Ouf, à deux doigts de dire « et avec nos impôts «
Mais je sais que t es plus malin que ça :D
[O1T] Pays de merde (kacedédi boban)
par Yusuf Akbar » 17 Juil 2025, 15:41
Non. Pleins d’investisseurs eclairés par contre comme le groupe TF1 qui avait flairé la bonne affaire.
Mes propos n’engagent que ceux qui en apportent une certaine crédibilité.
par Baratte » 18 Juil 2025, 11:36
Giallo a écrit:je ne comprends pas pourquoi Bayrou ne mise pas tout sur le cinéma français pour trouver 40 Milliards.
L'exception culturelle c'est nous !
Sur conseil de son ami Bruno Lemaire , François mérou travaille actuellement à l'adaptation cinématographique d'un roman qu'il a écrit lui-même : "Baffes, fouet et sodo au pensionnat " . Son amie Rachida soutient le projet .
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par Baratte » 18 Juil 2025, 12:58
C'est la banque Rotschild qui a organisé la vente d'Alsthom à GE, avec l'aide du conseiller spécial de l'Elysée , devenu sinistre du budget ensuite et donc là , l'enkulay est occupé mais il sera de nouveau dispo au printemps 2027 et pourra donc gérer le dossier .
Le projet sera entre de bonnes mains.
Le projet sera entre de bonnes mains.
Les salariés sont les êtres les plus vulnérables du monde capitaliste : ce sont des chômeurs en puissance.
par Yusuf Akbar » 20 Juil 2025, 02:03
Épisode 1 : Les Promesses du Lycée Alsacien
Ils n’étaient que des adolescents, enfermés dans les murs dorés de l’élite parisienne.
Juan, le brillant insoumis, provocateur, charmeur, souvent en avance d’une guerre.
Gabriel, l’élève modèle, discipliné, lucide, déjà tourné vers l’ordre républicain.
Un jour, Juan franchit la ligne : il crée un skyblog où les jeunes filles de leur classe sont notées, exposées.
Gabriel ne pardonne pas. Il alerte. Il s’oppose.
Dans ce lycée, c’est le début d’un duel à mort qui ne portera ses fruits que bien plus tard.
⸻
Épisode 2 : L’Empire d’En Marche
Des années ont passé.
Gabriel entre dans la lumière, bras droit d’un prince nouveau : Emmanuel Macron.
Ensemble, ils avancent, propres, efficaces, porteurs de promesses.
Mais dans l’ombre, Juan les observe.
Lui aussi connaît les salons, les réseaux, les secrets.
Et il en a assez de se taire.
Dans un geste qui choque jusqu’aux siens, il révèle publiquement l’intimité de Gabriel.
Un outing. Une trahison.
Ce n’est plus seulement un conflit d’idées. C’est une guerre de chairs, de sang, de réputation.
⸻
Épisode 3 : L’Homme qui voulait faire tomber la République
Juan publie Crépuscule, un livre-manifeste. Un pamphlet. Un acte d’accusation.
Il y décrit les coulisses, les pactes, les arrangements, les secrets honteux.
Il veut tout faire tomber. Emmanuel. Gabriel. Le système.
Il ne vise pas seulement les têtes : il vise l’architecture entière du pouvoir.
Et pourtant… Juan reste avocat. Il défend ceux que personne ne défend. Il flirte avec la ligne rouge.
Jusqu’au jour où il accepte une cause de trop : celle de Piotr Pavlenski, l’artiste russe qui a fait exploser la campagne de Benjamin Griveaux.
Le barreau s’indigne. Les juges grondent.
Juan ne recule pas. Il monte au front. Encore.
⸻
Épisode 4 : L’Exil du Rebelle
2024. Les murs se referment.
Le Conseil de l’Ordre prononce une sentence rare, cinglante, presque personnelle : trois ans de suspension.
Neuf mois ferme. Interdit de plaider. Réduit au silence.
