[Mr] Cinéma

Messagepar ursulet » 11 Nov 2019, 21:52

Je suis allé voir Midway, pour faire plaisir à madame. J'avais aucun espoir vu le réalisateur, mais je pense que c'est son meilleur film, enfin le moins mauvais. Harrelson est étonnamment sobre, Quaid en fait bcp mais on évite les grands élans pro américain dont emmerich est si friand. Reste que tous ces effets spéciaux, c'est quand même indigeste.
Toi qui entre au grand Stade, abandonne tout espoir...
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Messagepar Hitotooo » 12 Nov 2019, 19:00

Ta femme aime les grosses explosions ?
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Messagepar Hitotooo » 12 Nov 2019, 19:01

Xylophène a écrit:Je ne vois pas comment un acteur peut encore endosser le rôle du Pingouin après la performance extraordinaire de Danny De Vito dans Batman returns. Remarque, ça date de 1992, le public a peut-être oublié.


On pensait la même chose après le Joker de Nicholson.
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Messagepar ursulet » 12 Nov 2019, 19:51

Hitotooo a écrit:Ta femme aime les grosses explosions ?


Elle connaissait pas emmerich. Maintenant si. Les fx spéciaux cheap et les punchlines de la mort n'ont plus aucun secret pour elle.
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Messagepar Mrjo » 12 Nov 2019, 23:20

Chambre 212, (tres) bonne surprise...
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Messagepar bijams » 14 Nov 2019, 12:43

Mrjo a écrit:Chambre 212, (tres) bonne surprise...


Tes histoires de cul pendant tes vacances dans des lieux improbables, on s'en branle.
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Messagepar Giallo » 14 Nov 2019, 13:21

Quelqu'un a vu Dr Sleep ?

certes y a Mike Flanagan derrière tout ça mais ça me fait un peu peur car Shining est un de mes films préférés
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar krouw2 » 14 Nov 2019, 13:47

j 'ai vu la belle époque

c'est beau, c'est atmosphérique
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Messagepar fernando » 23 Nov 2019, 21:58

« Martin Scorsese renie sa famille, celle d’Hollywood, dont il est un phare »

Entre son dernier film, « The Irishman », qui sort directement sur Netlfix et ses saillies contre les films de super-héros, le réalisateur étrille l’industrie du cinéma, estime dans sa chronique Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde ».


Chronique. Il faut s’appeler Martin Scorsese, avoir une stature de titan et plus rien à perdre pour oser étriller Hollywood comme il l’a fait. Le cinéaste américain a confié, début octobre, que les films de super-héros capés ou masqués, qui sauvent le camp du bien après deux heures mouvementées, ne sont pas du cinéma. Si encore il avait dit qu’ils étaient mauvais… En plus il lâche sa formule alors que son nouveau film, The Irishman, hormis pour quelques chanceux qui ont pu le voir en salle, sera visible, à partir du 27 novembre, uniquement sur le petit écran de Netflix, son producteur, dont on peut se demander s’il ne va pas tuer le cinéma.

Il faut aller au bout de l’entretien publié le 4 octobre dans la revue britannique Empire pour tomber sur la question : Vous aimez les films Marvel ? Et lire cette réponse spontanée : « Je ne les regarde pas. J’ai essayé, mais ce n’est pas du cinéma. Honnêtement, la chose dont ils se rapprochent le plus, si bien faits soient-ils, avec des acteurs qui donnent le meilleur au vu des circonstances, ce sont des parcs d’attractions. »

Mots-chocs et réactions-fleuves venant du Tout-Hollywood. Car les films de super-héros, tirés de personnages de bandes dessinées, notamment ceux du studio Marvel (propriété de Disney), prolifèrent comme le virus dans un film d’horreur. On connaissait Superman ou Batman, il y a aussi Iron Man, Captain America, Thor ou Hulk. Tant d’autres.

Scorsese a reçu le soutien de Francis Ford Coppola, qui le trouve trop gentil, qualifiant les films Marvel de « méprisables ». Pedro Almodovar, lui, moque ces super-héros asexués et « stérilisés ». Ken Loach, en bon marxiste, dénonce des « films produits comme une marchandise, à l’image des hamburgers, qui n’ont aucune imagination à partager ».

Le cinéaste oscarisé Alejandro Gonzalez Iñarritu (Birdman) a déjà qualifié les films de super-héros de « poison » responsable de « génocide artistique ». Mais Scorsese est spécial. Il renie sa famille, celle d’Hollywood, dont il est un phare. C’est même lui qui aurait ouvert la voie à ce qu’il dénonce avec ses films à la fois brutaux et cérébraux, trépidants et psychologiques.

