande se moque du monde»


Le député LR (ex-UMP) Philippe Houillon, proche de François Fillon et ancien président de la commission des lois constitutionnelles, explique en quoi l'inscription de l’état d'urgence et de la déchéance de nationalité dans la Constitution est « inutile ». Il dénonce la « supercherie » de François Hollande.



Il sera l’un des principaux orateurs de la droite lors des débats sur le projet de réforme constitutionnelle, qui démarrent vendredi 5 février, au palais Bourbon. Avocat de formation, ancien vice-président de l’Assemblée nationale (1999-2000), puis président de la commission des lois constitutionnelles (2005-2007), le député et maire LR (ex-UMP) de Pontoise (Val-d’Oise) a déjà fait part de ses réticences à Manuel Valls, en commission des lois.

Ce proche de François Fillon en est convaincu : la réforme constitutionnelle voulue par François Hollande ne sert à rien. Pourtant, elle piège politiquement bon nombre de parlementaires LR, qui s’apprêtent à la voter. Pour le symbole. Et pour rien d’autre. Entretien.

Vingt parlementaires LR ont signé une tribune3 pour dénoncer le projet de réforme constitutionnelle, qu’ils qualifient d’« inutile et dangereux ». Partagez-vous leur avis ?

Philippe Houillon. Ce n’est pas en soi dangereux, mais c’est inutile, oui. Il n’est pas nécessaire de constitutionnaliser l’état d’urgence pour qu’il soit applicable. Par ailleurs, en passant de la loi à la Constitution, on élève le principe de l’état d’urgence dans la hiérarchie des normes légales, mais le Conseil constitutionnel sera toujours appelé à statuer sur les mesures qui seront déclinées, à travers ce principe. Une fois que l’état d’urgence sera inscrit dans la Constitution, l’appréciation du Conseil sera un peu plus contrainte. Ce qui pose des questions en matière de libertés.

Puisqu’il est question de libertés, l’état d’urgence doit-il être contrôlé par un juge judiciaire ou un juge administratif ?

Quand on est à la frontière des mesures de police administrative et des mesures qui touchent aux libertés – pour des saisies, par exemple –, est-ce que la constitutionnalisation ne penchera pas vers l’administratif ? Si oui, cela peut s’analyser comme une restriction en matière de libertés.

En l’état, on ne peut pas dire que ce soit dangereux sur le plan juridique, mais sur le plan du contrat social, de la philosophie constitutionnelle, cela veut dire qu’on insère dans la Constitution une mesure restrictive de libertés. Je regrette que l’on n’affirme pas d’abord un principe de liberté. Énoncer une restriction dans le contrat social qui nous régit tous sans réaffirmer un principe de liberté crée un déséquilibre.

Quid du deuxième volet de la réforme constitutionnelle ? Êtes-vous favorable à l’inscription de la déchéance de nationalité dans la Constitution ?

Le texte de réforme constitutionnelle, dans sa nouvelle rédaction, ne dit rien. C’est une tautologie. La Constitution fixe déjà les règles concernant la nationalité, ce qui veut dire implicitement, mais nécessairement, toutes les règles : comment on acquiert la nationalité et comment on la perd.


Autant il y avait une différence dans le précédent projet, puisqu’on visait directement la perte de nationalité des binationaux, autant là, c’est une lourdeur totalement inutile. L’important, ça va être la loi d’application. Et dans celle-ci, on va probablement constater que seuls les binationaux pourront être déchus. C’est donc une supercherie.

En outre, il est bien possible au bout du compte que cette réforme soit une restriction du périmètre de déchéance des droits attachés à la nationalité. L’exposé des motifs de l’amendement du gouvernement confirme très clairement cette question, puisqu’on ne pourra plus prononcer cette déchéance qu’en cas de crimes ou délits constituant une atteinte grave à la vie de la Nation.

