[01T] Politix, fonctionnaire et Cie

Messagepar fernando » 20 Juin 2013, 16:45

Tel un Rozehnal de la technocratie


^^

C'est moche pour Rozehnal, qui me semble moins veule et servile.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar fernando » 24 Juin 2013, 11:26

IBM crée 700 emplois sur le site Euratechnologies à Lille

A la fin des années 1990, IBM employait plus de 26 000 salariés dans l'Hexagone. Au 1er janvier 2013, ils n'étaient plus que 9 700.

Le groupe d'informatique américain IBM devrait confirmer, lundi 24 juin à Lille, en présence du ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, et de la maire socialiste de la ville, Martine Aubry, l'installation d'un "centre de services" dans le quartier numérique Euratechnologies. A la clef, environ 700 emplois.

Cette implantation dans le Nord tranche avec la suppression prévue en France, dans quelques mois, de 689 postes, annoncée par IBM fin mai. "L'ouverture d'un centre de maintenance avait déjà été annoncée. C'est une manière de faire oublier le plan social", estime Gérard Chameau, délégué central CFDT. "Il y a 129 mutations contraintes. Si on ne trouve pas assez de candidats, il y aura des licenciements", s'inquiète le syndicaliste, qui doit rencontrer M. Montebourg mercredi 26 juin.

A la fin des années 1990, IBM employait plus de 26 000 salariés dans l'Hexagone. Au 1er janvier 2013, ils n'étaient plus que 9 700.

Ces mesures s'inscrivent dans le cadre d'une restructuration mondiale du groupe américain, amorcée en avril, après la publication des résultats du premier trimestre, jugés décevants – baisse de 5 % du chiffre d'affaires, à 23,4 milliards de dollars (17,6 milliards d'euros).

IBM avait alors annoncé un plan de réorganisation, qui devrait lui coûter un milliard de dollars et concerner de 6 000 à 8 000 personnes dans le monde. Cela représente moins de 2 % des effectifs du groupe qui comptait 434 000 salariés début 2013. L'opération vise aussi à redéployer l'effort du groupe dans les secteurs jugés porteurs par la nouvelle patronne d'IBM, "Gigi" Rometty, comme les réseaux sociaux, le traitement des données (big data) et les services en ligne (cloud computing).

"RELOCALISATION"

A Lille, l'heure est à la satisfaction face à cette annonce du groupe américain. "On peut parler de relocalisation", lâche la maire de la ville. Et de citer comme autre exemple l'usine d'assemblage de vélos b'Twin, que le groupe Oxylane (Décathlon) a implanté en 2010 dans la métroploe du Nord plutôt qu'en Chine. Le géant du sport doit aussi ouvrir son futur centre technologique mondial du "chaussant", l'EssenSole Village, qui devrait permettre la création de 120 emplois à Lille-Sud fin 2013.

Le site Euratechnologies commence à prendre de l'allure. La société française de services informatiques Capgemini, les géants américains Microsoft et Cisco, l'Indien Tata, le vendeur de vêtements en ligne britannique Asos et maintenant IBM : Lille semble avoir gagné son pari numérique en regroupant 130 entreprises et 80 métiers des technologies de l'information et de la communication.

"Le site d'Euratechnologies, c'est la renaissance de la métropole, insiste Mme Aubry. C'est un lieu qui compte déjà 2 000 emplois. C'est la preuve qu'être porteur d'une vision d'avenir permet de créer un terrain favorable au développement économique." A l'image d'Euralille, le pôle tertiaire lancé par son prédecesseur à la mairie, Pierre Mauroy.

En pariant sur le renouveau d'une ancienne filature de 10 500m2, située le long d'une voie d'eau, le premier adjoint lillois, vice-président du conseil régional, Pierre de Saintignon, a affronté les railleries de ses opposants au début des années 2000. Après l'éclatement de la bulle Internet, le pari semblait voué à l'échec. Aujourd'hui, l'ancien château Leblan Lafont a subi une métamorphose complète, parallèle à celle du quartier.

Inauguré en 2009, le temple du numérique lillois (40 millions d'euros d'investissement) regroupe un incubateur, qui a déjà donné naissance à une soixantaine d'entreprises – comme Adictiz et ses jeux sur réseaux sociaux et mobiles (Paf le chien) –, un accélérateur, un auditorium high-tech de 300 places, un studio numérique sécurisé, ou encore une salle de téléprésence.

