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Messagepar Baratte » 09 Déc 2016, 13:02

Tsé Nando , il y a plus de 10 ans , Platini préconisait d'agrandir les buts , genre 8 mètres sur 2.60 , pour avoir des matchs plus " prolifiques " en buts mais aussi parce que depuis l'invention du foot , la morphologie des joueurs avait beaucoup évolué et que ceux-ci étaient beaucoup plus grands ... alors , comme tu dis , d'ici 10 ans , on risque de voir une évolution importante ... y en a même qui parlaient de supprimer le hors-jeu !
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
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Messagepar ruitos » 09 Déc 2016, 14:57

+1 baratte...ça parait aussi de faire les remises en touche au pied...
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Messagepar Giallo » 09 Déc 2016, 15:39

Baratte a écrit:y en a même qui parlaient de supprimer le hors-jeu !


dommage qu'Inzaghi soit retraité alors.
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar Baratte » 09 Déc 2016, 16:15

ruitos a écrit:+1 baratte...ça parait aussi de faire les remises en touche au pied...

Exact , ainsi que les exclusions temporaires .
Ces 2 mesures ont été expérimentées en France dans certains championnats en dessous de la PH , et peut-être bien aussi dans certains tournois internationaux de jeunes , genre celui de Montaigu et celui de Toulon .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
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Messagepar Dageek » 09 Déc 2016, 19:47

Baratte a écrit:Tsé Nando , il y a plus de 10 ans , Platini préconisait d'agrandir les buts , genre 8 mètres sur 2.60 , pour avoir des matchs plus " prolifiques " en buts mais aussi parce que depuis l'invention du foot , la morphologie des joueurs avait beaucoup évolué et que ceux-ci étaient beaucoup plus grands ... alors , comme tu dis , d'ici 10 ans , on risque de voir une évolution importante ... y en a même qui parlaient de supprimer le hors-jeu !


Loul la fin du hors jeu.
La meilleure règle de ce sport
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Messagepar boban » 09 Déc 2016, 20:17

C'était pas la supression mais plutôt reculer la ligne aux 18 mètres non?
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Messagepar Baratte » 09 Déc 2016, 20:59

boban a écrit:C'était pas la supression mais plutôt reculer la ligne aux 18 mètres non?

Genre ? Plus de HJ dans la surface ? Possip' ...
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Messagepar ruitos » 09 Déc 2016, 21:02

L'inverse plutôt, HJ seulement dans le surface
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Messagepar John Holmes » 10 Déc 2016, 13:30

Quand légaliseront-ils le tacle par derrière.
"Connard =)"
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Messagepar fernando » 09 Jan 2017, 12:03

Coupe du monde à 40 ou 48 : l’heure du choix

Lors du prochain conseil (ex-comité exécutif) de la FIFA, les 9 et 10 Janvier 2017, Gianni Infantino, le président de la FIFA, va défendre l’idée d’une coupe du monde de football à 48 équipes (à partir de 2026). Actuellement (et jusqu’en 2022), la phase finale de la coupe du monde accueille 32 équipes, réparties en 8 poules de 4, avec, pour chaque poule, 2 équipes qualifiées pour la knock out phase, la phase à élimination directe (8èmes de finale, puis quarts, demis et finale). L’opportunité d’un accroissement du nombre de participants est discutable. Un rapport de la FIFA estime à 640 millions de dollars les recettes supplémentaires engendrées par le passage de 32 à 48 équipes en 2026. Il y a, à l’évidence, une motivation pécuniaire au projet d’élargissement du périmètre de la phase finale de la coupe du monde porté par Gianni Infantino. Mais il convient de reconnaître que, pour une multitude de petites nations de football (qui sont parfois, tels la Chine ou l’Inde, des géants économiques et démographiques) le format à 32 laisse peu de chances d’obtenir un ticket de participation à la grande fête mondiale du ballon rond. C’est pourquoi, de toutes parts (diffuseurs, annonceurs, fédérations nationales), une forte demande s’exprime en ce sens : l’élargissement semble désormais incontournable.

