Un topic romophobe sur l'autre passion.losc ?
par fernando » 08 Août 2013, 12:17
Villeneuve-d'Ascq : incarcérés après une rixe avec des policiers
Lundi vers 14 h 30, on signale à la police qu’une BMW a tenté de défoncer la grille entourant un édifice des Eaux du Nord, à la limite de Lezennes et Villeneuve-d’Ascq. Les policiers se précipitent et aperçoivent la BMW suspecte entrer dans le camp de Roms tout proche. Les enquêteurs tentent de contrôler la voiture et ses occupants, qui ont disparu. Un jeune homme de 17 ans tend les papiers de l’engin, une première bousculade intervient quand les policiers tentent de l’interpeller.
Rapidement, d’autres ressortissants roumains arrivent. Les policiers utilisent des bombes lacrymogènes, qui ne fonctionnent pas. Des coups sont échangés, les protestataires se munissent d’une barre de fer et de bâtons.
Trois policiers blessés
Résultat : hier, en comparution immédiate, en présence d’une assistance nombreuse et un peu sous tension, Valentin Lacatus, 27 ans, et Florin Matei, 48 ans, apparaissent dans le box. Trois policiers ont été blessés, dont deux assez sévèrement. Un des deux prévenus arbore un visage boursouflé par les coups. Cela dit, côté coups, deux petits films tournés à partir d’un appareil présent dans la voiture de police attestent des réactions violentes. D’ailleurs, le duo ne conteste pas vraiment. « J’ai frappé avec un bâton, mais sans vouloir faire mal », relativise un des deux. « J’ai frappé, mais je ne crois pas avoir touché quelqu’un », déclare l’autre.
La procureure Valérie Lecrohart réclame 10 mois de prison ferme. Me Florent Fache tente de leur éviter la prison, en vain. Jugement : 6 mois de prison et mandat de dépôt pour chacun des deux.
Lundi vers 14 h 30, on signale à la police qu’une BMW a tenté de défoncer la grille entourant un édifice des Eaux du Nord, à la limite de Lezennes et Villeneuve-d’Ascq. Les policiers se précipitent et aperçoivent la BMW suspecte entrer dans le camp de Roms tout proche. Les enquêteurs tentent de contrôler la voiture et ses occupants, qui ont disparu. Un jeune homme de 17 ans tend les papiers de l’engin, une première bousculade intervient quand les policiers tentent de l’interpeller.
Rapidement, d’autres ressortissants roumains arrivent. Les policiers utilisent des bombes lacrymogènes, qui ne fonctionnent pas. Des coups sont échangés, les protestataires se munissent d’une barre de fer et de bâtons.
Trois policiers blessés
Résultat : hier, en comparution immédiate, en présence d’une assistance nombreuse et un peu sous tension, Valentin Lacatus, 27 ans, et Florin Matei, 48 ans, apparaissent dans le box. Trois policiers ont été blessés, dont deux assez sévèrement. Un des deux prévenus arbore un visage boursouflé par les coups. Cela dit, côté coups, deux petits films tournés à partir d’un appareil présent dans la voiture de police attestent des réactions violentes. D’ailleurs, le duo ne conteste pas vraiment. « J’ai frappé avec un bâton, mais sans vouloir faire mal », relativise un des deux. « J’ai frappé, mais je ne crois pas avoir touché quelqu’un », déclare l’autre.
La procureure Valérie Lecrohart réclame 10 mois de prison ferme. Me Florent Fache tente de leur éviter la prison, en vain. Jugement : 6 mois de prison et mandat de dépôt pour chacun des deux.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par krouw2 » 13 Août 2013, 14:02
Faut pas faire chier BAT
Villeneuve d'Ascq : la polémique enfle à nouveau après l'agression d'un Rom
Un homme d'origine bulgare a été violemment agressé par des riverains dans la nuit de samedi à dimanche à Villeneuve d'Ascq, soupçonné d'avoir commis un cambriolage peu de temps auparavant. La tension est de plus en plus vive entre Roms et habitants de la commune. Reportage.
Les circonstances de l'agression restent encore très floues. Dans la nuit de samedi à dimanche (10 au 11 août), un Bulgare a été roué de coups dans le quartier de la Cousinerie à Villeneuve d'Ascq. Selon des témoins, une dizaine d'hommes, peut-être, s'en sont pris à cet homme, auteur présumé d'un cambriolage peu de temps auparavant.