L'objectif affiché est clair : "être le plus gros incubateur d'Europe", lance Pierre de Saintignon. Pour cela, il faut pousser les murs. Le pôle s'étale sur une partie des 100 hectares qui constituent le nouveau quartier des Rives de la Haute Deûle. Entre nouvel habitat social, espaces verts, et activités tertiaires encore à la traîne, l'ensemble du parc Euratechnologies s'agrandit dans de nouveaux bâtiments alentours.

A terme, le site ambitionne d'accueillir d'ici à cinq ans 450 entreprises et 5 000 salariés. Une révolution numérique engagée à travers le lancement à venir d'un Campus de l'innovation. En attendant, l'université de Stanford (Californie) diplômait, vendredi 21 juin, à Lille 150 Nordistes, grâce à un partenariat mis en place avec Euratechnologies.
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Messagepar GilbertSedman » 24 Juin 2013, 11:29

"Inauguré en 2009, le temple du numérique lillois (40 millions d'euros d'investissement) regroupe un incubateur, qui a déjà donné naissance à une soixantaine d'entreprises – comme Adictiz et ses jeux sur réseaux sociaux et mobiles (Paf le chien) –, un accélérateur, un auditorium high-tech de 300 places, un studio numérique sécurisé, ou encore une salle de téléprésence."

Akinator Pizza n'est pas cité ? :-)
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Messagepar mic marc » 24 Juin 2013, 13:44

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Elle trouvera la grâce, en perdant de la graisse.
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Messagepar bijams » 24 Juin 2013, 13:45

On peux créer une société et gagner de l'oseille avec un concept comme Paf le chien ??
Putain, me fait vieux, au lieu de vendre des voitures volées, je ferai mieux de m'installer à Euratechnologies et créer, j'sais pas, Bim dans l'cul...
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Messagepar Sachalosc » 24 Juin 2013, 13:56

"Bij dans le cul" ça semblerait + sympa !
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Messagepar fernando » 24 Juin 2013, 13:58

bijams a écrit:On peux créer une société et gagner de l'oseille avec un concept comme Paf le chien ??
Putain, me fait vieux, au lieu de vendre des voitures volées, je ferai mieux de m'installer à Euratechnologies et créer, j'sais pas, Bim dans l'cul...


Y'a un concept à approfondir, assurément.
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Messagepar guinness » 24 Juin 2013, 15:16

Y'a un concept à approfondir, assurément.

ouais, allez au fond des choses,quoi !
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Messagepar fernando » 25 Juin 2013, 12:34

Clément Méric : ce que disent les caméras de surveillance

Le Monde.fr avec AFP | 25.06.2013 à 10h00 • Mis à jour le 25.06.2013 à 10h52

Une caméra de surveillance de la RATP a enregistré la rixe à l'issue de laquelle Clément Méric, un militant d'extrême gauche, a été mortellement blessé, le 5 juin, rapporte RTL. Elle précise les témoignages et surtout accrédite la thèse de l'homicide involontaire.

Selon la radio, la police judiciaire et les experts de la police scientifique disposent d'images filmées par une caméra de surveillance située côté rue, au niveau de la station de métro Havre-Caumartin.

CLÉMENT MÉRIC ATTAQUE, ESTEBAN M. LE FRAPPE

Elles montrent Clément Méric se ruer sur Esteban M., un skinhead de 20 ans, qui lui tourne le dos, afin de le frapper. Le skinhead se retourne et lui assène un coup de poing au visage.

La séquence ne permet pas de dire de façon explicite si Esteban M. donne un deuxième coup ni s'il a un poing américain. Mais elle confirme que Clément Méric s'effondre, inconscient, et n'est pas frappé au sol. Ni l'enquête ni l'autopsie n'ont permis de confirmer l'utilisation d'un coup de poing américain par Esteban M., qui soutient "avoir frappé à mains nues" et donné "deux coups".

Esteban M. a été inculpé pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Le juge d'instruction n'a pas retenu l'homicide volontaire, qualification qui avait été choisie par le parquet dans l'ouverture de l'information judiciaire. Esteban M. a été placé en détention provisoire.