Un format à 40, 42 ou 48 équipes

La dernière mouture du projet de Mr Infantino est une phase finale à 48 équipes réparties en 16 groupes de 3. Les 2 premiers de chaque groupe seraient ensuite qualifiés pour des 16èmes de finale. Ces dernières semaines, d’autres formats ont aussi été évoqués : un format à 42 équipes (défendu par le mathématicien Julien Guyon dans les colonnes du Monde le 16 novembre 2016) ou un format à 40 (autre hypothèse envisagée par la FIFA). La formule à 40 équipes repose sur le principe suivant : les équipes seraient réparties en 8 groupes de 5. Seuls les 2 premiers de chaque poule seraient alors qualifiés pour les 8èmes de finale. Ce système à 40 équipes est, sans doute, le projet le plus propice au développement d’un football offensif et spectaculaire. Il serait la réponse adéquate au besoin d’élargir le périmètre de la phase finale de la coupe du monde ; tout le contraire, en somme, de la réponse médiocre apportée par l’UEFA au besoin d’élargir le périmètre de l’Euro !

La règle désastreuse des meilleurs troisièmes

L’Euro s’est en effet élargi lors de l’édition 2016 en France. Plutôt que de le faire passer de 16 à 20 équipes (à partir desquelles seraient formés 4 groupes de 5), l’UEFA a choisi de le faire passer à 24 en constituant 6 poules de quatre. A l’issue de la phase de poule, 16 équipes sont qualifiées pour la knock out phase. Le considérable inconvénient de ce type de tableau est le principe de qualification des 4 meilleurs troisièmes en plus des 12 premiers et seconds. Ce système est critiquable pour au moins deux motifs : d’une part il engendre un football défensif qui dégrade la qualité du spectacle et d’autre part il est, par essence, inique :
Affaiblissement de la qualité du spectacle : il y a dans chaque poule, en moyenne, 66 % de qualifiés. Il est assez rationnel de privilégier un jeu défensif, frileux, qui garantira une position dans les 3 premiers. Il reste alors, pour le troisième, à « prier » pour que les résultats des autres groupes le placent dans le bon wagon. Les statistiques du nombre de buts marqués illustrent à merveille cette frilosité : alors que le nombre moyens de buts par matchs était supérieur à 2,5 pour les phases de poule de la période 1996-2012 (les 5 Euros à 16 équipes et avec victoire à 3 points, soient 120 matchs), cette moyenne du nombre de buts marqués est tombée à 1,917 en 2016 (sur 36 matchs).


Le pourcentage de matchs nuls est un autre indicateur de la qualité du spectacle. Ce pourcentage est passé de 22,5 % pour la période 1996-2012 à 30,6 % pour l’Euro 2016 : moins de buts et plus de matchs nuls, le spectacle s’est objectivement appauvri.
Caractère inéquitable de la règle des meilleurs troisièmes : la détermination du statut de meilleur troisième repose sur des résultats obtenus face à des adversaires différents. Par essence, les troisièmes des différentes poules sont incomparables. Pour illustrer, nous pouvons nous demander quelle valeur a la place de 3ème obtenue par une équipe issue de la poule regroupant Espagne, Croatie, Turquie et République Tchèque au regard de celle obtenue par une équipe sortant de la poule rassemblant Hongrie, Islande, Portugal et Autriche ? L’ironie du sort est que, lors de l’Euro 2016, tandis que la Turquie, 3ème de la poule la plus difficile, ne fut pas dans le wagon des meilleurs troisièmes, l’équipe du Portugal, 3ème de la poule la plus faible, s’avéra être le « troisième meilleur 3ème » (avec le même nombre de points que la Turquie) ce qui la qualifia. Elle accéda donc aux 8èmes de finale… et remporta finalement le tournoi.