« Danger émotionnel »

Du reste, les nombreuses personnalités qui ont critiqué Scorsese, pour la plupart impliquées avec Marvel, sont embarrassées. Comment moquer « Marty », comme certains l’appellent, alors qu’on admire Taxi Driver (Palme d’or à Cannes) ou Les Infiltrés (Oscars du meilleur film et du meilleur réalisateur) ? Comment brûler celui qui vous a influencé ? C’est ainsi que le cinéaste Jon Favreau (Iron Man) a déclaré que son héros « a le droit d’exprimer n’importe quelle opinion ». Sinon la plupart ont préféré refuser le débat au motif que Scorsese ne peut juger des films qu’il n’a pas vus – oubliant de rappeler qu’il avait essayé… C’est la position de l’homme le plus puissant d’Hollywood, Robert Iger, directeur général de Disney, qui chapeaute les studios Marvel, Pixar, Lucasfilm et la Fox.

Aussi, Martin Scorsese a précisé ses convictions dans une tribune lumineuse publiée le 4 novembre par le New York Times. Les films de super-héros lui tombent des yeux, car il leur manque « la révélation, le mystère, le danger émotionnel ». Il s’ennuie devant des personnages de gentils, bousculés à l’écran mais qui gagnent toujours à la fin. Dans un entretien avec L’Obs, le 31 octobre, il ajoute : « Si vous revoyez un film de super-héros dans quelques années, posez-vous la question : qu’ai-je appris de la vie ? » Réponse induite : rien.

Pour Scorsese, le miracle d’Hollywood est d’avoir su conjuguer art et commerce pendant des décennies, alors qu’aujourd’hui le risque est souvent éliminé pour laisser la place à des films « calibrés, testés, remaniés, dupliqués, prêts à consommer ». Il aurait pu rappeler, pour appuyer ses propos, que Marvel a sorti 23 films en onze ans, qui constituent la plus formidable machine à cash d’Hollywood, rapportant une bonne vingtaine de milliards de dollars dans le monde. Que le tout récent Avengers : Endgame (2019) est le film le plus rentable de l’histoire avec 2,8 milliards de dollars, devant Avatar et Titanic. 2019 devrait être une année record et ce n’est pas fini. Huit films Marvel sont annoncés dans les trois années à venir.

Trio de septuagénaires

Pourquoi pas, dit Scorsese, si le public a le choix entre « le divertissement et le cinéma ». Sauf que les films de super-héros écrasent l’offre au point de rendre le public dépendant, d’asphyxier les films d’auteur et d’imposer une esthétique spectaculaire qui contaminerait toute la production. On pourrait lui rétorquer que la frontière entre art et divertissement est vieille comme le cinéma, poreuse aussi, que certains films comme The Dark Knight, de Christopher Nolan, ou le premier Gardiens de la galaxie, de James Gunn, ont du style.

Ce n’est pas le problème de Scorsese. Sa saillie est liée à la sortie de son film The Irishman, porté par un trio de septuagénaires, Robert De Niro, Al Pacino, Joe Pesci. Pas des héros, encore moins des super-héros, mais des gangsters dont l’histoire court sur plus de quarante ans. Le temps qui passe, ronge les corps, les visages et les cerveaux est au cœur de cette fresque proustienne de trois heures trente, funèbre et mélancolique, avec peu d’action et beaucoup de dialogues en vase clos.

L’agonie du film renvoie à l’agonie du cinéma selon Scorsese, qui, en conséquence, s’offre à Netflix. Une trahison pour les fans. Sa réponse est simple. Seul Netflix a accepté de l’accompagner dans cette aventure, d’investir 160 millions de dollars afin, notamment, de créer les indispensables effets spéciaux qui ont permis à Robert De Niro d’avoir à l’écran 30 ans ou 80 ans. Après avoir vu The Irishman, on comprend son obsession. Mais quel paradoxe que de voir une œuvre de chair à vif et de pur cinéma déserter la salle qui, elle, se remplit de super-héros aux visages inhumains.
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Messagepar Giallo » 23 Nov 2019, 22:12

analyz just
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Messagepar ursulet » 23 Nov 2019, 22:15

Les noinches sont fans des marvel...
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Messagepar fanofmonk » 25 Nov 2019, 09:01