La police judiciaire a écarté la thèse du guet-apens, la présence des deux groupes impliqués à une "vente privée de vêtements de marque anglaise" dans le quartier Saint-Lazare, à Paris, semblant "totalement fortuite".
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Messagepar krouw2 » 25 Juin 2013, 16:33

tout est fait pour que Manuel Valse
Hollande 2027
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Messagepar stikky » 25 Juin 2013, 18:27

nan tout est fait pour que manuel Valls devienne président
I know I ain't doing much, Doing nothing means a lot to me
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Messagepar Dageek » 25 Juin 2013, 19:45

stikky a écrit:nan tout est fait pour que Marine le Pen devienne président


+1 pr l instant c'est b1 parti
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Messagepar fernando » 26 Juin 2013, 13:58

Lui aussi il est à gerber, pire que le transfert de Payet à l'OM


Jérôme Cahuzac : "Je suis le bouc émissaire idéal"

Le Monde.fr avec AFP | 26.06.2013 à 10h39 • Mis à jour le 26.06.2013 à 13h27

L'ex-ministre du budget Jérôme Cahuzac a répondu mercredi 26 juin aux questions d'Europe 1, alors qu'il doit être entendu dans la journée par la commission d'enquête parlementaire qui doit faire la lumière sur le fonctionnement de l'Etat dans l'affaire concernant son compte bancaire à l'étranger.

"Ils m'ont tous jugé par avance, même certains qui se disaient mes amis", a regretté M. Cahuzac, avant d'affirmer qu'il "répondrait à toutes les questions des députés" et qu'il s'agissait pour lui "de les aider à savoir s'il y a eu des dysfonctionnements au niveau de l'Etat". L'ancien ministre a également assuré qu'il "ne sortirait pas du cadre" de l'objet de la commission d'enquête. "Pour moi, l'Assemblée n'est plus une tribune, je ne suis plus un élu de la République", a-t-il dit.

"Je suis le bouc émissaire idéal de toutes les turpitudes politiques", a-t-il également lancé, dénonçant la responsabilité qui lui est attribuée dans la défaite du candidat socialiste à l'élection législative de Villeneuve-sur-Lot ou la montée du FN. "J'ai le sentiment d'avoir été dans ma carrière politique toujours irréprochable", a-t-il ajouté.

L'ex-ministre du budget a également démenti avoir signé un contrat avec un éditeur pour son futur livre : "Il y a eu des contacts, mais je n'ai signé avec personne", a-t-il affirmé, avant de répéter ne pas être intervenu sur la campagne de Villeneuve-sur-Lot, pointant des "fantasmes de journalistes". Il explique également ne pas avoir "d'ambition pour la mairie" de la ville dont il était député.

À LA RECHERCHE DES DYSFONCTIONNEMENTS

Son audition survient au lendemain du vote en première lecture à l'Assemblée des projets de loi sur la transparence de la vie politique, présentés par le gouvernement pour réagir au scandale Cahuzac.

Il sera interrogé, sous serment, à partir de 16 h 30 sur d'éventuelles protections dont il aurait pu faire l'objet entre la révélation par Mediapart, le 4 décembre dernier, qu'il possédait un compte à l'étranger et ses aveux, le 2 avril.

Présidée par l'UDI Charles de Courson, cette commission d'une trentaine de députés a ciblé ses investigations sur l'action du gouvernement pendant que M. Cahuzac, alors encore à Bercy, niait en bloc les révélations l'accablant, même auprès de ses conseillers les plus proches. Elle peut, comme toute commission d'enquête parlementaire en France, mettre au jour des informations et saisir la justice, un cas néanmoins assez rare.

Jérôme Cahuzac à l'Assemblée, le 5 décembre. Alors ministre, il faisait face au feu des questions au lendemain des révélations de Mediapart sur son compte à l'étranger.

"Notre mission est de savoir s'il y a eu entre le 5 décembre et le départ de Jérôme Cahuzac [du gouvernement, le 19 mars], dans le cheminement de l'Etat, des dysfonctionnements ou non et savoir si telle ou telle décision aurait entravé le travail de la justice", a expliqué le rapporteur de la commission, le socialiste Alain Claeys.

La commission cherche notamment à savoir si l'enquête administrative qui visait M. Cahuzac a été menée avec suffisamment de diligence par la direction générale des finances publiques, et sans complaisance, étant donné la gravité des accusations de Mediapart.

"JE N'AI PAS DIT LA VÉRITÉ"

Le président UMP de la commission des finances de l'Assemblée nationale, Gilles Carrez, a affirmé mercredi "ne pas voir sur quoi de concret débouchera" la commission d'enquête parlementaire. "Je lui dirai, a poursuivi celui qui avait succédé à M. Cahuzac à la présidence de la commission des finances, Jérôme, courage, dis les choses, tu as fait une erreur considérable, mais dis les choses."