Minimiser les inconvénients du nombre impair d’équipes dans les poules

N’y a-t-il aucun inconvénient à former des poules de 5 équipes ? Si, mais cet inconvénient peut être largement minimisé. Le principal inconvénient de constituer des poules à partir d’un nombre impair d’équipes est de ne pas permettre que toutes les « dernières » rencontres de la phase de poule se déroulent en même temps. Cette exigence offre en effet une garantie partielle de ne pas voir se nouer des ententes explicites ou tacites entre deux protagonistes : jouer un dernier match postérieurement à des adversaires offre dans certaines circonstances -parce que l’on connaît le résultat de l’autre match- la possibilité de s’entendre au détriment d’un tiers (comme lors du fameux match entre les cousins germains allemands et autrichiens, lors de la coupe du monde 1982, qui élimina l’Algérie). En réalité, la simultanéité des dernières rencontres n’est pas une garantie absolue, mais elle limite considérablement les risques. Avec un groupe à 5 équipes, il y a donc nécessairement un « exempt » à chaque round de la phase de poule. Afin de minimiser les risques d’entente, une bonne solution est de choisir l’équipe réputée la plus faible (au classement FIFA, par exemple) comme exempte lors du dernier round de la phase de poule. Ceci ne nuira pas à l’équipe réputée la plus faible si elle s’avère être la « révélation » de l’épreuve (elle aura gagné l’un des deux tickets à l’issue de ses 4 matchs.) et si elle s’avère être, conformément aux anticipations, la plus faible du lot, son statut d’exempte lors du dernier round ne modifiera rien aux risques d’entente explicite ou implicite entre les 4 autres équipes de la poule.

Le format à 40 : prime à l’offensive

Le format de poules à 5 équipes avec 2 qualifiés est sans doute le format le plus excitant. Dans un format de poules à 4 équipes avec 2 ou 3 qualifiés (comme lors de l’Euro 2016) où dans un format de poules de 3 équipes à 2 qualifiés (comme dans le projet de coupe du monde à 48 équipes de Gianni Infantino), la stratégie dominante est de « tenter de ne pas perdre chaque match » : il en résulte un jeu fermé et défensif. Au contraire, dans un format de poules à 5 équipes avec 2 qualifiés , la stratégie dominante est de « tenter de gagner chaque match ». On peut escompter que ce format améliore grandement la qualité du spectacle et l’intérêt du premier tour. C’est pourquoi il semble grandement préférable d’opter pour une coupe du monde à 40 équipes plutôt qu’à 48… tout comme il serait préférable d’organiser le prochain Euro à 20 plutôt qu’à 24 !
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Messagepar fernando » 10 Jan 2017, 11:57

La Coupe du monde passe à 48 participants à l'unanimité


Le Conseil de la Fédération internationale (Fifa) a voté ce mardi à l'unanimité le passage à 48 participants pour les prochaines phases finales de Coupe du monde, à partir de 2026.

Sans grande surprise, la Fédération internationale (Fifa) a approuvé à l'unanimité, ce mardi lors de son Conseil à Zurich, le passage à 48 équipes des prochaines Coupes du monde, à partir de l'édition 2026. Les trente-trois votants ont décidé de valider la formule de seize groupes de trois participants.



Bordel, même la coupe du monde je vais finir par ne plus regarder...
16 groupes de 3 avec 2 qualifiés par groupe, la phase de poules ne va ressembler à rien... On va avoir des belles affiches genre Honduras-Togo ou Chine-Koweit.
Seul "avantage" : ça ne fera pas plus de mètchs pour aller au bout. Les joueurs seront toujours aussi cramés et les finales aussi pourries.
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Messagepar Dageek » 10 Jan 2017, 12:06

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Messagepar gblosc » 10 Jan 2017, 12:06

Pluzain
On va se ré-ga-ler !
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Messagepar ancien posteur » 10 Jan 2017, 12:30

J adore la coupe du monde mais la, effectivement, ça va être difficile. Les équipes seront cramées des les huitièmes de finale. Ca risque d être navrant.
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Messagepar Giallo » 10 Jan 2017, 12:34

en gros c'est une coupe de France à l'international quoi. Y aura les brioches Pitch en sponsor ?
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar fernando » 10 Jan 2017, 13:17

Ce sport marche vraiment sur la tête.
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Messagepar ancien posteur » 10 Jan 2017, 13:45

Surtout, cette course a l armement risque de définitivement fossoyer les compétitions internationales.
Ne soyons pas naifs: tous les joueurs veulent porter le maillot en vu de jolies rentrées financières. Les primes certes, mais aussi de belles perspectives publicitaires. En élargissant le nombre de nations, on agrandit la visibilité de cette compétition, on assoit sa notoriété, on fait rentrer encore plus d argent et permettre aux federations de mieux rémunérer ses joueurs qui continuent de jouer hors club.
Seulement, on on a de plus en plus de joueurs qui vont franchir les 10 millions d euros annuels en club, clubs qui recherchent eux aussi toujours plus de rentrées d argent et donc plus de match. Ça va forcement clasher.
ancien posteur
 
