otto a écrit:In your ass ?
Toi tu te tish !
[O1T] Insolites
par John Holmes » 24 Juin 2013, 09:28
Toi tu te tish !
"Connard =)"
ChevalierBlanc - janvier 2021
ChevalierBlanc - janvier 2021
par stikky » 24 Juin 2013, 12:57
À Dilbeek, un échevin N-VA baisse son pantalon en public parce qu’il doit parler français
L’improbable scène s’est déroulée lors d’une remise de prix sportifs à Dilbeek, dans la périphérie bruxelloise. Frank De Dobbeleer (N-VA), échevin des sports, a baissé son pantalon devant 400 personnes quand il a dû remettre un prix à un club de pétanque francophone.
Cela pourrait être anecdotique, mais dans le contexte politique et communautaire belgo-belge, cela prend des allures plus inquiétantes. Dilbeek est l’une des communes les plus peuplées du Brabant flamand, avec 40.000 habitants, dont une importante communauté francophone, estimée à 30 %. Le Nieuwsblad rapporte cette histoire étonnante : Dilbeek organisait ce week-end une remise de prix récompensant les clubs de la commune. Environ 400 personnes sont présentes dans la salle, et parmi elles, beaucoup de jeunes.
Parmi les clubs récompensés, un club de pétanque francophone. Au moment de remettre le prix, l’échevin des Sports, le N-VA Frank De Dobbeleer lance à l’assemblée : « Un club de sports francophone à Dilbeek, j’en perds mon pantalon ! » Et l’échevin nationaliste flamand de baisser son pantalon devant l’assemblée. Après avoir effectué un petit tour sur lui-même, il remonte son pantalon et poursuit la cérémonie.
« Nous allons interpeller le bourgmestre et l’échevin des Sports », prévient l’ancien échevin des Sports de la commune, Luc Deleu (Open VLD), qui a assisté à la scène. « Il y avait des jeunes filles de 8 ans dans la salle », s’offusque-t-il.
De son côté, Frank De Dobbeleer se défend de toute moquerie envers les francophones, et affirme qu’il s’agissait d’une blague adressée à un ami, membre de l’association de pétanque en question. Une « private joke » d’un goût douteux pour un échevin, dans l’exercice de ses fonctions, devant 400 personnes…
L’Union des Francophones de Dilbeek demande sa démission
Joint par « Le Soir », Guy Pardon, conseiller communal (MR) et membre de l’Union des Francophones à Dilbeek, appelle M. De Dobbeleer à démissionner. Il précise qu’il n’était pas présent au moment des faits, mais dénonce un acte « relativement grave ». L’échevin « représente la commune et ses électeurs », c’est « une attitude tout à fait stupide », condamne Guy Pardon. « S’il a l’indécence de baisser son pantalon en public, il devrait avoir la décence de démissionner. » Et le conseiller de Dilbeek d’appeler le vice-ministre président flamand de l’Intégration et de la périphérie, Geert Bourgeois (N-VA), à « prendre au moins une sanction disciplinaire ».
L’improbable scène s’est déroulée lors d’une remise de prix sportifs à Dilbeek, dans la périphérie bruxelloise. Frank De Dobbeleer (N-VA), échevin des sports, a baissé son pantalon devant 400 personnes quand il a dû remettre un prix à un club de pétanque francophone.
Cela pourrait être anecdotique, mais dans le contexte politique et communautaire belgo-belge, cela prend des allures plus inquiétantes. Dilbeek est l’une des communes les plus peuplées du Brabant flamand, avec 40.000 habitants, dont une importante communauté francophone, estimée à 30 %. Le Nieuwsblad rapporte cette histoire étonnante : Dilbeek organisait ce week-end une remise de prix récompensant les clubs de la commune. Environ 400 personnes sont présentes dans la salle, et parmi elles, beaucoup de jeunes.
Parmi les clubs récompensés, un club de pétanque francophone. Au moment de remettre le prix, l’échevin des Sports, le N-VA Frank De Dobbeleer lance à l’assemblée : « Un club de sports francophone à Dilbeek, j’en perds mon pantalon ! » Et l’échevin nationaliste flamand de baisser son pantalon devant l’assemblée. Après avoir effectué un petit tour sur lui-même, il remonte son pantalon et poursuit la cérémonie.