Nous avons actuellement, dans le code civil, des hypothèses de perte de la nationalité et, dans le code pénal, des hypothèses de perte des droits attachés à la nationalité, qui ne concernent pas du tout le terrorisme. Par exemple, article 23.7 du code civil : le Français qui se comporte en fait comme le national d'un pays étranger peut, s’il a la nationalité de ce pays, être déclaré, par décret après avis conforme du Conseil d’État, avoir perdu la qualité de Français. Le Français qui se comporte en fait comme le national d’un pays étranger, ce n’est pas forcément un terroriste.


Pourquoi l’exécutif a-t-il fait ce choix ?

Pour des raisons politiques. Pour qu’il soit toujours question de déchéance de nationalité française et qu’en même temps, on ne parle pas de binationaux, c’est-à-dire pour se garder à droite et se garder à gauche.

Le président de la République s’est fait applaudir par tout le Congrès et a fait cette annonce qui a surpris tout le monde. Maintenant, il est dans la seringue et il essaie d’aller jusqu’au bout de la réforme constitutionnelle. Pour avoir une majorité, il enlève ce qui fâche la gauche et ce qui fâche la droite, en espérant que tout le monde votera. On ne parle plus des binationaux, mais on sait que cela ne peut concerner qu’eux. Ce n’est pas sérieux.

Justement, quel regard portez-vous sur le sérieux de la méthode ?

Une réforme constitutionnelle, cela suppose une majorité qualifiée, c’est-à-dire une majorité des trois cinquièmes. On est dans le domaine du consensuel et de la quasi-évidence. Cela veut dire qu’un gouvernement, quel qu’il soit, arrive avec sa majorité derrière lui et essaie de convaincre au-delà. Là, nous sommes à fronts renversés. François Hollande arrive avec l’opposition pour convaincre au-delà du pourcentage de sa majorité qui n’est pas d’accord. Ce n’est pas vraiment l’esprit d’une réforme constitutionnelle…

Deuxièmement, quand on est dans le domaine de l’évidence, on ne change pas d’avis toutes les deux minutes. Là, nous sommes dans la confusion. Après avoir communiqué une rédaction, on nous annonce, le jour même du début de la discussion en commission des lois, un amendement qui change le texte. On patouille avec une réécriture. Et on enfume un peu… C’est vraiment une posture politicienne.

Hollande a sûrement fait précéder la déclaration à la réflexion. Il s’est ensuite aperçu que ce n’était pas si simple que cela, ni juridiquement ni politiquement. Car il y a aussi la jurisprudence européenne : quand on est déchu de la nationalité française, on perd aussi la citoyenneté européenne, bref…

Je suppose que le président de la République pense que c’est bon pour son image de faire voter quelque chose par le parlement, de rejeter la responsabilité du vote sur une partie de sa majorité ou sur la droite, qu’il fait un bon coup. Résultat : il s’entête pour des choses qui ne servent à rien. Ce n’est pas l’attitude d’un chef d’État. C’est une incohérence de plus.

Et puis quand même, c’est un texte qui s’appelle, excusez du peu, « projet de loi constitutionnelle de protection de la nation ». Ce n’est quand même pas rien ! C’est du lourd, comme disent les jeunes. Quand on se permet d’apporter un tel titre à un projet de loi, il faut quand même qu’il y ait quelque chose derrière qui corresponde à une efficacité quelconque pour la protection de la nation. Là, on se moque un peu du monde !

Pourquoi, dans ce cas, la droite persiste-t-elle à vouloir voter cette réforme ? Est-ce simplement parce qu’elle ne veut pas se voir reprocher quoi que ce soit en cas de nouvel attentat ?

C’est bien toute la difficulté et c’est bien tout ce que Hollande escompte. La constitutionnalisation de l’état d’urgence, ce n’est pas un drame. Quant à la réforme constitutionnelle qui dit que l’on fixe les règles concernant la nationalité et quand on la perd, ce n’est pas un drame non plus. Cela n’apporte rien.

Mais à partir du moment où ce débat, qui est un débat sérieux, se réduit à “vous n’êtes pas d’accord pour enlever la nationalité française aux terroristes”, évidemment cela prend une dimension différente. Cela risque en effet de contraindre un peu les options des uns et des autres…

Pensez-vous que l’état d’urgence a épuisé ses effets ?