Personne n'a pour l'instant été interpellé et la victime de ces coups n'a encore pu être entendue pour l'instant, en raison de son état de santé. Il est hospitalisé, sérieusement blessé.
Le Bulgare aurait cambriolé le domicile d'une femme qui l'a surpris et provoqué sa fuite. Cette dernière n'a pas appelé la police, et il semblerait que les habitants du quartier aient souhaité se faire justice eux-même...
Il y a plusieurs semaines, les riverains de la Cousinerie à Villeneuve d'Ascq placardaient des photos de cambrioleurs présumés dans le quartier... La tension avec les membres du camp de Roms voisin est à son comble.
Villeneuve d'Ascq : la polémique enfle à nouveau après l'agression d'un Rom
Un homme d'origine bulgare a été violemment agressé par des riverains dans la nuit de samedi à dimanche à Villeneuve d'Ascq, soupçonné d'avoir commis un cambriolage peu de temps auparavant. La tension est de plus en plus vive entre Roms et habitants de la commune. Reportage.
Les circonstances de l'agression restent encore très floues. Dans la nuit de samedi à dimanche (10 au 11 août), un Bulgare a été roué de coups dans le quartier de la Cousinerie à Villeneuve d'Ascq. Selon des témoins, une dizaine d'hommes, peut-être, s'en sont pris à cet homme, auteur présumé d'un cambriolage peu de temps auparavant.
Personne n'a pour l'instant été interpellé et la victime de ces coups n'a encore pu être entendue pour l'instant, en raison de son état de santé. Il est hospitalisé, sérieusement blessé.
Le Bulgare aurait cambriolé le domicile d'une femme qui l'a surpris et provoqué sa fuite. Cette dernière n'a pas appelé la police, et il semblerait que les habitants du quartier aient souhaité se faire justice eux-même...
Il y a plusieurs semaines, les riverains de la Cousinerie à Villeneuve d'Ascq placardaient des photos de cambrioleurs présumés dans le quartier... La tension avec les membres du camp de Roms voisin est à son comble.
Hollande 2027
par fernando » 13 Août 2013, 14:34
krouw2 a écrit:Il y a plusieurs semaines, les riverains de la Cousinerie à Villeneuve d'Ascq placardaient des photos de cambrioleurs présumés dans le quartier... La tension avec les membres du camp de Roms voisin est à son comble.
C'était au Triolo, pas à la Kouz. VA a eu droit à une pleine page dans le monde avec cette histoire.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par King Kong » 13 Août 2013, 21:10
"Je pars avec le sentiment d'avoir bien fait mon travail" françois rebsamen
par fernando » 14 Août 2013, 00:46
Merci Mike, mais t'aurais pu mettre directement le lien vers le site de la VDN et pas vers wasp-info.com.
Ouch sinon.
Les rues du quartier (de Marquillies, du Faubourg-d’Arras) sont jonchées de détritus. Des vêtements, souillés d’excréments, atterrissent dans les jardins. Nous ne pouvons plus accepter l’étalement des délais. Que doit-on faire ? Nous avons toujours prôné une démarche conciliante et raisonnable. Nous sommes désormais prêts à aller camper devant l’hôtel de ville, à manifester pour nous faire entendre.
Ouch sinon.
"L'alcool tue lentement. On s'en fout, on a le temps."
par Midas » 16 Août 2013, 19:35
Vaulx-en-Velin : vives tensions autour du camp de Roms incendié
VIDÉO - Le maire réclame au plus vite son démantèlement alors que des habitants excédés ont appelé vendredi à manifester.
«De nombreux Roms ont regagné le camp dans des conditions pire encore», regrettait-on vendredi à la mairie de Vaulx-en-Velin, au lendemain de l'incendie ayant détruit quelque 150 des cabanons en bois où subsistaient jusque-là près de 350 Roms.
Une décision de justice avait pourtant ordonné - avant la fin du mois de juin - le démantèlement de leur campement de fortune illégal, établi sur un terrain en friche de 5000 m2 appartenant au Sytral (le syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise). Après le sinistre qui a légèrement blessé quatre personnes, dont un policier et un pompier, l'édile de la ville, Bernard Genin, réclame son exécution au plus vite à la préfecture de région. Car les tensions sont vives. Entre des communautés roms antagonistes à l'intérieur du camp. Et avec des habitants du quartier, exaspérés par les nuisances, à l'extérieur.