Vu hier " a star is born". Quelle merde ce film. Bourré de clichés et de facilités...
Vu il y a quelques temps "lheure de la sortie" avec laurent lafitte: jai vraiment bien aimé, le malaise se mets en place petit à petit et le thème du problème est vrai bien choisit.
fanofmonk
 
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Messagepar Giallo » 25 Nov 2019, 15:11

vu récemment :

It Chapter Two : j'avais bien aimé le premier film qui était un remake très bien fait, celui là est quand même plusieurs crans en dessous, déjà il dure 2h49 avec environ 1h en cumulé de flashbacks... dur

Wedding Nightmare : la bande annonce m'avait donné envie, en fait c'est un film correct mais sans plus
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Messagepar fernando » 25 Nov 2019, 15:49

Wild Rose : une comédie sociale comme les anglais savent le faire. L'histoire d'une galérienne à Glasgow qui sort de zonzon et rêve de devenir chanteuse de country.

Dans la veine de Full Monty. Sans prétention mais bien interpêté et sympathique.
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Messagepar Xylophène » 25 Nov 2019, 19:48

La Belle Epoque de Nicolas Bedos : comédie douce-amère enlevée aux dialogues parfaitement ciselés. Les meilleurs rôles de Daniel Auteuil et Fanny Ardant depuis respectivement les décès de Claude Sautet et de François Truffaut.
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."

Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
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Messagepar krouw2 » 26 Nov 2019, 13:07

krouw2 a écrit:j 'ai vu la belle époque

c'est beau, c'est atmosphérique


déjà posté en plus court
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Messagepar gblosc » 01 Déc 2019, 15:58

Bien aimé aussi "La Belle Epoque", c'est frais, le scénario est original et bien ficelé.
Sinon, Doria Tillier, jlasak
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Messagepar Dageek » 01 Déc 2019, 17:23

Les grandes cheminées c est la vie.
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Messagepar gblosc » 01 Déc 2019, 18:12

Ouaip je la ramonerai bien ...
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Messagepar Giallo » 02 Déc 2019, 08:33

Vus ces derniers jours :

Once Upon a Time in Hollywood : La dernière création de Tarantino était très attendue, notamment avec un casting 3 étoiles et une reconstitution de l'Amérique des 60s qu'on savait très soignée. Pour ces deux éléments, le contrat est rempli, Tarantino nous livre aussi une brochette de personnages hauts en couleurs comme il sait le faire, une B.O avec des titres sélectionnés avec soin et des décors magnifiques. C'est aussi très bien filmé. Le problème c'est quand on s'attaque à l'histoire qui tient sur un post-it. Après 2h49 on a l'impression que pas grand chose n'a avancé, tout se déroule presque dans le dernière partie du film... On reste grandement sur sa faim. J'ai du mal à comprendre pourquoi Tarantino s'est embarqué dans une histoire avec autant de célébrités parmi ses personnages, car il semble comme paralysés par ceux-ci. Il aurait sans doute gagné à inventer une histoire déconnectée de la vraie histoire Sharon Tate / Charles Manson. Quant aux critiques qui en parlaient comme un de ses meilleurs films, j'ai aussi beaucoup de mal à les comprendre. Reste quelques bonnes scènes et pas mal de frustration.

The Irishman : En bon fan de Scorsese je l'ai regardé à sa sortie. Un peu décontenancé par les effets numériques pour s'arranger avec l'âge de De Niro et Pacino, on passera vite sur le point fort de Scorsese : l'histoire et sa façon unique de créer un univers mafieux rempli de personnages tellement riches et qu'on semble déjà connaître. Mean Streets, Goodfellas et Casino ne sont pas loin... Mais il y a une vraie différence avec ces films, les personnages principaux de The Irishman ne sont plus aussi impulsifs, notamment Joe Pesci, d'habitude si colérique en Nicky Santoro ou en Tommy DeVito joue ici tout en retenue et il maitrise ça à la perfection. Le film raconte bien sûr l'histoire d'un livreur de viande (De Niro) et de son ascension au sein de la mafia au fil de ses rencontres avec Joe Pesci ou Al Pacino mais ce n'est presque pas le plus important, comme je le disais tout est plus posé, plus en retenue, c'est cohérent avec l'âge de ses acteurs mais ça ressemble aussi à un bilan et disons-le franchement à un adieu à tout ces personnages qu'on a aimés même si parfois, tout de même, la fougue revient comme un éclair, souvent lors de scènes/confrontations avec les plus jeunes du casting : Bobby Carnavale et Stephen Graham, comme pour rappeler que les vieux loups ne dorment jamais vraiment. Tout au long, le film fait écho à la carrière de Scorsese et ça m'a beaucoup plu. Sans doute pas son meilleur mais je me suis régalé, et l'hommage rendu à tout ces immenses acteurs fait plaisir à voir. Il convaincra quand même sans doute plutôt les fans du genre.

