Grand Stade
par John Holmes » 04 Oct 2022, 20:34
C'est moche ce bashing anti DM.
N'empêche que leur concert à Gros Quinquin c'était vachement bien.
N'empêche que leur concert à Gros Quinquin c'était vachement bien.
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par John Holmes » 05 Oct 2022, 07:37
rodolfo a écrit:CB risque de sortir du bois pour cet événement !
Avec son plus beau complet en velours côtelé.
Un homme de goût.
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par Yusuf Akbar » 12 Mai 2023, 13:38
J’ai jamais compris la différence entre le football normal (celui qui me fait regarder la télé pour insulter les autres équipes de Lille et jeter des projectiles sur mon écran) et le football à 11.
Quelqu’un peut m’expliquer ?
Quelqu’un peut m’expliquer ?
Mes propos n’engagent que ceux qui en apportent une certaine crédibilité.
par Giallo » 24 Juin 2023, 09:46
Le saviez-vous ? Le Grand Stade du LOSC aurait dû s’appeler le Stade Jean Baratte en hommage au joueur de légende qu’il a été avec le LOSC (meilleur buteur de l’histoire du club avec 174 buts). C’est son fils, Pierre Baratte (76 ans) qui dévoile cette anecdote dans la Voix du Nord : « La petite déception, je ne sais pas si je peux la raconter, c’est que le nouveau stade ne porte pas le nom de mon père. Il était favori pour donner son nom. Mais Pierre Mauroy est décédé à ce moment-là... »
Bravo Martine…
Bravo Martine…
ce message ne vient pas de moi
par Yusuf Akbar » 24 Juin 2023, 11:27
Salope !
Mes propos n’engagent que ceux qui en apportent une certaine crédibilité.
par Baratte » 25 Juin 2023, 06:56
Genre titine aurait sournoisement accéléré le processus de mort de gros quinquin pour qu'il donne son nom au stade à l'insu de son plein gré ? Machiavélique .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par fernando » 08 Sep 2023, 10:20
Grand Stade : la MEL condamnée à payer 28,5 millions d'euros à Elisa
par Olivier HENNION ohennion@lavoixdunord.fr métropole lilloise. Début juillet, Elisa, la société en charge de la construction et de la gestion du stade Pierre-Mauroy et la Métropole européenne de Lille (MEL) s'étaient retrouvées face à face au tribunal administratif de Lille dans le cadre d'un différend portant sur le paiement d'un ensemble d'indemnités et de pénalités liées au contrat de partenariat public-privé régissant les rapports entre les deux partenaires. Un dossier particulièrement conséquent résumé ainsi par le rapporteur public : « Huit ans de procédure, 6500 pages sans compter les annexes et certains points de conflit qui auraient pu être réglés par la simple application de la convention, si les deux parties n'avaient pas fait preuve, à certains moments d'acrimonie et de mauvaise foi. » La MEL va se prononcer dans les prochains jours sur un éventuel appel du jugement Surtout, cette audience devant le TA venait sceller (en attente d'éventuels appels) onze années de désaccords et de bisbilles entre les deux signataires de la convention d'exploitation du Grand Stade, puisque la plupart des points d'achoppement étaient apparus dès la mise en service de l'équipement. À l'origine, Elisa envisageait de réclamer plus de 150 millions d'euros à la collectivité, mais s'était finalement résolue à limiter ses exigences à un peu moins de 50 millions d'euros, abandonnant au passage ses demandes les moins étayées. Au terme d'un long exercice de tri et d'analyse des différentes demandes, le rapporteur public avait estimé qu'Elisa était en droit d'attendre de la MEL une indemnisation de l'ordre de 29,25 millions d'euros sur l'ensemble de ses demandes, hors intérêts contractuels. Un raisonnement suivi, à quelques détails près, par le tribunal qui a condamné la MEL à verser à Elisa un total de 28,5 millions d'euros (hors intérêts). Les protagonistes ont été informés très récemment de ce jugement et ne souhaitent pas, pour l'heure, en commenter le contenu. Alain Bernard, premier vice-président de la MEL en charge des finances a toutefois reconnu qu'une décision serait « prise rapidement quant à un éventuel appel ». Il a également souligné que la MEL avait « provisionné de quoi faire face à ses obligations », ce qui signifie qu'aucun projet communautaire ne devrait être « sacrifié » pour le paiement de ces compléments de redevance.