Peu avant le départ de feu, vers 13 heures, une bagarre a ainsi éclaté dans le camp. Si le maire évoque des armes blanches, une source policière indique que «plusieurs individus auraient frappé avec des bouteilles deux femmes, âgés de 56 et 29 ans, ainsi qu'un jeune homme, âgé de 22 ans, les blessant légèrement».
«Ce qui nous gêne le plus, nous, c'est la saleté, l'hygiène inexistante, explique quant à lui un habitant excédé qui réside en face du camp. Il y a des déchets partout et certains font leurs besoins un peu n'importe où dans la rue, c'est dégoûtant.» Plusieurs associations riveraines, dénonçant «le laxisme des pouvoirs publics», ont d'ailleurs appelé vendredi à des manifestations « tous les mardis » pour le démantèlement du camp, fixant le prochain rendez-vous au 20 août à 17 heures.
Aucune solution d'hébergement
Le maire de Vaulx-en-Velin espère que la préfecture aura fait le nécessaire d'ici là. Dans un courrier prémonitoire adressé mercredi au préfet de Région Rhône-Alpes, Jean-François Carenco, il avait «alerté sur la situation de plus en plus dégradée» aux abords de cet immense campement «dont la population est en constante augmentation».
Selon une militante associative, les Roms qui ont vu leur abri détruit sont désormais à la rue, sans qu'aucune solution d'hébergement leur soit proposée. «Ils ont dormi là où ils pouvaient, certains ont erré toute la nuit», a déclaré Annie Dureux, une paroissienne catholique, également militante de Réseau éducation sans frontière (Resf) et du Secours populaire. A leurs côtés dès jeudi soir, elle a déploré n'avoir reçu aucune aide de nulle part . «Nous avons cherché des hébergements pour les familles qui avaient des bébés de moins d'un an, dont un nouveau-né de 3 jours, pour finalement les caser dans des salles sans autorisation», a-t-elle raconté.
Vendredi après-midi, un autre incendie s'est déclaré pour une raison encore inconnue dans un campement de Roms d'une trentaine de baraquements à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis.
VIDÉO - Le maire réclame au plus vite son démantèlement alors que des habitants excédés ont appelé vendredi à manifester.
«De nombreux Roms ont regagné le camp dans des conditions pire encore», regrettait-on vendredi à la mairie de Vaulx-en-Velin, au lendemain de l'incendie ayant détruit quelque 150 des cabanons en bois où subsistaient jusque-là près de 350 Roms.
Une décision de justice avait pourtant ordonné - avant la fin du mois de juin - le démantèlement de leur campement de fortune illégal, établi sur un terrain en friche de 5000 m2 appartenant au Sytral (le syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise). Après le sinistre qui a légèrement blessé quatre personnes, dont un policier et un pompier, l'édile de la ville, Bernard Genin, réclame son exécution au plus vite à la préfecture de région. Car les tensions sont vives. Entre des communautés roms antagonistes à l'intérieur du camp. Et avec des habitants du quartier, exaspérés par les nuisances, à l'extérieur.
Peu avant le départ de feu, vers 13 heures, une bagarre a ainsi éclaté dans le camp. Si le maire évoque des armes blanches, une source policière indique que «plusieurs individus auraient frappé avec des bouteilles deux femmes, âgés de 56 et 29 ans, ainsi qu'un jeune homme, âgé de 22 ans, les blessant légèrement».
«Ce qui nous gêne le plus, nous, c'est la saleté, l'hygiène inexistante, explique quant à lui un habitant excédé qui réside en face du camp. Il y a des déchets partout et certains font leurs besoins un peu n'importe où dans la rue, c'est dégoûtant.» Plusieurs associations riveraines, dénonçant «le laxisme des pouvoirs publics», ont d'ailleurs appelé vendredi à des manifestations « tous les mardis » pour le démantèlement du camp, fixant le prochain rendez-vous au 20 août à 17 heures.
