[01T] Politix, fonctionnaire et Cie

Messagepar Dageek » 07 Déc 2018, 17:08

Il est trop fort lui.
Un des mecs qui me fait le plus marrer, devant Mitroglou et Roland Magdane.
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Messagepar Baratte » 07 Déc 2018, 18:09

Dageek a écrit:Il est trop fort lui.
Un des mecs qui me fait le plus marrer, devant Mitroglou et Roland Magdane.

Toi , t'aimes les moustachus et tu veux te faire des amis .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
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Messagepar gblosc » 07 Déc 2018, 20:30

Je l'ai vu sur Paris il y a quelques années, excellent sur scène, heureusement que le public est "averti", car humour très noir.
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Messagepar ancien posteur » 21 Déc 2018, 22:45

Ça devrait décevoir Fernando, qui est de gauche-peutêtre.

"on retrouve chez Ruffin les ambiguïtés historiques qui ont plusieurs fois entaché le mouvement ouvrier, quand des socialistes ou des progressistes ralliaient le général Boulanger, trouvaient des mérites à la France juive de Drumont, refusaient de soutenir Dreyfus ou encore se rapprochaient des ligues des années 30, au nom de la lutte contre les élites et de la saine colère du peuple."

https://www.liberation.fr/politiques/2018/12/21/chouard-dieudonne-ruffin_1699204
ancien posteur
 
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Messagepar Baratte » 24 Déc 2018, 18:04

krouw2 a écrit:http://m.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/patrick-balkany-sera-candidat-aux-municipales-de-levallois-17-12-2018-7971213.php?fbclid=IwAR0BWm0V-fc_Zdt1iSz4gQlotJA5UJD8ZjLrbWJ1Ovk1JqjS-8PqwVaVpYg#xtor=AD-1481423552

En Mars 2020 , il sera en zonzon .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
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Messagepar Dageek » 24 Déc 2018, 19:40

La magie des politique française. Sé bo
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Messagepar krouw2 » 26 Déc 2018, 23:57

Israël : des centaines de Gilets Jaunes envahissent Tel Aviv et exigent la chute de Netanyahou

Le mouvement des Gilets Jaunes finira-t-il par faire tomber le gouvernement de Netanyahou ? Plus de deux semaines après son lancement, le mouvement gagne du terrain et devient une véritable menace pour le gouvernement actuel. Ce samedi, ils ont été des centaines de gilets jaunes à se rassembler à Tel Aviv où ils ont demandé la démission de Bibi (Benjamin Netanyahou)

Si le mouvement des gilets jaunes s’essouffle en France, en Israël, c’est loin d’être le cas. Après leur court passage au Knesset où ils ont mis en garde le gouvernement contre toute hausse des prix de l’électricité, les gilets jaunes israéliens ont frappé très fort ce dimanche 23 décembre.

En effet, ce dimanche, ils ont pris d’assaut la ville de Tel Aviv par centaines. S’adressant à son auditoire, l’un des organisateurs du mouvement, David Mizrahi, est droit dans ses bottes. Le mouvement ne capitulera pas. « Nous n’arrêterons pas, nous ne renoncerons pas et nous apporterons de l’espoir à plusieurs personnes qui se battent pour chauffer leurs appartements cet hiver », a-t-il lancé.

Même réaction pour Orly Barlev, un autre organisateur du mouvement. Ce dernier exige du gouvernement israélien qu’il mette fin à la cherté de la vie « immédiatement ». « Le gouvernement fait tout ce qui est en son pouvoir pour éviter de traiter cette question. Mettez fin à la cherté de la vie immédiatement, mettez fin à la hausse des prix du gaz », a exhorté Orly.

« Des routes menant vers le centre de Tel Aviv bloqués »

D’après le média israélien, Times of Israel, des centaines de gilets jaunes avaient bloqué les principales routes menant vers les places financières de Tel Aviv. Dans la mobilisation de ce dimanche, il n’a pas été seulement question de baisse des prix du gaz. Les manifestants ont aussi demandé la démission du premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, impliqué dans une grave affaire de corruption.

