fernando a écrit:Der a écrit:Yo les cassos, une idée de lecture/bouquin pas trop prise de tête?
Je te conseille vivement le dernier prix Goncourt, qu'on m'a offert à Noël. Un sommet de pure chiantitude, absolument "abjecte" à lire, j'ai calé avant la page 100.
Aussi non comme lecture qui fait plaisir et pas prise de tête, je peux te recommander ça :![]()
rodolfo a écrit:Je confonds en effet avec "La plaisanterie" du même auteur, plus adapté pour toi, Nando:
"L'optimisme est l'opium du genre humain ! L'esprit sain pue la connerie. Vive Trotski !" : première plaisanterie de Ludvik, qui lui vaut d'être exclu du Parti Communiste à l'unanimité. Seconde plaisanterie, de la vie cette fois : des années après sa radiation, Ludvik tente de se venger d'un des membres du parti qui s'est montré particulièrement dur, en lui volant sa femme, qui s'avère ne plus lui appartenir depuis longtemps déjà. La vengeance a donc échoué. Cependant, d'une plaisanterie à l'autre, Kundera nous aura offert un bijou d'humour noir, mais aussi une réflexion brillamment illustrée sur l'unicité des choses et des êtres, ponctuée d'évocations superbes des coutumes moraves, d'incursions dans le monde absurde du totalitarisme communiste et d'introspections lucides. En alternant savamment les points de vue de Ludvik, Helena, Jaroslav et Kotska, Kundera semble nous signifier qu'au bout du compte, c'est l'idée même d'individu qui lui importe. --Sana Tang-Léopold Wauters
Par une froide nuit d'octobre, la jeune Ashley Cordova est retrouvée morte dans un entrepôt abandonné de Chinatown. Même si l'enquête conclut à un suicide, le journaliste d'investigation Scott McGrath ne voit pas les choses du même oeil. Alors qu'il enquête sur les étranges circonstances qui entourent le décès, McGrath se retrouve confronté à l'héritage du père de la jeune femme : le légendaire réalisateur de films d'horreur Stanislas Cordova ¿ qui n'est pas apparu en public depuis trente ans. Même si l'on a beaucoup commenté l'oeuvre angoissante et hypnotique de Cordova, on en sait très peu sur l'homme lui-même. La dernière fois qu'il avait failli démasquer le réalisateur, McGrath y avait laissé son mariage et sa carrière. Cette fois, en cherchant à découvrir la vérité sur la vie et la mort d'Ashley, il risque de perdre bien plus encore... Jouant avec les codes du thriller, incluant dans son récit des documents, photographies, coupures de journaux ou pages web, Pessl nous entraîne dans une enquête vertigineuse autour de Stanislas Cordova et de sa fille, deux êtres insaisissables attirés par l'horreur et le mal. L'inventivité de l'auteure et son goût indéniable pour les pouvoirs de la fiction font penser tour à tour à Paul Auster, Georges Perec, ou Jorge Luis Borges. Avec son style maîtrisé et ses dialogues incisifs, ce roman, sous l'apparence classique d'un récit à suspense, explore la part d'ombre et d'étrangeté tapie au coeur de l'humain.
fernando a écrit:rodolfo a écrit:ô!, des utilisateurs Kindle ou autres liseuses ichi d'ins?
Je suis à peu près sur que je n'aurai jamais d'engin de ce genre.
rodolfo a écrit:T'ai déjà expliqué que Mélenchon , je le respecte grave. Au moins il est cohérent et respectable.
J'essaierais de voir si son livre est dans la boutique Kindle ^^
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