Lors de sa seule longue intervention publique sur cette affaire, le 16 avril sur BFM-TV, M. Cahuzac ne s'était pas étendu sur la possibilité que son ministre de tutelle Pierre Moscovici, Matignon ou l'Elysée aient pu savoir que Mediapart disait vrai. A propos du président François Hollande, il s'était borné à dire: "J'ignore quel était son niveau de connaissance de cette affaire. Ce que je veux dire, c'est que, à lui, comme au premier ministre, comme à Pierre Moscovici, je n'ai pas dit la vérité."

La commission a déjà auditionné depuis le 21 mai plusieurs hauts fonctionnaires de Bercy, les directeurs de cabinet de Jérôme Cahuzac et du ministre de l'économie Pierre Moscovici, mais aussi Fabrice Arfi, le journaliste qui a révélé l'histoire, et le directeur de Mediapart, Edwy Plenel.

RAPPORT ATTENDU EN SEPTEMBRE

Parallèlement, plusieurs acteurs locaux ont été entendus, notamment Michel Gonelle, battu par Jérôme Cahuzac aux municipales de Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne) en 2001, mais aussi l'ancien juge antiterroriste Jean-Louis Bruguière, candidat malheureux contre M. Cahuzac aux législatives de 2007.

Tous deux ont été en possession de l'enregistrement qui a constitué la pièce accusatrice centrale du dossier et dans lequel on entend une voix attribuée à M. Cahuzac évoquer un compte secret à l'UBS, "pas la plus planquée des banques". M. Gonelle doit être à nouveau entendu au début de juillet, après avoir été contredit par d'autres témoins.

Pierre Moscovici ainsi que les ministres de la justice, Christiane Taubira, et de l'intérieur, Manuel Valls, devraient être auditionnés "après le 14 juillet", a assuré M. Claeys, en précisant que les dates n'étaient pas encore calées. La commission doit rendre son rapport en septembre.
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Messagepar fernando » 26 Juin 2013, 13:59

C'est toujours ça de pris pour Marine.

Karachi : M. Takieddine reconnaît avoir financé la campagne de M. Balladur

Le Monde.fr | 26.06.2013 à 09h38 • Mis à jour le 26.06.2013 à 12h54 | Par Gérard Davet et Fabrice Lhomme

L'homme d'affaires, soumis en France à un strict contrôle judiciaire lui interdisant de quitter le pays, aurait tenté de se procurer un passeport diplomatique de République dominicaine.

Ainsi donc, après des années de dénégations et de déclarations incohérentes, Ziad Takieddine a craqué. L'homme d'affaires au cœur du volet financier de l'affaire de Karachi a livré, jeudi 20 juin, les aveux que les juges Renaud Van Ruymbeke et Roger Le Loire n'espéraient plus.

L'intermédiaire d'origine libanaise a enfin admis ce que les investigations judiciaires – et journalistiques – avaient rendu évident, à savoir qu'il avait bien œuvré au financement occulte de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995, via des rétrocommissions issues des juteux contrats d'armement avec l'Arabie saoudite et le Pakistan, dans lesquels le gouvernement du même Balladur lui avait concédé le rôle d'intermédiaire.

Placé en détention provisoire depuis le 31 mai pour avoir tenté de se procurer un "vrai-faux" passeport dominicain, sans doute destiné à lui permettre de s'enfuir, M. Takieddine, lâché par ses anciens amis balladuriens et sarkozystes, ne supporte pas son incarcération, ce qui explique sans doute son changement d'attitude.

DES VALISES D'ESPÈCES

Alors, dans le cabinet de M. Van Ruymbeke, M. Takieddine a raconté dans quelles circonstances il avait rencontré, fin 1993, Thierry Gaubert, ex-collaborateur de Nicolas Sarkozy à la mairie de Neuilly puis au ministère du budget (entre 1994 et 1995), qui lui avait été présenté par Nicolas Bazire, à la fois directeur du cabinet du premier ministre Edouard Balladur et directeur de sa campagne présidentielle.

Selon M. Takieddine, M. Bazire l'aurait appelé en décembre 1993 pour l'informer qu'il allait être contacté par M. Gaubert, qu'il avait mandaté. Il s'agissait de préparer la visite de M. Balladur en Arabie saoudite, avec l'espoir de décrocher un contrat de vente de frégates, dit Sawari II, susceptibles de rapporter beaucoup d'argent à l'Etat français.