Rappelons qu’il y a deux jours l’un des organisateurs du mouvement des gilets jaunes en Israël, Ram Shefa, avait ouvertement appelé à boycotter les principales entreprises agroalimentaires du pays. Dans un discours tenu en marge de la conférence Business Globes, il avait aussi mis en garde les médias contre toute tentative de discréditer le mouvement.
Hollande 2027
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Messagepar SAV » 27 Déc 2018, 11:00

Vlà le savoir faire à la française qu’on exporte ichi.
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar SAV » 27 Déc 2018, 11:02

Doublon sa mère.
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar Dageek » 27 Déc 2018, 12:40

EDR le passage en gras.
Ils pouvaient pas faire les étoiles jaunes sinon ?
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Messagepar rhazelle » 27 Déc 2018, 13:19

Et la photo de ta collection de godes que John Holmes a posté l'autre jour , ça vient du Journal de Mickey ?
rhazelle
 
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Messagepar John Holmes » 27 Déc 2018, 15:00

Fortes amplitudes
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
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Messagepar rodolfo » 28 Déc 2018, 21:36

Clair, mouvement international.

Sur le bord de l’autoroute en Belgique, j’en ai vu 2 avec leur voiture en panne.

Pire, en Pologne, des gens qui marchaient dans l’obscurité ....

CQFD
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Messagepar krouw2 » 29 Déc 2018, 20:57

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Messagepar Dageek » 29 Déc 2018, 21:19

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Messagepar fernando » 31 Déc 2018, 12:33

Alexandre Benalla affirme échanger très régulièrement avec Emmanuel Macron
31 DÉCEMBRE 2018 PAR FABRICE ARFI

Alexandre Benalla a affirmé dimanche, lors d’un entretien à Mediapart, avoir échangé très régulièrement avec Emmanuel Macron, sur des « thématiques diverses » comme les gilets jaunes, depuis sa mise à l’écart l’été dernier. La présidence de la République avait pourtant assuré qu'elle n’entretenait « plus aucun contact » avec lui. « Ça va être très dur de le démentir parce que tous ces échanges sont sur mon téléphone portable », confie l'ancien collaborateur du président, qu'il décrit par ailleurs comme étant entouré de « technocrates » qui « appartiennent à une famille pire que la mafia ».


Il est formel et dit en avoir des preuves, nombreuses. Alexandre Benalla, dont le nom est aujourd’hui synonyme d’une, puis deux affaires qui empoisonnent la vie de l’Élysée, a affirmé dimanche 30 décembre, lors d’un entretien avec Mediapart, avoir échangé très régulièrement avec Emmanuel Macron depuis sa mise à l’écart de la présidence l’été dernier.

« Ça, ils ne pourront jamais le nier. Ça va être très dur de le démentir parce que tous ces échanges sont sur mon téléphone portable », assure l’ancien adjoint au chef de cabinet d’Emmanuel Macron, mis en examen pour « violences volontaires » (notamment) dans l’affaire du 1er mai et visé depuis peu par une nouvelle enquête judiciaire pour « abus de confiance » (notamment), ouverte par le parquet de Paris après les révélations de Mediapart sur ses passeports diplomatiques.


La présidence de la République, qui n’a pas donné suite à nos sollicitations, avait pourtant assuré le 24 décembre, au quotidien Le Monde, qu'elle n’entretenait « plus aucun contact » avec Alexandre Benalla.

L’ancien collaborateur du chef de l’État, auprès duquel il a commencé comme garde du corps avant de devenir un confident doublé d’un conseiller informel, explique que ses rapports avec Emmanuel Macron passent essentiellement par l’application Telegram.

« Nous échangeons sur des thématiques diverses. C’est souvent sur le mode “comment tu vois les choses ?”. Cela peut aussi bien concerner les gilets jaunes, des considérations sur Untel ou sur Untel ou sur des questions de sécurité. C’est, en gros : “Comment tu sens le truc ?” », précise Alexandre Benalla. « C’était déjà le cas avant [quand il était encore à l’Élysée – ndlr] », ajoute-t-il.