Aucune solution d'hébergement
Le maire de Vaulx-en-Velin espère que la préfecture aura fait le nécessaire d'ici là. Dans un courrier prémonitoire adressé mercredi au préfet de Région Rhône-Alpes, Jean-François Carenco, il avait «alerté sur la situation de plus en plus dégradée» aux abords de cet immense campement «dont la population est en constante augmentation».
Selon une militante associative, les Roms qui ont vu leur abri détruit sont désormais à la rue, sans qu'aucune solution d'hébergement leur soit proposée. «Ils ont dormi là où ils pouvaient, certains ont erré toute la nuit», a déclaré Annie Dureux, une paroissienne catholique, également militante de Réseau éducation sans frontière (Resf) et du Secours populaire. A leurs côtés dès jeudi soir, elle a déploré n'avoir reçu aucune aide de nulle part . «Nous avons cherché des hébergements pour les familles qui avaient des bébés de moins d'un an, dont un nouveau-né de 3 jours, pour finalement les caser dans des salles sans autorisation», a-t-elle raconté.
Vendredi après-midi, un autre incendie s'est déclaré pour une raison encore inconnue dans un campement de Roms d'une trentaine de baraquements à Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis.
par bitadmin » 06 Sep 2013, 09:55
Depuis 6 h 50 ce matin, d'importants effectifs de police ont investi le camp de familles roms de la rue de Carvin à Lille-Sud. Accompagnés d'engins de chantier, ils procédaient à une nouvelle réduction de l'espace occupé par les familles, en les poussant vers l'entrée du camp, côté rue du Faubourg-d'Arras. Les parents et enfants ont été réveillés par les policiers, puis les baraquements les plus éloignés ont été détruits par les bulldozers. L'opération se poursuit et se déroule dans le calme. Il ne s'agit pas encore d'une évacuation, qui est prévue, elle, à la mi-septembre.
par krouw2 » 16 Sep 2013, 17:58
Propos anti-Roms du maire de Croix : «Si un Croisien commet l’irréparable, je le soutiendrai»
Le maire UMP de Croix, Régis Cauche, a osé le dire, et maintient ses propos ouvertement anti-Roms : si un Croisien commettait l’irréparable contre un Rom, il le soutiendrait !
R. Cauche dit avoir du soutien dans sa ville avec ces propos.
Excédé par les dérives constatées selon lui à Croix depuis l’arrivée ces dernières semaines de près de 200 Roms expulsés de Lille-Sud, le maire, Régis Cauche, va jusqu’à prédire un dérapage « comme le bijoutier de Nice » si l’État ne fait rien.
« Et si un Croisien commet l’irréparable, je le soutiendrai », a-t-il précisé samedi. Interrogé ce lundi pour savoir s’il maintenait ses propos, le maire UMP de Croix a acquiescé : « Les Roms n’ont rien à faire à Croix. Oui, s’il y a un dérapage, j’apporterai mon soutien. La population en a assez. »
Tirs à blanc samedi soir
Et comme pour appuyer son propos, il raconte que dans la nuit de samedi à dimanche, un agriculteur de Croix a d’ailleurs tiré à blanc avec sa carabine pour effrayer des Roms qui s’approchaient de son exploitation. Sa basse-cour avait été délestée d’une trentaine d’animaux les trois nuits précédentes. L’agriculteur nous a confirmé l’incident ce lundi après-midi.
De nombreux commerçants et habitants se sont plaints au maire, la semaine dernière, d’une recrudescence des vols, pour lesquels Régis Cauche dit détenir « les preuves » que les Roms en sont les auteurs. Il les en accuse d’ailleurs sans nuance. « On ne peut pas les laisser piller Croix, ce n’est plus possible », tonne-t-il.
L’opposant PS au maire de Croix, Mario Califano, dénonce de son côté « des propos irresponsables qui sont de l’incitation à la haine raciale et s’apparentent aux discours antijuifs des années 30 ». Selon lui, le maire porte aussi atteinte à la présomption d’innocence puisqu’il « accuse tout un groupe sans faire de distinction entre ses membres ». Selon l’élu socialiste, plutôt que de « surfer sur les inquiétudes », un responsable public devrait plutôt « rassurer sa population en expliquant les démarches entreprises auprès de la préfecture »
Le maire UMP de Croix, Régis Cauche, a osé le dire, et maintient ses propos ouvertement anti-Roms : si un Croisien commettait l’irréparable contre un Rom, il le soutiendrait !