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Messagepar fernando » 10 Jan 2017, 16:26

Y'a surtout plus de pays qui paieront des droits télé


Coupe du monde à 48 : «Plus de pays pourront rêver» selon Gianni Infantino

Un Mondial à 48 équipes contre 32 en 2018 permettra «à plus de pays de rêver», a déclaré mardi le président de la Fifa Gianni Infantino. «La bonne nouvelle c'est que le Mondial à 48 équipes se disputera encore sur 32 jours, que l'équipe vainqueur jouera sept matches et que le tournoi aura lieu dans 12 stades comme aujourd'hui», a ajouté Infantino, en conférence de presse, juste après l'adoption de cette réforme par le gouvernement de la Fifa.
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Messagepar n.iiicolas » 10 Jan 2017, 19:59

Une chance supplémentaire pour voir la Chine (et l'Inde?) au mondial
Je crois que le bonheur c'est d'être autiste.
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Messagepar Baratte » 18 Jan 2017, 18:26

Vu qu'on en a parlé il y a qq temps ...


Alexandre Lacazette va voir son penalty repoussé par Gianluigi Buffon. (R. Martin/L'Equipe)
Pour rendre plus attractif le foot, Marco van Basten, nommé responsable du développement technique de la Fifa fin septembre, expose ses idées dans un entretien donné au magazine allemand Sport Bild. Et l'ancien triple Ballon d'Or a évoqué certaines réflexions de réformes qui devraient faire réagir le monde du foot, avec l'abolition du hors-jeu, la mise en place d'expulsion temporaire et la suppression de la prolongation.

En cas de match nul dans une rencontre couperet, le Néerlandais de 52 ans propose notamment de remplacer la prolongation par une séance de face-à-face avec le gardien. «Chaque équipe aurait cinq essais», explique-t-il. «L'arbitre siffle, le joueur s'élance des 25 mètres et a huit secondes pour tenter de marquer.»

La comparaison foot - hockey-sur-gazon
«Si le gardien fait une parade c'est fini. Ce serait plus spectaculaire pour les spectateurs et plus intéressant pour le joueur. Dans une séance de tirs au but, tout est réglé en une seconde. Avec ces face-à-face, le joueur a plus de possibilités, il peut dribbler, tirer ou attendre de voir comment se comporte le gardien», détaille l'ancienne star de l'AC Milan.

L'ex-attaquant voudrait également supprimer la règle du hors-jeu. «Le football ressemble de plus en plus au handball, avec des équipes qui installent une muraille devant leur surface de réparation, regrette-t-il. Sans la règle du hors-jeu, il y aurait plus de possibilités pour les attaquants et plus de buts. Dans le hockey sur gazon, le hors-jeu a été aboli et ça n'a pas posé de problème».

Plus de trois changements par match ?
L'ex-crack est aussi en faveur du remplacement du carton jaune par une expulsion temporaire «de cinq ou dix minutes», ce qui favoriserait les attaques adverses et rendrait une nouvelle fois le jeu plus spectaculaire, selon lui.

«Nous réfléchissons aussi à autoriser plus de trois changements pendant les matches», explique-t-il encore. «Le mois dernier, j'ai rencontré Pep Guardiola (l'entraîneur de Manchester City) et il m'a demandé ''pourquoi n'a-t-on pas le droit de faire six changements?'', raconte van Basten.

avec AFP
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Messagepar Dogue-son » 18 Jan 2017, 20:46

mékilsonkon
I used to be a fan. Now I'm an air conditioner
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Messagepar fernando » 20 Fév 2017, 13:33

ça va être sympa



Mondial 2018 : les hooligans russes promettent un « festival de violence »

Le président de la FIFA, Gianni Infantino, minimise les mises en garde avant la Coupe du monde, après un reportage consacré au hooliganisme russe.

« Le Mondial 2018 sera un festival de violence. » C’est ce que promet un hooligan russe dans un reportage diffusé par la BBC, intitulé « Le monde secret du hooliganisme russe ». A un peu plus d’un an de la prochaine Coupe du monde en Russie, plusieurs de ces supporteurs violents assurent que de nombreux incidents auront lieu pendant la compétition, menaçant notamment les Anglais qui se rendraient en Russie. « Pour certains, ce sera le festival du football, pour d’autres, celui de la violence », met en garde l’un d’eux, le visage dissimulé.