Il affirme avoir échangé de manière régulière avec Emmanuel Macron, mais aussi d’autres membres de la présidence, jusqu’aux récentes révélations de Mediapart sur son utilisation d’un passeport diplomatique en dépit de son éviction de l’Élysée. « Là, le lien est coupé », dit-il.


Alexandre Benalla, dont les déplacements à l’étranger (en Afrique ou en Israël), le business privé qu’il y a entrepris dans le domaine sécuritaire et certaines de ses fréquentations (comme avec l’intermédiaire sarkozyste Alexandre Djouhri à Londres) suscitent des interrogations, affirme par ailleurs avoir toujours rendu compte en plus haut lieu de ses faits et gestes depuis son départ forcé de l’Élysée.
« J’explique que j’ai vu telle personne, je détaille les propos qui m’ont été rapportés et de quelle nature ils sont. Après, ils en font ce qu’ils veulent. Y compris le président de la République, qui est informé en direct », témoigne-t-il, précisant être autant sollicité par le chef de l’État qu’il le sollicite lui-même.

Alexandre Benalla se montre aujourd’hui surpris, voire amusé, par l’embarras que son nom peut susciter au Château. « C’est quand même facile pour l’Élysée de couper le cordon avec moi s’il le voulait vraiment. Il suffit d’arrêter les sollicitations ou de ne pas me répondre. Personne ne m’a jamais rien dit », dit-il.

A-t-il revu physiquement le président depuis son licenciement officiel de l’Élysée ? Alexandre Benalla louvoie : « Je vais encore affirmer un truc avec, en face de moi, des gens qui vous disent qu’ils sont prêts à mentir pour protéger le président », argue-t-il, faisant référence à une déclaration d’une conseillère presse du président, Sibeth Ndiaye, qui avait assuré en juillet 2017, dans un entretien à L’Express : « J’assume parfaitement de mentir pour protéger le président. »

Assurant n’avoir jamais reçu formellement de lettre de licenciement, en dépit d’un entretien préalable après les révélations du Monde sur les violences du 1er mai, Alexandre Benalla dit ne pas se considérer pour autant comme étant toujours en mission pour l’Élysée : « Non, je suis un élément extérieur qui veut du bien au mec [Macron – ndlr] qui lui a fait confiance. Aujourd’hui, ça peut paraître un peu dingue, j’aurais pu claquer la porte et passer à autre chose. Mais on continue à me solliciter, alors je continue à répondre. Je garde des liens. Cela dérange un certain nombre de personnes, qui sont puissantes et qui font comme si le président était sous curatelle. Ils lui font faire des conneries phénoménales. »

Aujourd’hui, Alexandre Benalla, 27 ans, ne retient plus ses coups contre le plus proche entourage du chef de l’État, un univers qu’il décrit comme peuplé de « technocrates » qui « appartiennent à une famille pire que la mafia, où tout le monde se tient, où tout le monde doit sa carrière à l’autre ».

Il cite nommément le directeur de cabinet du président, Patrick Strzoda, et le secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, comme « archétypes des gens qui ne l’aident pas et lui font prendre des mauvaises décisions ».

« Ils sont dans le moule de ce système. Je suis désolé d’utiliser des mots que l’on entend d’ordinaire dans la bouche des extrêmes, mais c’est une réalité qui existe : un système technique et administratif qui déconnecte un mec – Macron – qui n’est déjà pas très connecté mais brillant. Mais quand vous êtes entouré de gens qui vous intoxiquent en permanence, ça finit par faire faire des bêtises. »


Alexandre Benalla poursuit : « J’ai brusqué quand j’étais là, j’ai refusé de prendre les codes et les gens autour ne comprenaient pas pourquoi le président m’écoutait et pourquoi ma parole pouvait avoir une sorte d’importance. Vous vous rendez compte de l’énervement de ces mêmes gens quand ils découvrent que je continue d’échanger avec le président. […] Vous avez un système qui est pris en otage par une haute fonction publique qu’on appelle aussi les technocrates ou les énarques, plus un certain nombre de personnes qui errent dans les couloirs et qui font de l’influence sans qu’on sache bien quels intérêts ils servent si ce n’est les leurs. »

« J’ai un peu le cœur jaune », reconnaît l’ancien collaborateur élyséen, en référence au mouvement des gilets jaunes. L’intéressé dit d’ailleurs avoir été consulté par Emmanuel Macron sur cette crise sociale durant le mois de décembre. Le bruit d’une réunion confidentielle à l’Élysée le dimanche 9 décembre, à laquelle aurait assisté Benalla, a même couru Paris ces derniers jours, mais elle a été formellement démentie à Mediapart par la présidence.