M. Gaubert présente à M. Takieddine son épouse, la princesse Hélène de Yougoslavie, son ami Philippe Smadja (qui sera mis en cause, comme M. Gaubert, dans l'affaire du "1 % logement"), un proche de M. Sarkozy, Dominique Desseigne, l'associé de M. Gaubert en Colombie, Jean-Philippe Couzi ou encore Pierre-Mathieu Duhamel, futur directeur général des douanes françaises. C'est à cette date que l'épouse de l'intermédiaire, Nicola Johnson, sympathise avec Mme Gaubert. Les deux femmes, depuis, ont rompu avec leurs maris et les ont dénoncés aux juges.

Las, le voyage de M. Balladur à Riyad en janvier 1994 se révèle être un échec. Mandaté par les autorités françaises pour débloquer la situation, avec son associé Abdul Rahman El-Assir, M. Takieddine dit ne plus avoir eu de nouvelles de M. Bazire jusqu'à la signature du contrat Sawari II, le 24 novembre 1994. C'est juste après cette date que M. Bazire l'aurait recontacté pour lui dire que M. Gaubert avait un message à lui faire porter. Ce message est simple : Gaubert réclame 1,5 million de francs, afin de financer la campagne de M. Balladur. M. Takieddine accepte à condition qu'il les lui remette en cash à Genève, où M. Gaubert détenait lui-même des avoirs.

A Genève, les deux hommes retrouvent M. El-Assir qui avait préparé l'argent, en coupures de 500 francs, glissées dans une mallette remise à M. Gaubert. Selon M. Takieddine, cette remise de fonds s'apparentait à un "retour d'ascenseur" logique, le contrat Sawari II lui ayant rapporté une fortune. Dix jours plus tard, M. Gaubert vient trouver M. Takieddine pour lui demander "la même somme". Après s'être assuré que M. Bazire était informé de cette nouvelle demande, M. Takieddine procède de la même manière : il prend rendez-vous à Genève avec MM. El-Assir et Gaubert, le second repartant avec une valise d'espèces d'1,5 million de francs.

D'après l'homme d'affaires, il y aura une troisième visite de M. Gaubert, qui va réclamer cette fois 3 millions de francs. "On doit boucler les comptes, il nous manque 3 millions et quelque", lui aurait dit M. Gaubert. Jugeant la demande excessive, M. Takieddine se rend dans le bureau de M. Bazire pour avoir confirmation. "M. Bazire m'a dit qu'effectivement, ce que m'a demandé Gaubert est vrai car ils avaient besoin de cet argent, mais que c'était la dernière fois." Une nouvelle fois donc, via M. El-Assir, M. Takieddine va remettre une valise d'espèces à M. Gaubert.

DES SONDAGES PAYÉS PAR LES VENTES D'ARMES

Les révélations de M. Takieddine confortent les découvertes des juges sur les déplacements à Genève de MM. Gaubert et Takieddine, les retraits d'espèces suspects détectés à cette période, ou encore le témoignage de Hélène Gaubert, qui déclarait au Monde, le 26 septembre 2011, à propos de son mari : "Il m'a dit un jour qu'il allait chercher ces espèces en Suisse pour les remettre à Nicolas Bazire."

M. Takieddine a également mis en cause François Léotard, ministre de la défense entre 1993 et 1995 et son conseiller Renaud Donnedieu de Vabres. Les deux hommes avaient imposé le duo Takieddine-El-Assir dans les contrats d'armement. "M. Donnedieu de Vabres représentait M. Léotard", a déclaré M. Takieddine qui a révélé qu'après l'élection de 1995, M. Donnedieu de Vabres lui avait demandé de l'aider à payer le loyer de son appartement parisien : "Je lui ai payé en cash allant jusqu'à des sommes entre 15 000 et 20 000 francs à chaque fois", a-t-il dit. L'intermédiaire assure avoir également "financé" une partie de l'installation de M. Donnedieu de Vabres à Tours, ainsi que sa campagne législative, en 1997. Au total, il estime lui avoir remis "un maximum de 250 000 francs" en liquide.

M. Takieddine a par ailleurs confirmé que le politologue américain Paul Manafort avait effectué des sondages au profit du camp Balladur, via M. El-Assir, donc payés par les ventes d'armes. "M. Manafort, a-t-il ajouté, ne m'a pas précisé [que cette étude] avait été payée par M. El-Assir mais je l'ai supposé", révélant à ce sujet l'existence de "contacts directs" entre MM. Bazire et El-Assir. Interrogé par Le Monde, Me François Esclatine, avocat de M. Gaubert, a déclaré : "Mon client conteste et s'expliquera devant le juge". Me Frédéric Landon, l'avocat de M. Bazire, de son côté, a assuré que son client "conteste formellement ces allégations".