A Marseille, le Vieux-Port en a fait les frais

En juin 2016, en marge du match de l’Euro 2016 entre la Russie et l’Angleterre (1-1), de violents affrontements avaient éclaté entre russes et anglais sur le Vieux-Port, à Marseille, faisant une centaine de blessés chez les supporters britanniques.

Les deux nations se disputent la palme de la « discipline ». Comme l’expliquait à l’époque dans nos colonnes Sébastien Louis, spécialiste des supporteurs radicaux, « les hooligans russes veulent être dans le top 3 du hooliganisme européen. Pour cela, ils s’attaquent aux maîtres en la matière, les Anglais ».

Après ces événements, l’AFP avait contacté l’un des protagonistes, qui se trouvait à Marseille. Sans ciller, celui-ci avait déclaré « [avoir] fait l’aller-retour jusqu’en France en quarante-huit heures pour démontrer que les Anglais sont des fillettes ». Le jeune homme poursuivait en dressant le portrait-robot du hooligan russe : « Entre 20 et 30 ans, sportif, amateur de boxe ainsi que d’arts martiaux en tout genre », estimant leur nombre à « plus de 500 ».

Poutine montré du doigt

A la suite de ces incidents d’une violence rare, le gouvernement de Vladimir Poutine, soupçonné d’être à l’origine des débordements, avait été désigné responsable par un leader du mouvement hooligan russe : « Des forces spéciales militaires de hooligans ont été envoyées par Vladimir Poutine pour conquérir l’Europe. »

En 2018, tous les yeux seront cette fois braqués sur la Russie, et plus particulièrement sur le comportement des autorités russes, censées combattre le phénomène.

Le président de la FIFA « pas du tout inquiet »

« Je ne m’inquiète pas des problèmes de violence en 2018. J’ai une totale confiance dans les autorités russes, qui prennent le sujet très au sérieux », a déclaré, jeudi 16 février, le président de la fédération interntionale de football (FIFA), Gianni Infantino à propos du hooliganisme, en marge d’une réunion à Doha.

Ce dernier a, par ailleurs, assuré ne pas demander la démission du directeur du comité d’organisation du Mondial 2018, Vitali Moutko, malgré le scandale du dopage institutionnalisé en Russie. M. Moutko, également candidat à une place au conseil de la FIFA, devra toutefois se soumettre à une procédure de vérification de son intégrité.


Gianni Infantino réagissant à la diffusion du documentaire dans lequel des hooligans russes menacent de s’en prendre aux supporteurs anglais.
Même si la Russie a voté une loi en 2012 renforçant les sanctions contre les hooligans, qui risquent désormais jusqu’à sept ans de détention, les incidents y restent très fréquents. Pour que l’événement soit une réussite, la sécurité des supporteurs qui feront le déplacement devra être complètement assurée.

Mais les fans comptant se rendre en terres russes sont prévenus : « Avoir une famille et des enfants autour de soi peut éviter de se faire frapper. Mais si t’es là avec un ami, il faut considérer l’idée que tu puisses te faire botter le cul. »
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Messagepar Baratte » 20 Fév 2017, 15:25

Pour le Mondial russe , j'ai prévu de créer une agence de location de mômes . J'ai un article dans lequel un des représentants des barbares russes expliquait qu'ils avaient prévu de s'attaquer à tout ce qui de près ou de loin ressemblait à un supporter adverse , sauf si le gars était accompagné de mômes . Y aura du blé à se faire .
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Messagepar fernando » 20 Fév 2017, 15:46

Tu pourras t'associer à W, il gérera la branche Vietnamo-thaïlandaise du business.
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Messagepar Dageek » 20 Fév 2017, 16:05

Ah ce bon Vladimir. J ai hâte de voir le budget de ce mondial, les JO de Sotchi avaient déjà coûté aux alentours de 40 milliards.
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Messagepar fernando » 10 Mai 2017, 11:05

FIFA : Gianni Infantino décapite son comité d’éthique

La Fédération internationale de football et son président vont remplacer les patrons de leur « tribunal interne », jeudi 11 mai, lors du congrès de l’instance.