Quant à Benalla, il affirme à ce sujet : « Je vais dire des choses qui vont être niées. Je ne veux pas rentrer là-dedans. Je veux garder ma crédibilité. La parole de Benalla qui a déjà menti sur Djouhri, c’est une parole systématiquement mise en cause. À chaque fois que je dis quelque chose, on saisit le procureur de la République. Quoi qu’il se passe, à la fin, il me restera l’image d’un menteur. »

Sur l’affaire des passeports diplomatiques, Alexandre Benalla répète ce qu’il a déjà déclaré à d’autres médias depuis les révélations de Mediapart. À savoir : les passeports diplomatiques en sa possession, rendus fin août à la présidence de la République, lui ont été restitués début octobre.

Il décrit la chronologie de la sorte : « Je rends une partie de mes effets personnels à la suite d’un mail que j’ai reçu du général Bio-Farina [commandant militaire de l’Élysée – ndlr] autour du 30 juillet, qui me demande de prendre contact avec son adjoint, un commandant. À la fin du mois d’août, je dépose tout, dont les passeports diplo’. Comment peuvent-ils dire que cela n’a pas existé ? Au mois de septembre, on m’appelle pour me dire “Alex, on a encore un carton à toi avec des affaires, il faudrait que tu les récupères”. Quand je me rends à l’angle de l’avenue Gabriel et de la rue de l’Élysée pour récupérer ces effets début octobre, il y a dans un sac plastique un chéquier, des clés et… les passeports diplomatiques. »

Pourquoi cette restitution a-t-elle eu lieu dans la rue ? « Parce que je suis comme un pestiféré. » Il assure que le « salarié » de l’Élysée qui lui a restitué les passeports lui aurait déclaré dans le même geste : « Tu ne fais pas de bêtises avec. » Benalla : « La personne qui me les rend le fait sur instruction. Qui peut donner l’instruction ? A minima le directeur de cabinet du président, ou au mieux le secrétaire général de l’Élysée. » Le président lui-même ? « Ça, faudra leur demander », esquive-t-il.

Alexandre Benalla accuse le Quai d’Orsay de l’avoir laissé utiliser ses passeports comme bon lui semble. « Si on ne veut pas que j’utilise ces passeports, il n’y a qu’à les désactiver et les inscrire à des fichiers. Il y a des procédures, tout de même ! Normalement, au Quai d’Orsay, au bout de plusieurs de lettres de relance soi-disant envoyées, on s’inquiète, non ? Ça ne passe pas inaperçu, deux passeports diplomatiques… », s’amuse l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron.

Il ajoute : « Il n’y a eu aucune démarche de faite pour récupérer mes passeports parce qu’il y a eu des instructions données dans le sens inverse, c’est tout. Et comme ils ne savent pas répondre aux journalistes, ils saisissent le procureur. Mais quand vous voyagez à l’étranger avec un passeport diplomatique, l’ambassade de France est au courant que vous arrivez. Les services de sécurité pour certains pays comme Israël ou en Afrique sont au courant. La DGSE peut être au courant. »

L’Élysée et le Quai d’Orsay assurent depuis plusieurs jours n’avoir jamais eu vent de l’utilisation de ses passeports diplomatiques à l’étranger par Alexandra Benalla. Ce dernier dit être entré avec « dans une dizaine de pays » depuis l’automne.

Pour lui, dans cette affaire, c’est certain : « Il y a des têtes qui vont tomber. » Mais Alexandre Benalla ne se fait pas d'illusion sur le fait que, pour l'instant, c'est la sienne qui est une nouvelle fois sur le billot judiciaire.
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Messagepar gblosc » 31 Déc 2018, 17:39

Bonne année Manu Macron ...
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Messagepar Baratte » 31 Déc 2018, 18:12

gblosc a écrit:Bonne année Manu Macron ...