R. Cauche dit avoir du soutien dans sa ville avec ces propos.
Excédé par les dérives constatées selon lui à Croix depuis l’arrivée ces dernières semaines de près de 200 Roms expulsés de Lille-Sud, le maire, Régis Cauche, va jusqu’à prédire un dérapage « comme le bijoutier de Nice » si l’État ne fait rien.
« Et si un Croisien commet l’irréparable, je le soutiendrai », a-t-il précisé samedi. Interrogé ce lundi pour savoir s’il maintenait ses propos, le maire UMP de Croix a acquiescé : « Les Roms n’ont rien à faire à Croix. Oui, s’il y a un dérapage, j’apporterai mon soutien. La population en a assez. »
Tirs à blanc samedi soir
Et comme pour appuyer son propos, il raconte que dans la nuit de samedi à dimanche, un agriculteur de Croix a d’ailleurs tiré à blanc avec sa carabine pour effrayer des Roms qui s’approchaient de son exploitation. Sa basse-cour avait été délestée d’une trentaine d’animaux les trois nuits précédentes. L’agriculteur nous a confirmé l’incident ce lundi après-midi.
De nombreux commerçants et habitants se sont plaints au maire, la semaine dernière, d’une recrudescence des vols, pour lesquels Régis Cauche dit détenir « les preuves » que les Roms en sont les auteurs. Il les en accuse d’ailleurs sans nuance. « On ne peut pas les laisser piller Croix, ce n’est plus possible », tonne-t-il.
L’opposant PS au maire de Croix, Mario Califano, dénonce de son côté « des propos irresponsables qui sont de l’incitation à la haine raciale et s’apparentent aux discours antijuifs des années 30 ». Selon lui, le maire porte aussi atteinte à la présomption d’innocence puisqu’il « accuse tout un groupe sans faire de distinction entre ses membres ». Selon l’élu socialiste, plutôt que de « surfer sur les inquiétudes », un responsable public devrait plutôt « rassurer sa population en expliquant les démarches entreprises auprès de la préfecture »
Hollande 2027
par kaptn_kvern » 16 Sep 2013, 20:04
Déjà quand tu lis tous ces connards sur FB, Twitter ou autres déballer leur haine en profitant du moindre évènement...mais quand ça vient des élus, c'est priceless.
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par kaptn_kvern » 17 Sep 2013, 20:08
Y a quand même un monde entre les défendre et limite donner le droit de tirer à vue...Y a beaucoup de gens dont j'aime pas la gueule c'est pas pour autant que je vais mettre des droites en veux tu en voilà.
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par boban » 17 Sep 2013, 20:21
filou a écrit:mais vous etes sérieux la?
comment on peut défendre cette communauté?
+1 vaut mieux pas que je dise ce que j'en pense ici ...
La semaine dernière, la sœur de mon pote s'est fait défoncé sa voiture par une de leur camionnette pourrave.Ils l'ont insulter de tous les noms et se sont barrés.Verdict de la police: "il faut qu'on les retrouve et qu'ils avouent pour que vous touchez l’assurance"...lol.
par kaptn_kvern » 17 Sep 2013, 20:41
Encore une fois, avec le maire de Croix, ce qui est remis en question, c'est qu'il représente l'Etat, il a un devoir de réserve, il a une responsabilité vis à vis de ses administrés. Il ne peut pas se permettre ce genre de commentaire. Je suis d'accord avec toi que les roms ne sont pas assimilables et qu'ils ne s'intégreront jamais. Leur mode de vie est trop différent et inadapté. Mais de là à dire "si un croisien tue un roms, je le défendrai", c'est pas possible.
I don't always listen to Pantera...but when I do, I get fucking hostile.
par bijams » 17 Sep 2013, 20:44
filou a écrit:mais même avec le plus grand optimisme possible, comment on peut envisager une évolution/intégration de ces gens la? c'est juste impossible.
Bah au contraire, là, ce sont les encombrants et vu le nombre de roms qui arpentent les monts de détritus, bah moi, je dis chapeau.
Ils se sont adaptés à la situation.
Bon après sur votre débat, c'est toujours pareil, tant que tu n'as pas eu affaires à eux, leur situation ne te concerne pas.
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