Les intrigues et autres manœuvres politiciennes à la Fédération internationale de football (FIFA) auraient très bien pu inspirer les scénaristes des séries House of Cards ou Game of Thrones. Dernier épisode en date du feuilleton FIFA à l’atmosphère florentine, la décision du conseil (le gouvernement) de l’instance de remplacer les deux coresponsables de son comité d’éthique dit « indépendant ». A la veille du 67e congrès de la fédération, jeudi 11 mai, à Manama (Bahreïn), l’avocat suisse Cornel Borbely, 39 ans, et le magistrat allemand Hans-Joachim Eckert, 68 ans, n’ont pas été reconduits dans leurs fonctions pour les quatre années à venir.

Respectivement président de la chambre d’instruction de ce « tribunal interne » depuis fin 2014, et patron de la chambre de jugement depuis 2012, les deux juristes devraient être remplacés, après un vote en ce sens des 211 fédérations membres du congrès de la FIFA, par l’avocate colombienne Maria Claudia Rojas et par le juge grec Vassilios Skouris, ex-numéro un de la Cour de justice européenne (2003-2015).

Le remplacement d’Eckert et de Borbely intervient un an après le vote d’un amendement controversé lors du précédent congrès de la FIFA, à Mexico, en mai 2016. Ledit amendement donnait le pouvoir, en principe pour un an, au président de la Fédération, Gianni Infantino, et aux membres de son conseil de nommer et destituer les membres des organes juridictionnels, dont le comité d’éthique.

Ce non-renouvellement des mandats est « un revers dans la lutte contre la corruption », a réagi mercredi à Bahreïn Cornel Borbély. Cette décision « va à l’encontre de la bonne gouvernance », a ajouté M. Borbél, qui s’est interrogé sur la suite qui sera donnée « à des centaines de cas encore en instruction ».

Une éviction « politiquement motivée »

Cette décision avait entraîné la démission fracassante de Domenico Scala, patron du comité d’audit et de conformité. Ce dernier avait alors dénoncé l’amendement, considérant qu’il « priverait de fait les organes de leur indépendance ».

Dans un communiqué, la FIFA a publié, mardi, la liste des candidats proposés pour diriger le comité d’éthique, officialisant ainsi le non-renouvellement du mandat d’Eckert, de Borbely, et de leurs adjoints. Le départ des deux juristes représente un tournant dans l’histoire mouvementée de la fédération, confrontée à une litanie de scandales de corruption et à une tornade judiciaire.

Le règne du tandem coïncide avec une série de suspensions infligées aux dignitaires de l’organisation, dont son ex-président suisse Joseph Blatter (1998-2015), radié six ans, l’ancien patron de l’UEFA, Michel Platini, banni quatre ans, ainsi que l’ex-secrétaire général Jérôme Valcke, suspendu dix ans.

Dans un communiqué commun, Eckert et Borbely ont déploré leur éviction, indiquant que « cette non-élection imminente ramènera le travail du comité d’éthique très loin en arrière ». Le duo rappelle que la chambre d’instruction a mené « 194 enquêtes » et que la chambre de jugement a sanctionné « plus de 70 dirigeants ». Le magistrat allemand et l’avocat suisse – qui disposaient, en 2016, respectivement d’un budget de 1,54 et de 1,67 million de dollars – estiment que leur départ est « politiquement motivé » et « met de fait un terme aux efforts de réforme », tout en ayant un « impact négatif sur la FIFA », « dont l’image est déjà ternie ».

Le non-renouvellement de leur mandat intervient alors que Gianni Infantino ferait, selon le Spiegel, l’objet d’une enquête préliminaire du comité d’éthique pour des accusations d’ingérence dans les élections à la Confédération africaine de football (CAF), en mars. En août 2016, le président de la FIFA avait été blanchi par ce « tribunal interne » au terme d’une enquête sur de putatifs abus de dépenses et voyages en jets privés.

Eckert et ISL

Ancien procureur de Munich, Eckert avait été nommé en même temps que l’ex-procureur new-yorkais Michael J. Garcia, alors désigné président de la chambre d’instruction dudit comité. Le magistrat allemand s’illustre rapidement en radiant à vie le Qatari Mohamed Ben Hammam, ancien vice-président de la FIFA et dirigeant de la Confédération asiatique, déjà banni en 2011 pour « fraude électorale ».