Et rien pour la douce Brigitte ? OK ...
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
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Messagepar fernando » 31 Déc 2018, 19:28

prochain épisode du feuilleton : la sextape de Macron et Benalla.
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Messagepar ursulet » 31 Déc 2018, 19:34

gblosc a écrit:Bonne année Manu Macron ...


Qu'il aille se faire goder le... ah non c'est deja fait.
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
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Messagepar Giallo » 31 Déc 2018, 20:15

Baratte a écrit:
gblosc a écrit:Bonne année Manu Macron ...

Et rien pour la douce Brigitte ? OK ...


si si y a un plan apparemment :

ce message ne vient pas de moi
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Messagepar krouw2 » 31 Déc 2018, 21:07

Macaron qui consulte Bennalah c'est comme si Hollande consultait pfff sur la géopolitique
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Messagepar SAV » 01 Jan 2019, 17:04

Giallo a écrit:
Baratte a écrit:
gblosc a écrit:Bonne année Manu Macron ...

Et rien pour la douce Brigitte ? OK ...


si si y a un plan apparemment :


Pour me rassurer je m’attendais à voir Francis Kuntz ou Vincent Marronnier à la fin de l’interview mais non.
La réalité a dépassé la fiction potache.
Ça fout les jetons.
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar krouw2 » 01 Jan 2019, 17:05

Brigitte jlasaque pas
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Messagepar fernando » 01 Jan 2019, 19:16

SAV a écrit:Pour me rassurer je m’attendais à voir Francis Kuntz ou Vincent Marronnier à la fin de l’interview mais non.
La réalité a dépassé la fiction potache.
Ça fout les jetons.


Quand t'entends certains gilets jaunes t'as presque de la compassion pour Macron.
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Messagepar Xylophène » 04 Jan 2019, 12:39

Heureusement que les politiciens franco-coréens sont là pour apporter un peu d'esprit punk dans ce vaste champ de courges qu'est devenue la politique française :

Joachim Son-Forget : Le « roi des trolls » fonde son parti politique

Après ses frasques, le député fantasque a quitté LREM pour créer sa propre organisation politique. Portrait d'un parlementaire sur la ligne de crête.


Plus rien n'arrête le député des Français de l'étranger, Joachim Son-Forget ! Après ses accès de fièvre tweeteuse qui l'ont mené à sa démission de La République en marche, voilà qu'il décide de lancer son propre parti baptisé Je suis français et européen. Il prévient : « Je suis désormais libre de dire ce que je pense », une promesse qui augure quelques nouvelles séquences politiques hautement divertissantes. « Mon parti va défendre l'exemplarité des élites, affirme Son-Forget. Nous défendrons aussi la réduction du train de vie de l'État, la baisse des dépenses publiques, une culture française qui va de Diderot à Booba, le tout mâtiné d'humour et d'impertinence qui ont longtemps fait la fierté de la France. »

Non, je ne regrette rien

Le député prévoit aussi de monter une liste aux européennes, dont la constitution se fera « comme tout le monde, à base de copains, parce que c'est bien connu, les listes européennes, ça ne se fait qu'entre potes », explique-t-il, sans filtre. Passé de 6 000 followers à plus de 42 000 en moins d'une semaine, Joachim Son-Forget se dit désormais soutenu par une « armée de jeunes geeks pro-européens et assez souverainistes, très ancrés dans leur génération ». À ceux qui lui demandent s'il regrette ses saillies politiques qui risquent de le conduire un peu plus vers la marginalisation politique, il répond qu'il ne regrette rien : « Ce qui m'a chauffé, c'est qu'on ait dit de moi que j'étais psychiatriquement perturbé. C'est vraiment le retour aux grandes heures de l'URSS, où il fallait discréditer l'adversaire par peur de la dissidence ! Quant à ceux qui prétendent que je prends de la coke, je fais une prise de sang quand ils veulent », prévient celui qui invoque l'impertinence et l'humour pour expliquer son comportement des derniers jours. Regrette-t-il d'avoir soutenu Emmanuel Macron ? « Non, mais c'est la dernière fois que je vois le veau d'or. Je continue à le soutenir. »