par Olivier HENNION ohennion@lavoixdunord.fr métropole lilloise. Début juillet, Elisa, la société en charge de la construction et de la gestion du stade Pierre-Mauroy et la Métropole européenne de Lille (MEL) s'étaient retrouvées face à face au tribunal administratif de Lille dans le cadre d'un différend portant sur le paiement d'un ensemble d'indemnités et de pénalités liées au contrat de partenariat public-privé régissant les rapports entre les deux partenaires. Un dossier particulièrement conséquent résumé ainsi par le rapporteur public : « Huit ans de procédure, 6500 pages sans compter les annexes et certains points de conflit qui auraient pu être réglés par la simple application de la convention, si les deux parties n'avaient pas fait preuve, à certains moments d'acrimonie et de mauvaise foi. » La MEL va se prononcer dans les prochains jours sur un éventuel appel du jugement Surtout, cette audience devant le TA venait sceller (en attente d'éventuels appels) onze années de désaccords et de bisbilles entre les deux signataires de la convention d'exploitation du Grand Stade, puisque la plupart des points d'achoppement étaient apparus dès la mise en service de l'équipement. À l'origine, Elisa envisageait de réclamer plus de 150 millions d'euros à la collectivité, mais s'était finalement résolue à limiter ses exigences à un peu moins de 50 millions d'euros, abandonnant au passage ses demandes les moins étayées. Au terme d'un long exercice de tri et d'analyse des différentes demandes, le rapporteur public avait estimé qu'Elisa était en droit d'attendre de la MEL une indemnisation de l'ordre de 29,25 millions d'euros sur l'ensemble de ses demandes, hors intérêts contractuels. Un raisonnement suivi, à quelques détails près, par le tribunal qui a condamné la MEL à verser à Elisa un total de 28,5 millions d'euros (hors intérêts). Les protagonistes ont été informés très récemment de ce jugement et ne souhaitent pas, pour l'heure, en commenter le contenu. Alain Bernard, premier vice-président de la MEL en charge des finances a toutefois reconnu qu'une décision serait « prise rapidement quant à un éventuel appel ». Il a également souligné que la MEL avait « provisionné de quoi faire face à ses obligations », ce qui signifie qu'aucun projet communautaire ne devrait être « sacrifié » pour le paiement de ces compléments de redevance.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par fernando » 30 Oct 2023, 14:18
Beers & Co fermera le 30 novembre
Villeneuve-d'Ascq. Le restaurant Beers & Coavait ouvert en novembre 2012, dans la foulée du Grand stade qui ne s'appelait pas encore Pierre-Mauroy. L'établissement a été placé en liquidation judiciaire le 16 octobre. Les clients appréciaient sa carte variée et son ambiance « club » très cosy. Mais bientôt, cette grande cellule numéro trois au pied des hôtels, tout à côté de la Decathlon Arena, sonnera creux. Alors que les grands événements du stade se faisaient attendre avant 2016 ou quand le Covid et le télétravail ont clairsemé la clientèle, Benoît Plouviez, son gérant, a toujours tenu la barre. Mais aujourd'hui, il ne fuit pas ses responsabilités : « C'est un échec pour moi. Le restaurant de Villeneuve-d'Ascq n'a jamais fonctionné comme il aurait dû. On a pris la décision de ne pas continuer ». La franchise Beers mp ; Co, avec ses huit autres établissements dans la région - dont celui de Seclin -, elle, n'est pas en danger.
Une cellule bientôt remise en location
Les six salariés du restaurant réfléchissent à leur futur : « Un va partir à la retraite, d'autres vont faire autre chose », confie Benoît Plouviez pour qui « la situation n'est pas facile ». À 50 ans, lui aussi phosphore sur son avenir professionnel. Beers mp ; Co n'a pas eu le temps d'attendre l'ouverture du complexe de bureaux Hope, du nouveau Leroy Merlin à Lezennes ou du village Kiabi qui n'auraient pas manqué de lui amener une nouvelle clientèle d'habitués le midi. La cellule sera probablement remise à la location dès le mois de décembre par son propriétaire, Elisa, filiale d'Eiffage qui a construit et gère le stade Pierre-Mauroy/Decathlon Arena.