« Nous allons interpeller le bourgmestre et l’échevin des Sports », prévient l’ancien échevin des Sports de la commune, Luc Deleu (Open VLD), qui a assisté à la scène. « Il y avait des jeunes filles de 8 ans dans la salle », s’offusque-t-il.
De son côté, Frank De Dobbeleer se défend de toute moquerie envers les francophones, et affirme qu’il s’agissait d’une blague adressée à un ami, membre de l’association de pétanque en question. Une « private joke » d’un goût douteux pour un échevin, dans l’exercice de ses fonctions, devant 400 personnes…
L’Union des Francophones de Dilbeek demande sa démission
Joint par « Le Soir », Guy Pardon, conseiller communal (MR) et membre de l’Union des Francophones à Dilbeek, appelle M. De Dobbeleer à démissionner. Il précise qu’il n’était pas présent au moment des faits, mais dénonce un acte « relativement grave ». L’échevin « représente la commune et ses électeurs », c’est « une attitude tout à fait stupide », condamne Guy Pardon. « S’il a l’indécence de baisser son pantalon en public, il devrait avoir la décence de démissionner. » Et le conseiller de Dilbeek d’appeler le vice-ministre président flamand de l’Intégration et de la périphérie, Geert Bourgeois (N-VA), à « prendre au moins une sanction disciplinaire ».
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
par fernando » 24 Juin 2013, 13:52
stikky a écrit:À Dilbeek, un échevin N-VA baisse son pantalon en public parce qu’il doit parler français
L’improbable scène s’est déroulée lors d’une remise de prix sportifs à Dilbeek, dans la périphérie bruxelloise. Frank De Dobbeleer (N-VA), échevin des sports, a baissé son pantalon devant 400 personnes quand il a dû remettre un prix à un club de pétanque francophone.
Cela pourrait être anecdotique, mais dans le contexte politique et communautaire belgo-belge, cela prend des allures plus inquiétantes. Dilbeek est l’une des communes les plus peuplées du Brabant flamand, avec 40.000 habitants, dont une importante communauté francophone, estimée à 30 %. Le Nieuwsblad rapporte cette histoire étonnante : Dilbeek organisait ce week-end une remise de prix récompensant les clubs de la commune. Environ 400 personnes sont présentes dans la salle, et parmi elles, beaucoup de jeunes.
Parmi les clubs récompensés, un club de pétanque francophone. Au moment de remettre le prix, l’échevin des Sports, le N-VA Frank De Dobbeleer lance à l’assemblée : « Un club de sports francophone à Dilbeek, j’en perds mon pantalon ! » Et l’échevin nationaliste flamand de baisser son pantalon devant l’assemblée. Après avoir effectué un petit tour sur lui-même, il remonte son pantalon et poursuit la cérémonie.
« Nous allons interpeller le bourgmestre et l’échevin des Sports », prévient l’ancien échevin des Sports de la commune, Luc Deleu (Open VLD), qui a assisté à la scène. « Il y avait des jeunes filles de 8 ans dans la salle », s’offusque-t-il.
De son côté, Frank De Dobbeleer se défend de toute moquerie envers les francophones, et affirme qu’il s’agissait d’une blague adressée à un ami, membre de l’association de pétanque en question. Une « private joke » d’un goût douteux pour un échevin, dans l’exercice de ses fonctions, devant 400 personnes…
L’Union des Francophones de Dilbeek demande sa démission
Joint par « Le Soir », Guy Pardon, conseiller communal (MR) et membre de l’Union des Francophones à Dilbeek, appelle M. De Dobbeleer à démissionner. Il précise qu’il n’était pas présent au moment des faits, mais dénonce un acte « relativement grave ». L’échevin « représente la commune et ses électeurs », c’est « une attitude tout à fait stupide », condamne Guy Pardon. « S’il a l’indécence de baisser son pantalon en public, il devrait avoir la décence de démissionner. » Et le conseiller de Dilbeek d’appeler le vice-ministre président flamand de l’Intégration et de la périphérie, Geert Bourgeois (N-VA), à « prendre au moins une sanction disciplinaire ».
Hé, c'est pas le pays du surréalisme pour rien, hein.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par rodolfo » 25 Juin 2013, 09:51
Le frère jumeau de François Hollande vit en espagne :
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/06/21/double-le-sosie-de-francois-hollande-pretre-a-la-tele-espagnole/#xtor=RSS-32280322
http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2013/06/21/double-le-sosie-de-francois-hollande-pretre-a-la-tele-espagnole/#xtor=RSS-32280322
par otto » 25 Juin 2013, 12:24
ça aussi, ça date. Mais je n'avais pas vu passer l'info.