Quant au défenseur de M. Takieddine, Me Francis Vuillemin, tout en dénonçant une "détention-pression", il reconnaît que ce que son client a dit est "énorme". M. Takieddine sera prochainement confronté à MM. Gaubert et Bazire.
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Messagepar Dageek » 26 Juin 2013, 14:03

Pour Cahuzac, meme si son attitude est a la limite de l autisme, je suis convaincu qu il prend un peu pour les autres. Faut que les noms qui sont soient disant connus sortent
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Messagepar fernando » 26 Juin 2013, 14:08

Il blase d'être le seul à s'être fait prendre, mais faudrait comme même qu'il réalise un jour qu'il est un gros FDP et qu'il devrait faire un peu profil bas.
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Messagepar Dageek » 26 Juin 2013, 14:36

Le patron, le vrai, c est Pasqua.
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Messagepar krouw2 » 26 Juin 2013, 18:05

oné en vahi

Etats-Unis: la Cour suprême donne son feu vert au mariage gay
26 juin 2013 à 15:41 (Mis à jour: 17:04)


L'instance supérieure de la justice américaine a invalidé mercredi la loi sur le mariage qui le définit comme l'union entre un homme et une femme.
Par LIBERATION (avec AFP)

La Cour suprême des Etats-Unis a invalidé mercredi la loi de défense du mariage qui le définit comme l’union entre un homme et une femme. La loi qui date de 1976 est «anticonstitutionnelle car elle est une privation de l’accès à la liberté des personnes qui est protégé par le 5e amendement», a tranché la haute Cour, se rangeant ainsi à l’avis du gouvernement Obama. Cette décision permet aux couples gays légalement mariés dans 12 Etats sur 50 et dans la capitale Washington, d’avoir accès aux mêmes avantages fédéraux que les couples hétérosexuels.

La décision a été lue par le juge Anthony Kennedy, nommé par un président républicain qui vote ici avec les quatre juges progressistes. Le président de la haute Cour John Roberts et ses trois autres collègues conservateurs ont voté contre. Le président américain a salué la décision sur son compte Twitter avec un mot-dièse enjoué #LoveIsLove

Un second arrêt de la même Cour Suprême a estimé mercredi qu’une plainte de militants contre le mariage gay en Californie n’était pas recevable, le rendant de nouveau possible dans cet Etat de la côte ouest.
Enjeu important

Peu avant que ne tombe le verdict, des dizaines de manifestants et de journalistes étaient déjà massés sur le parvis de marbre du temple de la justice sous un soleil brûlant. «Il est temps», «Je suis né ainsi», «Egalité», «J’exige les droits pour lequel mon père s’est battu», proclamaient quelques pancartes brandies par des militants homosexuels.

Le président de la haute Cour, John Roberts, avait annoncé la veille que mercredi serait le dernier jour de la session avant la pause estivale. Parmi les dizaines de décisions sur les affaires entendues à l’automne et en hiver, seules trois n’avaient pas encore été rendues, les plus attendues étant les deux concernant le mariage homosexuel : «Windsor vs. United States» et «Hollingworth vs. Perry».

L’enjeu de cette double décision était de taille : dans un pays où le mariage gay reste interdit ou impossible dans 38 Etats sur 50, la plus haute instance était susceptible de le légaliser à l’échelle du pays tout entier, ou plus humblement, de renforcer le choix des Etats l'ayant déjà légalisé.
«Barrière significative»

La Cour suprême devait donc se positionner sur deux recours, en décidant si le principe d’égalité défendu par la Constitution était violé. D’un côté, des homosexuels légalement mariés réclament les mêmes droits que les autres couples mariés. De l’autre, des couples de même sexe bénéficiant des mêmes avantages que les hétérosexuels mariés demandent pourquoi on leur interdit le mariage.

Dans le premier cas, une veuve homosexuelle de New York, Edith Windsor, soutenue par l’administration Obama, réclamait que la loi fédérale de défense du mariage, dite DOMA, soit invalidée, car discriminatoire dans les douze Etats et dans la capitale où l’union des couples de même sexe est autorisée. Elle a obtenu gain de cause et la Cour suprême a donc invalidé la DOMA.