Il a publié des preuves confidentielles. Il a franchi les limites du secret. Il a tout risqué pour sa cause.
Mais le monde de la justice n’est pas un théâtre. Pas pour lui. Pas cette fois.
Dans son appartement, Juan regarde Paris s’endormir.
Il n’a pas perdu une guerre. Il a défié un empire.
Et il sait, au fond de lui, que ce genre d’histoire ne s’arrête jamais vraiment.
Et désormais l’épisode filler:
Épisode 5 : Le Cri du Barreau
Paris. Devant la Maison du Barreau, Juan Branco surgit, suspendu mais incandescent.
Son audience disciplinaire est reportée. Lui, refuse de se taire.
Face aux caméras, aux soutiens, aux micros tendus, il dénonce un harcèlement institutionnel, un système qu’il juge corrompu, gangrené par les élites.
Un discours de guerre civile, livré comme un serment.
Dans ce combat, il n’est plus avocat. Il est insurgé.
Mes propos n’engagent que ceux qui en apportent une certaine crédibilité.
par Dogue-son » 14 Août 2025, 21:23
Papamobile », le dernier film « pas drôle » avec Kad Merad sort en catimini, retour sur un raté très rare
Le film est sorti dans seulement dans six villes en France, dont la plupart comptent moins de 35 000 habitants.
Un véritable fiasco. Sorti mercredi 13 juillet, le film Papamobile dans lequel l’acteur Kad Merad incarne un souverain pontife enlevé par un cartel mexicain aux côtés de Myriam Tekaïa, n’est diffusé que dans sept salles de cinéma, malgré son budget de 1,2 million d’euros.
Dans les colonnes du Canard Enchaîné, le producteur Jean Bréhat reconnaît un « raté », pour expliquer cette quasi-invisibilisation du film même pas diffusé à Paris. « C’est une comédie pas drôle, selon la plupart de ceux qui l’ont vue. Ça arrive dans le métier », admet-il.
La distributrice, Violaine Barbaroux a quant à elle expliqué au journal Le Parisien ne pas avoir voulu investir les 200 000 euros de frais de sortie. « Le premier montage en 2024 n’était pas satisfaisant. Puis le montage définitif s’est révélé décevant, pas seulement pour nous, et pas à la hauteur du scénario, du réalisateur, de ses acteurs et des promesses associées », a-t-elle développé.
La société de distribution s’est donc contentée d’une sortie technique, dans sept salles, afin d’honorer les obligations prises avec le Centre national du Cinéma (CNC). Le film sera disponible dans six villes : Avignon (Vaucluse) ; Bagnoles-de-l’Orne (Orne) ; Saverne (Bas-Rhin) ; Douvaine et Évian-les-Bains (Haute-Savoie) ; Romans-sur-Isère (Drôme). Hormis Avignon, toutes ces villes comptent moins de 35 000 habitants. Il sera par ailleurs impossible de voir Papamobile en Île-de-France.
Dans Le Parisien, le réalisateur du film Sylvain Estibal affirme avoir pensé le film, tourné pendant un peu plus de trois semaines au Mexique en 2023, comme ayant « un côté nanar revendiqué ». Il a également regretté que le producteur « s’exprime ainsi dans la presse le jour de la sortie » du film, au lieu de défendre le projet.
« C’était censé être une grosse comédie d’action, mais dès le début, on n’a pas eu le budget espéré », déplore le cinéaste césarisé en 2011 pour Le cochon de Gaza. Il indique par exemple que le projet était de tourner à Rome dans les studios de Cinecitta mais que faute d’argent il a dû se résoudre à tourner au Mexique où il a peiné à trouver des acteurs locaux parlant français. Sylvain Estibal ajoute avoir dû couper une dizaine de pages du scénario faute d’avoir pu les tourner.