Rambo : Last Blood : On est bien loin du premier opus franchement politique évidemment, mais on est loin aussi des autres films. Le chapitre de trop dans une saga qui n'a pas toujours fait les grandes heures du cinéma. Le film ne vise pas vraiment juste même quand il tente de dire au revoir à son héros (qui s'en sort encore pas trop mal malgré son âge) ça sonne faux et balourd, au mieux, ça passe pour un dimanche après-midi pluvieux quoi....
Dernière édition par Giallo le 02 Déc 2019, 09:45, édité 2 fois.
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Messagepar Dageek » 02 Déc 2019, 08:46

+1 pour le Tarantino
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Messagepar rodolfo » 02 Déc 2019, 10:39

Moi j'ai enfin vu Cold War.

Bon, ça doit être plus prenant sur grand écran.
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Messagepar fernando » 02 Déc 2019, 10:47

T'es qu'un mauvais polonais!
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Messagepar laurentlille1 » 02 Déc 2019, 11:17

Giallo a écrit:
The Irishman : En bon fan de Scorsese je l'ai regardé à sa sortie. Un peu décontenancé par les effets numériques pour s'arranger avec l'âge de De Niro et Pacino


C'est ce que je disais à Fernando jeudi, les effets spéciaux pour rendre De Niro plus jeunes sont assez ridicules (la scène à l'épicerie notamment, ses yeux vitreux...) et j'ai eu du mal à rentrer dans la première partie du film. Ca va mieux une fois que lui ou Pacino s'approchent de leur âge réel et Scorsese fait comme d'habitude un excellent travail pour nous faire rentrer dans l'ambiance de la mafia, c'est riche, détaillé, les décors très bien faits mais le film est long et aurait peut-être mérité de paraître en mini série de 3 ou 4 épisodes.

Un excellent Joe Pesci sinon, sûrement le meilleur du film.


J'ai maté "Yves" ce week end et honnêtement je ne sais pas trop quoi en penser. J'ai aimé l'idée mais c'est incroyablement cheap (volontairement?) et les acteurs sont parfois franchement mauvais. Pourtant ça m'a quand même fait rire et ça a le mérite d'être original.
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Messagepar fernando » 02 Déc 2019, 11:30

laurentlille1 a écrit:c'est incroyablement cheap (volontairement?) et les acteurs sont parfois franchement mauvais. Pourtant ça m'a quand même fait rire et ça a le mérite d'être original.


Ca marche aussi pour le résumé de Lille-Dijon?
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar Dageek » 02 Déc 2019, 11:50

Joe Pesci est toujours delcieusement parfait , et beaucoup trop rare compte tenu de son talent.
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Messagepar Giallo » 02 Déc 2019, 14:13

Pesci ultra sous-estimé, c'est très clair, dans the irishman il excelle alors qu'il est totalement à contre emploi, le meilleur de la triplette Pesci-Pacino-De Niro, et de loin. Un peu déçu de ne pas voir plus Harvey Keitel

Laurent, moi aussi les yeux vitreux de De Niro m'ont bien fait flipper :D
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Messagepar Dageek » 02 Déc 2019, 16:29

Ah tiens en fait il a clairement les yeux d Alec Baldwin avec les effets spéciaux.
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Messagepar laurentlille1 » 02 Déc 2019, 18:45

fernando a écrit:
laurentlille1 a écrit:c'est incroyablement cheap (volontairement?) et les acteurs sont parfois franchement mauvais. Pourtant ça m'a quand même fait rire et ça a le mérite d'être original.


Ca marche aussi pour le résumé de Lille-Dijon?


Pas faux ^^
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Messagepar Der » 09 Déc 2019, 17:52

Giallo a écrit:Pesci ultra sous-estimé, c'est très clair, dans the irishman il excelle alors qu'il est totalement à contre emploi, le meilleur de la triplette Pesci-Pacino-De Niro, et de loin.

Tu dis ça juste parce que c'est un rappeur.


Spoiler:
On se fait des bisous et on s'encule.
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