fernando a écrit:Ca vient de Télérama :
Dageek a écrit:En fait si j’ai bien compris c est un terme un peu fourre-tout qui désigne péjorativement tous ceux qui se sentent « éveillé » dans le sens moralisateur, ceux qui se sentent supérieurs parce qu ils défendent des minorités
Bah tiens voilà la définition wiki
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Woke
Dageek a écrit:En fait si j’ai bien compris c est un terme un peu fourre-tout qui désigne péjorativement tous ceux qui se sentent « éveillé » dans le sens moralisateur, ceux qui se sentent supérieurs parce qu ils défendent des minorités
Bah tiens voilà la définition wiki
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Woke
Nougets a écrit:Dageek a écrit:En fait si j’ai bien compris c est un terme un peu fourre-tout qui désigne péjorativement tous ceux qui se sentent « éveillé » dans le sens moralisateur, ceux qui se sentent supérieurs parce qu ils défendent des minorités
Bah tiens voilà la définition wiki
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Woke
Fonctionne avec Islamogauchiste.
Xylophène a écrit:Ahah, qu'est-ce qu'il faut pas faire pour montrer qu'on est woke.
fanofmonk a écrit:Ca apprendra a quotidien d'inviter de telles "personnalité". Entre nakamachin, lena situation, bilal hassani et weshdene il y a quelques semaines, ca devient nimp cette emission. On est pas sur tpmp.
fernando a écrit:Ca vient de Télérama :
AYA
Aya Nakamura
tttt - On aime passionnément
Voix suave ou guerrière, rythme enflammé, gimmicks irrésistibles… Son troisième album confirme dans sa souveraineté la reine du R’n’B français.
« Pour ceux qui ne me connaissent pas : je m’appelle Aya, je suis née à Bamako, j’ai grandi dans le 93, et je ne suis ni un exemple ni une caricature », lançait-elle, à la fois bravache, et peut-être un poil intimidée, place de l’Hôtel-de-Ville, à Paris, au Festival Fnac Live 2019, où sa présence avait provoqué une affluence jamais vue. Aujourd’hui, qui n’a pas entendu parler d’Aya Nakamura, 25 ans, chanteuse à la voix ample et modulée, suave et guerrière ? Après un premier essai accrocheur, et beau succès, Journal intime (2017), où elle invitait en duo la griotte Oumou Sangaré, elle a échappé à la malédiction des chanteuses françaises de R’n’B, dont les ventes se sont à chaque fois écroulées au moment du deuxième album, écoulant son Nakamura (2018) à plus d’un million de copies… Grâce à elle, la France entière sait désormais qu’une « pookie », anglicisme du gitan « poucave », est une « balance », ou plus largement une commère ; nul n’ignorera demain qu’une « tchop », donnant son titre à l’une des nouvelles chansons les plus réussies (« faut pas forcer quand j’te dis, c’est mort »), sur fond de reggaeton minimal et diablement dansant, est une automobile. Elle ne lâche d’ailleurs jamais le volant, même accompagnée au micro de l’Anglais Stormzy (Plus jamais) ou du jeune rappeur à surveiller Oboy (Prefere), poussant sa voix à l’aigu plus qu’à son habitude sur l’obsédant Fly. Chaque titre, conçu pour magnifier les nuances de sa voix, ses surprenantes accélérations rythmiques, ses drôles d’allitérations et ses gimmicks (« oh Aya ! »), fonctionne à plein. La reine Aya n’est pas près de se faire piquer sa couronne.
Erwan Perron
fernando a écrit:fernando a écrit:Ca vient de Télérama :
AYA
Aya Nakamura
tttt - On aime passionnément
Voix suave ou guerrière, rythme enflammé, gimmicks irrésistibles… Son troisième album confirme dans sa souveraineté la reine du R’n’B français.
« Pour ceux qui ne me connaissent pas : je m’appelle Aya, je suis née à Bamako, j’ai grandi dans le 93, et je ne suis ni un exemple ni une caricature », lançait-elle, à la fois bravache, et peut-être un poil intimidée, place de l’Hôtel-de-Ville, à Paris, au Festival Fnac Live 2019, où sa présence avait provoqué une affluence jamais vue. Aujourd’hui, qui n’a pas entendu parler d’Aya Nakamura, 25 ans, chanteuse à la voix ample et modulée, suave et guerrière ? Après un premier essai accrocheur, et beau succès, Journal intime (2017), où elle invitait en duo la griotte Oumou Sangaré, elle a échappé à la malédiction des chanteuses françaises de R’n’B, dont les ventes se sont à chaque fois écroulées au moment du deuxième album, écoulant son Nakamura (2018) à plus d’un million de copies… Grâce à elle, la France entière sait désormais qu’une « pookie », anglicisme du gitan « poucave », est une « balance », ou plus largement une commère ; nul n’ignorera demain qu’une « tchop », donnant son titre à l’une des nouvelles chansons les plus réussies (« faut pas forcer quand j’te dis, c’est mort »), sur fond de reggaeton minimal et diablement dansant, est une automobile. Elle ne lâche d’ailleurs jamais le volant, même accompagnée au micro de l’Anglais Stormzy (Plus jamais) ou du jeune rappeur à surveiller Oboy (Prefere), poussant sa voix à l’aigu plus qu’à son habitude sur l’obsédant Fly. Chaque titre, conçu pour magnifier les nuances de sa voix, ses surprenantes accélérations rythmiques, ses drôles d’allitérations et ses gimmicks (« oh Aya ! »), fonctionne à plein. La reine Aya n’est pas près de se faire piquer sa couronne.
Erwan Perron
Comme je suis ouvert d'esprit comme Baratte et Rodolfo, je me suis forcé à écouter, non sans mal, les 3 premiers morceaux de l'album. Bien évidemment c'est de la merde, de la musique pour kebab.
Mais ce qui m'intrigue le plus dans cette critique, c'est comment on peut parler de "voix suave ou guerrière" quand il s'agit d'une voix uniformément autotunée? Je vais écrire à l'auteur de cette chronique afin d'avoir des éclaircissements.
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