En avril 2013, il soumet à la FIFA son rapport sur l’affaire International Sport and Leisure (ISL), société en charge des droits marketing de la Fédération internationale jusqu’à sa faillite en 2001. Il y indique que l’ancien président brésilien de la FIFA Joao Havelange (1974-1998), son gendre Ricardo Teixeira (démissionnaire du comité exécutif et de son poste de dirigeant de la confédération brésilienne de football en 2012) et le patron de la Confédération sud-américaine (Conmebol) Nicolas Leoz ont touché des « pots-de-vin » d’ISL entre 1992 et 2000. Quelques jours avant la publication du rapport d’Eckert, Havelange avait quitté son poste de président honoraire de la FIFA, imité par Leoz.

Le rapport Garcia

« La conduite du président Blatter a peut-être été maladroite », écrit alors Eckert, se demandant si l’ancien secrétaire général de la FIFA (1981-1998) « savait ou aurait dû savoir au fil des années qu’ISL, avant sa faillite, avait versé des pots-de-vin à d’autres dirigeants ». Il estime alors que le Suisse n’a commis « aucune faute éthique ou criminelle ».

En septembre 2014, le patronyme du magistrat allemand revient sur le devant de la scène alors qu’il se voit remettre le rapport d’enquête de 350 pages réalisé par Garcia sur l’attribution controversée des Mondiaux 2018 et 2022, respectivement à la Russie et au Qatar.

Le 13 novembre 2014, Eckert publie une note de 42 pages sur la base du rapport Garcia. Dans sa synthèse, il estime que si des « conduites douteuses » ont bien accompagné le processus d’attribution, elles ne peuvent être qualifiées de faits de « corruption » et remettre en cause le scrutin de 2010.

A la lecture de cette synthèse « erronée », Michael J. Garcia manque de s’étrangler. Au nom de la « transparence », ce dernier réclame en vain la publication intégrale de son rapport avant de voir son appel rejeté. En décembre 2014, il démissionne de son poste de président de la chambre d’instruction, remplacé par son bras droit, Cornel Borbély. Le comité exécutif de la FIFA décide alors de divulguer ledit rapport Garcia « sous une forme appropriée » et après les procédures individuelles en cours.

A ce jour, il n’a pourtant jamais été publié, restant à la disposition du procureur suisse Michael Lauber, qui enquête sur l’attribution des Mondiaux 2018 et 2022. Le document est actuellement conservé, dans un coffre, par Marco Villiger, le secrétaire général adjoint et directeur juridique de la FIFA.

« Infantino veut le pouvoir absolu »

L’éviction des deux coresponsables du comité d’éthique a provoqué une vague d’indignations. « La gouvernance à la FIFA est simplement en train de disparaître », s’alarme, en « off », un ex-cadre de la Fédération.

« La façon avec laquelle Infantino prend le pouvoir total est stupéfiante, assure au Monde le juriste suisse Mark Pieth, ex-patron du comité de gouvernance de la FIFA, qui a créé ce comité d’éthique bicaméral, en 2012. Il veut le pouvoir absolu et craint que quelqu’un comme Eckert se mette sur sa route pour le bloquer. Infantino veut être réélu dans trois ans, en 2019. Il n’a donc pas le temps. Son style est pire que celui de Blatter, qui avait une certaine élégance dans l’utilisation de son pouvoir. »

Désireux de régler leurs comptes, Eckert et Borbely tiendront une conférence de presse, mercredi matin, à Manama. Avant un congrès qui s’annonce explosif.
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Messagepar Dageek » 10 Mai 2017, 11:22

Le mec est parti pour faire rapidement passer Blatter pour un gros bleu
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Messagepar fernando » 10 Mai 2017, 13:22

Faut toujours se méfier des chauves.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar ruitos » 10 Mai 2017, 19:36

le vernis....
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Messagepar Baratte » 11 Mai 2017, 08:45

fernando a écrit:Faut toujours se méfier des chauves.

Fillon n'a pas mesuré la toxicité de Ciotti . Tout le monde a vu .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
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