J'en connais 2-3. Un condamné à mort s'est échappé est l'un des meilleurs films français des années 50, ni plus ni moins.
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."
C'est assez particulier la direction des acteurs dans un film de Bresson. Les acteurs parlent d'une voix blanche et monocorde, ça m'a rappelé les premières tentatives de synthèse vocale dans les jeux vidéos, comme ici :
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."