Les Japonais sont connus pour avoir des pratiques sexuelles quelque peu hors-normes. La dernière en date ? Lécher les globes oculaires de leur partenaire.
Interrogée par le Huffington Post américain, Elektrika Energias, une étudiante de l'Université des Isles Vierges des Etats-unis, raconte son ressenti: "J'aime ça parce que c'est excitant, comme sucer les orteils. Ça me fait des picotements."
Cette étrange pratique, relayée par nos confrères de La Libre, s'est étendue aux cours de récréation, ce qui inquiète les enseignants nippons. Selon The Japan Crush, les élèves sont en effet de plus en plus nombreux à venir en classe un patch sur l’œil pour cacher une vilaine infection.
Au site Naver Natome, un professeur de jeunes âgés de 12 ans à peine révèle qu'un tiers d'entre eux ont déjà testé l'"eyeball licking". Il en a d'ailleurs déjà pris sur le fait.
Cité par le Huffington Post, l'ophtalmologiste David Granet assure que cette pratique, aussi appelée oculolinctus, n'est pas sans risque. "Il y a des stries sur la langue qui peuvent causer une abrasion de la cornée", explique-t-il. Si la conjonctivite est l'infection qui guette le plus les amoureux, l'herpès peut aussi être de la partie, met en garde David Najafin, un autre médecin. Il suffit pour cela que la personne léchant l’œil en ait sur la bouche.
"Les bactéries dans la bouche n'ont rien à voir avec celles présentes sur le globe oculaire, ce qui explique pourquoi nous recommandons aux gens de ne pas lécher leurs lentilles de contact pour les humidifier," assure quant à lui le porte-parole de l'American Academy of Ophtalmology Phillip Rizzuto.
Les Japonais sont connus pour avoir des pratiques sexuelles quelque peu hors-normes. La dernière en date ? Lécher les globes oculaires de leur partenaire.
Interrogée par le Huffington Post américain, Elektrika Energias, une étudiante de l'Université des Isles Vierges des Etats-unis, raconte son ressenti: "J'aime ça parce que c'est excitant, comme sucer les orteils. Ça me fait des picotements."
Cette étrange pratique, relayée par nos confrères de La Libre, s'est étendue aux cours de récréation, ce qui inquiète les enseignants nippons. Selon The Japan Crush, les élèves sont en effet de plus en plus nombreux à venir en classe un patch sur l’œil pour cacher une vilaine infection.
Au site Naver Natome, un professeur de jeunes âgés de 12 ans à peine révèle qu'un tiers d'entre eux ont déjà testé l'"eyeball licking". Il en a d'ailleurs déjà pris sur le fait.
Cité par le Huffington Post, l'ophtalmologiste David Granet assure que cette pratique, aussi appelée oculolinctus, n'est pas sans risque. "Il y a des stries sur la langue qui peuvent causer une abrasion de la cornée", explique-t-il. Si la conjonctivite est l'infection qui guette le plus les amoureux, l'herpès peut aussi être de la partie, met en garde David Najafin, un autre médecin. Il suffit pour cela que la personne léchant l’œil en ait sur la bouche.
"Les bactéries dans la bouche n'ont rien à voir avec celles présentes sur le globe oculaire, ce qui explique pourquoi nous recommandons aux gens de ne pas lécher leurs lentilles de contact pour les humidifier," assure quant à lui le porte-parole de l'American Academy of Ophtalmology Phillip Rizzuto.
par rhazelle » 25 Juin 2013, 18:42
Et la photo de ta collection de godes que John Holmes a posté l'autre jour , ça vient du Journal de Mickey ?
par GilbertSedman » 27 Juin 2013, 09:58
J'adore la politique africaine :
Les voitures d'Obiang en vente à Drouot
C'est la plus importante confiscation judiciaire du genre. Des véhicules, Maserati, Bugatti, en vente jusqu'à 600.000 euros pièce. Au nom de la loi.
Pour l'Agence de recouvrement et de gestion des avoirs saisis et confisqué (Agrasc), c'est la vente du siècle. La célèbre salle des ventes parisienne de Drouot vient de mettre en ligne le catalogue des voitures de luxe confisquées par la justice française à Téodorin Nguema Obiang, fils du président de la Guinée-Equatoriale.