Après ces drames de l’année 2015, tenter d’éradiquer la menace terroriste en prenant des mesures exceptionnelles, ce n’est pas choquant, c’est normal. C’est même responsable. Mais quand on a des outils exceptionnels, il faut que cela réponde à une situation exceptionnelle. La réponse est contenue dans la locution « état d’urgence ». On n’est pas tout le temps en état d’urgence.

Il faut analyser l’efficacité de cette mesure dans le temps. Si cela dure six mois ou huit mois, tous ceux qui auront quelque chose à planquer, et qui savent qu’ils pourront être perquisitionnés, se seront arrangés avant. Manuel Valls va déposer un projet de loi [ce mercredi 3 février – ndlr] pour étendre aux périodes de droit commun, c’est-à-dire en dehors de l’état d’urgence, les mesures de ce dernier. On ne sera donc plus dans le domaine d’une situation exceptionnelle qui justifie des mesures exceptionnelles.

Je pense que le ministre de l’intérieur fait tout à fait son job, mais qu’il y a malheureusement des tas d’aléas. On ne règle pas toute la menace terroriste par une loi. Sur le plan des libertés, est-ce que cela justifie de banaliser un état d’urgence ? Le danger étant, qu’au fil du temps, on n'utilise cela pour autre chose…
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
Avatar de l’utilisateur

fernando
 
Retour

Messagepar fernando » 04 Fév 2016, 15:22

Nicolas Hulot au gouvernement ?

Le Monde.fr | 04.02.2016 à 13h30 • Mis à jour le 04.02.2016 à 13h42 | Par Simon Roger et Sophie Landrin


Nicolas Hulot devrait donner sa réponse à François Hollande dans l’après-midi. Mercredi 3 février, il a été reçu à l’Elysée, comme l’ont révélé les sites de Libération et d’Europe 1. Plusieurs proches de Nicolas Hulot confirment que le chef de l’Etat lui a proposé d’entrer au gouvernement à l’occasion du prochain remaniement qui devrait être décidé à l’occasion du départ probable du ministre des affaires étrangères, Laurent Fabius, pressenti pour succéder à Jean-Louis Debré à la présidence du Conseil constitutionnel.

François Hollande aurait réservé à Nicolas Hulot, dont la popularité auprès des Français ne faiblit pas, de succéder à Ségolène Royal au ministère de l’écologie à périmètre constant. Le portefeuille inclurait l’énergie et les transports. Pour convaincre son ancien conseiller, le chef de l’Etat a donné des gages sur plusieurs dossiers sensibles : l’arrêt du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, la fin des rejets toxiques de l’entreprise Alteo à Gardanne dans la Méditerranée, l’interdiction totale de l’exploration et l’exploitation du gaz de schiste. En 2002, Nicolas Hulot avait refusé de devenir le ministre de l’écologie de Jacques Chirac.

« François Hollande lui a fait savoir qu’il avait besoin très rapidement de sa réponse, car son arrivée éventuelle conditionne d’autres options sur la composition du prochain gouvernement », confie Jean-Paul Besset, ancien député européen, très proche de Nicolas Hulot, qui a quitté le 6 janvier Europe Ecologie-Les Verts.

Se tenir à l’écart des stratégies partisanes

Le choix pour l’ancien conseiller, qui veut continuer à « être utile », est cornélien. Nicolas Hulot est certes disponible. Le 6 janvier, il a mis fin à la mission d’envoyé spécial du président de la République pour la protection de la planète, que lui avait confiée François Hollande trois ans auparavant. Mais il a manifesté sa volonté de se tenir à l’écart des stratégies partisanes.


Dans un entretien accordé au Monde, quelques jours après être parti de l’Elysée, le 9 janvier, depuis sa maison de Saint-Lunaire en Bretagne, il avait expliqué les raisons de son départ. « Nous allons entrer dans une période très politique et j’ai jugé qu’il serait plus difficile d’exercer cette mission sans échapper à une forme d’interprétation politique. Je ne veux pas que mon engagement puisse être considéré autrement que comme un enjeu supra politique. » L’homme disait également vouloir prendre du « recul », de la « distance ».

