La faucheuse en action

Messagepar rodolfo » 26 Mars 2020, 19:17

krouw2 a écrit:C'est l'entrainor qui a changé l'état d'esprit du foot Franssais: jouer pour gagner



Ca c'est plutôt Deschamps. Hidalgo, c'était le beau jeu pour se faire éliminer en demi à chaque fois.
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Messagepar rodolfo » 26 Mars 2020, 20:10

D'ailleurs, la coupe du monde 86..... c'était quelque chose.

Pour moi, plus passionnante que celle de 98.
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Messagepar John Holmes » 26 Mars 2020, 21:23

Il est mort l'année dernière Hidalgo
"Connard =)"
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Messagepar krouw2 » 27 Mars 2020, 01:56

rodolfo a écrit:
krouw2 a écrit:C'est l'entrainor qui a changé l'état d'esprit du foot Franssais: jouer pour gagner



Ca c'est plutôt Deschamps. Hidalgo, c'était le beau jeu pour se faire éliminer en demi à chaque fois.


Avant son arrivée on se prenait des branlées et on jouait pour ne pas perdre, un peu comme Fillon avec Pénélope dans les burs
Hollande 2027
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Messagepar Giallo » 27 Mars 2020, 09:04

Bon du coup ça relance les municipales à Paris....
ce message ne vient pas de moi
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Messagepar Deub » 27 Mars 2020, 09:53

Lol Giallo !
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Messagepar laurentlille1 » 31 Mars 2020, 08:02

Michel Hidalgo sera inhumé ce mardi avec un survêtement de l’OM
Les obsèques de l’ancien sélectionneur des Bleus, décédé jeudi 26 mars à l’âge de 87 ans, se dérouleront ce mardi. Sa famille a annoncé qu’il portera des habits aux couleurs olympiennes.


Comme dageek à son mariage.
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Messagepar Dageek » 31 Mars 2020, 08:11

faux

j'ai mis un écusson sur mon De Fursac
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Messagepar fernando » 31 Mars 2020, 08:35

laurentlille1 a écrit:Michel Hidalgo sera inhumé ce mardi avec un survêtement de l’OM
Les obsèques de l’ancien sélectionneur des Bleus, décédé jeudi 26 mars à l’âge de 87 ans, se dérouleront ce mardi. Sa famille a annoncé qu’il portera des habits aux couleurs olympiennes.


Comme dageek à son mariage.


^^
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar rodolfo » 31 Mars 2020, 09:47

laurentlille1 a écrit:Michel Hidalgo sera inhumé ce mardi avec un survêtement de l’OM
Les obsèques de l’ancien sélectionneur des Bleus, décédé jeudi 26 mars à l’âge de 87 ans, se dérouleront ce mardi. Sa famille a annoncé qu’il portera des habits aux couleurs olympiennes.


Comme dageek à son mariage.



Je croyais plutôt à un survêtement de Dunkerque.

Sans doute un message à tous les supporters Marseillais pour cette folle saison.
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Messagepar bitadmin » 31 Mars 2020, 14:22

pierre benichou 82 ans
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Messagepar Dageek » 31 Mars 2020, 14:55

Merde.... va falloir prévenir Marcel son beau frère ...
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Messagepar Baratte » 31 Mars 2020, 18:21

Condoléances à son fils Fabrice .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
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Messagepar rodolfo » 31 Mars 2020, 22:28

Pape Diouf !!

Coronavirusé .
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Messagepar krouw2 » 31 Mars 2020, 23:29

et on a zappé Deveidjan
Hollande 2027
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Messagepar Baratte » 01 Avr 2020, 06:38

Déjà posté .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
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Messagepar laurentlille1 » 01 Avr 2020, 14:15

Monde de merde, où on rend plus hommage à un mec qui a présidé un club de foot qu'à un politique qui a servi la France (parce qu'il a eu des idées de merde dans sa jeunesse...)
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Messagepar fernando » 03 Avr 2020, 17:31

Bill Withers
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Messagepar guinness » 03 Avr 2020, 17:33

Si il n'est pas mort du covid, on s'en branle !

:-D

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Messagepar John Holmes » 04 Avr 2020, 09:15

Juan Gimenez
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Messagepar Dageek » 04 Avr 2020, 09:17

Il n a pas laissé un grand souvenir à l OM
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Messagepar Baratte » 04 Avr 2020, 10:08

+1 Dageek ! Je me souviens plus de Waddle .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
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Messagepar rodolfo » 05 Avr 2020, 20:58

RIP le médecin du stade de Reims....
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Messagepar rodolfo » 09 Avr 2020, 23:42

Liliane Marchais.

Respect immense pour leur franchise et leur investissement .
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Messagepar fernando » 16 Avr 2020, 13:41

:-(


Luis Sepulveda, écrivain chilien, est mort du Covid-19

Emprisonné sous Pinochet puis exilé, l’auteur avait gardé dans son œuvre l’empreinte indélébile de ses combats et de leurs inévitables désillusions. Atteint du Covid-19, il est mort à l’âge de 70 ans.



Lors de la soirée célébrant les 40 ans des éditions Métailié, le 21 octobre 2019, Luis Sepulveda, l’auteur fétiche de la maison, avait été très chaleureusement applaudi. Un lien particulier unissait le romancier et cinéaste chilien, né le 4 octobre 1949 à Ovalle, et la maison fondée par Anne-Marie Métailié – laquelle, en publiant, en 1992, son premier roman, Le vieux qui lisait des romans d’amour, jusque-là passé inaperçu en Espagne, avait contribué à forger sa notoriété internationale.