Qui peut vraiment dire qui est vraiment Joachim Son-Forget ? Longtemps présenté comme un brillant médecin et claveciniste, le voici désormais roi des trolls. « Ce garçon est un ovni », nous confiait Jacques Attali il y a quelques semaines. Les deux hommes se connaissent depuis plus de dix ans. « Il est très énervant, car il est très bon dans plusieurs domaines, ce qui est rare. Il est à la fois brillant médecin, excellent pianiste, compositeur de talent... », complimentait alors le président de PlaNet Finance. Les deux hommes avaient nourri un projet de livre en commun, pour le moment à l'arrêt. « Je ne m'attendais pas à ce qu'il devienne parlementaire, poursuivait Attali qui s'inquiétait déjà. Je ne sais pas si la députation lui permettra de faire meilleur usage de son talent, mais on voit qu'il a envie de changer les choses. Il fait partie de ceux qui combattent pour le triomphe de la raison sur la mauvaise foi. »

Même si cela ne transparaît pas vraiment dans la séquence politique du moment, Joachim Son-Forget a pu jusqu'alors offrir le visage d'un élu courtois, aimant ferrailler avec les intellectuels. Ainsi, nous avions assisté en octobre à une étonnante soirée où, assis au clavecin qu'il avait loué pour l'occasion, le député des Français de l'étranger cabriolait devant ses invités. « Dans un excès de confiance, j'ai pensé qu'on allait écouter un peu de musique et faire salon », s'égayait-il, avant d'attaquer une pièce de Froberger, un compositeur allemand du XVIIe siècle. Ce soir-là, Joachim Son-Forget recevait dans les appartements de la questure de l'Assemblée nationale. Son invité d'honneur s'appelait Steven Pinker, un intellectuel américain chantre de l'optimisme, qui aime rappeler à la France ce que le libéralisme progressiste doit à l'esprit des Lumières... La soirée s'était déroulée en anglais dans une atmosphère ouatée, rythmée par les prises de parole de l'universitaire et les morceaux de clavecin du parlementaire.

Autodestruction politique

Le jeune élu tweete plus vite que son ombre. « Il tweete comme Donald Trump », s'inquiétait déjà en septembre l'un de ses amis, un de ceux qui a souvent tenté de calmer –manifestement sans succès – sa frénésie de tweets, capable de le propulser au cœur de tempêtes d'indignation dont Twitter a le secret. Sa première polémique ? Avoir soutenu Marcel Campion qui tenait des propos homophobes dans une vidéo. Il s'en était d'ailleurs expliqué – et excusé – sur notre site.

Qu'est-ce qui a bien pu pousser un brillant médecin à se lancer dans une telle entreprise d'autodestruction politique ? Craignait-il en devenant député de passer pour un bourgeois ? « Je déteste les bobos, le pire restant pour moi la dame ethnochic. Un type qui me dit qu'il adore chanter au karaoké reste vachement moins suspect qu'un mec qui me dit qu'il adore l'art. J'ai adopté très tôt les codes pour qu'on me foute la paix, mais sur le fond, je fais ce qui me plaît », raconte l'élu, qui cultive son anticonformisme depuis son arrivée au Palais-Bourbon : bureau bordélique, boutons de manchette bleu-blanc-rouge et trottinette électrique font partie de son horizon parisien. « C'est le spécialiste des engins à roues », expliquait Marie Martine Padeano, la chirurgienne qui l'a formé pendant ses études à Dijon. « Il a une moto, des planches de skate, une trottinette électrique. Il lui arrivait déjà de débarquer au bloc avec sa planche de skate il y a dix ans », se souvient-elle.

Si tous ceux qui le connaissent le décrivent comme un « scientifique brillant », il reste difficile pour le profane de juger de la qualité scientifique d'un élu. Pour Luc Julia, le créateur de Siri et vice-président de la recherche chez Samsung, pas de doute, « ce garçon est multicéphale : il touche à l'informatique, aux neurosciences, à la politique ! Il a du répondant de très haut niveau sur le plan scientifique ! » La dernière fois que les deux hommes se sont vus, c'était pour le match France-Allemagne. Portés par l'euphorie, ils ont enchaîné dans un bar. « Et vers une heure du matin, il s'est rendu compte qu'il avait loupé un vote à l'Assemblée », se marre le scientifique.