Il n’avait pas exclu un retour en politique, mais avait écarté fermement toute participation dans le cadre d’un parti politique. « Après mon expérience à la primaire d’Europe Ecologie-Les Verts en 2011, chat échaudé craint l’eau froide. Je suis frappé par l’indigence des partis politiques sur la question du climat », avait-il déclaré avant de conclure : « La politique telle qu’elle s’exerce et telle que je l’ai côtoyée, celle-là, c’est “no way”. Est-ce qu’il y a quelque chose à monter ? On verra. » En 2011, Nicolas Hulot, candidat à la primaire écologiste, avait été battu à plate couture par Eva Joly. Il en a gardé amertume et méfiance.


« Hulot n’est pas influençable »

Pour autant, « il ne veut fermer aucune porte, il ira là où il se sentira le plus utile », avance Jean-Paul Besset. « L’offre qui lui est faite est très lourde, on lui propose un poste de numéro 2 du gouvernement avec des compétences élargies. Nicolas Hulot n’est pas influençable, la décision lui appartient mais, dans les deux options, l’argumentaire est fort. »

Qu’aurait Nicolas Hulot à gagner dans cette nouvelle aventure à un an de l’échéance présidentielle ? L’envie, sans doute, de transformer en actes les promesses de la COP21, et de pousser le gouvernement à une réelle cohérence sur les dossiers environnementaux et climatiques.

Pour François Hollande, l’entrée de Nicolas Hulot relève avant tout du calcul politique. A l’approche de l’échéance présidentielle de 2017, le président sortant ferait de lui un allié et non un concurrent.

Pour les jours qui viennent, l’agenda de Nicolas Hulot comporte un rendez-vous : un départ vers l’Indonésie pour quelques jours de vacances en famille.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
Avatar de l’utilisateur

fernando
 
Retour

Messagepar Dageek » 04 Fév 2016, 15:29

je dis qu'il refuse
Avatar de l’utilisateur

Dageek
 
Retour

Messagepar Dogue-son » 04 Fév 2016, 15:35

"l’arrêt du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes"
"L’envie, sans doute, de transformer en actes les promesses de la COP21, et de pousser le gouvernement à une réelle cohérence sur les dossiers environnementaux et climatiques"
.....

"Pour les jours qui viennent, l’agenda de Nicolas Hulot comporte un rendez-vous : un départ vers l’Indonésie pour quelques jours de vacances en famille."

à pieds sans doute
I used to be a fan. Now I'm an air conditioner
Avatar de l’utilisateur

Dogue-son
 
Retour

Messagepar fernando » 04 Fév 2016, 16:12

En dos crawlé, pour limiter l'empreinte carbone.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
Avatar de l’utilisateur

fernando
 
Retour

Messagepar Dogue-son » 04 Fév 2016, 16:26

s'il pouvait se faire bouffer par un requin...
I used to be a fan. Now I'm an air conditioner
Avatar de l’utilisateur

Dogue-son
 
Retour

Messagepar fernando » 04 Fév 2016, 16:29

Il serait bien con d'accepter ce poste à un an de la présidentielle en tous cas...
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
Avatar de l’utilisateur

fernando
 
Retour

Messagepar Der » 05 Fév 2016, 17:52

Image
On se fait des bisous et on s'encule.
Avatar de l’utilisateur

Der
 
Retour

Messagepar ruitos » 05 Fév 2016, 17:57

Putain quand je pense aux nombreux fdp qui ont la nationalité et qu'à moi on me la refuse...


je vais de ce pas me rendre sur le topic "KDO RAGUNE" me calmer...
Avatar de l’utilisateur

ruitos
 
Retour

Messagepar Dageek » 05 Fév 2016, 18:48

Quand on pense à tous ces sales étrangers qui ne pensent qu'a bosser! ils sont vraiment pas dans le projet régional
Avatar de l’utilisateur

Dageek
 
Retour

Messagepar krouw2 » 09 Fév 2016, 00:30

Le PS renonce à présenter un programme en 2017

Réunis en conseil national, les socialistes ont adopté une « feuille de route » qui laissera leur candidat faire campagne comme bon lui semble. Une décision qui est aussi une démission.