Dans le second cas, c’est l’interdiction du mariage homosexuel en Californie, ou «proposition 8», qu’un groupe de militants anti-gay avait demandé de confirmer. En refusant de se prononcer sur ce cas précis, la Cour suprême semble ouvrir de nouveau la possibilité du mariage homosexuel dans cet Etat, selon les premiers éléments d'anlayses du New York Times.

A l’audience, les 26 et 27 mars, la haute Cour avait déja bien semblé prête à abroger la DOMA, qui définit le mariage comme l’union entre un homme et une femme. Mais elle avait semblé réticente à légaliser le mariage gay en Californie, dans les huit autres Etats où les homosexuels sont dans une situation identique et peuvent se lier par un pacte civil, et a fortiori dans tout le pays.
Hollande 2027
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Messagepar fernando » 27 Juin 2013, 09:10

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Messagepar GilbertSedman » 27 Juin 2013, 10:23

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Messagepar GilbertSedman » 28 Juin 2013, 10:05

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Messagepar SAV » 28 Juin 2013, 21:09

Arretsurimages.net
LE MONDE : LES JOURNALISTES REFUSENT UNE RÉDUCTION DES CONGÉS

Par David Medioni le 28/06/2013
"Pas touche à nos congés". C'est en substance le message envoyé à la direction par 95 % des salariés du Monde lors d'un scrutin interne, vendredi 28 juin. Son objet : contester le projet de réduction du nombre de jours de congés présenté par les dirigeants du groupe comme une "harmonisation des statuts des rédactions du Monde". Ambiance électrique.
"Une claque", "un raz-de-marée", ce sont les deux expressions qui reviennent lorsque l'on interroge les journalistes du Monde ou du Monde.fr au sujet du résultat d'un vote inédit au sein de la rédaction, vendredi 28 juin. Le scrutin portait sur l'un des projets de la direction du groupe qui a pour objet d'"harmoniser les statuts des rédactions" du Monde. Et dans cette harmonisation, il est prévu une discussion sur le nombre de jours de congés des salariés de la SEM (Société éditrice du Monde) et de ceux du MIA (Monde Interactif). Actuellement, les premiers en ont 66 (RTT comprises) et les seconds en ont 58 . Mais pourquoi donc les syndicats du Monde ont-ils décidé d'organiser ce vote où il était demandé aux salariés de la SEM de répondre à la question suivante : "Approuvez-vous le projet de la direction de nous supprimer 16 jours de congés" ? et pour ceux du MIA à la même question mais avec "8 jours de congés ". Le résultat a été sans appel : avec une forte participation (65,8%), 95 % des salariés ont dit non au projet.
Ce résultat a été annoncé sur twitter, vendredi après-midi, par un tweet de Sylvia Zappi, journaliste au Monde, et déléguée CFDT.

Mais pour comprendre ce vote, il faut remonter au début de semaine. Lundi, les organisations syndicales et la direction sont en train de discuter du projet d'accord "qualité de vie au travail". Plusieurs sujets sont à l'ordre du jour, et notamment l'harmonisation des statuts entre journalistes du print et journalistes du web. C'est un vieux sujet au sein du journal. Les salariés du web sont moins payés et ont moins de jours de vacances que ceux du "print". La direction propose ce jour là de diminuer les jours de vacances. Les représentants syndicaux quittent la table, organisent une Assemblée générale mardi au cours de laquelle ils reçoivent le soutien des salariés. Dans la foulée, est prise la décision d'organiser le scrutin de ce vendredi.
"CES VACANCES SONT UNE PARTIE DE NOTRE SALAIRE"
"Les salariés du papier sont aux 35 heures. Mais quand l'accord a été signé en 1999, des jours de vacances ont été attribués en plus pour que la rédaction ne soit pas désorganisée", décrypte une journaliste. Elle poursuit : "les salariés du web, eux, ont un "forfait jour" de 203 jours qui doivent être travaillés chaque année". "La proposition de la direction est étonnante car elle est faite sans contrepartie salariale alors que l'accord 35 heures prévoyait notamment un gel des augmentations indicielles. Ces vacances sont une partie de notre salaire". "Pis, tout cela s'est fait un peu à la va vite", détaille un autre journaliste. Ainsi, les salariés de la SEM ont 66 jours de congés et passeraient à 50 si le projet était adopté, ceux du MIA passeraient de 58 à 50 jours.
Un document interne avait été envoyé aux salariés pour expliquer un peu la démarche. Il est signé de Louis Dreyfus, le PDG du groupe le Monde et de Natalie Nougayrède, la directrice des rédactions. Il est lisible ici. En substance, la direction justifie cette demande de modification des jours de congés par la nécessaire "mise en place d’une organisation bi-média", et par le fait que la situation économique ne permet pas de mettre en place une nouvelle organisation par "recours à l'augmentation des effectifs".
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar krouw2 » 01 Juil 2013, 00:01