« Jeanvincentplacéïsation »

Un homme politique d'origine coréenne, devenu parlementaire et cherchant à exister sur la scène médiatique parfois bruyamment... ça ne vous rappelle rien ? Joachim Son-Forget l'a reconnu devant ses proches, il a pu redouter sa « jeanvincentplacéïsation ». Mais qu'est-ce que cela peut bien signifier ? Nous avons interrogé ledit Jean-Vincent Placé : « Cela signifie probablement s'agiter dans tous les sens pour avoir un poste à tout prix », se marre l'ancien sénateur, qui connaît bien le jeune député de 35 ans. « On se voit de temps en temps, au café Max. C'est un enfant adopté lui aussi, c'est ce qui est à la base de notre relation », explique Placé, qui lui a prodigué quelque conseils : « Rien ne sert d'être candidat aux scrutins internes d'un parti uniquement pour la notoriété, il faut le faire pour peser ! » Son-Forget aurait-il fait un bon patron de parti ? « Il est trop intelligent pour ce job », balaie Placé.

Lorsqu'il menait campagne pour prendre la tête de La République en marche contre Stanislas Guerini, Joachim Son-Forget s'est défini comme « libéral avec une touche de souverainisme capable de réconcilier les gens avec eux-mêmes », et a mené une campagne plutôt à la droite de La République en marche. « Nous sommes en proximité idéologique », confirmait alors Virginie Calmels, première adjointe d'Alain Juppé à la mairie de Bordeaux. Le député des Français de l'étranger, ex-secrétaire de la section du PS des Français de l'étranger de Genève (oui, ça existe), ne ménage plus vraiment ses anciens amis socialistes : « Tout ce qui me rappelle le PS me donne de l'urticaire », confie celui qui dans sa jeunesse vénérait « en secret » Philippe de Villiers et la croix de Lorraine, qu'il porte aujourd'hui accrochée au revers de sa veste, surmontée d'une écharpe façon Harry Potter. « J'avais peur de dire que j'étais libéral et de perdre mes amis. J'ai mis du temps à faire mon coming-out libéral. » Sur les questions sociétales d'ailleurs, il louvoie un peu et refuse par exemple de se prononcer « pour » ou « contre » la PMA pour les couples de femmes, un projet de loi au menu des réjouissances parlementaires de l'année prochaine. « En tant qu'enfant adopté, j'ai tendance à penser qu'il est plus important de vider les orphelinats que d'organiser la transmission de ses gènes. Mais ce n'est que mon avis », avance-t-il, pour une fois prudent.

Les obsessions des députés révèlent souvent leurs personnalités. L'inclassable Son-Forget est partout sans pour autant faire partie des bons élèves dans les classements. On le croise derrière son clavecin lors d'une soirée donnée par l'ambassadeur du Kosovo à Paris – Kosovo dont il est citoyen d'honneur depuis cette année –, à Colombey-les-deux-Églises sur la tombe du général de Gaulle ou encore en Syrie, où la rumeur lui prête un rôle de médiateur en eaux troubles près de la résistance à Bachar el-Assad... Depuis qu'il a intégré la commission des Affaires étrangères, il s'entraîne au tir pour "assouvir [ses] rêves de gosse d'être commando et sniper". Une discipline qui vient compléter une collection de centres d'intérêt déjà vaste. La politique sourit parfois aux dilettantes.

https://www.lepoint.fr/politique/joachi ... 638_20.php
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."

Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
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Messagepar fernando » 04 Jan 2019, 13:48

Après "les Républicains" et "les Patriotes", je pense qu'il aurait pu baptiser son parti "les Fourbes" et rallier rapidement Jean-Vincent Placé et Fleur Pellerin :

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Messagepar Dageek » 04 Jan 2019, 13:53

Ah on dirait que quelqu un n a pas retrouvé son vernis.
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