Les socialistes renoncent à écrire un programme pour la présidentielle, et donc aussi pour les législatives. C'est la décision la plus surprenante qui ressort du texte présenté par Jean-Christophe Cambadélis et adopté ce samedi par le conseil national du PS (97 voix pour, 41 contre, 18 abstentions). Ce serait une perte de temps, explique en substance ce document :

Notre parti n'a aucun intérêt à rejouer la pièce des élections précédentes, où le temps passé à discuter et à se disputer pour élaborer un programme est inversement proportionnel au temps que le candidat passe à le lire et à le reproduire.

Le PS assume donc qu'avoir un programme ne sert à rien puisque ses candidats ne l'appliqueront pas ensuite. Ce faisant les socialistes ne font que tirer les leçons du quinquennat de François Hollande et acter leur démission collective face aux renoncements et reniements de ce dernier. Le 28 mai 2011, le PS, alors dirigé par Martine Aubry avait adopté à l'unanimité au terme d'un long parcours commencé un an plus tôt et ponctué par quatre conventions nationales et huit forums thématiques, un projet, intitulé « Le Changement », sur lequel tous les candidats à la primaire socialiste, ainsi que les candidats aux législatives, étaient tenus de s'engager. On connaît la suite.

Relire En attendant les primaires...

Plutôt qu'un programme, et afin de ne pas paraître s'effacer totalement, le PS entend créer « un champ d'idées et de débats » histoire de fixer « les enjeux de l'action future ». Pour cela, le texte adopté qui établit sa « feuille de route pour 2016 » prévoit la rédaction de sept « cahiers de la présidentielle » et la tenue de deux conventions nationales : « Pour l'emploi, pour l'avenir » (avril 2016), « République, notre bien commun » (janvier 2017).

Fort logiquement, la direction du PS a également refusé de soumettre au vote une motion présentée par Christian Paul au nom de la motion B, « A gauche, pour gagner ! ». Elle réclamait le retrait dans le projet de loi constitutionnel de l'article 2 sur la déchéance de nationalité, contre laquelle se sont prononcées plusieurs fédérations comme celle de Seine-Saint-Denis à laquelle appartiennent les députés Bruno Le Roux, Claude Bartolone ou Elisabeth Guigou. « Si je n'ai jamais demandé au PS de prendre parti pour la déchéance c'est pour ne pas diviser le parti », a fait valoir Jean-Christophe Cambadélis. Ne pas prendre clairement position semble bien être devenu le nec plus ultra rue de Solferino.

C'est aussi le cas sur la primaire, abondamment évoquée au cours de ce conseil national. Les proches d'Hollande, dont les poids lourds du gouvernement, sont farouchement contre. La direction du PS, qui n'en voit pas l'utilité, ne veut pas donner l'impression de s'y opposer si cela peut permettre de rejeter la responsabilité de la division sur le Front de gauche. La motion B ayant adopté le week-end dernier un texte appelant le PS à participer à l'organisation d'une primaire des gauches à laquelle la motion D, menée par la députée Karine Berger, est également favorable, le taulier du PS a repoussé toute décision définitive au prochain « conseil national dans soixante jours ». Mais accepté un amendement de la motion D proposant « la création d'une commission nationale d'organisation de la primaire de la gauche et de préparation de la présidentielle ». Le point a été mis à l'ordre du jour du bureau national du PS lundi, et M. Cambadélis recevra jeudi les représentants de l'appel à la primaire des gauches, parmi lesquels le député écologiste européen Yannick Jadot. Cela n'engage rien.
Hollande 2027
Avatar de l’utilisateur

krouw2
 
Retour

Messagepar fernando » 09 Fév 2016, 10:11

Bah ouais le but d'une élection c'est de la gagner, pas de présenter un programme, et puis quoi encore?