Mais il confie au journal avoir trouvé « une belle énergie » sur le tournage et assure que Kad Merad en a gardé un « excellent souvenir ». « Il est beau visuellement. J’espère qu’avec le temps, les gens y trouveront du charme », conclut le réalisateur qui espère que la distribution ne sera pas remise en cause.
En théorie, le film doit être disponible sur la chaîne OCS dans quelques mois, puis sur Amazon Prime Video en 2026.
Le film est sorti dans seulement dans six villes en France, dont la plupart comptent moins de 35 000 habitants.
Un véritable fiasco. Sorti mercredi 13 juillet, le film Papamobile dans lequel l’acteur Kad Merad incarne un souverain pontife enlevé par un cartel mexicain aux côtés de Myriam Tekaïa, n’est diffusé que dans sept salles de cinéma, malgré son budget de 1,2 million d’euros.
Dans les colonnes du Canard Enchaîné, le producteur Jean Bréhat reconnaît un « raté », pour expliquer cette quasi-invisibilisation du film même pas diffusé à Paris. « C’est une comédie pas drôle, selon la plupart de ceux qui l’ont vue. Ça arrive dans le métier », admet-il.
La distributrice, Violaine Barbaroux a quant à elle expliqué au journal Le Parisien ne pas avoir voulu investir les 200 000 euros de frais de sortie. « Le premier montage en 2024 n’était pas satisfaisant. Puis le montage définitif s’est révélé décevant, pas seulement pour nous, et pas à la hauteur du scénario, du réalisateur, de ses acteurs et des promesses associées », a-t-elle développé.
La société de distribution s’est donc contentée d’une sortie technique, dans sept salles, afin d’honorer les obligations prises avec le Centre national du Cinéma (CNC). Le film sera disponible dans six villes : Avignon (Vaucluse) ; Bagnoles-de-l’Orne (Orne) ; Saverne (Bas-Rhin) ; Douvaine et Évian-les-Bains (Haute-Savoie) ; Romans-sur-Isère (Drôme). Hormis Avignon, toutes ces villes comptent moins de 35 000 habitants. Il sera par ailleurs impossible de voir Papamobile en Île-de-France.
Dans Le Parisien, le réalisateur du film Sylvain Estibal affirme avoir pensé le film, tourné pendant un peu plus de trois semaines au Mexique en 2023, comme ayant « un côté nanar revendiqué ». Il a également regretté que le producteur « s’exprime ainsi dans la presse le jour de la sortie » du film, au lieu de défendre le projet.
« C’était censé être une grosse comédie d’action, mais dès le début, on n’a pas eu le budget espéré », déplore le cinéaste césarisé en 2011 pour Le cochon de Gaza. Il indique par exemple que le projet était de tourner à Rome dans les studios de Cinecitta mais que faute d’argent il a dû se résoudre à tourner au Mexique où il a peiné à trouver des acteurs locaux parlant français. Sylvain Estibal ajoute avoir dû couper une dizaine de pages du scénario faute d’avoir pu les tourner.
Mais il confie au journal avoir trouvé « une belle énergie » sur le tournage et assure que Kad Merad en a gardé un « excellent souvenir ». « Il est beau visuellement. J’espère qu’avec le temps, les gens y trouveront du charme », conclut le réalisateur qui espère que la distribution ne sera pas remise en cause.
En théorie, le film doit être disponible sur la chaîne OCS dans quelques mois, puis sur Amazon Prime Video en 2026.
I used to be a fan. Now I'm an air conditioner
par Xylophène » 27 Août 2025, 19:47
La France s'effondre, Belmondo et Delon sont morts, la République obèse est couchée dans son lit les couches pleines, heureusement, il reste Didier Bourdon :
"Si je lance mon chapeau, si je fais l’oiseau, c’est pour ne pas mourir tout de suite, c’est pour me maintenir à la surface. Comme un nénuphar sans talent, mais nénuphar tout de même."
Armand dans "Les Nénuphars" de Michel Soutter
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