Villeneuve-d'Ascq. Le restaurant Beers & Coavait ouvert en novembre 2012, dans la foulée du Grand stade qui ne s'appelait pas encore Pierre-Mauroy. L'établissement a été placé en liquidation judiciaire le 16 octobre. Les clients appréciaient sa carte variée et son ambiance « club » très cosy. Mais bientôt, cette grande cellule numéro trois au pied des hôtels, tout à côté de la Decathlon Arena, sonnera creux. Alors que les grands événements du stade se faisaient attendre avant 2016 ou quand le Covid et le télétravail ont clairsemé la clientèle, Benoît Plouviez, son gérant, a toujours tenu la barre. Mais aujourd'hui, il ne fuit pas ses responsabilités : « C'est un échec pour moi. Le restaurant de Villeneuve-d'Ascq n'a jamais fonctionné comme il aurait dû. On a pris la décision de ne pas continuer ». La franchise Beers mp ; Co, avec ses huit autres établissements dans la région - dont celui de Seclin -, elle, n'est pas en danger.
Une cellule bientôt remise en location
Les six salariés du restaurant réfléchissent à leur futur : « Un va partir à la retraite, d'autres vont faire autre chose », confie Benoît Plouviez pour qui « la situation n'est pas facile ». À 50 ans, lui aussi phosphore sur son avenir professionnel. Beers mp ; Co n'a pas eu le temps d'attendre l'ouverture du complexe de bureaux Hope, du nouveau Leroy Merlin à Lezennes ou du village Kiabi qui n'auraient pas manqué de lui amener une nouvelle clientèle d'habitués le midi. La cellule sera probablement remise à la location dès le mois de décembre par son propriétaire, Elisa, filiale d'Eiffage qui a construit et gère le stade Pierre-Mauroy/Decathlon Arena.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Giallo » 15 Nov 2023, 11:22
Le LOSC n’a pas caché son agacement quant aux conditions dans lesquelles il occupe la Décathlon Arena ces dernières semaines. L’état de la pelouse, pas épargnée par la Coupe du monde de rugby, a particulièrement suscité la crispation cet automne. « Il est normal que le LOSC soit insatisfait », reconnaît Damien Castelain sur RMC Sport. Le président de la Métropole européenne de Lille, propriétaire de l’enceinte, rappelle néanmoins que la pelouse est « chouchoutée » et qu’à « un moment où les gens souffrent des inondations, des conflits, ce n’est pas le moment de dépenser 500 000 à 700 000 euros d’argent public » pour la changer en intégralité. Il a également répondu aux « attaques perpétuelles » du club quant au montant du loyer lié à l’occupation du stade.
« La MEL dépense 30 millions d’euros par an pour financer un équipement et un stade dédiés à l’équipe du LOSC, contextualise l’élu. Donc nous critiquer sur la cherté du loyer… Il y a tous les équipements conformes pour que le LOSC paye 6,5 millions d’euros de loyer par an. On ne comprend pas cette envolée. Surtout que quand on se plaint, il faudrait aussi quand même payer ses loyers. Ce qui n’est pas le cas du LOSC depuis 2021 et 2022 (trois trimestres en 2021 et un trimestre en 2022, NDLR). »
source : So Foot
« La MEL dépense 30 millions d’euros par an pour financer un équipement et un stade dédiés à l’équipe du LOSC, contextualise l’élu. Donc nous critiquer sur la cherté du loyer… Il y a tous les équipements conformes pour que le LOSC paye 6,5 millions d’euros de loyer par an. On ne comprend pas cette envolée. Surtout que quand on se plaint, il faudrait aussi quand même payer ses loyers. Ce qui n’est pas le cas du LOSC depuis 2021 et 2022 (trois trimestres en 2021 et un trimestre en 2022, NDLR). »
source : So Foot
ce message ne vient pas de moi
par Xylophène » 15 Nov 2023, 16:01
Le problème du stade est que le LOSC paie la mégalomanie des élus (suscitée par l'agité du bocal feu Bruno Bonduelle) avec un stade disproportionné par rapport aux besoins du club et de la métropole : 50 000 places qui ne sont pleinement occupées que 3 fois par saison (OM-PSG-Lens), 7000 places VIP aux deux tiers vides, une boîte à spectacles qui ne sert qu'une ou deux fois par an, le toit fermé seulement 3-4 fois par saison.
A l'époque, au moment de la définition du projet, Seydoux s'en fichait et a laissé couler car il cherchait déjà à vendre le club, il ne s'imaginait pas à devoir l'exploiter lui-même. Il a vite déchanté.
A l'époque, au moment de la définition du projet, Seydoux s'en fichait et a laissé couler car il cherchait déjà à vendre le club, il ne s'imaginait pas à devoir l'exploiter lui-même. Il a vite déchanté.
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
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