Ca vient d'où cet article?
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
Avatar de l’utilisateur

fernando
 
Retour

Messagepar ruitos » 09 Fév 2016, 11:14

on leur reprochera plus de mentir...bien joué!
Avatar de l’utilisateur

ruitos
 
Retour

Messagepar Dageek » 09 Fév 2016, 11:21

Pour avoir un programme faut déjà avoir un courant d idées fortes.. Et faudrait surtout qu' ils fassent un coming out définitif sur l économie de marché plutôt sur cette grande hypocrisie actuelle, en particulier chez les parlementaires frondeurs
Avatar de l’utilisateur

Dageek
 
Retour

Messagepar fernando » 09 Fév 2016, 11:42

Dageek a écrit:Et faudrait surtout qu' ils fassent un coming out définitif sur l économie de marché


C'est fait depuis 83.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
Avatar de l’utilisateur

fernando
 
Retour

Messagepar Dageek » 09 Fév 2016, 11:54

Bah ils le savent et le pratiquent sans le dire même si on est pas dupes. Mais dans les postures y a toujours cette hypocrisie et ce tabou idéologique . Dès que Macron dit un truc c est l'hérésie.
Avatar de l’utilisateur

Dageek
 
Retour

Messagepar fernando » 09 Fév 2016, 12:00

Bah y'a encore quelques anachroniques qui semblent perdus au PS et qui font semblant de croire que ce parti a encore des velléités de justice sociale, comme Filoche ou Marie-Noëlle Lienemann. Ils se mentent à eux-mêmes en y restant, et sont nostalgiques d'un parti qui n'existe plus depuis longtemps.

Franchement Valls, même si Rodolfo pourrait nous expliquer qu'il s'agit d'un dangereux bolchévique adepte de la collectivisation des biens et de l'économie planifiée, en quoi est-il moins à droite que Sarkozy? Je ne vois pas.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
Avatar de l’utilisateur

fernando
 
Retour

Messagepar stikky » 10 Fév 2016, 21:13

ils ont même fait des trucs que même la droite n'aurait pas osé
prison ferme pour les qq salariés qui étaient colère et ont déchiré des chemises dernièrement par exemple
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
Avatar de l’utilisateur

stikky
 
Retour

Messagepar Nougets » 10 Fév 2016, 21:28

C'est une décision qui me paraît cohérente avec l'évolution de la politique en générale et du PS en particulier. Plutôt que de choisir une tête uniquement, il pourra apporter sa propre vision.

Ça évitera peut-être de grosses désillusions sur le bonhomme.
Expatrié.
Avatar de l’utilisateur

Nougets
 
Retour

Messagepar rodolfo » 10 Fév 2016, 21:57

fernando a écrit:Bah y'a encore quelques anachroniques qui semblent perdus au PS et qui font semblant de croire que ce parti a encore des velléités de justice sociale, comme Filoche ou Marie-Noëlle Lienemann. Ils se mentent à eux-mêmes en y restant, et sont nostalgiques d'un parti qui n'existe plus depuis longtemps.

Franchement Valls, même si Rodolfo pourrait nous expliquer qu'il s'agit d'un dangereux bolchévique adepte de la collectivisation des biens et de l'économie planifiée, en quoi est-il moins à droite que Sarkozy? Je ne vois pas.



Tu te fous de moi? j'ai tjrs dit que Valls était de droite.

Et puis de toutes façons, tout le monde vote à droite en France, tu devrais le savoir, toi le premier.
Avatar de l’utilisateur

rodolfo
 
Retour

Messagepar fernando » 10 Fév 2016, 22:12

J'te taquine mon lapin.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
Avatar de l’utilisateur

fernando
 
Retour

Messagepar krouw2 » 10 Fév 2016, 23:48

Baylet à toutes ses chances pour un grand ministère

Image
Hollande 2027
Avatar de l’utilisateur

krouw2
 
Retour

PrécédentSuivant

Retour vers Forum



Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant ce forum : nicobungy et 54 invité(s)

cron