Pour les amateurs fortunés, voici les lots de rêves (avec leurs kilométrages et leurs mises à prix): Bentley Arnage (12 841 km, 50.000 euros), Rolls Royce Phantom (10 598 km, 120.000 euros), Bentley Azure (750 km, 70.000 euros), Ferrari 599 GTO (597 km, 220.000 euros), Porsche Carrera 980 GT (950 km, 180.000 euros). Pour celle-ci, l'Etat a dû faire changer l'embrayage en Allemagne, avant la vente, pour la modique somme de 27.000 euros.
N'oublions d'autres pièces d'exception, comme la Bugatti Veryon (2 815 km, mise à prix 450.00 euros) ou, plus rare encore, la Veyron Grand Sport (1 209 km, 600.000 euros). Sans oublier une Maserati MC 12 (2 328 km, 400.000 euros). La petite dernière, une Mercedes Maybach 62, voiture de chef d'Etat (8 100 km, 40.000 euros), semble presque donnée. Une fissure dans son toit en verre oblige à la brader.
Téodorin Nguema Obiang est toujours en fuite
La vente est dirigée par Me Damien Libert, commissaire-priseur et doit avoir lieu à 10h30, le 8 juillet prochain. Un événement qui ne manquera pas de susciter la curiosité. Le catalogue a été traduit en chinois et en arabe. Des clients potentiels russes se montreraient aussi très intéressés.
A l'automne 2011, le juges d'instructions parisiens Roger Le Loire et René Grouman, en charge de l'affaire dite des «biens mal acquis», avaient fait saisir, au 42, avenue Foch à Paris et dans deux parkings situés dans le 16e arrondissement, la plupart de ces voitures de prestige. Téodorin Nguema Obiang est toujours en fuite et fait l'objet d'un mandat d'arrêt international. Il pourra suivre la vente en ligne.
Les voitures d'Obiang en vente à Drouot
C'est la plus importante confiscation judiciaire du genre. Des véhicules, Maserati, Bugatti, en vente jusqu'à 600.000 euros pièce. Au nom de la loi.
Pour l'Agence de recouvrement et de gestion des avoirs saisis et confisqué (Agrasc), c'est la vente du siècle. La célèbre salle des ventes parisienne de Drouot vient de mettre en ligne le catalogue des voitures de luxe confisquées par la justice française à Téodorin Nguema Obiang, fils du président de la Guinée-Equatoriale.
Pour les amateurs fortunés, voici les lots de rêves (avec leurs kilométrages et leurs mises à prix): Bentley Arnage (12 841 km, 50.000 euros), Rolls Royce Phantom (10 598 km, 120.000 euros), Bentley Azure (750 km, 70.000 euros), Ferrari 599 GTO (597 km, 220.000 euros), Porsche Carrera 980 GT (950 km, 180.000 euros). Pour celle-ci, l'Etat a dû faire changer l'embrayage en Allemagne, avant la vente, pour la modique somme de 27.000 euros.
N'oublions d'autres pièces d'exception, comme la Bugatti Veryon (2 815 km, mise à prix 450.00 euros) ou, plus rare encore, la Veyron Grand Sport (1 209 km, 600.000 euros). Sans oublier une Maserati MC 12 (2 328 km, 400.000 euros). La petite dernière, une Mercedes Maybach 62, voiture de chef d'Etat (8 100 km, 40.000 euros), semble presque donnée. Une fissure dans son toit en verre oblige à la brader.
Téodorin Nguema Obiang est toujours en fuite
La vente est dirigée par Me Damien Libert, commissaire-priseur et doit avoir lieu à 10h30, le 8 juillet prochain. Un événement qui ne manquera pas de susciter la curiosité. Le catalogue a été traduit en chinois et en arabe. Des clients potentiels russes se montreraient aussi très intéressés.
A l'automne 2011, le juges d'instructions parisiens Roger Le Loire et René Grouman, en charge de l'affaire dite des «biens mal acquis», avaient fait saisir, au 42, avenue Foch à Paris et dans deux parkings situés dans le 16e arrondissement, la plupart de ces voitures de prestige. Téodorin Nguema Obiang est toujours en fuite et fait l'objet d'un mandat d'arrêt international. Il pourra suivre la vente en ligne.
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par GilbertSedman » 27 Juin 2013, 10:25
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
par GilbertSedman » 27 Juin 2013, 10:27
Parler à un con c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage, beaucoup de douleurs pour peu de résultats (Desproges)
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