Traduite dans une soixantaine de langues, cette histoire d’un homme veuf, grand connaisseur de la forêt amazonienne et de ses Indiens, se plongeant dans des romans pour échapper à la barbarie des hommes blancs, avait conquis des millions de lecteurs dans le monde, charmés par le talent de conteur du romancier et la fausse candeur de son écriture.

Mais loin d’être un peintre naïf, jouant habilement sur la corde des émotions, comme on avait pu le lui reprocher, Luis Sepulveda, mort le 16 avril, à Oviedo, en Espagne, à l’âge de 70 ans, était d’abord un militant de gauche à l’engagement chevillé au corps et à la plume. « Raconter, c’est résister », se plaisait-il à dire, en reprenant la devise de l’écrivain brésilien Joao Guimaraes Rosa. Selon la version qu’il donnait de sa vie, ce petit-fils d’un Andalou anarchiste, contraint de fuir l’Espagne pour s’exiler en Equateur puis au Chili (du côté paternel), et d’un chef indien Mapuche (par sa mère) s’était engagé dès 12 ans auprès des jeunesses communistes. Par la suite, son appartenance à la garde rapprochée du président Salvador Allende (1908-1973) lui avait valu, sous la dictature d’Augusto Pinochet (1915-2006), d’être condamné à vingt-huit ans de prison pour trahison et conspiration.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Luis Sepulveda, Chilien, conteur et résistant

Engagé au Nicaragua aux côtés des sandinistes

Libéré en 1977 après deux ans et demi de détention, grâce à Amnesty International, moyennant un exil de huit ans en Suède, il avait choisi de se soustraire à sa peine en arpentant l’Amérique du Sud. Une aventure des plus fécondes. Un séjour auprès des Indiens Shuars, en 1978, destiné à étudier l’impact de la colonisation, lui avait ainsi donné la matière de son premier roman. Ses pérégrinations lui avaient également inspiré Le Neveu d’Amérique (1996), sans doute l’un de ses plus beaux livres, récit d’un long voyage, depuis l’Amérique jusqu’en Andalousie.

En 1979, ayant mis le cap sur le Nicaragua, il s’était investi dans la lutte armée aux côtés des sandinistes, dans la brigade Simon-Bolivar. Il en était revenu « déçu qu’une belle révolution ait fini en enfer à cause des infirmités de toujours : le dogmatisme, l’uniformisation et le manque de générosité créative », avant de s’expatrier en Allemagne. A Hambourg, il était devenu reporter et avait épousé une infirmière dont il avait eu trois enfants, avant de retrouver, des années plus tard, à Paris, sa première femme, une ancienne militante de gauche, comme lui.

Son œuvre, qu’il avait choisi d’écrire du côté des perdants, avait gardé l’empreinte indélébile de ses combats et de leurs inévitables désillusions. C’est d’abord par le biais du thriller qu’il en avait rendu compte, par un alter ego romanesque, Juan Belmonte, un ancien guérillero chilien des révolutions perdues de l’Amérique latine, dont il avait fait le héros du livre Un nom de torero (1994), puis, plus récemment, de La Fin de l’histoire (2017), où celui-ci, retiré des affaires, repartait régler ses comptes avec un ex-tortionnaire de la junte chilienne.

Une sensibilité profondément humaniste

Critique des dictatures latino-américaines, comme de la gauche, Luis Sepulveda n’en avait pas moins gardé une profonde nostalgie des années passées à défendre ses idéaux, comme dans L’ombre de ce que nous avons été (2009), où il imaginait les retrouvailles, à Santiago, de trois anciens militants de retour d’exil, souhaitant mener une ultime action révolutionnaire. Pour Luis Sepulveda, l’amnésie était la pire des lâchetés. On trouvait cette injonction à ne pas oublier ni à pardonner dans La Folie de Pinochet (2003), compilation d’articles dans lesquels il fustigeait l’indulgence de ses compatriotes vis-à-vis de l’ancien dictateur.

Très marqué par l’œuvre de son compatriote, le conteur et nouvelliste Francisco Coloane (1910-2002), comme par celle de Jules Verne, il tenait Ernest Hemingway pour son maître d’écriture en sobriété. Cette simplicité était la marque de ses livres, qu’il souhaitait accessibles au plus grand nombre et dans lesquels prévalait une sensibilité profondément humaniste. Elle s’exprimait tant dans ses romans écologistes – un autre de ses combats depuis ses années passées en Allemagne (Le Monde du bout du monde, 1993) – que dans ses contes pour enfants (dont Histoires d’un chien mapuche, 2016). L’auteur, dont plusieurs livres avaient été portés à l’écran, s’était lui-même essayé au cinéma avec Terre de feu (2000), coécrit avec Miguel Littin, et Nowhere (2002).

Après avoir renoncé à retourner s’installer au Chili, Luis Sepulveda avait fini par s’établir en 1996 à Gijón, ville des Asturies (nord de l’Espagne), dont il louait la « tradition de lutte politique instaurée par les mineurs et la fraternité qui y règne ». Une ville à son image.
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Messagepar Dageek » 17 Avr 2020, 06:39

Sans transition,

Christophe
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Messagepar John Holmes » 17 Avr 2020, 07:55

Ça c'est triste

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Messagepar Dageek » 17 Avr 2020, 08:46

arrête, genre quelqu'un ici écoute vraiment Christophe quoi.
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Messagepar John Holmes » 17 Avr 2020, 09:10

Ben si tu aimes Bashung, tu finis par t'intéresser à son univers.
Et Christophe en faisait partie et son dernier album m'avait touché.
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Messagepar Dageek » 17 Avr 2020, 09:13

ça s'explique , j'aime pas Bashung
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