Aujourd'hui on aurait voté à l' Ump pour savoir s'il fallait revoter.Coppé aurait gagné selon la COCOE, Apparemment, Copé aurait démenti le fait que Fillon aie demandé à revoter sur la possibilité de revoter l'élection dont le vote avait été dementi. On attends un démenti de Fillon
Hollande 2027
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Messagepar krouw2 » 01 Juil 2013, 14:17

Obama doit flipper, forte amplitude

Espionnage : Hollande demande que « cela cesse immédiatement »
La France « ne peut pas accepter ce type de comportement », a déclaré François Hollande ce lundi à propos des soupçons d'espionnage des intérêts français et de l'UE par les États-Unis. Le président assure qu'il demandera « des explications ».

Quand les Etats-Unis espionnent l’Union européenne L’Amérique nous espionne? Réjouissons-nous! Tollé en France sur l'espionnage supposé de l'UE par Washington L'Allemagne serait la principale cible de la NSA en Europe Vive réaction de Martin Schulz aux informations sur la NSA Espionnage : Hollande demande que « cela cesse immédiatement »

François Hollande a affirmé lundi à propos des soupçons d'espionnage américain visant l'UE que la France ne pouvait « pas accepter ce type de comportement » et il a demandé que « cela cesse immédiatement ». « Nous ne pouvons pas accepter ce type de comportement entre partenaires et alliés », a déclaré François Hollande en marge d'une visite à Lorient. « Nous demandons que cela cesse immédiatement », a-t-il ajouté, jugeant également que « les éléments sont déjà suffisamment réunis pour que nous demandions des explications ».
Suspension des négociations sur le traité de libre-échange ?

« On ne peut avoir de négociations ou de transactions sur tous domaines qu'une fois obtenues ces garanties, pour la France mais ça vaut pour toute l'Union européenne, tous les partenaires des Etats-Unis », a-t-il ajouté, dans une allusion à la négociation en cours d'une zone de libre-échange transatlantique. « Nous savons bien qu'il y a des systèmes qui doivent contrôler, notamment pour la lutte contre le terrorisme mais je ne pense pas que ce soit dans nos ambassades ou dans l'Union européenne que ce risque existe ».
François Hollande a précisé avoir demandé à Laurent Fabius, chef de la diplomatie française, « de se mettre immédiatement en contact avec son homologue (américain, ndlr) John Kerry pour avoir toutes les explications et toutes les informations ». « De la même manière il y aura une rencontre entre le ministre des Affaires étrangères et l'ambassadeur des Etats-Unis pour faire valoir et faire savoir que nous ne pouvons pas accepter ce type de comportements entre partenaires et alliés ».
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Messagepar SAV » 01 Juil 2013, 14:49

krouw2 a écrit:Obama doit flipper, forte amplitude

Ben il a raison, s'il ne le faisait pas on lui reprocherait aussi.
Brigitte Macron 2027.
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Messagepar fernando » 01 Juil 2013, 15:44

Ca fait froid dans le dos...

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"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
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Messagepar krouw2 » 01 Juil 2013, 15:49

manque 300 000 chomistes Croates
Hollande 2027
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Messagepar boban » 01 Juil 2013, 17:46

fernando a écrit:Ca fait froid dans le dos...

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et le % de wesh wesh ou de "Djezon" désœuvrés dans ces 25 %??? genre:

"ouais cherche du boulot t'as vu , j'ai déposé mon CV à Manpower, j’attends qu'on m'appelle... " ( peut se faire aussi en cht'i)
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Messagepar rhazelle » 01 Juil 2013, 18:55

loul boban.
Ce % dont tu parles doit pas être si élevé que ça..enfin j'espère.
Et la photo de ta collection de godes que John Holmes a posté l'autre jour , ça vient du Journal de Mickey ?
rhazelle
 
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Messagepar bitadmin » 02 Juil 2013, 19:00

La prochaine fois, Delphine Batho réfléchira peut-être à deux fois avant de critiquer le budget de son propre gouvernement. La ministre de l'Ecologie qui a jugé "mauvais" le budget préparé pour 2014, ce matin sur RTL, a été remerciée par le président de la République François Hollande, mardi 2 juillet.
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